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she's sweet like candy in my veins | satan

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@Sana Bukovski | le temps à cancun passait à une vitesse folle. était-ce du au fait qu'il était la plus part du temps pas dans son état normal ou est-ce que la temporalité ici était différente ? avec tout cet alcool, il était très facile de s'y confondre. fallait aussi dire que stan n'avait pas beaucoup fermé l'oeil non plus depuis quelques jours. le spring break avait commencé sur les chapeaux de roues dès sa première soirée avec elvira et depuis, il avait eu du mal à se passer de son petit bonus qui faisait toute la différence selon lui. loin d'être une mauvaise habitude qu'il avait, ces vacances étaient une sorte de parenthèse et il s'autorisait clairement des excès pour franchir des barrières encore infranchies jusque là. et pourtant, stan était le roi de l'excès en tout genre. mais ce soir, il ne comptait pas partager ça seul. et qui de mieux que la fougueuse sana pour l'accompagner ? ils s'étaient donnés rendez-vous en marge de la foule alcoolisé sur la plage de l'hôtel pour se retrouver facilement. traversant une horde de personnes, l'australien finit par apercevoir son amie plus loin. ses doigts dans la bouche, il la siffla histoire de bien se faire remarquer par tout le monde (et après réflexion, vu le volume de la musique et des piaillements de chacun, c'était bien nécessaire). "Mais regardez moi qui voilà." dit-il en souriant. "Ne serait-ce pas la meuf la plus cool de Cancun ?" qu'il lâche en explosant de rire. c'était presque un peu vrai quand même.
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SHE'S SWEET LIKE CANDY IN MY VEINS @Stan Rutherford — Les étoiles brillaient fortement dans le ciel et pas l'ombre d'un nuage venait se mettre devant eux, la température montait et les corps se dénudaient, l’été était bel est bien là à Cancun. L’été, des soirées de fêtes, de débauches, d'aventures, mais surtout de la plage et de corps à découvert de beaux mecs musclés. Sana était une femme des plus séduisante, un corps svelte aux courbes divinement sculptées, des cheveux brun brillant comme ces étoiles à la nuit et une totale confiance en elle... Cette Aphrodite comptait bien profiter ce soir encore, se lâcher tout bonnement en compagnie de son acolyte préféré. Le seul petit hic dans cette histoire, c'est qu'elle avait envie de le pécho et lui, non. Sinon, tout le reste coulait de source. Assise dans le sable, la belle avait misé toutes les cartes. Sa poitrine débordait aisément de son maillot de bain rouge, couplé à un short en jean bien trop serré pour ses fesses bien en chair. La jeune femme affichait certes un air innocent, mais sa tenue ne le reflétait pas. Tenue parfaite pour ce rendez-vous direz-vous. Stan avait promis de la mette bien, alors elle avait hâte de découvrir son plan. D'ailleurs, cela ne tarda pas puisqu'un sifflement attira son attention et la voix de son acolyte s'en suivait. Elle se releva et se rua vers lui, l'air de rien. — C'est moi en chair et en os ! Mais on s'connaît ? Fit-elle semblant, accompagné d'un sourire carnassier pendu aux lèvres. — J'suis censée avoir rendez-vous avec un bg, pas un papi ! Brunette sort déjà la carte de provocation.
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@Sana Bukovski | avec toute la distinction et la classe qu'on lui connait, il avait évidemment bruyamment sifflée la jeune femme en l'apercevant au loin. arrivant à sa hauteur, il ne manqua pas de remarquer qu'elle ne faisait pas du tout tâche dans le décor. cancun était probablement un des meilleures endroits où l'on pouvait voir autant de culs et de paires de seins au mètre carré. c'était simple, des limites il n'y en avait pas et des fringues, encore moins. sana ne faisait certainement par exception mais la différence était qu'aussi bien foutue qu'elle pouvait être, il ne se passerait jamais rien entre eux. et stan y mettait un point d'honneur. ça ne l'étonnerait absolument pas d'ailleurs qu'elle essaye de lui compliquer la tâche, au vu de la tenue qu'elle portait ce soir. mais il valait mieux dans sa tête qu'il considère que c'était le dress code habituel du spring break plutôt qu'un geste calculé dans le but de le faire craquer. "un papi ? vous devez faire erreur sur la personne mademoiselle..." lui répond-il d'un air de défi. "tu ne les aimes pas mes cheveux ? j'trouve que j'ai l'air super cool avec." il tenta un petit mouvement de tête pour secouer une mèche inexistante avant d'éclater de rire. "bon j'espère que t'es prête à sacrément faire la fête ce soir... parce que j'ai une surprise." haussant les sourcils d'un air joueur, il la laissa miroiter à s'imaginer quinze mille plans. fouillant dans ses poches, il en ressortit un petit pochon de poudre blanche, qui exhiba sous les yeux de la russe. "il me semble qu'on a jamais fait ça ensemble toi et moi..." et comment ça aurait pu. jusqu'à quelques semaines en arrière il n'avait jamais touché à ça stan mais il savait que ce n'était pas un terrain inconnu pour elle.
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SHE'S SWEET LIKE CANDY IN MY VEINS @Stan Rutherford — Sana se marre bien à le voir se complimenter sur sa nouvelle colo de cheveux tout ça pour qu'elle voie à quel point il peut être cool même en papi. Elle agrippe son menton pour lui faire pivoter la tête de droite, puis de gauche et affiche un faut semblant de grimace. — mhhh... ouai, t'es plus trop ma came maintenant. Je te préférais avant, mais je suppose que c'est calculé pour que j'arrête de te kiffer autant. Bien-sure qu'elle plaisante, ce n'est pas parce qu'il a une nouvelle colo, qu'elle va arrêter de lui faire des avances, mais elle joue Sana, elle aime bien le taquiner. Il lui parle de surprise et forcément qu'elle a les oreilles qui se lèvent et les yeux qui clignent d'impatience. Sauf que monsieur sort de la petite poudre blanche et son regard baisse vers sa paume. — t'es fou ! D'une main qu'elle plonge rapidement dans la sienne pour venir la baisser entre eux tandis que son corps se rapproche du sien. Camouflage immédiat. — Sois plus discret non de dieu ! Le spring break attirent la fouille. Ce n'est pas parce qu'on est à Cancun qu'on ne peut pas finir en taule. Un regard par ici et par là, elle lui arrache le petit sachet et le fourre discrètement à l'intérieur du haut de son maillot, dans son sein gauche. — Il nous faut un endroit à l'abri, t'en connais un près d'ici ? Conclua-t-elle en réinstaurant une petite distance.
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@Sana Bukovski | la jeune femme ne semblait clairement pas adhérer au nouveau look de l'australien et pour cause, il risquait de rapidement s'en lasser lui aussi. peu importe, avec une casquette ou un bonnet le tour serait joué pour masquer cette folie capillaire. "exactement, je tente d'être le pire des thons pour que tu me lâches la grappe." dit-il en rigolant. il n'irait pas jusque là tout de même, bien qu'il espérait vraiment qu'elle ne tente rien pour le faire vaciller du côté sombre de la force pendant ce spring break ni même plus tard. en attendant, c'était lui qui comptait mettre un pied du côté sombre, sortant de sa poche un pochon de cocaïne qu'il exhiba inconsciemment sous le nez de sana. choquée, elle attrapa sa main pour la baisser et cacher ce qu'il venait de sortir. "quoi ? oh c'est bon personne ne nous calcule. détente." beugle-t-il en roulant des yeux et plus particulièrement lorsqu'elle lui arrache des mains pour cacher la chose dans ses seins. il bug un moment sur sa poitrine avant de revenir à reporter son attention sur ce qu'elle lui dit. "tranquille ! personne ne va nous choper et on finira pas en taule mamie." les rôles étaient inversés et il était clair que stan pouvait être inconscient et un peu fou. mais il s'en fichait bizarrement. elle lui demanda s'il connaissait un endroit discret et il écarquilla les yeux. "tu crois que j'suis assez fou pour m'isoler dans un coin avec toi ? tu pourrais bien me violer." plaisante-t-il devant son air sérieux. "ça va j'plaisante. suis-moi." il l'invita à la suivre quelques mètres au dessus de la plage, à l'abris des regards indiscrets derrière une cabane de maitre nageur. "après toi." dit-il, l'invitant à entrer pour se couper complètement des autres et ne pas risquer de se faire prendre.
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SHE'S SWEET LIKE CANDY IN MY VEINS @Stan Rutherford — Qu'elle lui lâche la grappe ? Mh, c'est mal connaître Sana. Elle fait face aux obstacles et lorsqu'elle a réellement quelque chose en tête, elle fera tout pour le réaliser. À nouveau, elle fait semblant de râler. — le pire des thons ? Ce n'est pas encore ça, t'aurais dû mettre de fausses dents cariées et peut-être que ça aurait pu marcher. Elle le fixe soudainement d'un air accusateur. — et puis je suis certaine que tes principes, tu les as inventées juste pour moi. Car je suis certaine qu'il t'arrive de coucher avec des copines. Tiens la meuf que ton frère kiffait, ce n'était pas une pote à toi ? Pesta la brunette en croisant les bras contre sa poitrine. À moins que... C'est juste elle qui ne lui plaît pas ? Et qu'il ne sait juste pas comment le lui dire sans la vexer. Ah, merde, elle n'avait jamais pensé à cette alternative. Le comble, c'est qu'il sort de la poudre blanche comme ça, tout peinard. Faut être super discret avec l'illégalité. Tellement occupée à regarder partout, qu'elle ne le voit pas buguer sur sa poitrine. — mamie ? J'ai l'air d'une mamie-là ? Brunette fait un tour sur elle-même, les bras levés de chaque côté de son corps. — c'est incroyable comme t'as la vue d'un papi de 70 ans. Et tok, dans sa tronche de papi sexy. Sana adopte un air choqué par les propos qu'il balance. Non mais oh, il veut creuser sa tombe celui-là ? — t'as raison, fait gaffe, je pourrais bien t'attacher et te violer jusqu'à ce que le soleil se lève ! Profiter un maximum de ce corps super bien gaulé ! Non évidemment qu'elle n'était pas de ce genre, elle le taquine, mais s'il ne veut pas, elle ne le forcera jamais. Après tout, elle ne peut pas plaire à tout le monde. La Russe le suit discrètement et pénètre cette fameuse cabane. — c'est ici que t'emmènes tes nanas pour les sauter ? Demande-t-elle en faisant un tour sur elle-même pour examiner l'intérieur, personne en vue. Elle saute sur l'espèce de table pour y poser son popotin, balançant les jambes dans le vide et sortant le petit sachet. Cette dernière essaie de l'ouvrir, mais elle déchire un peu trop fort et toute la poudre se renverse sur ses cuisses. — Merde.... Fit-elle en grimaçant, mine super innocente et désolée. C'est fait exprès évidemment.
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@Sana Bukovski | oh non il n'essayait pas de se rendre moche à tout prix pour empêcher sana d'avoir envie de faire quoi que ce soit avec lui, il n'irait tout de même pas jusque là. il fronce les sourcils lorsqu'elle évoque l'histoire avec nathan. "ça n'a rien à voir. et t'en sais rien, c'était pas une amie loin de là." corrige-t-il. "et oui mais je ne t'ai pas dit ? dès que je t'ai rencontré je me suis dit : ok elle est trop canon mais on est pote donc j'me crée des principes comme ça on ira jamais plus loin. c'est super malin ça non ?" dit-il en roulant les yeux au ciel. ses principes en amitié ne datait pas d'hier et même si sa loyauté amicale pouvait être mise à rude épreuve parfois, ce principe stan y tenait et c'est bien pour cette raison qu'il repoussait les avances de la russe. sortant de sa poche son petit pochon de cocaïne, il fut surpris de voir une sana flippée à l'idée de se faire choper ou fouiller par la police. "tu vois j'le savais ! je peux pas te faire confiance ni te laisser mon verre en soirée par exemple. t'es trop dangereuse..." dit-il pour la taquiner. stan l'emmena un peu plus loin sur la plage pour s'incruster dans une cabane de maître nageur où ils pourraient être tranquilles. c'est vrai qu'ils avaient tout l'air de chercher endroit intime pour s'envoyer en l'air, mais c'était tout autre chose que l'australien cherchait vraiment. s'envoyer en l'air ouais, mais pas sexuellement dirons nous. "nope, c'est la cabane de l'autre côté pour baiser. sinon je t'aurais pas emmené ici." lâche-t-il en haussant les épaules. il plaisantait bien évidemment. la brune sauta sur la table pour y poser ses fesses, ressortit le graal de son maillot de bain et se mit à l'ouvrir. "attend fais gaffe !" s'écria-t-il mais trop tard, elle venait de renverser bêtement la poudre sur elle. "non t'es sérieuse..." dépité il était. est-ce qu'elle venait vraiment de tout gaspiller ? il n'y en avait pas par terre heureusement car avec tout ce sable sur le plancher la différence aurait compliquée à faire. "ok attend, bouge pas." il attrapa un genre de petit morceau de métal qui traînait sur un bureau, s'agenouilla devant la jeune femme et l'approcha de ses cuisses. "on va procéder au transfert." d'une main minutieuse, il tenta de récupérer un maximum de poudre pour la faire glisser le long de ses cuisses vers le morceau de métal. la situation pouvait paraitre étrange et elle l'était de plus en plus évidemment. pour ne pas prolonger cet instant, il termina rapidement, posant le métal plat sur la table sur laquelle était assise la jeune femme. une main dans sa poche, il en sortit sa carte bancaire et un billet, qu'il tendit à sana avant de s'atteler aux rails.
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SHE'S SWEET LIKE CANDY IN MY VEINS TW DROGUE @Stan Rutherford — P'tin qu'il y tient à ses principes. La tâche va être plus difficile qu'elle ne l'aurait imaginé et puis si ça ne marche pas, tant pis, car au moins, elle aura essayé et ne regrettera pas dans le futur. Parce qu'elle a toujours été une adepte de cette phrase : qui ne tente pas n'a rien. — ça va, c'est bon, j'ai compris qu'elles existaient bien avant moi tes principes. Elle mime des guillemets à l'aide de ses doigts pour insister sur le mot "principes". — et franchement non, c'est tout sauf malin. C'est même hyper nul, mais ça, elle se garde bien de lui dire. — n'importe quoi, si j'étais aussi dangereuse, ça aurait été fait depuis longtemps. Et tu vois, rien ne s'est passé et rien ne se passera contre ton gré. Ce n'est pas parce qu'il lui plaisait, qu'elle allait vriller et lui faire du n'importe quoi, non, Sana n'était pas comme ça. Jeune fille espiègle et maligne, mais pas dangereuse psychopathe, il ne fallait pas abuser non plus. Roulant des yeux, elle hausse les épaules. — t'as cru que j'aurais accepté de me faire prendre au même endroit que tes plans culs ? Jamais de la vie. N'importe où, mais pas le même endroit où monsieur regroupait ses bimbos. D'ailleurs, pourquoi ce n'était pas avec l'une d'elles qu'il était venu sniffer ? Paraît qu'après un rail de coke, le sexe pour accompagner est divin. Perso, elle n'a jamais essayé. — attends, tu fous quoi ? Non, parce qu'on dirait bien que son plan tombe totalement à l'eau... Elle le regarde d'un air dépité, à s'acharner pour trouver un moyen de sniffer ailleurs que sur sa peau. Suivant chaque détail, elle pose une main contre son front. La russe préfère se facepalme plutôt que de voir ça sérieux. Alors une fois qu'il eût terminé, elle descend de la table et lui repousse la main, refusant son billet. — j'suis pas novice moi. Elle le pousse à nouveau à l'aide de ses fesses et prend la place face à la poudre. Elle attrape le métal tout doucement de sa main droite tandis qu'elle forme un poing avec celle de gauche pour y verser ensuite un gros rail de coke dans le petit creux entre son pouce et son index. Sana repose ensuite le métal et approche le rail de son nez pour le sentir dans un premier temps et le sniffer d'un coup sec. Geste assez rapide d'ailleurs. Elle ferme les yeux, manquant de lâcher un jurons et recule de quelques pas, stoppée par la porte contre son dos. Le temps de reprendre ses esprits, elle ouvre les yeux. — Si t'es novice, fait-le avec ton billet. Parce que c'était super fort de le faire à sa façon. À lui l'honneur maintenant.
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@Sana Bukovski | une fois ses principes justifiés une nouvelle fois, stan emmena sana plus loin pour qu'ils puissent s'occuper de leurs affaires tranquillement et sans qu'on les dérange. "bah pourquoi ? t'en serais pas un si on couchait ensemble ?" qu'il lui répond du tac au tac, l'invitant finalement à entrer. de toute façon ce n'était pas son genre d'avoir sa tanière où il emmenait ses plans, surtout ici à cancun. il existait assez d'endroits incroyables pour le faire au lieu de recycler le même endroit à chaque fois. l'australien évita de peu la catastrophe lorsque sana renversa toute la poudre sur ses jambes. d'un geste habile, il avait réussi à transvaser le produit sur un morceau de métal plutôt que d'imaginer sniffer tout ça directement sur elle. ça lui ferait bien trop plaisir, de toute façon. fin prêt, il lui proposa un billet qu'elle refusa machinalement sous les yeux perturbé de stan. quoi, elle va nous improviser une technique de prise rustique ? on sniffe autrement chez les russes apparement. il la regarde d'un air impressionné lorsqu'il la voit faire. sa pote était une camionnette, une baronne de la drogue ou une chef de cartel ou quoi ? elle l'insultait même de novice et elle avait franchement pas tord. plusieurs semaines en arrière il n'avait touché à la cocaïne alors... il pratiquait évidemment de la façon qu'on lui avait enseigné. comme un gentil petit élève. "et ben.. excuse moi pablo escobar." dit-il en rigolant. "j'avais oublié que t'avais plus l'attitude d'un camé que moi." dit-il en haussant les épaules, formant une paille avec son billet d'un dollar après avoir aligné un rail sur le métal. rail qu'il sniffa directement avant de reporter son attention sur sana. "je ne savais pas que t'en prenais toujours." occasionnellement, il connaissait ses habitudes mais comme ils n'avaient jamais consommé ensemble, c'était une première. un bruit de fond arriva aux oreilles de l'australien, qui fit signe à sana de se taire et d'écouter. des gémissements, de plus en plus intense se faisaient entendre depuis l'extérieur de la cabane. "et bah, on a des amis qui se font plaisir pas loin." un fin sourire qui s'étire sur ses lèvres. "on ferait mieux de pas traîner, des fois qu'ils decident de finir ici." dit-il à sana pour la presser.
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SHE'S SWEET LIKE CANDY IN MY VEINS TW DROGUE @Stan Rutherford — La provoquait-il ? Parce que Sana avait bien l'impression qu'il était en train de la chercher. Les hommes sont trop confiants pour les considérer comme une menace ou trop flattés pour s’inquiéter de ce qu'elles veulent vraiment. Sana baisse alors la tête et s'arme d'une mine totalement déçue et triste. — non, je n'en serais pas un et le fait que tu puisses penser ça de moi au cas où l'on aurait couché ensemble, m'désole... Ses pouces jouent l'un contre l'autre, la tête toujours baissée, elle garde son sérieux quelques secondes. Ainsi, c'est comme ça qu'il la regardait ? De cet œil ? Il la classerait dans le même sac que tous ses plans culs ? Elle en a moins envie du coup... Et heureusement que ce rail de coke va lui faire oublier ce petit dérapage de mots. Elle s'y étale rapidement, sniffe le plus possible. Elle s'appuie contre la porte. — même Pablo pourrait aller s'cacher ! Et j'en prends toujours, mais occasionnellement. J'évite d'en consommer en dehors des occasions histoire de ne pas devenir dépendante. Ce serait beaucoup trop dangereux pour la terre si Sana devenait dépendante. — et toi ? Pourquoi t'as commencé à en prendre ? Elle avait quel âge quand elle a commencé ? 17 ans ? 18 ans ? C'est une habituée, mais Stan, non. Ce monde est tout nouveau pour lui et elle se demande bien pourquoi monsieur a viré du côté sombre de la force. Alors qu'elle voulait rajouter quelque chose, il lui fit signe de se taire et tend l'oreille pour écouter ces fameux bruits qu'il entendait. — elle est chanceuse la petite, il y a au moins un gars qui porte ses couilles ce soir. Elle se tourne vers lui. — et toi ? tu les portes ce soir Peter Pan ? Murmura-t-elle en posant une main sur le haut de son crâne pour lui caresser la tête. Est-ce qu'elle venait de le traiter de gamin ? Fort possible, mais elle n'était pas mieux alors, parce que niveau gaminerie, Sana est imbattable. Et franchement, elle s'fiche pas mal qu'on la traite de gamine, car il n'y a pas de mal à retourner à l'époque de son enfance et de lâcher un peu ce monde d'adulte trop compliqué. — mh, ce n'est pas grave, je demanderai gentiment si je peux m'incruster. Avec un magnifique cul comme le mien, ils ne refuseront pas. Les mains posées sur ses fesses, elle se retourne pour lui afficher son boule sous les yeux. — Après toi ! Je t'en prie. C'est lui qui devait la mettre ultra bien, donc c'est elle qui se laissera guider par ses soins.
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