@Louison Chamberlain boston, louison's apartment 04.09.2021
art is the highest form of hope
Difficile de vraiment s’en remettre quand le corps est secoué de toute part. Vraiment. Faire l’amour avec toi avait le don de me transcender et je ne voulais rien vivre de similaire avec qui que ce soit d’autre. C’était toi et juste toi. Les sentiments que je ressentais pour toi, ils étaient inégalables. Je sais pas vraiment comment t’as réussi ton compte mais pour sûr, j’étais totalement sous ton charme, sous ton emprise et rares furent les femmes - ou les hommes - qui ont réussi. « mh, pas mort » Enfin si, je venais de subir la petite mort pour le coup. L’orgasme tel qu’on l’imagine, qui nous foudroie jusqu’à chaque terminaison nerveuse. Faut croire que je dois m’y habituer maintenant. Tu t’amusais avec mes fesses, menaçant mes poils par la suite. « pas touche aux poils, c’est interdit » que je réussis à dire, redressant le visage pour te regarder. Oui, mon regard qui se pose sur toi et je tombe encore plus amoureux. T’as le visage heureux, le visage comblé. Et j’ose croire que j’y suis pour quelque chose. « je m’y habitue vite à tout ça, à nous deux » Non pas que je veuille brûler les étapes mais dormir avec toi, contre toi, c’était quelque chose que j’étais pas encore prêt à échanger, pour rien au monde. « t’as assez d’énergie pour une douche ? » Parce que moi, non, pas vraiment.
(Kaze Faulkner)
“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”