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(loudovan) art is the highest form of hope

Kaze Faulkner

Âge : 34
Lieu de naissance : chicago, illinois
Quartier d'habitation / Colocation : south boston
Situation sentimentale : veuf. plus vraiment célibataire, exclusif à giorgia, avec qui c'est tout feu tout flamme
Études / Métier : officier de police dans l'unité des enquêtes criminelles (CID)
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : dreamrutine@tumblr
Faceclaim : max irons.
Crédits : dark dreams. @tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description (1) : kaze faulkner
widower · heterosexual · former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in criminal unit of the boston police department

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(loudovan) art is the highest form of hope - Page 4 Kaze

RPS en cours :
00 RPs › 20/10 → 27/10
00 RPs › 27/10 → 03/11
01 RPs › 03/11 → 10/11

OCTOBRE : 19
NOVEMBRE : 01
Warnings : viol, suicide, dépendance à l'alcool, violence, sexe
RPS : 136
Messages : 38488
Préférences de jeu
veritas
Kaze Faulkner
est en ligne
modération & codage | WRECKED SOULS › waiting for a moment
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t158203-kaze-faulkner-max-ironsRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t158086-Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t158517-meetsachussets-fkaze
@Louison Chamberlain boston, louison's apartment 04.09.2021

art is the highest form of hope
Difficile de vraiment s’en remettre quand le corps est secoué de toute part. Vraiment. Faire l’amour avec toi avait le don de me transcender et je ne voulais rien vivre de similaire avec qui que ce soit d’autre. C’était toi et juste toi. Les sentiments que je ressentais pour toi, ils étaient inégalables. Je sais pas vraiment comment t’as réussi ton compte mais pour sûr, j’étais totalement sous ton charme, sous ton emprise et rares furent les femmes - ou les hommes - qui ont réussi. « mh, pas mort » Enfin si, je venais de subir la petite mort pour le coup. L’orgasme tel qu’on l’imagine, qui nous foudroie jusqu’à chaque terminaison nerveuse. Faut croire que je dois m’y habituer maintenant. Tu t’amusais avec mes fesses, menaçant mes poils par la suite. « pas touche aux poils, c’est interdit » que je réussis à dire, redressant le visage pour te regarder. Oui, mon regard qui se pose sur toi et je tombe encore plus amoureux. T’as le visage heureux, le visage comblé. Et j’ose croire que j’y suis pour quelque chose. « je m’y habitue vite à tout ça, à nous deux » Non pas que je veuille brûler les étapes mais dormir avec toi, contre toi, c’était quelque chose que j’étais pas encore prêt à échanger, pour rien au monde. « t’as assez d’énergie pour une douche ? » Parce que moi, non, pas vraiment.
(Kaze Faulkner)




“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”

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@Radovan Rodrič | 04.09.2021 | Pas mort, juste un instant de contemplation. L’exploration des sens jusqu’à leur confins. Nos corps récupèrent, l’un contre l’autre. Mon besoin d’éviter le silence se traduit par mes mots, mais peu à peu, je m’éteins. Je savoure l’instant si précieux. Je m’adapte à ton rythme. Et en l’absence de bruit, je cale mon ouïe sur les battements de ton coeur. C’est encore meilleur que les vagues de la Méditerranée en plein été. Je voyage dans le pays de l’amour. Dans tes billes luisantes, je lis le bonheur que l’on partage et instantanément, j’ai ce sourire niais qui se dessine sur mes lèvres. « T’as le droit, j’espère seulement que tu ne perdras jamais le goût de Miss Chamberlain » En douceur, je te retourne sur le côté afin de me libérer de ton poids. Au moindre mouvement, la peinture se craquelle. Je suis admirative de ton art, mais la sensation sur ma peau me gêne. « Je vais effectivement me débarbouiller, mais repose toi, je fais vite » Je ne vais pas te tirer hors du pieu alors que t’es cramé. Et puis je crois que j’ai besoin de faire retomber la pression en étant un peu seule. Alors je quitte la pièce, ton corps échoué sur la toile de tissu multicolore. Je reviens ensuite sur mes pas, dépose un baiser sur ta tempe et disparais pour de bon sous l’eau chaude. À mon retour, tes paupières étaient bien closes et un fin filet d’air sortait de ta bouche. Mes prunelles se baladèrent sur ton corps nu fièrement allongé. J’pouvais pas rêver mieux. Sur la pointe des pieds, je me suis ensuite glissée à tes côtés, m’enlaçant de ton bras pour maintenir ce contact si apaisant. Cette nuit-là, je n’avais pas réussi à m’endormir rapidement, j’avais préféré écouter la mélodie de ta respiration et déguster les minutes passées auprès de toi, peu importe si tu étais inconscient. Tu étais là. Toi seul.
(Invité)