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summertime sadness — matteus

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@Matteus Bardsley douze juillet, st vincent ; kingstownmonsieur pudique ? répétas-tu en levant les yeux au ciel. — excuse-moi de vouloir préserver mon corps pour les personnes qui le valent vraiment, et non pas pour des inconnus qui passent dans la rue, renchéris-tu en boutonnant ton pantalon. reprenant ta marche tout en terminant tranquillement ta marche dans le centre ville de kingstown, matteus commença à aborder le sujet de tes grands-parents, chose qui te surprit quelque peu puisque vous parliez de cul depuis plus de dix minutes maintenant. — parce que tu veux m'faire croire que les trois quarts des gens qui viennent de la campagne américaine n'ont pas d'animaux de la ferme chez eux ? répliquas-tu, sourcils froncés. — faut pas avoir honte d'où tu viens. la gadoue, l'odeur de purin, les rodéos et les tracteurs, ça peut être stylé dans un sens, le taquinas-tu. — d'ailleurs, pourquoi être venu à harvard ? lui demandas-tu par curiosité.
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Drake était vraiment un gars de la ville. Et par ville, on entendant la plus grande métropole du coin. Presque sur qu’il n’était jamais allé en campagne, hormis un chalet perdu en pleine montagne ou dans une nature isolée. « en effet, non » repondit-il, le plus sérieusement possible. Pas d’élevage, pas de poule, ni de tracteurs ou quoi. Plutôt famille d’ouvriers que d’agriculteurs à choisir. Le sujet était quelque peu touchy à ses yeux. A chaque fois qu’un riche ou un gars de la ville lui parlait d’où il venait, il y voyait une certaine forme de mépris et de moquerie. « Ouais, c’est ce qui a du te plaire chez moi. L’odeur du foin. » lacha-t-il, quelque peu blasé.

« Pourquoi être venu à Harvard ? J’sais pas, j’en avais marre de la campagne. J’ai mon côté michto, j’me suis dit que je finirais bien par rencontrer un gars de Los Angeles, le genre hyper crique qui me paierait des jus d’ananas le jour et le baiserait la nuit. J’sais pas si mon plan d’épargne a marché. » il mima quelqu’un qui cherchant une personne de loin. « Attends, faut que je le retrouve, ce blaireau. » petite pique acérée comme il les aimait.
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@Matteus Bardsley douze juillet, st vincent ; kingstown tu lui décochas un regard quelque peu surpris lorsque tu entendis matteus te répondre machinalement, comme si tes propos l'avaient blessé ou agacé. — eh, tu vas pas bouder pour des conneries pareilles quand même ? lui répondis-tu en fronçant quelque peu les sourcils. — maintenant je sais que ta ville de campagne est un sujet sensible, promis je n'en rigole plus, souris-tu avec malice, lui décochant un coup de coudes amical afin de le faire sourire à son tour. — quand j'serai bourré par contre, la promesse ne risque pas de tenir très longtemps, pouffas-tu. tu soupiras tout en souriant, amusé par les paroles du jeune homme. décidément, matteus n'en loupait pas une pour t'envoyer des piques acérés. t'appréciais ça chez lui, son franc parler et ses répliques mi-amusantes mi-vexantes. — j'te fais jouir et crier comme jamais depuis plusieurs nuits et maintenant, tu m'appelles le blaireau ? déclaras-tu en faisant comme si tu étais extrêmement blessé par ce surnom qui, en réalité, ne t'atteignais absolument pas. — et fais gaffe, parce qu'il me semble que les blaireaux ne font qu'une bouchée des pucerons comme toi, ricanas-tu en claquant des dents dans le creu de son oreille.
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lorsqu'il était arrivé à boston, il en avait eu le droit des remarques : sur son milieu sur d'où il venait, et cela l'avait plongé dans un malaise qu'il aurai bien aimé évité. Et ces remarques, elles venaient toujours des mêmes personnes : d'un milieu aisé, de fils à papa, de gens qui n'avaient qu'en tête des clichés et des problématiques bien loin de la réalité parce qu'ils n'y connaissaient rien. dans les séries télévisées, on s'amusait toujours à dépeindre les jeunesses dorées, jamais les campagnards de son espèce alors forcément, ça provoquait toujours un décalage. mais au moins, l'autre semblait comprendre qu'il ne fallait pas spécialement s'étendre sur le sujet. je saurais quand partir alors. lâcha-t-il d'un pouffement de rire.

mais il le taquina sur un bien autre sujet qui déboucha à nouveau sur le sexe. il roula des yeux, amusé par sa remarque. ça va, les chevilles ? y'aura une fois où je me tairais et je ferai même le mort, on verra. avec énormément de volonté, il pouvait ne rien dire, ne rien faire. le puceron est tellement petit qu'il esquive le blaireau, se fout dans ses poils et le fait chier pendant un bon moment. toujours à vouloir prendre l'avantage et le pouvoir. et si on retournait au bateau ? pour voir ô combien tu sais me faire me faire crier, m'sieur
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@Matteus Bardsley douze juillet, st vincent ; kingstown tu arquas quelque peu les sourcils, lui décochant un regard amusé. — toi, ne pas crier quand j'te touche ? souris-tu. — j'y crois pas mais j'attends ce jour avec impatience. quoi que, ça risque d'être glauque si t'es inerte, grimaças-tu quelque peu. et puis le but, c'était que matteus se lâche et prenne son pied. — ah ouais, les pucerons sont des espèces de sangsues insupportables, affirmas-tu d'un hochement de tête. — mais t'as plus une tête à ce que je te surnomme puceron que sangsue, bien que le rôle des sangsue soit de sucer et que tu t'en sors très bien, plaisantas-tu en lui décochant un léger coup de coudes. — tu veux rentrer au bateau, déjà ? t'étonnas-tu, les sourcils froncés. — le but de cette sortie était justement qu'on se voit dans un cadre différent de ma cabine, ou de la tienne d'ailleurs. tu passas une main dans les cheveux du garçon, lui adressant un sourire chaleureux. — j'veux qu'on continue à se promener et si t'es sage, j'te ferai attendre le septième ciel ce soir, rigolas-tu en reprenant ton chemin à travers la rue commerçante.
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toutes les bonnes choses avaient une fin, non ? il lui semblait que leur partie de balade à pied en ville touchait à sa fin, dans sa tête. soit ils se quittaient ici sur une bonne entente, soit ils approfondissaient la chose dans une perspective beaucoup plus intimiste. — qui te dit que c'était pour aller dans une cabine ? arqua-t-il d'un sourcil, manifestant d'une mauvaise foi certaine. il aimait seulement changer de décor. mais il prendrait sur lui, pour lui faire plaisir. — main dans la main, aussi tant qu'on y est pour la promenade ? dit-il d'un air taquin. — justement, j'pense que je serais bien trop fatigué par la marche pour ce soir. ma main fera l'affaire.
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@Matteus Bardsley douze juillet, st vincent ; kingstown tu lui lanças un regard amusé, sourire greffé aux lèvres. la bonne humeur et l'enthousiasme de matteus étaient contagieux. il t'était impossible de rester fermé à ses paroles cinglantes et amusantes. — parce que t'es du genre à montre tes fesses en plein air ? le taquinas-tu d'un petit rire amusé. — j'préfère être dans une cabine, lui répondis-tu avec un petit peu plus de sérieux. disons que tu n'étais pas encore à l'aise avec ce qui se passait actuellement pour baiser en public. tu préférais être planqué dans une piaule, là où personne ne pourrait vous voir. — nan, être main dans la main ce n'est pas mon délire, répondis-tu d'un geste las. montrer de l'affection envers quelqu'un en public ? hors de question. niveau démonstration, tu n'étais pas au top. et encore une fois, tu n'étais pas à l'aise au point de lui prendre la main. et puis vous n'étiez rien l'un pour l'autre pour faire ça. du moins, pour le moment. — ouais bah t'auras qu'à utiliser ta main, elle te connaît mieux que moi, lui répondis-tu d'un haussement d'épaules. — allez on continue de se promener et arrête de penser à des choses salasses. tu soupiras, lui ébouriffant les cheveux afin de continuer à vagabonder dans les ruelles.

fin du rp.
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