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Elysia & Presley ► I'll always be there for you ...

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ElysiaE & Presley
I'll always be there for you ...


Pauvre Elysia. Je me devais d'aller la rejoindre parce que je ne supportais pas qu'elle puisse avoir mal, qu'elle puisse souffrir. Sa meilleure amie était morte, elle s'était suicidée. J'étais choquée. J'étais si mal pour elle. Elle ne méritait pas cela. Elle était ma sœur, elle était ma cousine de par le nom et nos précédentes informations, mais en réalité, nous étions juste les filles de deux meilleurs amis. Dans nos cœurs, c'était différent. Je rangeais mes affaires de sport, j'avais prévu d'aller la voir. Il venait tous de revenir d'un voyage, enfin beaucoup était parti, mais pas moi. Je n'avais pas l'envie, ni le cœur à cela, j'avais préféré rentrer chez moi quelques jours, dans le grand appartement que mon père avait acheté à mes 8 ans et que je n'arrivais pas à me résoudre à vendre. Je prenais donc mon sac et m'empressais de traverser les bâtiments. Je fusillais du regard les gens qui me fixaient. Les gens aimaient lancer des regards aux autres, ils aimaient dévisager les gens et ça, ça m'énervait. Je n'aimais pas ça, je n'avais pas honte de moi, je n'aimais juste pas cela. J'arrivais après une longue marche au niveau de la maison des Mathers et m’empresse d'y pénétrer, ne saluant aucune des personnes que je croisais, trop occupée à me rendre pour voir mon amie pour laquelle j'étais réellement inquiète. Je frappais à la porte de sa chambre, tambourinant presque tant je m'inquiétais pour elle. On aurait du une sauvage, j'avais du mal à maitriser ma violence et elle était habituée donc elle serait surement directe que c'était moi, surtout que je l'avais prévenu d'un sms avant mon entrainement.



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Je ne parvenais toujours pas à digérer l'annonce qu'on m'avait faite part quelques heures auparavant. Ce n'était tout bonnement impossible. Alors, quand je reçus un sms de ma cousine me disant qu'elle arrivait dans 10 minutes, je lui répondais comme je le faisais habituellement. Enfin, Presley n'est pas ma cousine, même si nous avions été élevée comme telles, comme des soeurs même. Et même si nous savions maintenant que nous n'étions pas liées par le sang, rien ne changeait. Je lisais un simple magasine quand on vint tambouriner à ma porte. Un sourire illumina alors mon visage et je sautais limite vers l'entrée de ma chambre. Je l'ouvrais alors à la volée avant de sauter au coup de Presley. « Tu m'as manquée ma belle. » Oui, elle n'était pas venue en Thaïlande avec moi et même si je le lui en voulais un peu, je taisais cette pensée.
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Après que j'ai tambouriné à la porte, je n'eus pas vraiment à beaucoup patienter car elle avait surement bien foncé sur la porte car trois secondes après, la porte s'ouvrait. Je tentais un sourire tandis qu'elle s'en fichait, se contentant de me sauter dans les bras. Je serrais à mon tour mes bras autour d'elle, assez timidement, je n'étais pas une grande amoureuse des câlins, enfin j'étais surtout surprise. Je desserrais ensuite rapidement l'étreinte, pénétrant dans la chambre où vivait ma cousine en oubliant pas de m’alléger en posant mon gros sac. Elle m'avait dit que je lui manquais, ce qui me faisait chaud au cœur, j'avais donc forcément sourit de joie. J'étais contente de voir qu'elle ne m'en voulait pas trop de ne pas être venu, enfin j'en doutais, parce que je sais qu'elle aurait adoré que je sois avec elle en Thaïlande, mais si elle savait pourquoi j'étais restée, elle changerait d'avis, enfin pour l'instant, là n'était guère le sujet. Je prenais doucement sa main et allait vers son lit où je l'entrainait pour qu'elle s'assoit tout comme moi. J'affichais un sourire compatissant enfin qui se voulait compatissant, mais je n'étais pas très douée, je savais néanmoins que ma sincérité se voyait dans mes yeux ; Ma chérie ... comment prends-tu la chose ? oh je sais surement mal mais je veux dire ... il faut que tu ... tu vois ... lâche un peu ton ressenti, non ? Oui, bon d accord, je ne suis réellement pas douée, mais je tentais quand même et je savais qu'à chaque fois, elle appréciait mes efforts.
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Elle m'avait manqué. À peine avais-je ouvert la porte que je la prenais dans mes bras. Je savais pourtant qu'elle n'était pas du genre à montrer ses émotions d'une telle manière, mais je m'en fichais, moi je le faisais. Et puis, elle m'avait rendu son étreinte, certes assez courte, mais elle l'avais fait. Je la laissais ensuite rentrer dans ma chambre et aperçus son énorme sac. Et bien, elle avait pris pour tout un régiment ou quoi ? Presley me prit ensuite par la main et ensemble, nous nous sommes assises sur mon lit. « Ma chérie ... comment prends-tu la chose ? oh je sais surement mal mais je veux dire ... il faut que tu ... tu vois ... lâche un peu ton ressenti, non ? » Elle essayait de me faire parler. Je souris doucement. Je sais qu'elle partait d'une bonne intention, mais je n'avais vraiment rien à lui dire. « Écoute ma belle, je sais que tu pars d'une bonne intention mais... Je n'ai vraiment rien à dire. Je me sens bien, je vais bien, je te le jure. » Je gardais toujours ce sourire sur mes lèvres. Parce que c'était la vérité. Parce que je ne l'acceptais pas encore.
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Nous étions assise sur son lit. Je voulais l'aider, je tentais tant bien que mal de le faire et j'avais rapidement tenter de la faire parler. Elle semblait étrangement bien. Tant de malheur lui arrivait et pourtant, elle avait presque le sourire. Réalisait-elle ? Était-elle dans le déni ? Je ne savais pas, mais je me sentais si mal pour elle et a la voir, c'était presque moi qui était la plus triste, je crois. Elle me répond alors qu'elle me remercie de tenter de lui parler mais qu'en gros, elle en a pas besoin car elle va bien. Je reste bouche bée et on aurait presque dit un poisson hors de l'eau. Je sais très bien et pour cause que ce n'est pas bien de refouler comme elle le fait. Je sais juste qu'à mon avis elle est dans le déni et qu'elle va pas tarder à s'en rendre compte, ça fera vraiment mal, plus que ça l'aurait fait sur le moment. Je plonge mon regard dans le sien, comme tentant de lire en elle et reprends à nouveau la parole, remettant ma main sur la sienne ; Je pense que tu ne veux pas l'avouer chérie, mais ... Je respire profondément. Je ne sais pas, je pense juste que tu ne vas pas si bien que tu le dis et que tu as au moins besoin de parler de ces choses négatives dans ta vie avant que tu explose! Je ne coupe pas le contact entre nos yeux mais la froideur revient inconsciemment dans celui-ci.
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Je voyais bien que je l'avais choquée par mes paroles, mais je ne comprenais pas pourquoi en réalité. Je veux dire, oui, je suis triste, mais ce n'était pas une raison pour m'abattre. De toute façon, je la verrais assez tôt. On va tous crever un jour, et je crèverais sans doute comme ma jumelle; bon, peut-être pas en sautant d'un toit, mais d'un mort plus... naturel on va dire? Dans tous les cas, je savais qu'elle avait mal pris ma réponse et ça se voyait. Elle était soudainement devenue bien plus froide et c'est à ce moment-là que je me demandais où était passée ma douce Presley, celle que j'avais connue toute mon enfance. « Je pense que tu ne veux pas l'avouer chérie, mais ... Je ne sais pas, je pense juste que tu ne vas pas si bien que tu le dis et que tu as au moins besoin de parler de ces choses négatives dans ta vie avant que tu explose! » Je n'étais pas dans le déni, je savais parfaitement que Sol était partie et que je ne la verrais qu'une fois que je serais partie aussi. Mais j'allais bien, vraiment bien. « Je ne suis pas dans le déni Presley, je sais que Sol est partie... Et je t'assure que je vais bien, je ne cache pas tout. Au contraire, j'ai beaucoup de moyen de décompression, je te jure ! » Inconsciemment, mes yeux glissèrent vers mes poignets. Je savais que mes cicatrices étaient encore présentes. D'ailleurs, les petites griffures le prouvaient...

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Je trouvais son comportement à la fois incompréhensible et pourtant, si courageux. Elle semblait dans le déni sans l'etre vraiment et semblait ne pas souffrir. Mais je m'imaginais ainsi la perdre et il m'était dur de garder mes larmes. Néanmoins, ce coeur que j'avais tenté d'emmurer me permettait de ne rien montrer de ce que je ressentais en ce moment en imaginant cela. Elle me répondit très vite qu'elle n'était pas dans le déni, qu'elle était consciente du départ de son amie, mais qu'elle avait des moyens de décompresser alors en gros, elle allait bien et je devais ne pas l’embêter avec ça ? J'avais tellement peur pour elle et pour cause, je connaissais bien le chagrin mais du coup, je devais avouer que je n'avais pas de leçon à donner car j'avais tout le temps nié mon chagrin profond par la brutalité, la violence, le sport, la froideur. Je voyais son regard se baisser comme si elle avait honte, mais en fait, elle regardait ses poignets et je remarquais quelque chose d'étrange ... Alors j'attrapais son poignet un peu plus haut, et le rapprochait de moi, pour regarder. CEST QUOI CA ? ON T'A FRAPPE ? J'étais paniquée, mais chez moi la panique se traduisait par de l'énervement, une profonde haine comme chez beaucoup d'homme, j'étais pourtant une femme, mais je voulais m’empêcher de pleurer pour que jamais, certaines crises de pleures de mon enfance revienne quand je me croyais nulle parce qu'une mère n'avait pas voulu de moi ou encore le jour de l’assassinat de mon père. Mon regard se replongeait dans le sien car une pensée étrange et terrifiante m'avait envahi ; DIS MOI QUE CE N'EST PAS CA TOI MOYEN DE DECOMPRESSER ? Oui, je criais et alors.
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Peut-être n'aurais-je pas dû ? Erreur, encore une que je commettais. Inlassablement. Je savais que ce simple coup d'oeil allait m'apporter des problèmes. Elle n'était au courant de rien, peu de gens le savaient. J'avais tout fait pour lui cacher ça et jusqu'à aujourd'hui, j'avais réussi. Elle m'attrapa violemment le poignet, me faisant sursauter par la même occasion. « C'EST QUOI CA ? ON T'A FRAPPE ? » Elle hurlait. Je comprenais son comportement, elle devait être à la fois paniquée et en colère. Non, personne ne m'avait touché. J'aurais peut-être préféré le contraire, au moins, je n'aurais pas eu à me faire mal personnellement. « DIS MOI QUE CE N'EST PAS CA TOI MOYEN DE DECOMPRESSER ? » Je ne savais pas quoi lui répondre sur le coup. J'avais honte de moi et de mon comportement passé. Mais je ne pouvais pas rester silencieuse, sinon, elle saurait que ce serait vrai. Ça ne l'était plus. J'hochais alors rapidement ma tête de gauche à droite en signe de négation. Non, on ne m'avait pas frappé; non, ce n'était pas un moyen de décompresser. « Ne t'en fais pas, ce sont de anciennes cicatrices, je ne commettrais pas la même erreur, je te le promets. Je me suis juste griffé à cause d'un vêtement, je te le jure. » Je savais pertinemment qu'elle ne mordrait pas à l'hameçon. Quelle excuse de merde. Mais je ne voulais juste pas l'inquiéter.

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Je ne pouvais pas m’empêcher de baisser à nouveau la tète, regardant les marques. Elle tentait de me calmer en me disant, désolé, qu'elles étaient ancienne, qu'elle ne referait pas la même erreur, mais déjà je bouillonnais et son excuse bidon finit de m’exciter complètement. Je crois qu'à l'instant même j'aurais pu boxer n'importe quel abruti qui passait par là. Ne suis-je pas si importante dans sa vie pour qu'elle se permette de me mentir comme ça ? Je la regardais, le regard noir de haine pas envers elle, envers moi qui n'avait rien vu. Griffer avec un vêtement ? mais pour qui me prends tu Elysia ? Pour qui me prends-tu ? JE NARRIVE PAS A CROIRE QUE TU OSES ME MENTIR ... SUIS JE SI PEU IMPORTANTE POUR TOI ! J'étais grave en rogne, c'était comme un blizard passant au dessus de la tête de ma cousine, sœur, enfin de Elysia, cette fille avec qui j'avais presque toujours vécu, avec qui j'avais été élevé presque. Je me sentais à la fois trahi parce qu'elle n'avait pas osé m'en parler et parce qu'elle tentait de m'avoir mais surtout, mal de savoir qu'elle pouvait en etre arriver à ça. Pourtant, je n'étais pas étonnée ... PUTAIN MAIS POURQUOI TENTES TU DE ME MENTIR ? PAS TOI MERDE ! Je me sentais désespérée et ma reaction de folie le prouvait bel et bien. Je m'étais levée en disant cela et avait marché comme pour me calmer ne manquant pas de frapper à la fin de ma phrase contre le mur. Une boule de nerf, tout à fait. Je m'appuyais dos à la porte, restant debout, respirant. Maintenant, tu vas me dire la vérité Elysia Ravenswood ! Qu'est ce que c'est que ça ? Tu t'es fais ça quand et comment ? Je crois que je me sentais conne, une merde, une pauvre nulle, incapable de la protéger et je pensais à mon père, il devait avoir honte de là-haut que je ne l'ai pas vu. Ouais, j'avais honte de moi, de n'avoir rien vu.
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Jamais je n'aurais cru que Presley puisse réagir ainsi. Oui, je savais qu'elle était triste de me voir ainsi, qu'elle ne comprenait pas mon comportement ni mes réactions mais de là à péter un câble ? Que lui était-il arrivé ? Jamais elle ne se serait excitée ainsi sur moi. Elle aurait sûrement pleuré, se serait sûrement excusée de ne pas avoir été là pour moi. Au lieu de ça, c'était limite si elle m'agressait. Je ne la comprenais plus... « JE NARRIVE PAS A CROIRE QUE TU OSES ME MENTIR ... SUIS JE SI PEU IMPORTANTE POUR TOI ! » Je crois bien que c'est la première fois où je la vois aussi en colère. À mes yeux, elle avait toujours été une soeur douce et attentionnée, qui me protégeait des autres et qui me dorlotait. Mais nous avons grandi, nous avons changé et, si ça se trouve, rien ne sera comme avant - ce que je n'espérais pas, bien entendu. « PUTAIN MAIS POURQUOI TENTES TU DE ME MENTIR ? PAS TOI MERDE ! » Que lui était-elle arrivée pour en venir à dire ça ? Comment ça pas moi ? Lui mentait-on ? Qui ? Soudainement, je me sentais tellement désolée. Je la regardais marcher, jouant avec mes doigts. J'avais l'impression d'être redevenue cette Ely timide et coincée. Mais je ne l'étais pas, je ne l'étais plus. « Maintenant, tu vas me dire la vérité Elysia Ravenswood ! Qu'est ce que c'est que ça ? Tu t'es fais ça quand et comment ? » Je ne savais plus quoi faire. Je ne voulais pas lui dire ce qui m'était arrivée l'année dernière, mais d'un côté, elle ne me laissait pas le choix. Je ne pouvais pas la voir comme ça, je savais qu'elle allait mal, et je voulais savoir ce qui lui était arrivé aussi. Finalement, j'ouvrais doucement la bouche. « C'est... L'année dernier... J'ai essayé d'en finir... J'en pouvais plus tu sais, ma meilleure amie venait de mourir dans un accident, je venais de perdre Mily aussi, et cette histoire de fiançailles avec Andy... C'était trop pour moi... J'étais faible... J'suis désolée... » Mes mots s'ensuivaient dans un murmure. Je n'osais même pas élever la voix, pas plus que ça.

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