Je t'aime pour des centaines d'années, ne l'oublie pas || Pv. Luke

« Je t'aime pour des centaines d'années »

« Luke & Matty»

« Je sentis ses bras m’enrouler, et je prenais conscience qu’il me prenait dans ses bras. J’avais pris cette mauvaise habitude de fondre en larme à la moindre contrariété, ce qui me faisait passer pour quelqu’un de faible. Ce n’était pas le cas. Je n’avais jamais été faible, je m’étais battu pour arriver jusqu’ici. Mais chaque fois que ça concernait Luke, j’avais l’impression de perdre ma carapace qui me protégeait jusqu’alors. Quand il s’agissait de lui, je ne répondais plus de moi-même. C’était sans doute ce qui m’effrayait. Il essuya mes larmes, et me murmura quelque chose à l’oreille. Il parlait, mais je ne l’écoutais pas vraiment. Comment pouvait-il seulement penser que je méritais mieux que lui ? Que je serais mieux avec quelqu’un d’autre ? Était-ce ce qu’il voulait ? Je laissais mon regard perdu vers le canapé, sans avoir le courage de le remonter et d’affronter le sien. Je ne comprenais pas. S’il était sur le point de guérir, alors ça voulait aussi dire qu’on allait se remettre ensemble ? Enfin, c’était comme ça que j’avais envisagé la chose… alors pourquoi me disait-il maintenant que j’allais être mieux avec un autre ? 

« Je ne veux pas être avec quelqu’un d’autre… »

J’avais murmuré cette phrase, dans un souffle. Je n’étais même pas sûr qu’il l’ait entendu. J’avais l’impression qu’il était en train de rompre avec moi. Juste après m’avoir dit avoir éradiqué cette addiction destructrice, il m’incitait à trouver quelqu’un d’autre. Il ne voulait plus de moi. Je portais ma main à mon visage, et essuyait les dernières larmes qui venaient de couler. J’en retenais d’autre de tomber sur mes joues, et relevait mon regard sur Luke. Si c’était ce qu’il voulait, alors qu’est ce que j’allais devenir ? Ma vie se résumait à lui, c’était assez difficile comme ça de l’admettre. Je ne pensais qu’à lui depuis New-York, si bien que les à-côtés n’avaient plus d’importance. Et pourtant, durant tout ce temps, j’avais eut l’espoir que ça s’arrangerait. Si je n’avais même plus l’espoir alors… Qu’est ce qu’il me resterait ? »

(c) Spinelsuns

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Matty & Luke

Il ne voulait pas être avec quelqu'un d'autre, et ça me rassurait, peu être qu'au fond, il m'appartenait encore, et il était encore amoureux de moi, je l’espérai tellement, j'étais prêt à donner tout ce que j'avais pour pouvoir vivre à nouveau ce compte de fées avec lui. Je le vis essuyer ses larmes et tourner son regard vers moi, je n'arrivais pas à lui résister, même avec toute la volonté du monde. Je m'approchais de lui posant mon front contre le sien et lui murmura avec de déposer un faible baiser sur ses lèvres et de me retirer tout de suite après.

"Tu me manques malgré tout."

J'en avais pas forcément le droit, de l'embrasser. C'est vrai, je savais même pas où il en était lui au niveau des sentiments, de ce qu'il voulait. Peu être qu'il voulait tout arrêter, qu'après ces deux semaines sans moi, il s'était rendu compte que sa vie était beaucoup plus tranquille et sereine. Je me relevais et me mis dos à lui en me dirigeant vers la fenêtre. Beaucoup trop de larmes coulaient sur mon visage pour qu'il puisse les découvrir. Je détestais pleurer, surtout devant les gens, surtout devant Matty.

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« Je t'aime pour des centaines d'années »

« Luke & Matty»

« J’étais un battant. Après tout ce que j’avais vécu lors du départ de chez mes parents, j’estimais être un battant. Je m’étais battu pour être avec Luke, et j’étais prêt à le refaire au besoin. Même s’il semblait ne plus vouloir de moi, alors je me battrais jusqu’alors lui faire comprendre qu’on était fait l’un pour l’autre. Seulement, il aurait déjà fallu que je l’intègre moi-même. Je manquais de confiance en moi, et je n’étais même pas sûr de savoir si on était fait pour être ensemble. On appel ça le destin, quand tout s’oppose à une relation. Peut-être que Dieu avait essayé de m’envoyer des signes durant tout ce temps, et que je n’avais pas souhaité y faire attention. Quoiqu’il en soit, j’étais perdu. Et il ne m’aidait pas. Je ne savais pas ce qu’il voulait, et de ce fait, je n’étais pas sûr de savoir si ce que je voulais avait de l’importance dans tout ça. Il posait son front sur le mien, et je sentis mon cœur battre plus vite que la normale. Il y a deux semaines, ça m’aurait juste fait sourire. Maintenant, une voix dans ma tête m’incitait à profiter de ce moment comme si c’était le dernier. Je fermais les yeux, et de ce fait je ne vis pas arriver ses lèvres sur les miennes. Ma réaction fut plutôt calme même si mon cœur s’apprêtait à me lâcher sous l’excitation. Le baiser fut trop rapide, Luke se retirant dans la seconde. Il me murmura que je lui manquais, et je rouvrais les yeux pour le voir se lever et partir vers la fenêtre. Qu’est ce qu’il voulait à la fin ? La minute d’avant, je devrais être avec un autre, et la minute d’après il m’embrasse et je lui manque ? 

« Tu sais, concernant la drogue… »

Il devait savoir que je n’étais peut-être pas si égoïsme que ça. Sans doute était-ce ça qui m’aidait en m’endormir le soir, que de me dire que je ne pensais pas qu’à moi mais aussi à lui. Peut-être que ce n’était qu’une excuse, qu’un prétexte pour me consoler. Mais si ça l’était vraiment, alors pourquoi ressentirais-je le besoin de lui dire maintenant alors qu’il semble s’en sortir ? Je voulais simplement qu’il sache.

« C’est vrai que c’était beaucoup pour moi, que je voulais que tu arrêtes. Mais dans un sens, je pensais à toi aussi. Et tu vivras beaucoup mieux sans. Et… Je n’ai peut-être pas été un bon petit-ami, mais au moins je t’aurais peut-être sauvé la vie d’une quelconque façon… »

Je sentais les larmes me piquer les yeux. Je parlais comme si c’était définitivement terminé, et c’était une douleur atroce que de m’imaginer ne plus pouvoir le serrer contre moi et l’embrasser. Ou même imaginer ne plus voir son sourire, celui que j’ai vu à New-York avant notre rupture. C’était ma plus grande victoire, que d’avoir réussi à lui faire arrêter la drogue. Je considérais qu’il avait tout pour être heureux désormais, sans cette foutue drogue. Et même sans moi. Il avait la musique, la chance de devenir un artiste et peut-être de réaliser son rêve. »

(c) Spinelsuns

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Matty & Luke

Ce baiser avait provoqué en moi bien trop de choses pour que je laisse Matty partir sans essayer de le retenir. Je l'aimais, profondément, abusivement, passionnément, et je supportais vraiment pas la vie sans lui. Je restais dos à lui, les larmes continuaient à perler sur mes joues. J'attrapais une cigarette et l'allumais, profitant pour essuyer les goûtes qui sortaient de mes yeux. J'écoutais Matty attentivement, au fond, il n'avait peu être pas tort, il avait pensé à moi aussi. Et puis même, je pouvais comprendre que mon mode de vie ne lui convenait pas. J'avais juste du mal à encaissé son départ précipité. J'avais l'impression d'être complètement bi-polaire avec tout ce mélange de sentiments. La minute précédente, je l'embrassais, et à cet instant, je lui en voulais. J'ouvris la fenêtre pour pouvoir m'asseoir sur cette dernière et lui faire face. Mes yeux étaient rouges et humides, mais j'avais essuyé toutes les larmes qui en sortaient.

"Si tu le dis ..."

J'arrêtais de le regarder en fixais mes chaussures. J'avais besoin de savoir où il en était de son côté, ce qu'il pensait de nous, ce que je pouvais espérer et ne pas espérer. Après tout, c'était lui qui avait posé les conditions, c'était lui qui avait voulu la séparation, le break. De mon côté, je n'avais voulu qu'une chose, pouvoir être avec, et l'aimer sans souffrir de la situation. Je ne relevais pas la tête, parce que j'osais à peine le regarder pour lui poser cette question. Ma voix se remit à trembler, j'avais peur de la réponse, j'avais peur qu'il veuille arrêter tout définitivement.

"On en est où ... Toi et moi ?"

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« Je t'aime pour des centaines d'années »

« Luke & Matty»

« Il m’écoutait, et se retournait pour me regarder. Je le regardais donc, ayant l’impression que mon petit discours ne l’avait pas vraiment convaincu. Il baissait vite la tête, et j’avais l’impression de le dégouté ou quelque chose comme ça. Il n’arrivait plus à me regarder pendant un long moment. Je baissais la tête également, jouant avec mes doigts. Un silence embarrassant s’installa alors, et c’est encore Luke qui le rompu. Je relevais la tête à sa question. Finalement, où en étions-nous ? J’avais attendu qu’il arrête la drogue, et je m’étais promis de revenir avec lui lorsque ça serait le cas. Mais il m’avait parut si peu enthousiasme. Si en colère… que je redoutais maintenant de lui demander d’être mon petit-ami à nouveau. Ce n’était peut-être pas ce qu’il voulait. Comme il l’avait dit, il m’en voulait encore. Et puis, il m’avait dit que je serais plus heureux avec un autre. Peut-être qu’en réponse à cette question, il n’attendait rien d’autre que la confirmation que nous n’étions plus ensemble pour de bon. 

« Je… je sais pas. Enfin…  Tout dépend de ce que tu veux… »

Je baissais la tête. J’étais convaincu qu’il ne voulait plus de moi. Certes, je lui manquais mais peut-être pas assez pour vouloir à nouveau de moi après que je l’ai laissé tombé de façon si idiote à New-York. Si j’avais sut, je ne serais pas revenu. J’aurais attendu et ainsi gardé cet espoir qui me faisait vivre jusqu’alors. Mon monde était en train de s’écrouler, et je savais très bien que c’était de ma faute. C’était horrible, et pourtant je n’arrivais pas à crier de douleur. J’étais sous le choc sans doute. Je n’arrivais pas à réagir. Je n’arrivais pas à me lever et à aller l’embrasser à pleine bouche, pour ne pas lui laisser répondre à son tour. J’avais l’impression de ne plus en avoir le droit. »

(c) Spinelsuns

(Invité)

Matty & Luke

Je relevais la tête, et croisais son regard. Il ne savais pas. Ca me tuais, j'arrivais pas à supporter cette attente sans savoir si j'allai retrouver l'homme que j'aime ou si il fallait que je me fasse une raison parce qu'il ne voulait plus de moi. Il ne laissait rien transparaître alors que de mon coté, ça se voyait tellement que je voulais le retrouver mien. Je pris un ton presque froid, ce qui ne me ressemblait pas pour parler à Matty.

"C'est toi qui voulais qu'on se sépare Matthew ..."

Je quittais le rebord de la fenêtre pour me remettre sur mes deux jambes, puis avançais en direction de Matty. Je me plantais face à lui, le pris par la main pour qu'il se lève à son tour et que nous nous fassions face. Je me plongeais dans ses yeux qui paraissaient aussi humides que les miens. Je pris mon courage à deux mains, je savais qu'il fallait que je prenne les devants si je voulais retrouver l'homme dont j'étais éperdument amoureux, Matty ne semblait pas vouloir décider de lui même. J'eus un moment d'hésitation, et baissais la tête. Puis la relevais avec un faible sourire.

"Tout ce que je veux, c'est être avec toi."

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« Je t'aime pour des centaines d'années »

« Luke & Matty»

« Il me répondit d’un ton froid comme je n’avais pas l’habitude d’entendre de sa part. Je n’osais pas remonter mon visage, ayant trop peur de croiser son regard. Il avait raison, c’était moi qui avais voulu qu’on se sépare. J’avais eut mes raisons, même si elles me semblaient stupides à l’heure actuelle. J’avais beau être celui qui avait voulu la séparation, j’étais également celui qui avait prévu qu’on se remette ensemble à sa guérison. Mon plan semblait se détruire tel un château de carte. Je l’entendis alors s’approcher, il devait avoir quitté sa fenêtre. Il vint devant moi, et me prit la main pour m’inciter à me lever. Je m’exécutais, et plongeais alors mon regard dans le sien. Qu’est ce qu’il faisait ? Je le vis baisser la tête, pour la relever aussitôt en l’accompagnant d’un beau sourire. Je crus perdre pied dans il se mit à parler. Je ne pris pas la peine de répondre, me contentant d’attraper son visage avec mes mains et d’approcher mon visage du sien pour ainsi coller mes lèvres aux siennes. Je l’embrassais d’un baiser passionné, laissant retomber l’angoisse, la peur et la tristesse que j’avais put ressentir depuis mon entrée dans cette maison. Je fermais les yeux aussitôt et me laissais transporter à travers notre baiser. Il n’existait plus rien autour, et je ne voulais pas rouvrir mes yeux pour revenir à la réalité. Une fois nos lèvres séparés, je le prenais contre moi et laissais ma tête s’enfouir dans le creux de son cou. 

« Je t’aime Luke, je suis vraiment désolé pour tout ça… Si tu savais comme je t’aime… »

C’était destructeur. Un amour comme celui-ci était pire que tout, et j’avais réalisé que le quitter lui voulait aussi dire me quitter moi-même. Certes, je ne répondais plus de moi en sa présence. Mais sans lui, j’avais l’impression d’avoir perdu mon âme. De ne plus arriver à vivre de façon normale, de me contenter de survivre. C’était ainsi, il était tout. Il était ma personne. »

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Matty & Luke

J'eus à peine fini ma phrase que Matty m'attrapa le visage pour coller un baiser passionné sur mes lèvres. J'avais des milliards de papillons qui bougeaient dans mon ventre, c'était ce que j'attendais depuis plus de deux semaines, je ne supportais plus la vie sans lui, c'était trop douloureux, c'était un amour beaucoup trop passionné pour qu'il soit ignoré et laissé dans un coin. Un large sourire se dessinait sur mes lèvres. Je pris Mat par la taille tandis qu'il posait sa tête au creux de mon cou et me dit qu'il m'aimait. Je rougissais légèrement, ces je t'aime avaient un gout particulier, ils me soulageaient tellement, ils me rassuraient. Je déposais un baiser sur sa joue et lui glissais ces quelques mots à l'oreille.

"Je t'aime Mat ... Mais promet moi de ne plus jamais partir comme ça sans rien dire."

Je savais que cette fois, ça serait la dernière chance qu'on se donnerait. Si ça ne marchait pas, alors ce n'était plus utile de se faire encore autant souffrir, il faudrait qu'on apprenne à vivre l'un sans l'autre au lieu de se détruire comme ça. Je le gardais contre moi, je n'avais aucune envie de le lâcher, de peur qu'il parte, qu'il m'abandonne une nouvelle fois et que je ne le revois plus.

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« Je t'aime pour des centaines d'années »

« Luke & Matty»

« Il me tenait dans ses bras, et je ne le lâchais pas non plus. J’étais définitivement amoureux de lui, et je ne pouvais faire comme si mon amour pour lui n’était pas assez fort pour survivre à ça. Certes, il y avait eut ces deux semaines de pause. Ces deux semaines où l’on avait souffert. Ceci dis, deux semaines à côté d’une vie ensemble, ce n’était pas grand-chose. Il me dit m’aimer, me faisant promettre de ne plus jamais le laisser ainsi. Je souriais malgré le côté tragique de la situation. Ah ça non, je ne le laisserais plus. Il n’y avait plus aucunes raisons.

« Je te le promets. Cette fois, tu m’appartiens pour l’éternité. »

Je me trouvais puéril à dire ce genre de phrase digne d’une comédie romantico-fantastique avec des vampires. Mais je n’arrivais pas à contrôler cette partie de moi. Cette façon de parler digne d’une adolescente, ça venait tout seul. Je continuais de le serrer contre moi, et me retournais subitement avec lui dans les bras pour nous faire tomber dans le canapé. Il tombait sur le dos, allongé sur le clic-clac et je retombais sur lui en riant. Je pouvais sentir mon cœur battre à la chamade. J’étais heureux d’être avec lui. Heureux de retrouver notre relation. Certes, nous avions rompu durant quelques temps. Mais ça avait renforcé mes sentiments pour lui. Et il n’était plus question de drogue désormais. Il était sous traitement, et je pouvais enfin espérer le voir aller mieux. Pire que ça, je pouvais enfin espérer avoir un avenir à ses côtés sans avoir à m’inquiéter de ce problème entre nous. J’approchais de nouveau mon visage du sien, en restant allongé sur lui, et l’embrassais à nouveau. Finalement, je ne voulais plus quitter cette maison à présent. »

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Matty & Luke

Sa phrase percuta mon coeur d'une manière qu'aucune autre n'aurait pu le faire. Pour l'éternité. C'était ce que je voulais. Passer le restant de ma vie à ses côtés, vieillir ensemble, vivant cet amour passionnel qui nous transporté tous les deux. Je rougis d'autant plus, ce qui ne m'étais pas arrivé depuis longtemps. J'avais un sourire immense, après tout, nous n'étions pas si maudit au niveau de notre relation, ça commençait à s'éclaircir et s’apaiser.

"Je te veux à mes côtés jusqu'à la fin de mes jours."

Je le sentis me pousser légèrement sur le canapé, et tomber sur moi. Je continuais de sourire, nous avions enfin le droit d'être à nouveau heureux. J'osais passer mes mains sur son torse, dessous son pull, j'avais terriblement envie de le sentir nu contre moi, et de lui montrer mon amour de façon physique. J'avais envie de lui, et j’espérai que cette fois, il ne se refuserait pas à moi. Il m'avait déjà autorisé à le faire il y quelques jours à New-York, alors pourquoi pas recommencer l’expérience maintenant, maintenant que plus rien ne retenait notre futur ensemble, qu'il n'avait plus rien à me reprocher, que nous étions juste heureux, et envisagions un avenir commun. Je l'embrassais légèrement dans le cou, pour lui signifier encore plus cette envie.

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