Victoire et retrouvailles [pv Daniella] *Hot*

-J'ai hâte de voir ça en tout cas. Daniella, l'avocate que rien ne pourra arrêter. Je ne pu m’empêcher de rire suite à sa phrase avant de lui répondre tout en faisant un petit sourire au coin des lèvres. Exactement ça, je serais un vrai requin mais tout en gardant mon sex appeal évidement. Lançais-je amusé. Car il était vrai que pour quelques personnes, habillée en petit tailleur du genre secrétaire ou avocate, sa pouvait exciter. Il est certain que mon choix de métier n’était évidement pas basé là-dessus mais c’était un petit bonus. De plus, j’étais quelqu’un de très têtue quand je le voulais, de ce fait, il était certains que lorsque j’aurais une affaire en main, je ne la lâcherais en aucun cas, surtout si je crois en l’innocence de mon client. Défendre les autres étains une chose en quoi j’étais douée, mise à part la danse, alors qu’elle autre façon d’aider d’avantage qu’en devenant avocate ? Surtout qu’étend donné que je n’aurais pas besoin de vraiment gagner ma vie pour vivre, je compte bien aider surtout les plus démunis qui ,à cause du manque d’argent se retrouvent avec des ploucs comme avocat.

Enfin soit, il se mit à son tour à me raconter ce qu’il aimerait faire par après. Je trouvais son projet très intéressant et je savais qu’il réussirait. Faut dire que Nicholas était très loin d’être stupide, bien au contraire. Mais il allait quand même devoir être prudent car gérer quelque chose comme sa, demandait quand même pas mal de temps et faire de bons choix, au risque de voir tout ceci couler. Mais comme je venais de le dire, il était loin d’être stupide bien qu’il est impulsif, d’après mes souvenirs, pour ce genre de choses je sais qu’il réfléchira.

Par après, on termina nos bols de pâtes ainsi que nos verres de vins pour qu’enfin je finisse par prendre des nouvelles de Montréal. Après tout, j’y avais passé l’un de mes meilleures vacances là-bas. -Pas vraiment... C'est toujours la même ville, avec son festival jazz, son festival d'humour et son centre-ville avec des rues garnies de nid de poules. Same old same. Ah tant mieux alors, car je la trouvais très bien comme elle était. Sans doute que j’y retournerais un jour…Sûrement même. Lançais-je avec le sourire aux lèvres avant de me lever et de débarrasser la table avec son aide et posa tout près de l’évier, étend donné qu’il avait fortement insisté. Je remontais les manches de sa chemise, prête à faire la vaisselle. -Pas besoin de te tracasser avec la vaisselle, je peux m'en occuper demain. Il est vrai qu’il n’y a pas grand-chose et qu’il pouvait la faire rapidement demain, mais voilà, c’était moi qui avais préparé le repas et par conséquent, fait de la vaisselle. Il était donc tout à fait normal que je la fasse moi-même. Puis c’était quelque chose qui ne m’effrayait pas non plus. Non je vais la faire, sa va vite et comme sa c’est fait, tu serais tranquille demain. Puis pourquoi remettre à demain ce que l’on peut faire le jour-même ? Dis-je tout en souriant avant de faire couler de l’eau et passa près de lui pour prendre le produit tout en lui volant rapidement un baiser au passage et commencer à laver les verres puis le restes. Après, si il tenait à m’aider ou même à m’embêter, libre à lui.

-Évidemment. Il me dis ceci du tac au tac, sans même y réfléchir ce qui me fit sourire. Après tout, ceci montrait qu’il n’avait pas besoin de réfléchir pour trouver que j’étais sexy, même si le contraire m’aurait étonné. Mais bon, on ne peut pas non plus plaire à tout le monde, mais si je ne lui plaisais pas, on ne serait jamais sortie ensemble non plus, ou l’on n’aurait pas coucher ensemble le soir même de nos retrouvailles.

Par après, je pris des nouvelles de sa ville natale, malgré que cela puisse sembler bizarre, c’était comme ça. Car les villes classiques telle que Paris, Rome ou même Venise, ce sont des villes dont on entend régulièrement parler, tandis que Montréal, Sydney et même Marseille, eux, on n’en parlait pratiquement pas et quel dommage, car se sont tout de même des villes splendides. J’espérais un jour y retourner, car j’aimais bien leur festival, l’ambiance qu’il y avait là vas.

Fin bref, une fois le souper fini, on débarrassa la table pour qu’ensuite je puisse faire la vaisselle malgré que Nicholas m’ait dit qu’il pouvait très bien la faire demain. Bah, autant la faire se soir, au moins cela sera fait. -Bon, bon, très bien maître Cooper, mais on va le faire en équipe. Tu laves et j'essuie Je me mis à rire sur le fait qu’il m’avait surnommé Maitre Cooper. Maitre qui était un nom qu’on donnait parfois aux avocats. Je leva les yeux aux ciel amuser tout en prenant le savon liquide, qu’il venait de sortir afin d’en mettre dans l’eau. Bien chef, je sais qu’il ne faut pas discuter avec toi de tout façon. Lançais-je tout en riant doucement et me mis à laver.

En effet, Nicholas et moi avions un point commun, celui d’être têtu. C’est pourquoi je n’avais pas insisté lorsqu’il m’ait sortie qu’il voulait que l’on fasse équipe pour la vaisselle, sachant que c’était peine perdue de toute façon. On se mit donc à faire la vaisselle ensemble tout en continuant de discuter. S’en lasser ? Hum, de mon côté c’était impossible, j’aimais en savoir plus sur lui et sans doute que c’était réciproque, mais ça, je ne serais le dire. -Où est-ce que tu habites toi? T'as un appartement en ville? Oui, un petit appart’ pour les jours où je veux être tranquille et au cas où mon père ou mon frère débarquerais à l’improviste comme ils aiment tant le faire. Lançais-je amusé sans pour autant rentrer dans les détails du pourquoi ni du fait que je ne parlais pas de ma mère. Car faut dire, qu’avec tout ce que j’avais fait avant mon entrer à Harvard, avait pas mal inquiété mon père et mon frère. Mais sinon, j’ai une chambre chez les Cabots. C’est là où je suis habituellement, c’est plus pratique Continuais-je. Car bon, c’était plus près de l’établissement et c’était quand même plus vivant que de rester dans mon appartement toute seule, bien que par moment, être un peu seule me permettre de m’apaiser et de faire ce dont j’avais envie sans devoir rendre des comptes, chose que je détestais. Et toi ? Tu as une chambre chez les Mather ? Lui demandais-je tout en terminant la vaisselle.

Une fois la vaisselle finie, je passa un coup sur l’évier afin de le rendre propre lorsque je sentis le regard de Nick se poser sur moi. Je leva la tête vers lui avant qu’il ne s’avance vers moi, je posa mon dos contre le bord de l’évier alors qu’il se mit à déboutonner quelques boutons de mon haut. Evidement, j’avais bien compris ce qu’il avait en tête. Je me mordis la lèvre inférieure tout en le regardant. -Je suis certain que t'es comme moi, que tu attends ça depuis tout à l'heure. Peut-être bien… Lui répondis-je tout en me rapprochant de lui et colla mon corps contre le sien pour ensuite faire frôler nos lèvres. J’encra mon regard dans le sien tout en mordant doucement sa lèvre inférieure pour ensuite glisser mes doigts le long de son torse, jusqu’au bord de son boxer et me mis à jouer avec. Je vois que le repas t’as ouvert un tout autre appétit… Pourtant, les pâtes ce n’est pas aphrodisiaque… Lançais-je doucement avant de glisser ma main sur son membre, cacher par le boxer et me mis à le caresser tout en pressant d’avantage mon corps contre le sien avant de me reculer. Mais tu vas devoir attendre, car faut que j’aille prendre ma douche.. Dis-je tout en lui faisant un clin d’œil et commença à défaire le restes des boutons de la chemise pour ensuite l’ouvrir devant lui et l’enleva tout en me dirigeant vers la douche des invités. J’avais envie de le chauffer un peu avant, puis si jamais il le désirait, il pouvait toujours me rejoindre sous la douche.

-Content que tu t'en souviennes. Mais n’y prend pas trop goût au fait que je te laisse gagner, je peux me montrer très têtue également. Lui dis-je avec un petit sourire aux lèvres tout en faisant la vaisselle avec lui. Pendant que nous la faisions, nous continuons toujours à parler un peu de tout et de rien. Le sujet qui arrivait sur la table c’était mon lieu d’habitation. Je lui expliquais donc brièvement le fait que j’avais deux résidences ici, un appartement et une chambre chez les Cabots, étant membres de leur fraternité. Par la suite, je lui demanda si il avait également une chambre dans sa confrérie, chez les Mathers. -Ouais, que je partage avec un ami. J'y suis presque jamais, alors je suis pas un colocataire qui en mène large, mais si j'ai besoin d'un lit sur le campus, j'en ai un. Je l’écoutais répondre à ma question. En rentrant chez lui je m’étais bien rendu compte qu’il passait plus de temps ici que dans sa chambre sur le campus, chose qui était tout à fait mon contraire, vu que moi c’était dans la chambre des Cabots où je m’y trouvais le plus souvent. Car bon, c’est le lieu où j’emmenais mes conquêtes vu que mon appartement c’était défenses d’entrer sauf si cela devenait sérieux où que je connaissais très bien la personne. Mais bon, jusqu’à présent, depuis mon arriver à Harvard je n’avais pas eu de relation sérieuse. Plutôt des coups d’un soir où des mecs avec qui je couchais de temps à autres mais jamais d’engagement où autre du genre. La raison ? Sans nul doute mon passé foireux avec le dernier mec avec qui j’avais eu une vrai relation. C’est toujours pratique en cas d’ébriété ou pour une autre raison. Lançais-je tout en terminant la vaisselle.

Une fois la vaisselle finie, je vis Nicholas qui s’approcha de moi avec une idée derrière la tête que j’avais pu deviner suite à son regard assez révélateur, puis également dû à ses gestes qui étaient de déboutonner quelques boutons de la chemise que je portais. Evidement, je ne pu y résister longtemps et me mis à l’allumer come j’aime si bien le faire. Je glissai donc mes doigts le long de son torse jusqu’à arriver sur le bord de son boxer tout en me mordant la lèvre inférieur. -Non, mais toi, si. Me dit-il après lui avoir dit que les pâtes n’étaient pourtant pas aphrodisiaques. Je ne répondis pas, mais un sourire s’élargissait sur mes lèvres suite à sa réponse. Après tout, qui n’aimerait pas qu’on la compare à un aphrodisiaque ?

Il se mit ensuite à m’embrasser avec fougue, baiser que je lui rendis avec d’avantage plus d’intensité. Je suis sûr que si l’envie d’un peu jouer avec lui n’était pas présente, je le lui aurais déjà retiré son boxer pour qu’il puisse me prendre. Mais je n’avais pas envie que cela soit si facile, après tout, ne dit-on pas que faire durer le plaisir rends les choses encore plus meilleures ? Je suis certaine que c’est vrai. C’est pourquoi je me séparais de lui tout en lui signalant que je devais aller prendre ma douche. -Ok... si t'as besoin de quoique ce soit, tu me fais signe. D’accord pas de souci Lançais-je tout en me déshabillant devant lui doucement et avec charme avant d’aller à la salle de bain des invités. Bien sûr j’aurais pensé qu’il allait me rejoindre. Mais bon, je n’avais pas à faire à n’importe quel mec rencontrer dans un bar, c’était Nick et ceci ne m’étonnait guère vu qu’il était tout aussi joueur que moi et qu’il ne craquerait pas facilement.

Je commença donc à me doucher pendant quelques minutes sans apercevoir Nick me rejoindre. Mais bien sûr, je n’avais pas dit mon dernier mot. Une fois la douche finie, j’en sortie et m’enroula dans une serviette de bain au-dessus de la poitrine jusqu’à mi hauteur de mes fesses, dont on pouvait y apercevoir une petite partie. N’ayant plus de fringues à ma disposition, je m’assurai que l’eau ne coulait pas à terre afin de ne pas mouiller tout son appartement et sortit de sa salle de bain pour aller le rejoindre. Il était assis sur le canapé à regarder le sport. Je m’avançai vers lui et me mit exprès devant la télé. Le match est intéressant ? Lui demandais-je tout en allant m’installer à ses côtés avec sur moi, qu’un simple essuie. Je posai mon regard sur la télé sans le regarder, lui. Je tentai de jouer la carte de l’indifférence. Après tout, certains mecs sont d’avantage plus attirés par les filles qui les ignore. Après, si cela ne fonctionnerait pas, je finirais par me mettre sur lui, c’était aussi un moyen pour le faire succomber.