Victoire et retrouvailles [pv Daniella] *Hot*

Nicholas venait de terminer sa visite. Je trouvais que malgré la simplicité de la déco et tout, cet appartement avait tout de même un certain charme et les différentes parties étaient bien disposées. Je lui fis donc quelques compliments sur son intérieur avant qu’il ne parle à son tour. -Prochaine fois, on ira chez toi. Je suis certain que c'est pas mal aussi! Cette phrase me décrocha un sourire aux lèvres, au moins tout comme moi, il avait envie qu’on se revoir et de ne pas s’en arrêter à cette soirée. Après tout pourquoi on arrêterait ? On s’entendait bien, on rigole bien et on aime la compagnie de l’autre, puis au lit c’était parfait. Ceci aurait été donc du gâchie. Cela me convient, je n’ai rien à cacher.Lançais-je toujours avec le sourire aux lèvres. Ben oui, pourquoi le lui refuserais-je après tout ? Surtout à lui.

Je m’installai ensuite sur son lit et je fus rejoint par Nicholas qui en fit de même à côté de moi. Je lui parlai donc de sa salle de sport, en particulier son punching bag. -Ah oui? Si tu veux venir t'entraîner des fois, te gênes pas. Ah oui ? C’est gentil merci. Mais me faudra aussi un coach. Dis-je en faisant un petit sourire au coin des lèvres tout en me tournant face à lui. Ben oui, malgré que mon frère m’avait déjà appris quelques techniques pour me défendre et tout, juste avant mon entrer à Harvard, j’étais loin d’être une pro, même si je me débrouille bien quand il s’agit de me défendre fasse une fille complètement cinglé. Enfin bref, il m’avait plutôt appris afin de me défendre contre des mecs trop lourds étend donné qu’il n’était plus là pour veiller sur moi. Non mais pire qu’un papa poule le frangin. Mais bon, je tenais à lui ainsi.

Alors que j’étais bien mise sur son lit, je lui ai donc dit que les filles devaient beaucoup aimer ce retrouver desser vu qu’il était tout de même confortable. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’il allait me dire, bien que d’un côté c’était quand même normal. -Je ne sais pas, en fait, si ça se trouve, t'es la première fille à t'asseoir dessus. Non arrête, tu te fous de moi. Lançais-je alors qu’il était en réalité sérieux. Tu sais qu’en me disant ça je risque de prendre la grosse tête, sachant que je suis la première à pouvoir pénétrer dans ton antre Dis-je amusé, car bien sûr, il m’en fallu plus pour que j’attrape la grosse tête. En fait, je ne la prenais même jamais, j’étais du genre à être dur envers moi-même et donc jamais satisfaite de moi et du coup, prendre la grosse tête c’était évidement plus une expression que j’utilisais pour rigoler. Mais je devais admettre que savoir que j’étais la première à qui il fait entrer chez lui, c’était tout de même plaisant, car sa prouvait bien qu’il avait confiance en moi, et ça, c’était important je trouvais. C’est bien pour ça, que j’étais prête à ce que la prochaine fois il vienne chez moi et non dans ma chambre chez les Cabots, là où j’emmenais mes conquêtes. Mais mon petit chez moi, c’était seulement pour les personnes en qui j’avais confiance. Et vue notre passé à Nick et moi, c’était tout à fait logique qu’il fasse partie de ses personnes, sinon pourquoi je serais sortie avec lui si ce n’était pas le cas ?

Je finis par me lever tout en en lui proposer de lui faire à manger. Après tout, c’était la moindre des choses à faire, il m’invitait chez lui et tout, et comme ça c’était une manière pour moi de le féliciter pour son match. Bon il est vrai aussi que cuisiner ne me dérangeais pas, je trouvais ça divertissant et c’était même par moment marrant de refaire des recettes. Et en même temps, sur le ton de l’humour, je lui fit une remarque en lui disant que j’espérais que son frigo ne soit pas vide. -Tu sauras que je fais mon épicerie, comme tout le monde. Je ne pu m’empêcher de rire devant sa mine vexé. Bah quoi, on ne sait jamais. Un mec célibataire ne fait pas souvent la cuisine non plus, d’habitude. Mais je suis ravie de voir que tu n’es pas comme eux. Répondis-je avec un sourire amusé. Au moins sa montrait qu’il n’était pas toujours intéresser par la facilité. Car il est vrai que c’est plus tranquille de se commander à manger que de le faire soi-même, sa étant célibataire et vivant seul, ça m’arrivait également.

Il se releva à son tour et s’approcha de moi pour ensuite poser ses mains sur mes cuisses, un sourire en coin s’étira sur mes lèvres alors que je me collai contre son torse. -J'ai une idée. Je vais prendre une douche et toi pendant ce temps, tu peux nous préparer à manger. Sa me convient. Répondis-je simplement tout en souriant avant qu’il ne dépose un baiser au coin de mes lèvres. Je le regardai quelques secondes dans les yeux avant de me séparer de lui et sortit de sa chambre afin d’aller dans la cuisine. J’ouvris les armoires ainsi que le frigo avant de voir ce qu’il avait. Hum…j’avais du choix en effet, donc autant lui faire ma spécialité, des spaghettis sauce bolognaise. Je sais, il n’y a rien de compliquer dans cette recette, tout le monde peux en faire. Mais la sauce je ne la sortais pas d’un bocal, je la faisais moi-même, comme les vraies italiennes, car je l’étais quand même à 50% du côté de ma mère. Enfin bref, il avait tout les ingrédients et commença à préparer la sauce, la partie étant la plus délicate. J’en profitai également pour mettre de l’eau à bouillir, voyant que ma sauce touchait pratiquement à sa fin. Spaghettis bolo sa te convient ?Lançais-je un peu plus fort, car à mon avis il devait être sortie de la douche. Au pire, je parlais à moi-même et personne ne l’aurait sû.

-Si j'ai du temps, on verra.... Bien sûr, je ne veux pas te déranger non plus. Je disais sa comme sa, car je sais déjà bien me défendre.Lui dis-je en le regardant avec un sourire. Ben oui, je ne voulais pas non plus le déranger ce n’était pas le but non plus. Car après tout il est vrai qu’entre les fêtes, les cours et les activités sur le côté prenaient de la place. Par la suite, il me vit comprendre que j’étais la première fille à venir chez lui, c’est vrai que cela m’avait tout de même surprise, car cela voulais dire que depuis qu’il est Harvard j’étais la première à qui il faisait suffisamment confiance pour me faire venir dans son appartement. Il y a quand même quoi à se sentir fière je trouve. -Non, non, c'est vrai je te dis. Dans ce cas tu m’en vois flatté Dis-je tout en gardant le sourire au lèvre. Après tout, c’est vrai que c’était flatteur quand même de savoir que j’était la première à qui il faisait visiter ses lieux.

Par après, je m’amusai à lui faire comprendre que je risquais d’avoir la grosse tête ce qui le fit rouler des yeux, me laissant ainsi échapper un petit rire entre mes lèvres. -Attention Dani', tu pourrais bien ne pas être la dernière. Je posa ma main sur mon cœur tout en faisant une mine faussement choqué et blessée. Han ! Tu te rends compte du mal que tu me fais en me disant ça ? Moi pas la dernière ?! Tu compte donc en ramener d’autre après la soirée qu’on va passer. Comme oses-tu me faire ça ?!,Dis-je avant de rire car bien sûr je me doutais bien que je ne serais pas la dernière, après tout, il y avait pas mal de nana à Harvard et des canons qui plus est. Puis, si jamais il tombe amoureux, il ne va pas laisser la fille dehors non plus ou aller toujours squatter chez elle. Mais une chose était sûr, c’était qu’au moins j’étais la première à être venue, et ça, sa en jette déjà.

Ensuite, je me leva de son lit tout en parlant de lui cuisiner quelque chose tout en espérant qu’il ait fait les courses pour le taquiner. De ce fait, je commençai à me faire une petite séance de philosophie sur les célibataires. Bien évidement, c’était sans compter sur la répartie de Nick. -Ou bien tu te fais des idées sur les célibataires. Je te rappel que j’en suis une moi-même, donc je sais ce que je dis, mais bien tenter. Dis-je amuser tout en lui lançant un clin d’œil avant de partir dans la cuisine afin de me mettre à préparer à manger. Ben quoi ? Faut bien des forces si on veut recommencer ce que l’on avait fait la tantôt, quoi que personnellement j’en avais pas besoin et à mon avis Nicholas non plus.

J’étais donc entrain de faire bouillir l’eau tout en tournant ma cuillère dans la sauce. Faut dire que ma grand-mère m’avait bien appris à faire cette sauce, car lorsque je la ratais, elle ne se gênait pas pour le faire remarquer même si on avait des invités. Oui, c’était la famille de ma mère, je comprends mieux pourquoi je ne la supporte pas elle non plus. Enfin soit, heureusement que j’avais le côté paternel qui rattrapais le coup ainsi que le frangin. J’étais donc dans mes pensées tout en préparant le repas avant de prévenir Nick de ce qu’on allait manger. Deux-trois minutes après, je sentis des mains se poser sur ma taille ce qui me fit décrocher un sourire. Puis je vis sa tête s’approcher et se mettre à côté de la mienne. -C'est parfait. Tant mieux, car de toute façon c’est trop tard pour changer. Lui dis-je avant de rire doucement et le laissa se retirer tout en continuant ce que je faisais. Bon c’est vrai que du coup c’était stupide de lui avoir demandé si sa lui convenait, mais quand même, je ne pouvais pas m’empêcher, je tenais à savoir si sa lui plaisait ou pas. J’étais comme ça, j’aimais prendre soin des personnes que j’appréciais afin qu’ils soient le plus heureux possible. Par contre, ceux que je n’appréciais pas, je m’amusais plutôt à les terrifier et à pourrir leur vie. Moi sadique ? Non…

-C'est nouveau ça, que tu cuisines, non? Oui et non. Lorsqu’on c’est connu, je cuisinais déjà un peu mais pas autant que maintenant. Je cuisinais surtout chez ma grand-mère vu que chez moi on avait une cuisinière et au Canada quand je mangeais avec toi c’était plutôt restaurant ou plat à emporté et avec mon père c’était à l’hôtel qu’on mangeait. Mais depuis que je suis à Harvard, j’ai pris l’habitude de cuisiner et à apprendre à réaliser certains plats.Lui dis-je tout en me retournant vers lui alors qu’il sortis deux bols de pâtes. C’était donc normal qu’il ne le savait pas, vu que je n’avais jamais du cuisiner là-bas. Comme quoi, on peut toujours en apprendre plus sur les uns et les autres. Je plongeai enfin les pâtes dans l’eau bouillante. Viens goûter la sauce pour me dire ce que tu en penses. Dis-je à Nick tout en préparant une cuillère que je remplis avec la sauce et souffla doucement dessus pour pas qu’il se brûle. Sa serait bête sinon. Je la lui fis goûter et attendis sa réaction. En attendant, les pâtes étaient enfin cuites, je stoppai le feu et prépara les deux bols que je remplis de pâtes et rajouta la sauce par-dessus. Voilà c’est enfin prêt ! Dis-je en souriant.

Alors que je lui disais que je savais tout de façon me battre, Nick me fit rire avec ses mots. -Je serais curieux de voir ça... Ben tient, pourquoi sa m’étonne pas ça ? Le plus souvent, sa arrive en boite ou dans les raves-party. Comme ça tu sais, pour si jamais tu veux assister au massacre. Répondis-je amusé. Les mecs…Ils ne peuvent pas s’empêcher d’aimer regarder deux filles qui se battent au lieu de les séparer. Je ne les comprendrais donc jamais. On dit que les filles sont compliquées, mais eux c’est pire.

Par la suite, on parla du fait que j’étais la première à pouvoir venir chez lui, mais pas la dernière bien sûr. De ce fait, je commençai à jouer la comédie comme moi je me sentais blesser et tout le tralala qui allait avec. Mais fallait pas croire que j’étais comme ça dans la vie de tout les jours à mentir sur des choses ou quoi, bien au contraire, j’étais même trop franche que parfois cela me retombais dessus, du coup je tentais de faire un effort, mais c’était assez compliquer faut dire.
-Je suis profondément navré... Face à ses mots je leva les yeux aux ciel tout en riant doucement. Après tout on ne faisait pas que coucher ensemble, ils nous arrivaient de nous taquiner comme ça juste pour embêter l’autre.

On continua de discuté un peu pour ensuite en venir au fait de ce qu’on allait faire. Nick proposa donc que je fasse à manger pendant qu’il allait prendre sa douche. Idée que j’acceptais bien sûr. Je partis ensuite en cuisine afin de préparer le repas. Quelques dizaines de minutes plus tard, Nick me rejoignais en cuisine et lui demanda si le repas lui convenait. Question tout à fait inutile vu que j’étais entrain de le préparer, donc trop tard pour changer. Mais voilà, j’étais comme ça, assez impulsif dans certains moments et puis bon, si jamais il n’en voulait pas, je pouvais toujours tenter d’y remédier. En plus ça le faisait rire, alors pourquoi devrais-je changer.

Alors que le repas était pratiquement prêt, Nicholas était curieux de savoir quand je m’étais mis à la cuisine. Je lui expliquai donc en gros comment j’ai été un peu plongé dedans mais que je n’ai jamais vraiment beaucoup cuisiné vu que mes parents avaient du personnel pour ça, chose que je trouvais quand même stupide. Ce n’était quand même pas la mer à boire que de se faire cuire un steak ou autre. -Ah bah c'est cool. Pour toute réponse, je lui souris. Par après, je lui proposai de venir goûter la sauce, je trouvais qu’il manquait quelque chose, mais je séchais et avoir un second palet qui n’a pas dû gouter la sauce une dizaine de fois, était très utile dans ce genre de cas. -Ajoutes un peu de sel et ce sera parfait. Ah oui ! Merci, c’est sa qui me manquait. Lançais-je en rajoutant une pincé de sel. Le sel…Comment n’y ai-je pas pensé ? Bien sûr j’en avais déjà mis, mais étend donné que parfois certains aliments rejetais du sel, je préférais ne pas en abuser. Car après tout, on peut rajouter du sel mais pas en enlever. Après le rajout du sel, je préviens Nick que c’était prêt. Il arriva avec les bols et les pris afin d’y verser les pâtes et la sauce. Il les prit ensuite avec lui pour les déposer sur la table à manger. J’en profitai pour un peu ranger ce que j’avais pris et passa rapidement un petit coup sur la table de travail. Ben oui, j’étais pas mal élevée non plus. Et après manger, je ferais la vaisselle. Comme ça, sa sera comme j’ai trouvé la cuisine en arrivant.

-Les couverts sont dans le tiroir, juste là. Pour plusieurs personnes, la façon dont il m’avait parlé aurait pu choquer, mais sûrement pas moi. Bien sûr, il fallait le connaitre pour comprendre que ce n’était pas un manque de respect mais juste sa façon de parler. Puis avec le temps, on se connaissait assez pour ne plus être choqué par des broutilles dans ce genre. Je pris donc les couverts et viens le rejoindre à table et donna les siens. Voilà Lui dis-je tout en m’installant et commençait à manger. Ca va, c’est mangeable, je ne risque pas de l’empoisonner.

Alors qu’on mangeait, je le vis se lever. -On se prend du vin avec ça? J'ai une bouteille de rouge qui doit traîner quelque part. Très bonne idée. Répondis-je amusé tout en le regardant se diriger vers son bar afin d’y en sortir une bouteille de vin suivit de son tire-bouchon. On voit, qu’il devait y être habité vu la dextérité dans lequel il retirait ce bouchon. Par la suite, il prit deux verres qu’il remplie pour ensuite me tendre une coupe. Je la pris tout en le remerciant. -Voilà, c'est beaucoup mieux! C’est vrai que c’est même encore meilleure ainsi. Lui dis-je tout en affichant un sourire amusé avant de m’enfiler une fourchette de pâtes pour ensuite lever mon verre. Bon, on va pas trinquer encore une fois aux retrouvailles, sa risque d’êtres réptitif. Donc, je propose qu’on trinquer à notre complicité qui est toujours présente malgré ses 4 années. Dis-je amuser .

Par après je me remis à manger avant de lever mon regard vers lui. Alors comment tu trouves le plat ? Demandais-je avant de continuer. Si jamais tu dis que ce n’est pas bon, je te renverse mon bol sur ta tête Dis-je sur un ton sérieux tout en le regardant avant de me mettre à rire. J’y peux rien, je ne sais pas garder mon sérieux quand ce que je dis, je ne le pense pas..

Nous étions à table afin de manger les pâtes et de se remplir un peu l’estomac. Alors que nous étions entrain de manger, Nick se releva afin d’aller nous chercher de quoi boire. Il fini par revenir avec une bouteille de vin rouge en main. Il remplie deux coupes et m’en tendis un, que je pris en main. Avant de commencer à boire, je lui proposa de trinquer à notre complicité afin de ne pas se répéter en trinquant à la même chose qu’à la taverne. -Bonne idée! À notre complicité, dans la vie, comme au lit. Je ne pus m’empêcher de rire face à ses propos, mais il n’avait pas tord, c’était vrai. Nous étions tout aussi complice dans la vie en générale que lorsque nous couchions ensemble. Exactement ! Lançais-je tout en levant mon verre avant de boire une gorgée et le reposa.

Après avoir trinquer, je continua à manger. Heureusement, je l’avais réussi. Bien sûr, il m’arrivait rarement de rater cette recette, mais bon, nous ne somme à l’abri de rien. Après tout, il suffit d’un petit truc pour tout faire foirer. Un peu trop d’oignons, ou trop de viande ou encore trop d’assaisonnements. Mais se soir je l’avais bien réussi comme les précédentes fois. C’est pourquoi, je voulais connaitre son avis. Ben oui, car même si j’aime bien, cela ne voulait pas forcément dire que Nicholas aimait. -C'est super bon! Le mien est pas aussi bien réussi, je dois être honnête. Si je n’avais âs vu son sourire en coin, je penses que j’aurais cru qu’il m’avait pris au sérieux de ma petite menace de rien du tout. Car sur le ton qu’il me l’avait dit, j’aurais pu croire qu’il n’avait pas compris ma petite blague vraiment stupide mais bon. Il l’avait bien compris mais son ton voulait me montrer qu’il était sérieux dans ces propos. Merci et tant mieux si sa te plait. Lançais-je avec un grand sourire aux lèvres tout en continuant à déguster le repas tout en buvant mon verre de vin par moment.

Le repas se passait tranquillement jusqu’à ce que mise à part les bruits des couverts et autres, j’entendis la voix de Nick porter dans la pièce. -Sinon, t'étudies en quoi déjà? Je pris ma serviette et m’essuya la bouche avant de lui répondre, ben oui, la sauce tomate sa peut salir et je ne voulais pas lui parler avec une bouche sale quand même. J’étudie en droit. J’aimerais me lancer dans une carrière d’avocate dans le milieu judiciaire, avec la crim’ et tout. Lui répondis-je en souriant. Il est vrai que se choix de carrière n’était pas ce que j’avais vraiment envie de faire, bien que défendre une cause juste m’avait toujours attirée. Mais mon but était surtout d’intégrer un groupe de danseurs et devenir un vrai professionnel dans le genre hip-hop, streetdance. Enfin dans ce genre là. Mais à cause de cet accident, j’ai pu dire adieu à tout ça, et me contenter de danser par moment sans trop forcé. Et toi alors ? Lui dis-je en lui retournant la question tout en buvant une autre gorgée de mon verre de vin et me remis à manger.

Nous étions entrain de manger tout en discutant d’un peut de tout et de rien. Après tout on s’entendait mieux ici qu’à la taverne. On avait trinqué à notre complicité car rare était quand même les couples qui se séparaient et qui après s’être retrouvés ont gardé na complicité qu’ils avaient. Peut-être étais-ce dû au fait que l’on s’était quitter en bon terme ? Sans doute. Enfin soit, l’important c’était que chez nous, on avait toujours gardé cette complicité. Par la suite, on discuta rapidement du plat pour ensuite s’aventurer sur nos études. Chose qui prenait la plus grande partie de notre temps, mais on trouvait toujours des moments pour se vider la tête afin de profiter quand même de notre jeunesse et de la vie. Car après tout, on ne savait pas ce que l’avenir nous réservait. Et je l’avais appris à mes dépends suite à aux bombes qui ont explosé dans tout le campus et qui m’avait pris ma meilleure amie. On se devait donc de croquer la vie à pleine dent.

Nicholas me demanda donc quelle étude je faisais ici. Je lui expliqua donc que j’étais en droit, mon second choix de carrière. -Tu voudrais être plus procureur d'État ou à la défense plutôt? Franchement je ne sais pas, les deux sont intéressant, bien qu’à mon avis si je défends quelqu’un sachant qu’il est coupable, je ne m’investirais pas suffisant. Donc je ne sais pas encore trop, j’irais là où le vent me poussera. Lui répondis-je amusé tout en me mettant à nouveau à manger, après lui avoir retourner la question. Car il est vrai que Nick n’avait pas vraiment besoin de travailler vu qu’il était millionnaire. Mais c’était une chose que je respectais chez lui, bien qu’il ait de l’argent, il ne comptait pas rester sans rien faire et claquer son blé là où sa le chante. Il était réfléchit, et de nos jours, c’était assez rare.

Je lui demanda alors ce qu’il avait également choisi comme études. -Administration. J'ai choisi mon programme d'études au hasard... Non sérieusement, j'étudie un peu la gestion de fonds, de personnel. Je suis millionnaire, mais j'ai toujours aucune idée quoi faire de mon argent, sur le plan utile je parle. Ya des conseillers de banque qui eux, voudrait bien me dire quoi en faire, mais je leur fais pas trop confiance à ceux-là... Alors quand je vais finir mes études, je vais essayer de me partir une petite firme d'investissement, financer des projets, des entreprises, investir. L'immobilier, c'est un marché qui m'intéresse beaucoup. Je l’écouta avec attention ce qu’il me disait, il est vrai que son idée était pas mauvaise du tout, tout au contraire. C’était un très bon projet qu’il avait en tête et j’espérais sincèrement pour lui, qu’il allait se concrétiser. Car il est vrai que faire confiance à des conseillers et tout ce qui s’y rapporte n’était pas toujours de bons conseilles voir même honnêtes. C’est une très bonne idée, j’espère que sa se fera et l’immobilier c’est un marché qui a de l’avenir et qui fonctionnera toujours. Lançais-je le sourire aux lèvres avant de terminer mon bol. J’étais remplie, je n’en pouvais plus. Et sinon, des choses on changer à Montréal depuis mon départ ? Lui demandais-je curieusement, car j’avais trouver cette ville vraiment sublime. Cela me changeait des villes telles que Paris, Rome, Barcelone, etc. Elle avait son charme après tout, puis depuis petite j’avais toujours aimé le Canada. Enfin soit, une fois qu’il avait fini de manger, je me leva de table et débarrassa les bols ainsi que les couverts, ne laissant plus que les verres. Je déposai tout près de l’évier afin de faire la vaisselle par après. Ben oui, j’avais salie des ustensiles à lui, c’était la moindres des choses que de les laver et de les ranger par après.