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Poppy&Aaron > Forever and ever ♥

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Poppy ne cachait pas qu'elle avait apprécié vivre dans un milieu aussi aisé que le sien, elle avait l'impression que c'était le genre de vie qui lui convenait le mieux et elle se voyait difficilement ne plus avoir d'argent d'un coup. Mais cela ne voulait pas dire qu'elle se sentait plus importante que les autres, ou qu'elle allait se vanter de sa situation. Enfin, tout dépendait devant qui, mais jamais Aaron. Elle voyait à quel point il travaillait fort pour obtenir tout ce qu'il a, à quel point il avait une détermination forte, et ça sa impressionnait la jeune Eliot qui n'était pas sure de trouver une telle force en elle. Pour elle, tout venait facilement, seulement ça ne voulait pas dire que c'était mieux. Ensemble, ils avaient trouvés un juste milieu entre leurs deux mondes qui leur convenaient parfaite, ou du moins à miss Dannfelt, leur vie de couple était parfaite,sans grande dispute majeure, elle n'aurait pas pu espérer un meilleur petit-ami. Il lui fit part de ses appréhensions concernant sa famille, il avait peur de ne pas être à la hauteur, seulement Poppy s'empressa de le rassurer sur le sujet. Tant que t'es pas un drogué, tatoué jusqu'aux os, alors tu n'as pas à t'inquiéter ils vont t'adorer. Il n'y a aucune chance que ce ne soit pas le cas. Elle lui sourit, toujours en soutenant son regard et en lui tenant doucement la main, elle savait qu'il n'avait pas de doutes à avoir. Ses parents étaient vraiment gentils, et Aaron était si parfait qu'il n'y avait aucune raison que sa se passe mal. Elle le savait bien. Puis, leur limousine refit surface, voulant donc qu'ils retournent à l'extérieur s'ils désiraient arriver chez elle un jour. Par contre elle se doutait que la présentation irait au lendemain, vu l'heure ils devaient sans doute dormir à point fermé.
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Quand bien même il n'était plus un adolescent, la rencontre des parents demeurait une étape dans une relation. Aaron n'était même pas sûr d'avoir un jour rencontré les parents d'une de ses copines par le passé. Jamais alors qu'il était engagé dans une relation vraiment sérieuse du moins. Aucune de ses relations passées n'avait eu l'importance de celle qu'il entretenait avec Poppy. Avec elle, c'était bel et bien du sérieux. Ils franchissaient chaque jour de nouvelles étapes et elle lui apparaissait désormais comme essentielle dans sa vie. Cela était peu être naïf, ils étaient jeunes, peu être trop pour envisager d'hors et déjà un futur ensemble, mais Aaron n'en avait que faire de ce que les gens pouvaient bien penser. Seul le ressentit de Poppy et le sien importaient dans leur histoire. Elle le rassura en plaisantant et Aaron se détendit, lui adressant un sourire. D'accord répondit-il, ne trouvant rien à ajouter. Il lui faisait confiance. Ils sortirent du restaurant et découvrir la limousine, les attendant. Aaron entra dans le véhicule à la suite de Poppy et s'installa contre elle sur la banquette. Il enroula ses bras autour d'elle et pencha la tête pour venir déposer un baiser sur la nuque de la jeune femme. Il se redressa légèrement pour parler. Merci pour tout ça, pour ce voyage. Je suis tellement heureux d'être ici avec toi lui murmura-t'il en restant contre elle, effleurant son oreille avec ses lèvres.
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Poppy n'avait jamais vraiment cru au véritable amour, celui qu'on voit dans les films qui nait d'un simple croisement du regard. Pourquoi ? Parce qu'elle ne l'avait encore jamais vécu. Elle avait eut de nombreux petits-amis, mais aucuns avec qui elle se serait vu faire sa vie, aucun qu'elle n'aimait assez pour le qualifier de l'homme de sa vie. Ce n'était que des garçons de passage. Puis arriva Aaron. Celui de qui elle avait toujours été proche, celui qui connaissait tout d'elle jusqu'à ses plus sombres secrets. Il avait complètement réussit à changer sa vision de l'amour. Peut-être étaient-ils jeunes pour prétendre être capable de passer leur vie ensemble, seulement elle ne le voyait pas de cette façon, ils avaient vécus tellement de choses ensemble qu'ils étaient tout à fait en mesure de qualifier la grandeur de leurs sentiments. Elle lui sourit lorsqu'il la remercia, tout en restant blottit contre lui sur la banquette de la limousine. Et moi donc. Je t'aime Aaron Kingstone Elle approcha doucement son visage du sien afin de l'embrasser à nouveau, avec une infime tendresse, le plus amoureusement du monde. Elle aimait le sentir près d'elle, être dans ses bras, l'embrasser. Jamais elle n'avait été aussi amoureuse d'un homme qu'elle l'était de son ancien meilleur ami et franchement elle ne regrettait absolument rien à leur couple. Il était simplement l'homme idéal.
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Leur séparation de quelques jours n'avait guère été simple à gérer pour Aaron. Bien sûr, il était capable de passer quelques heures sans elles, elle n'était pas toujours auprès de lui, ils avaient chacun leur vie à gérer. Mais ces derniers temps, leur relation ne lui avait jamais semblé être aussi fragile et cette brusque vulnérabilité l'avait inquiété. Les récents événements avaient éloignée Poppy de lui, il s'était sentit brusquement écarté, ignorant tout du ressentit de sa petite amie et vivre dans une telle ignorance lui était insupportable. Il savait qu'elle était bouleversée et elle n'était pas prête à en lui parler. Il n'avait jamais voulu la forcer, mais sa frustration s'en était légèrement amplifiée. Partir sans elle pour quelques jours ne faisait que le rendre plus nerveux. Mais il était rentré, ils étaient ensemble et elle ne lui semblait plus aussi lointaine, au contraire. Il se blottit contre elle, heureux de pouvoir le faire. Ils échangèrent un baiser. Quand le baiser prit fin, Aaron se recula légèrement, la couvant du regard. Je t'aime aussi. A nouveau, il la serra avec douceur contre lui. On a parlé de mon voyage mais et toi, alors ? Comment c'était ses derniers jours ? Tu dois être très heureuse d'être chez toi. Cela devait lui manquer. Aaron ne connaissait pas cela, il n'avait jamais vécu ailleurs au quotidien que dans sa ville natale.
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Poppy avait eut du temps pour remettre ses priorités en question, et elle avait réalisé qu'il n'y avait pas de raison de s'isoler comme elle le faisait alors qu'elle avait la chance d'avoir Aaron à ses côtés et qu'il ne cherchait qu'à l'aider. Elle se sentait enfin prête à s'ouvrir complètement, réalisant qu'elle le faisait tout autant souffrir qu'elle souffrait en s'éloignant comme ça. Lorsqu'il lui demanda donc comment avait été ses derniers jours, elle n'avait aucune raison de lui mentir et pencha pour la vérité. Pour être honnête avec toi, ça me rend très heureuse d'être là, ce week-end avec Sateen était franchement génial, il n'y a pas d'endroits où je me sens plus chez moi. Oui, la jeune femme ne se sentait pas plus chez elle ailleurs qu'elle l'était ici en France, c'était sa ville, là où elle était devenue celle qu'elle était, et elle espérait retrouver tout ça un jour. Ça lui avait permis de faire le vide de ses problèmes en se concentrant uniquement sur ce qui comptait, et c'est quelque chose qu'elle n'arriverait jamais à faire une fois de retour à Cambridge. Elle se sentait si bien à ce moment précis, dans les bras de celui qu'elle aimait, dans une ville merveilleuse, si elle aurait pu mourir tout de suite ça ne l'aurait aucunement déranger. Malheureusement la voiture s'arrêta, les laissant devant une énorme maison blanche comprenant 3 étages avec une superficie aussi grosse que 3 maisons à Boston. Bienvenue chez moi ! Elle lui sourit en entrant à l'intérieur de cette grande maison qui appartenait à ses parents. Pour plusieurs, c'était la maison de leurs rêves, mais Poppy avait l'habitude d'autant d'espace et de luxe. Comme elle le pensait, ses parents étaient déjà couché à cette heure, alors elle donna congé à la domestique avant de monter à l'étage avec Aaron. Tous ses bagages étaient là, c'est ici qu'ils allaient dormir tous les soirs pour la prochaine semaine. Avant tout, elle sentait qu'elle devait lui parler maintenant qu'elle était en paix avec elle-même. Elle s'installa donc sur le bord de son lit et baissa les yeux au sol avant de dire ; Est-ce que je peux te parler ?
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Il acquiesça. Il n'y avait rien de comparable au sentiment d'être chez soit, là ou on devait être, là ou était notre place. Il était heureux qu'elle soit chez elle, en ce moment. Il était heureux d'y être avec elle. Quand la voiture s'arrêta, Aaron fut saisit d'un bref regret. Il n'aurait pas été gêné si la route jusqu'à chez Poppy s'était révélée plus longue. Même ils étaient arrivés et ils n'allaient pas rester ainsi, l'un contre l'autre dans le véhicule. Ils devaient en sortir et c'est ce qu'ils firent. Alors qu'il se retrouvait à nouveau à l'extérieur, Aaron observa l'imposante maison qui se dessina devant lui. En aucun point elle n'était comparable à celle ou Aaron avait grandit ou à celle de ses grands parents. Il ne parvenait pas à s'imaginer, grandissant dans une maison aussi immense. Il était habitué à croiser un membre de sa famille dès qu'il faisait un pas hors de sa chambre, cela avait toujours été ainsi de ce qu'il s'en souvenait. Essayant de masquer son ressentit, il ne voulait pas avoir l'air d'un gamin émerveillé devant une demeure aussi grande, il suivit Poppy à l'intérieur. Il resta en retrait derrière elle tandis qu'elle se retrouvait dans son élément. Lui se sentait penaud, décalé. Rien ici ne lui rappelait l'atmosphère dans laquelle il avait grandit. Mais il se trouvait en compagnie. Il était chez lui avec elle, c'était là l'important. Aaron suivit Poppy dans l'escalier puis dans la chambre de cette dernière. Il remarqua rapidement ses bagages, déposés à quelques pas de lui. Il recentra son attention sur Poppy qui venait de s'asseoir sur son lit. Intrigué par sa question, il alla s'asseoir auprès d'elle et posa une main sur un de ses genoux. Evidemment, de quoi veux-tu parler ?
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Poppy pouvait entièrement comprendre le ressentiment qu'Aaron vivait face à l'immensité de cette maison, le changement total de ce à quoi on est habitués, de nos repères. Elle avait vécu tout ça dans le sens inverse il y a 4 ans. Elle n'avait jamais été considéré comme une petite fille de riche avant, ni superficielle, et pourtant lorsqu'elle avait passé de sa maison à Paris à sa chambre sur le campus c'est totalement ce qu'elle avait ressenti. Elle avait eut l'impression d'être une pleignarde. Mais bon, au fil du temps elle s'y était habituée, on pouvait s'habituer à a peu près n'importe quoi lorsqu'on a suffisamment de temps pour le faire. Cependant il est vrai qu'ici, c'était son univers, sa petite vie dans laquelle on l'avait habituée et c'était réconfortant de le retrouver. Elle s'installa donc sur le bord de son lit, avouant à son petit-ami qu'elle avait besoin de lui parler à ce moment précis. Ça va peut-être te paraître étrange, mais je tenais simplement à te rappeler à quel point je tiens à toi. En ce moment je me sens tellement triste, en colère et perdue, tout ce qui arrive me rentre dedans comme un coup de poignard et bien que je commence à aller mieux je sens quand même que je fais n'importe quoi. Alors quoi qu'il puisse arriver, je te remercie encore de tout ce que tu fais, t'es l'homme de ma vie Aaron et ça ne changera jamais. Elle posa sa main par dessus celle d'Aaron et le regarda dans les yeux en lui offrant un léger sourire pas très sure d'elle, elle savait qu'elle ne lui avait pas assez répéter l'amour qu'elle lui portait ces derniers temps et elle voulait se reprendre pendant qu'elle en avait l'occasion, car miss Dannfelt sentait que ça ne durerait pas.
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Il était heureux qu'elle lui parle enfin et ce sans qu'il ai à le lui demander. Il devait faire des efforts pour s'en empêcher, pour ne pas la brusquer. Mais cela n'était plus nécessaire. Désormais chez elle, rassurée, Poppy était prête à se confier à lui. Aaron ne dit rien, la laissant parler, continuant à la regarder, cherchant à croiser son regard pour l'encourager à lui parler. Elle s'exprima avant de poser sa main sur la sienne. Cette vue fit sourire Aaron et quand il releva la tête, il constata que Poppy le regardait désormais dans les yeux. Je le comprends, je sais que tu est bouleversée. J'ai envie de t'aider mais je ne sais pas quoi te dire. Tout ce qui me vient à l'esprit est incroyablement maladroit. Il lui adressa un sourire compréhensif, ne bougeant pas. Il resta ainsi, penché vers elle, sa main sous la sienne. Tout ce que je veux, c'est que tu sois heureuse. Je suis prêt à tout pour te faire retrouver le sourire et tu n'as pas à me remercier pour ça. D'accord ? Il lui donna un petit baiser sur la bouche. Il était touché par ses paroles. Il ne se sentait pas vraiment utile, ne parvenant pas à l'aider à tout surmonter. S'il parvenait ne serais-ce que par moment à la rendre heureuse, il en était déjà lui même très heureux. Il ne se sentait pas bien quand tout n'allait pas bien de son côté à elle également. Son bonheur était primordial pour lui.
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Poppy savait que ce n'était pas le soir idéal pour remettre le sujet sur le tapis, c'était la Saint-Valentin après tout, les gens passent la soirée à s'embrasser, à se couvrir de cadeau et à se répéter combien ils s'aimaient. Mais entre elle et Aaron c'était quelque peu différent. Ils n'avaient pas besoin de faire tout ça pour savoir qu'ils étaient heureux ensemble, ils se comprenaient par un simple regard. Et là toute suite elle avait envie de se confier, de lui parler, sachant très bien qu'il la comprendrait et la rassurerait comme toujours. Elle continua de lui serrer doucement la main, c'était ce qui lui donnait assez de courage pour continuer à être honnête avec lui.J'ai pas besoin que tu me dise quoi que se soit, juste être là, près de moi comme tu l'es en ce moment ça m'aide énormément Aaron. Ta présence est la seule chose dont j'ai besoin, et tant que je l'aurai, je serai une femme comblée ! Elle lui fit un sourire à nouveau, lui rendant son baiser avec amour. Il n'avait même pas conscience à quel point tout ce qu'il faisait contribuait énormément à la rendre heureuse,même si d'autre chose la tracassait,sans lui en ce moment elle ne pourrait même pas dire si elle serait encore là ou encore dans quel état on pourrait la retrouver. Son couple, la perspective d'avenir avec lui, voilà ce qui l'aidait à tenir le coup chaque jour. S'ils auraient pu avoir des enfants, ce serait lui le père, ce serait avec lui qu'elle se marierait plus tard, et ces pensées rendaient Poppy particulièrement heureuse.
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Il se sentait plus léger. Un poids lui avait été retiré. Il espérait que Poppy ressentait la même chose. Lui était heureux de voir une barrière qui s'était dressée entre eux tomber au fil des paroles de la jeune femme, fragilisée un peu plus par chacun des mots qu'elle prononçait. Il voulait qu'elle éprouve elle aussi du soulagement à lui parler de tout ce qui la bouleversait. Il ne lui demanda pas si c'était le cas. Elle prenait déjà sur elle pour parler de tout cela et il ne voulait pas insister, il était prêt à écouter ce qu'elle était prête à lui dire. Pas plus. Elle parlerait davantage quand elle en aurait le courage. Poppy lui révéla que sa présence à elle seule suffisait à la rendre heureuse. Ses mots le touchait, évidemment. Il leva son autre main et la posa sur celle de Poppy, elle même posée sur son autre main. Je serais toujours là, aussi longtemps que tu voudras de moi à tes côtés. Tu ne t'es pas encore lassée de moi, au moins ? Il la taquinait. Il ne pouvait pas sérieusement douter des sentiments de Poppy alors qu'il se trouvait dans sa chambre, à Paris, pour fêter la Saint-Valentin et il ne le faisait en aucun cas. Il n'avait jamais douté de ce qui l'unissait à Poppy, quand bien même leur relation s'était doucement fragilisée. Il l'aimait, nul doute là dessus et à chaque fois qu'elle le regardait, à chacun de leurs baisers, il pouvait clairement ressentir que cet amour était réciproque.
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