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c’est horrible en réalité. elle pue le désespoir alix. déteste se prendre la tête avec lui et finit inévitablement par le faire. à croire que vous ne vivez que pour les déchirements, les moments douloureux. c’était pourtant pas ce qu’elle avait cherché en premier lieu. elle, elle avait juste voulu comprendre. les flashs, les informations. tenter de discerner le faux du vrai. c’était pas supposé être un règlement de compte. c’était pas supposé partir comme ça. et elle sait pas gérer toutes les informations, encore moins ce qui s’en dégage. elle a juste l’impression de se faire happer. engloutir par tout ce qu’elle ne comprends ou ne veut pas comprendre. elle est en colère alix. blessée dans son égo, en souffrance comme à chaque fois qu’elle se retrouve à composer sans toi. elle se ferme totalement, reste prostrée dans le noir comme une âme en peine, son téléphone qui s’fait inonder. appels et sms incessants, décroche à la dixième fois agacée. et si le ton est sec, il fait place à tout autre chose en quelques secondes. les j’arrive qu’elle lance à l’infinie, saute sur ses pieds, paire de basket qu’elle récupère en catimini avant de courir à l’extérieur. le drink ? pourquoi est-ce qu’il était retourné là-bas en premier lieu. ça n’avait pas de sens, tout comme la réclamer était idiot. et pendant un bref instant, elle envisage que ça ne soit rien d’autre qu’une plaisanterie. une blague de mauvais goût visant à prouver que malgré tout ce qu’elle pourrait dire, elle finirait toujours par courir à ses pieds quand il le demandait. billet qu’elle jette au chauffeur de taxi, court presque à l’extérieur. et elle pousse pour passer, joue des bras devant l’attroupement formé, lux bête de foire du soir. vision qui retourne autant le coeur que l’estomac. le sang ci et là, les yeux exorbités de l’homme méconnaissable. « TU ME TOUCHE PAS ELLE EST OU LIX ? » là. j'suis là lux souffle quand elle devient finalement le centre, quelques regards vers elle et la rousse qui cherche à capter le tien. elle a pas peur, elle a jamais eu peur de tes états d'âmes, c'est peut être la raison qui la pousse à avancer sans se soucier une seule seconde du reste. tu lui feras pas de mal. pas comme ça. pas physiquement.
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w/ @Alix Stanford

J’y suis retourné…Ouai, j’y suis retourné, parce qu’au fond, j’pensais retrouver une part de nous, de toi. C’est pas censé se finir comme ça…Non, pas après ce qui a été dit, ce qui a été fait. Mais tu vois, t’es qu’une chieuse qui prend la mouche et moi un connard qui assume pas. On est hypocrites Alix, toi et moi. Un baiser a réussi à nous tuer. J’pensais pas qu’on serait aussi faibles. Mais apparemment, j’avais tort. Alors je suis retourné au Drink et tu sais quoi, y’avait les enfoirés, ce con que j’avais déjà croisé pour taper dessus. J’ai essayé de me contenir, ouai, vraiment essayer Alix. Mais t’es pas là, et mon cœur, il bat au ralenti, il se met sur pause. Je crève sur place, j’étouffe et plus je picole, plus je perds le contrôle. Plus les heures s’écoulent et plus je vois rouge, plus je le tue du regard. Mes potes, ils savent pas quoi faire, veulent me traine dehors. Mais tu me connais, je peux pas fuir l’évidence, je veux le buter pour nous avoir privé l’un de l’autre. C’est de sa faute, pas de la nôtre…Alors ouai, y’a un moment où j’ai plus résisté. Personne a rien vu venir, j’ai traversé la salle et c’était reparti. Je l’ai même pas laissé parler, il a fini la gueule à terre et cette fois, même les sorteurs ont eu du mal à nous séparer. Je m’éloignais, je revenais, je frappais…Le sang, il coule sans s’arrêter, mais je m’en fou Alix, c’est de sa faute si c’est fini. Puis ça a été le trou noir, je me suis retrouvé dehors, entouré d’incapables. Ils veulent m’amener à l’hôpital, j’suis pas beau à voir, mais j’ai vu pire…Ils approchent, je hurle. J’ai que toi en tête, l’alcool me rend fou, me rend incontrôlable. T’es où lix ? T’es où putain ? T’es pas avec lui dis-moi ? Je comprends pas ce qu’il se passe, je panique je crois, un peu. J’ai le myocarde qui s’agrippe, qui se fend et ce, jusqu’à ce que je hurle et que ta voix perce celle des autres. T’es là…Je me fige, je me stoppe. J’ai mal aux mains, j’ai mal au ventre, au visage. Mais t’es là. T’approche, les autres retiennent leur respiration…Ils ont peurs, se demandes si je vais t’en coller une, ils sont pathétiques. Et quand t’es enfin devant moi…je pense que je m’écroule, que je m’effondre. T’sais, toute cette peine, toute cette colère, toute cette rage. Elle grimpe, elle explose et je tombe à tes pieds, j’suis un homme à terre en train de pleurer. « J’suis désolé… »


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elle te connait par coeur en vrai. elle sait comment tu fonctionnes. et elle mettrait sa main à couper que peu importe ce que t’aurais pu avaler, jamais tu lui lèverais la main dessus. parce que t’es pas comme ça, pas avec elle. ta haine, tu la lui crache avec les mots, pas autrement. alors non, elle n’a pas peur. et elle se fout de son bras qu’on essaie de retenir comme pour la mettre en garde. elle te connait mieux que eux tous, jamais tu ferais ça. et elle le sait tu sais ? elle sait que si t’es là, c’est à cause d’elle. à cause des mots que vous avez échangés. des accusations que vous avez finit par porter. parce que plutôt qu’assumer quoi que ce soit, il était bien plus facile de se rejeter la faute comme une balle de ping pong. c’est le souci de rechercher l’honnêteté quand dans la finalité, aucun de vous deux n’était prêt à l’entendre. et elle a mal de te voir comme ça. l’regard fou, le regard blessé. le coeur que tu lui arraches de la poitrine quand tu tombes à genoux devant elle. elle t’a jamais vu pleurer, jamais. vision insupportable, l’impuissance qui domine le reste. non, non elle souffle, murmure. s’met à genoux, à ta hauteur, ses mains qui accrochent tes joues pour capter tes yeux. c’est rien d’accord ? je suis là lux elle aime pas tout ça. l’voir aussi démuni. se dire qu’elle est responsable de l’état qu’il arbore à cet instant. elle voulait pas tu sais. ? te rendre malheureux, te pousser dans cet extrême. c’est juste que vous marchez comme ça. à vous faire trop de mal parfois. à vous insulter encore et encore quand vous avez juste besoin de l’autre pour exister. et elle caresse tes joues de ses pouces, efface les larmes qui y ruissellent, ses lèvres qu’elle dépose sur ton front, ton nez, doucement. elle cherche à t’apaiser alix, te montrer que peu importe ce qu’elle dira, elle reviendra toujours vers toi. comme là, comme ce soir. incapable de te laisser à ton sort. t’es toute ma vie lux entièrement. l’élément indispensable pour qu’elle survive. elle pourrait jamais t’abandonner, tu le sais ?
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Je sais pas ce qui m’arrive. Je tombe rien qu’en te regardant, ça devient oppressant. Les vannes elles s’ouvrent. Tu me connais, je pleure jamais, du moins, jamais devant les autres. Tu sais comment je suis…Je préfères garder les trucs pour moi, à faire croire que j’ai pas de cœur. Mais là, c’est trop. T’as craqué la dernière fois, maintenant, c’est à moi de m’étaler à tes pieds. Parce que t’es la cause de beaucoup de mes peines, mais pas toutes. Non, t’es qu’une qui fait plus mal, une blessure qui s’enfonce de plus en plus, qui saigne encore et encore. Alors le sol qui claque sous mes genoux, franchement, ça me fait rien. Tête baissée, je lâche ces mots comme une prière, comme une évidence. Je suis désolé…désolé de pousser toujours plus loin. Mais tu m’aides pas. Non, tu m’aides pas à avancer, toi, tu sembles faire du sur place avec moi. Regarde-nous…tu penses qu’on s’en sortira ? Parce que moi pas. Je sens tes mains sur mes joues, je me crispe. L’espace d’un instant, j’ai l’impression d’être ailleurs, j’aurais presqu’un mouvement de recules. Je suis nerveux, ça se ressent, mais quand je croise tes yeux, je reviens auprès toi. Tu vois à quel point je suis crevé, Alix ? Tu ressens à quel point je suis épuisé ? « Non…non c’est pas rien. » Non, faut que t’arrêtes de mentir…C’est grave. Toi et moi. C’est grave. Grave parce que y’a rien qui s’y oppose, parce qu’on est maitre de notre destin et qu’on lui crache à la gueule depuis des années. T’sais, je crois qu’il nous puni…je crois que cette souffrance, c’est notre punition Alix, et je suis pas sur de pouvoir le supporter. Un baiser, un autre, t’efface mes larmes et mes doigts glissent dans ta nuque, cherchent ta chaleur. « T’es la mienne. » Pour toujours et à jamais, qu’importe ce que les spectateurs pensent, t’es ma vie, aussi maudite soit-elle. Ma seconde main vient se placer sur ta joue et doucement, je t’attire à moi, je t’encercle de mes bras. Je tombe en arrière, je vacille, mais je te garde quand même. J’ai le cul au sol maintenant, tant pis, je veux pas, je peux pas te lâcher. « Je veux rentrer à la maison. » Tu te souviens de ces paroles ? Les rôles sont inversés. Je veux rentrer chez nous. Parce que cette chambre, c’est chez nous, c’est notre repère, notre domaine. Ils ont pas besoins de savoir, mais moi j’ai besoin de m’accrocher aux faux espoirs. « Je veux rentrer chez nous. »

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même quand elle le voudrait elle le fait pas. elle peut emprunter tous les chemins du monde qu’ils finissent toujours par la ramener à toi. peut être que c’est écrit quelque part dans le destin. peut être que vous repoussez juste une évidence comme deux idiots sans vous rendre compte que vous n’avez pas le choix. c’est vous deux, c’est comme ça. et c’est horrible de batailler encore et toujours. d’avoir l’impression de se faire arracher le coeur des milliards de fois. elle aurait voulu trouver le repos dans tout ça, ne plus jamais avoir à ressentir cette peine fulgurante. parce que c’était éreintant pour vous deux. de vous tenir sans cesse au bord du gouffre, à vous rattraper au dernier moment pour éviter le point final. c’était pas une vie. tu le sais que c’est pas une vie lux. mais qu’est-ce qu’elle pouvait bien y faire dans le fond ? t’étais son essence, son plus grand besoin. elle te respire même quand il faudrait pas, reviens à toi à chaque fois. t’es son monde, celui qui l’a fait tourner quand elle ne cesse de répéter qu’elle a pas besoin de ça. tu l’vois comme elle ment ? elle ment comme elle respire, tout le temps. à elle même et aux autres mais t’es de la même trempe lux. toi aussi tu joue l’effronté à lui déverser tes mensonges en plein visage. c’est comme ça que vous fonctionnez depuis trop longtemps. et elle se pince les lèvres, secoue la tête. ouais c’est pas rien. mais comme souvent, c’est les faux semblants qui vous bercent. le besoin de croire que tout iras mieux demain, que tout s’effacera d’un revers de main. oui qu’elle souffle doucement. la tienne, tout le temps. le monde le sait au fond. vos potes, les spectateurs. ils savent que vous vous appartenez. vérité qu’ils ont comprit bien avant qu’elle n’effleure votre esprit. et elle reste là, elle va nulle part alix. coincée dans tes bras qui se révèlent être sa plus belle prison. d’accord, d’accord lux elle reste là, son téléphone qu’elle sort difficilement, uber qu’elle commande, l’adresse connu par coeur. on va rentrer chez nous, j’te promet. et elle allait pas le laisser, pas ce soir. jamais. tu peux te lever bébé ? demande doucement, caresse ses cheveux. te met plus dans ce genre d'état, s'il te plaît. tu sais pas à quel point ça lui distille le coeur tout ça.
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Oui, je sais que toi et moi, c’est la mort assurée. Ils savent déjà ce qu’on commence à peine à capter. Tu sais…le truc qui fait boum boum. Sauf que moi, j’en peux plus, y’a trop d’émotions, y’a trop de sensations. Y’a que toi pour équilibrer les choses. Tu sais, j’ai pas ressenti ça quand j’étais môme. J’aimais France, parce que c’était l’innocence de ma vie, mais toi, t’es un carnage ambulant dans mon myocarde. Tu défonces toutes les portes, tu grattes là où ça fait mal. Mais je reviens, toi aussi. C’est malsain Alix, de jouer comme ça. On est forts, mais même nous, on a nos limites. Alors eux, ils murmurent qu’on finira par s’entretuer tellement on sait mal s’aimer. Je pense qu’ils ont raisons. C’est peut-être l’alcool qui me fait penser ainsi, mais je pense qu’ils ont raisons. Regarde-moi, je suis effondrée Tu crois que ça serait pareil pour une autre ? Non, bien sûr que non. Et toi, tu serais comme ça pour lui ? Je pense pas. Je veux rentrer chez nous, je veux retrouver les draps qui portent ton odeur, la nôtre. Je veux ces mûrs réconfortants, je veux plus pleurer devant les gens. Je te veux toi, tout entière, mais tu vas me dire que l’alcool ça aide à déballer ce qu’on a sur le cœur. T’aurais sûrement raison. Tu caresses mes cheveux, je t’entends à peine. J’ai les yeux rivés sur la foule qui commence à se disperser, à se demander si y’a quelque chose qui s’éveille enfin chez nous. Oui, je peux me lever, mais j’ai pas envie de te lâcher. Pourtant, pour rentrer, faut bien que je me lève…tu vas pas me traîner quand même. « Je peux, ouai…j’suis pas amputé des jambes. » J’essaye de reprendre mon caractère, mais même ça ça vient plus Alix…Ne plus me mettre dans cet état ? Mais mon ange, tu réalises même pas que cet état, il est là depuis trop longtemps, qu’il est là pour toi. « Shut… » Pas un ordre, juste une demande. Tais-toi, n’en rajoute pas, je peux pas te promettre ce que je sais irrémédiable. Alors, je dépose un baiser sur le coin de tes lèvres, un baiser qui traine trop, qui demande plus. Mais même bourré, je referais pas la même erreur. J’ai compris le message…je t’ai embrassé quand t’étais déchirée, le prochain baiser, il viendra de toi, pas de moi. Je finis par te relâcher et je me lève, je vacille, mais les larmes ont cessé, un peu comme le sang séché sur mes mains. « Alix… » Je te regarde pas, parce que ça va sortir, tu sais, les mots purulents que tu devrais pas entendre… « Je t’aime tu sais ? » De différentes façons…a toi de voir ce que tu comprends dans cet aveux malfamé.

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w/ @Lux de Rosiers

t’sais, c’est pas ce qu’elle a voulu tout ça. elle aurait voulu te rendre heureux tout le temps, te faire rire surtout. te montrer que la vie, ça pouvait être autre chose que tout noir et se convaincre elle même que si vous faisiez les efforts suffisants, ça pourrait marcher. mais à la place, vous préférez vous arracher les tripes, vous faire mal à en crever. c’est pas normal d’être vous, de vivre comme ça. parfois, elle se dit que vous ne tiendrez plus longtemps. que vous finirez au sol, incapable de vous relever, incapable de supporter le poids de vos erreurs. tu sais que c’est inévitable dans le fond ? parce que si aucun de vous deux ne se décidaient à redresser la barre, ça finirait mal cette histoire. c’était déjà bien parti pour vous faire sombrer. ok, ok elle relève même pas, elle s’en fiche actuellement de ton ironie constante. c’est pas ce qui l’intéresse et elle a pas envie de se battre là. pas quand t’es dans cet état. tu pourrais en profiter dans le fond, lui envoyer le pire encore et encore qu’elle réagirait même pas. trop préoccupée par tes larmes, par le sang sur toi. les yeux bleus qu’elle fixe sur toi, pince ses lèvres, silence qu’elle garde pour te faire plaisir. et c’est horrible tu vois ? tes lèvres trop proche des siennes, le coeur qui s’emballe une nouvelle fois, le souffle qui devient lourd quand au final ce n’est rien. ouais, elle l’avait sentit comme toi. ça restait ancrée. le premier baiser qui dérange, qui fait tout remonter à la surface, qui donne l’impression de ne jamais être assez. elle arrive pas à composer avec tout ça. ne sait pas ce qui serait bien, ce qui serait mal. c’est juste immonde tu vois. et debout, elle inspire doucement, les gens qui ont commencés à faire de l’espace. elle s’en fout dans le fond, compte juste le ramener dans la chambre et s’enfermer avec toi pour des heures. oui ? elle te regarde quand toi tu lui échappes, évite soigneusement le contact. et c’est tout son monde qui s’écroule d’un coup. la force d’un je t’aime non attendu, pas prévu. pourquoi ? elle voudrait te le demander. pourquoi tu fais ça ? pourquoi maintenant ? elle était seule alix. seule depuis longtemps. et tu lui tombes sur la figure maintenant, sans remord, torturant chacune de ses entrailles sans répit. elle a l'impression de s'étouffer avec. comme une corde autour de son cou que l'on tire sans relâche jusqu'à ce que l'air disparaisse. et le uber qui arrive, stop l'instant. c'est ta main qu'elle attrape, t'entraîne avec elle dans l'habitacle, l'coeur qui continue ses secousses éternelles. je t'aime aussi lux. juste ça.
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Non mon ange, t’as pas compris. Le navire, il est déjà dans l’océan et nous, on essaye de pas boire la tasse. Tu vois ces vagues ? Elles vont nous mener droit à notre perte, on va se fracasser dessus comme des mouettes sans ailes. Parce qu’apparemment, on est pas dociles, on est pas assez normaux pour s’avouer ce genre de trucs. Tu dois être défoncée pour me faire comprendre que t’es blessées, je dois être bourré pour te dire que je suis crevé. Tu vois le résultat ? Tu vois à quel point on est dans la merde, toi et moi ? Mais toi, t’as Aidan et moi, j’ai qui ? Mes conquêtes, elles sont nombreuses, mais y’a personne qui t’arrive à la cheville. Pourtant, on a juste échangé un baiser…mais c’est déjà assez pour que je sente que je peux plus être sauvé. Alors je me relève, je sens mes palpitations rugir dans ma cage thoracique. Je t’aime. Ça passe crème. Ces mots, je les ai jamais dit, pas vraiment. Tu sais, juste à ma pote, quand je lui dis que je l’aime mais c’est pas pareil. J’attends pas de réponse, je sais que j’en aurais pas. J’y suis habitué. Toutes les fois où j’ai dit à mon père que je l’aimais, sans un retour, sans une caresse. Je pense qu’il est là le souci, j’ai jamais vraiment été aimé, après elle. Le ubber arrive, ta main prend la mienne et je te laisse me traîner. J’enfonce une main dans la poche de ma veste, elle pulse de douleur, je grimace même pas. Tes mots, ils arrivent au moment où je pose mon cul dans le véhicule. Tu m’aime aussi. « Je sais » C’est terrible à dire…je sais…ouai, je sais que tu m’aimes, je sais que toi et moi, on est destinés à être ensemble. C’est évident. Mais la destiné est parfois dur à affronter et les gens comme nous, on a tendance à la repousser. Je te regarde pas, j’observe le paysage qui défile vers chez moi, chez nous. Ta main, je la lâche pas, mais tes yeux, j’sais pas les affronter. Lorsque le ubber s’arrête, j’ai l’impression que l’éternité est passé. Je te laisse pas le temps que déjà, je paye le chauffeur sans préavis et sors en chancelant. Le monde tangue, un peu comme mon cœur. Je sais pas trop comment, mais je sens mon lit…je suis arrivé comment jusqu’ici ? Je suis pas fatigué…c’est con, mais mentalement, j’suis épuisé et physiquement, j’ai Morphée qui m’a abandonné. Alors, j’attrape ta main et je te tire sur mes genoux, j’ose enfin te regarder… Et maintenant, on fait quoi, dans mes murs délabrés ? On fait quoi, avec nos cœurs déchirés ?

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ça libère en même temps que ça compresse. parce qu’elle pourrait pas expliquer le sens des mots. elle pourrait pas aller plus loin. elle sait juste pas comment faire. c’est douloureux et exaltant en même temps. elle sait même pas si c’est normal de ressentir cette contradiction de sentiment. dans le fond c’est pas normal, c’est pas censé être aussi compliqué. ça devrait pas, pas vrai ? la tête qui devient un tourbillon de pensée, sa main toujours serrée dans la tienne et le trajet qui se maintient dans le plus grand des silences. sûrement qu’aucun ne saurait quoi dire de toute façon. elle sait pas si c’est mieux, elle sait plus grand chose rendu là. c’est juste dingue de se retrouver dans cette position. de se dire qu’une soirée aura suffit à venir foutre la merde dans tout ce qu’ils avaient évités jusqu’à présent. et elle est consciente. terriblement consciente que rien ne sera plus jamais avant. sujet délicat dans le fond. parce que c’est quitte ou double avec eux. avoir le courage d’en discuter réellement ou rester sur des non-dits, des insultes déguisés et regarder les choses s’écrouler toujours un peu plus, sans s’arrêter. elle ferme les yeux un peu, comme si ça pourrait arrêter le reste. le temps. mais y a que le véhicule qui se stoppe et alix qui sort, les jambes un peu tremblante. elle reste accrochée à toi malgré tout, les pas qui guident jusqu’à une chambre connu par coeur. les moindres recoins, la moindre odeur. le silence est toujours là, rousse qui allume les lumières, souffle doucement. elle sait pas comment reprendre, elle sait pas si elle devrait dire quelque chose. elle se laisse juste attirer vers toi, son corps qui prend place sur tes genoux, l’acte naturelle à chaque fois. vous êtes un putain de foutoir. vous deux, tout le temps. et c’est horrible de trouver le moyen de respirer dans tout ça. son front qu’elle pose contre le tien, inspire doucement. la douceur qui survient parfois entre vous, elle est mieux que le reste. une putain de drogue dont elle était devenue dépendante sans même s’en rendre compte. je devrais te traîner sous la douche pour enlever tout ça murmure bête mais qui permet d’éviter encore un peu le reste. et elle sait que vous pourrez pas continuer à sauter les obstacles comme s’ils n’existaient pas. impossible de faire machine arrière quand vous en étiez rendu là.
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w/ @Alix Stanford

Le silence, c’est notre plus grande arme. Ouai, on se cache derrière des non-dits, on se balance la faute constamment. C’est pas saint, notre mental il va pas tenir. Toi comme moi, je sens qu’on est sur la ligne d’arrivée, à la limite de tout envoyer valser. C’est peut-être pour ça que j’ose pas te regarder, que j’ose pas parler. Mais y’a un moment où j’ai besoin de te sentir, de t’avoir près de moi. Ta main, je l’attrape pour te faire venir près de moi. Ton front, il trouve rapidement le miens. Ça c’est nous tu vois…Toi et moi, dans cette chambre, sans barrières, sans saloperies. Y’a pas de masques ce soir Alix, y’a que nous, personne d’autre. Y’a pas de caméras, y’a pas de regards curieux. Ici, y’a que nos deux cœurs qui s’étranglent, qui s’essoufflent. A tes mots, je souris légèrement. Tes lèvres, elles sont trop proches des miennes, mais même bourré, je dépasserais pas cette limite…je crois. « Oui, j’pense que c’est une bonne idée. » Je te pousse un peu pour me redresser, mais ce que je fais, c’est probablement pas normal. Je prends ta main, je la lâche pas et je vais vers la salle de bain. « Viens… » T’as bien compris, tu penses déjà…j’en suis certain. « T’inquiète pas…je vais pas te toucher, je veux juste que tu viennes avec moi. » On va dépasser une limite impardonnable, juste toi et moi. Fait exploser la barrière Alix, viens avec moi. Mais tu sais quoi, je vais te laisser décider. Je lâche ta main après y avoir déposer un baiser. Je te regarde tout en m’éloignant, je te laisse choisir. « viens te laver avec moi, y’a personne, je garderais mes mains chez moi. » Et tu sais que je le ferais, j’suis pas un connard. Je réalises pas vraiment ce que je te demande, je sais juste que j’en ai royalement envie. Envie de briser une barrière de plus, de laisser l’eau effacer nos pêchés. Je disparais dans la salle de bain, j’allume la douche et je file dedans sans savoir si tu oseras venir ou pas…T’es maître de ton destin Alix. Ici, y’a plus de juges, y’a plus de coupables. Y’a juste nous mon ange, y’a juste nos cœurs, nos larmes. Y’a que nos secrets qui resteront enfermés dans ces murs.
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