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Lyvon ✞ When they ask you who you're living for, you'll drop my name

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When they ask you who you're living for, you'll drop my name★ ─ w/ @Devon Bulger

Et dans ce duel, aucun gagnant ne semble vouloir établir son règne. Je repose moi. Quelque part entre les deux, cueillant tantôt l’un puis l’autre des extrêmes. C’est sans fond, sans nuance. L’absence même. Et la fatigue se permet de s’offrir à mon corps. Des mois de lutte pour finalement capituler là, entre tes bras. Mon bourreau. Dans tous les sens du terme. Le tueur le plus primaire, l’assassin de mon cœur même. J’aurais pu m’émouvoir de te voir inquiet, que ton plaisir se suspende pour tenter de venir cueillir mon souffle à nouveau. Mais c’est l’Absence entêtée qui s’offre encore. Les muscles qui restent désespérément flasques, la peau exsangue marquée de tes empreintes trop fortes. Sur le juvénile de mon épiderme, sur le gracile du squelette. Peut-être que je ne suis que ça finalement. Une fille bien trop jeune pour jouer aux allumettes. Trop chétive pour se confronter au noir brasier nommé Devon. T’as su voir ce que les autres ignoraient, moi en premier sans doute. Mais ce n’est pas sans stigmates qu’on évolue, pas sans cicatrices. Ta bouche vient se poser sur la mienne comme dans un ultime désespoir. Et l’air chaud de ton monde vient emplir ma gorge éteinte. Une fois, puis deux, jusqu’à ce que le corps se redonne des droits. Faut croire qu’il décide autrement que mon mental. La cage thoracique se hausse, comme surprise, libérant le souffle dans un hoquet. Mes yeux s’écarquillent parce que la douleur se réveille elle aussi et après tout c’est moi qui te l’ai demandé. La trachée en feu, une toux impérieuse vient marquer mes côtes, je me redresse, passant ma paume devant ma bouche. J’ai tout juste le temps de me lever pour courir dans la pièce annexe, laissant l’horreur que j’ai accumulé se déverser dans la cuvette. Il n’y a rien de beau à la scène, rien d’enviable, juste une délivrance qui s’applique dans la violence. Je suis toujours essoufflée et sans que je le comprenne, bouleversée aussi. De ce que j’ai fait mais surtout de ce que je m’apprête aussi à faire. J’ignorais alors la lourdeur qu’on peut ressentir dans la poitrine. Sentir de nouveau le poids d’un cœur qui bat. Je me hisse jusqu’au lavabo pour me rincer, passant l’eau sur mon visage. C’est une toute autre qui vient s’insinuer dans mes orbes. Silencieusement, sournoisement d’abord et puis bien plus violente, si bien qu’elle secoue entièrement ma frêle carcasse de spasmes, que la violence s’anime alors que le torrent se déverse. C’est insupportable. Je ne peux tout simplement plus ressentir ça. Alors c’est le feu qui m’anime, mes phalanges qui se replient pour venir entailler la glace, abîmer les jointures, je veux avoir mal au corps plutôt que de ressentir ça, ne voyant plus rien, n’entendant plus rien, juste cette rage, cette tristesse qui vient me ronger et détruire le corps.


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w/ @Lyra Bain


Non, il est hors de question que tu perdes la vie comme ça. Un jour peut-être, de mes mains probablement. Mais pas ici, pas aujourd’hui, pas quand je comprends que je t’aime. Alors mes lèvres se collent aux tiennes, t’offrant comme je pouvais le souffle de la renaissance. Je voulais que tu respires, que tu sois de nouveau dans notre monde. Ton rire, ton sourire. Ton regard. J’avais besoin de ça, plus que je ne pouvais l’admettre. Et c’était par ce besoin que j’avais la force de t’insuffler ce nouveau souffle. C’est au bout de la troisième tentative que ta cage thoracique se soulève, laissant tes poumons se déployer de nouveau. La vie reprend son court et je me redresse pour te laisser respirer, reprendre contrôle de ton corps, de ce qui t’entoure. Je ne m’étais pas préparé à ça, pour être honnête et la peur s’insinuait peu à peu dans mon esprit. Je suis allé trop fort, est-ce que tu vas m’en vouloir pour ça ? A peine venais-tu de te redresser que tu t’extirpais du lit pour aller dans la salle d’eau, bruits suffisamment explicites pour comprendre ce qui se passait. M’asseyant sur le bord du lit, je me rhabillais tout en ayant le regard vers la porte. Te rejoindre était peut-être une bonne idée. Ou peut-être pas. Le dilemme se glisse une nouvelle fois dans mon esprit, avant d’entendre des sanglots prendre vie dans l’endroit. Fronçant les sourcils, l’esprit loin d’être tranquille, je me levais pour te rejoindre, découvrant ton corps pris de soubresauts. Puis ton poing atterrissait sur le miroir, libérant les nombreuses fissures à partir du point d’impact. Le sang coule, ton corps ne se calme pas pour autant et silencieusement, j’arrivais pour prendre ta main, la passant sous l’eau pour nettoyer comme je pouvais. « Lyra. Calme-toi. » soufflais-je. Les seuls mots que j’ai pu trouver à te dire, incapable de réconforter qui que ce soit. Qui aurait cru que l’homme de glace ait à faire ça un jour.


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Je ne comprends pas. Je veux dire. C’est comme si une berge s’était levée tout à coup. Une barricade qui avait sauté. A côtoyer la mort ainsi ou bien à sentir ton corps s’emplir véritablement d’amour pour moi. Car je te l’avais avoué. Mais toi c’était bien autre chose. Tu n’avais pas besoin de me le dire néanmoins, pour que j’en prenne conscience. C’était insupportable, parce que quelque part, ça me redonne une raison de vivre. Mais je suis morte, tu ne vois pas ? La gentille et rêveuse Lyra n’est plus. Je ne suis plus qu’un monstre, un monstre épris de ta personne. Et ça me terrifie. Qu’on puisse te faire du mal en mon nom. Alors la rage exulte, la tristesse dévale. Mes poings s’acharnent sur mon reflet comme si je pouvais réellement m’abîmer. Je ne prête même pas attention au sang qui s’écoulent entre mes doigts, à la teinte rosée que prend l’endroit. Je suis trop bouleversée, trop en rage. Et je ne peux même plus crier. Je ne t’entends pas arriver. Tu viens prendre ma main pour la passer sous l’eau, m’intimant de me calmer. Mon corps toujours tremblant. Je vois bien que tu ne comprends pas ce qui est entrain de se passer. Je ne comprends pas non plus. Mon regard se hisse au tien, à ton profil déterminé, acéré, à ces traits dans lesquels je pourrais me perdre, me damner. La rivière vient toujours assaillir mes joues, inépuisables. Les lèvres tremblent comme celles d’une enfant et c’est pitoyable.  « Devon… » que je murmure d’une voix étranglée. Je vais te faire le pire affront pour te préserver, pour venger ceux qui ont tenté de t’abîmer. Ils n’ont pas compris que je suis la seule à pouvoir le faire, comme tu es le seul pour moi. C’est l’obstination qui vient prendre place dans mes ravages, le seul but auquel me raccrocher alors que je sens mon cœur et mon corps bel et bien se briser. « Pars s’il-te-plaît. » La voix est plus affirmée. Le regard plus froid alors que la détresse se débat là au fond de moi. J’ai pas besoin de ta compassion, ni de ton amour pour ce que je m’apprête à faire par la suite. Au contraire, ta rage, ta haine la plus froide et dangereuse. Parce que te préserver peut avoir tous les prix possibles et imaginables, parce que je suis prête à te rejeter pour te faire comprendre que je t’aime. Plus que moi. Plus que ma vie. « Pars. » que je martèle à nouveau en dégageant ma main de la tienne.


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w/ @Lyra Bain


J’étais totalement perdu dans tes réactions, incapable de savoir exactement ce qui se passait dans ta tête, dans ton esprit. Il fallait que j’en sache plus, et encore, pour pouvoir me faire un avis sur la question. Seulement, incapable de décrypter ce qui pouvait bien se passer. Ton poing trouvait refuge dans le miroir, le brisant, te brisant par la même occasion. Ma main venait prendre la tienne, cherchant à te calmer d’une façon ou d’une autre, afin de la mettre sous l’eau et nettoyer ce sang qui affluait un peu trop. Le regard rivé sur cette main ensanglantée, je sentais le tien sur moi, mais ça m’importait peu. Jusqu’à ce que mon prénom passe tes lèvres. Mon regard se levait, croisait le tien. Tu avais encore mal, je suppose. À la gorge, au cœur. C’était la première fois que je vivais ce genre de moment, agrémenté de la peur de te perdre qui m’avait pris aux tripes. J’entends tes mots, ta demande. Mais je ne bouge pas d’un poil, incapable de céder à tes caprices. Je continuais de passer mes doigts sur ta peau, nettoyant la moindre trace de sang, alors que tu réitérais. « Non. » Mais ta main se retirait de la mienne avec une légère violence, ce qui m’agaçait. Tu n’avais pas le droit de faire ça, de me faire ça. Attrapant alors ton visage par la mâchoire, forçant ton regard à croiser le mien, je serrais les dents, laissant légèrement l’énervement prendre place. « Je reste. Que tu le veuilles ou non. » Tu ne me donnes pas d’ordre. Ou presque. Je suis resté ici pendant plusieurs jours parce que tu me l’as demandé. Je n’allais pas partir au moindre de tes caprices. On est ensemble. Dans le meilleur comme dans le pire. Le Roi et la Reine des Enfers. Ça commence dans cet appartement et ça se répandra dans les rues de Boston bien assez vite, c’est une promesse.


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Je n’ai jamais été une solitaire. C’est la vie qui m’a condamné à la devenir. Le sort était pour moi d’abord insupportable, effrayant et puis je m’en suis accommodée. Je ne me destinais qu’à être cette ombre, cette vengeresse. Une Diablesse qui ne laisserait pas de trace sinon quelques effluves de sang au passage. Des assassins qu’on ne viendrait pas regretter. Puis mon chemin a croisé le tien. La peur s’est réveillée de nouveau. La vie aussi. L’envie tout simplement. Ce moment qu’on a passé ensemble pourrait sembler anodin, banal pour la plupart des couples, mais moi j’y vois autre chose. Un attachement qui se déploie, qui grandit. Et ma rage de te venger qui grandit elle aussi. Il aurait été facile d’abdiquer là entre tes bras, de ne plus lutter, mais le corps en a décidé autrement. Sans doute que le malaise qui s’est répandu en moi t’a infecté aussi. L’amour, c’est lourd à porter tu sais. On change, on revoit les priorités. Et c’est terrible pour des monstres solitaires comme nous. Tu ne supporteras pas ce que je m’apprête à faire, me rapprocher de ses hommes, risquer mon intégrité pour te sauver. Mais je refuse de vivre dans la peur, je refuse d’être ton ombre. Alors que la violence et les épreuves traversées se déversent hors de mon corps pour la première fois. Tu ne sais pas toi, que je ne les ai jamais pleurés. J’ai du survivre et être faible ne compte pas dans l’équation.  Mieux vaut que tu partes. Ta haine ne sera que plus facile à récolter. Mon plan plus facile à dresser. Ma voix se veut ferme lorsque mon regard rencontre le tien. Lorsqu’à nouveau, je sens mon cœur s’émouvoir, me peser. Mais ce n’est rien face à ce qui m’embrase, aux pires noirceurs qui exultent là entre mes lèvres. Entre mes poings. Frêle, mais souple, ma main vient s’abattre sur ta tempe. « Dégage ! » que je hurle finalement tombant légèrement en arrière. Je me relève aussitôt pour te pousser bien consciente d’être une brindille face à toi.  « Tu vas faire quoi ? » Me frapper encore, m’étrangler, me tuer peut-être. Si seulement. J’entends le chien aboyer là derrière la porte. Il ne comprend pas. Comme nous sans doute. Je m’entête à te rejeter pour que tu n’aies pas à le faire. Je réprime les larmes, et je t’offre le sourire le plus provoquant juste pour raviver ta haine. Je suis folle. Aussi folle que toi Devon. Et si tu es le Diable, j’en suis l’ombre la plus parfaite.


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Tu ne comprends pas ce que ça me coûte de venir te voir, te rejoindre et m’occuper de toi. C’était quelque chose que je ne faisais, qui m’importait pas. Sauf maintenant. Tu m’importais, tu changeais mes habitudes, mes réflexes. Je pensais à toi avant de penser à moi, aussi étrange que ça puisse paraître. Alors tes réactions, tes mots, je n’y faisais pas attention. J’avais décidé de rester et je n’allais pas te laisser me donner des ordres tout le temps. Toi et tes gestes, toi et tes mots. Vous n’alliez rien me faire. Tu te rends pas compte à quel point mon cœur bat pour toi, lui qui n’avait jamais battu pour qui que ce soit, si ce n’est ma famille. C’est donc ça, de te voir comme ma famille, ma priorité. En avoir mal quand tu me repousses et être incapable de t’écouter dans ce cas. Je n’allais pas t’écouter, ni maintenant, ni jamais quand tu seras dans un tel état de nouveau. Tu perdais tout simplement la tête et j’étais là pour te remettre dans le droit chemin. Seulement, je n’ai pas eu le temps de récupérer ta main pour la soigner que tu m’attaquais. Une première fois, tombant sous le coup du choc, avant de te relever pour me pousser. Ferme et impassible, je te voyais t’exciter sur mon corps et ça m’excitait, je l’admets. Te voir comme ça, comme une furie qui veut me voir partir, m’attaquant de toute part, ça avait le don de réveiller mes sens. Gotham derrière ne comprenait rien, aboyait comme si sa vie en dépendait. « Reprendre ce que j’ai commencé. » Et je te plaquais contre la porte, laissant mes lèvres rejoindre les tiennes, là où elles étaient supposées être, dans un baiser endiablé, enflammé. Là où elles étaient à leur place. Laisse-moi te montrer à quel point je t’aime, à quel point je peux donner de ma personne pour toi. Les mots me manquent, mais les actes sont bel et bien présents. Attrapant tes cuisses dénudées, je te gardais suspendue, t’invitant à enrouler tes jambes autour de moi, si l’envie te prend. Si tu n’en as pas envie, c’est pareil.


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Deux opposés pas si opposés qui s’attirent, se repoussent pour mieux se retrouver. C’était notre vie à présent. Mieux se blesser pour mieux se retrouver. L’appel du sang et de la douleur. Physique principalement, mais un peu plus à présent. Tu ne te rends pas compte de la douleur que j’ai pu ressentir quand tes mots ont été assimilés par mon esprit. Tu me voulais loin d’ici, loin de toi. Et cette pensée m’était impossible. Une erreur dans le système, un bug dans la matrice. J’avais refusé, tout simplement, et j’avais cherché à te posséder une nouvelle fois, la seule façon que j’avais de te dire que j’étais incapable de te lâcher, de te laisser me dicter ce que je devais faire. C’était toi et moi contre le monde entier maintenant, ne l’as-tu pas encore compris ? Niché entre tes cuisses, je laissais la violence se répandre en toi au rythme que j’imposais, sans volonté aucune de t’épargner. C’était comme ça qu’on aimait les choses, n’est-ce pas ? Puis ta promesse, elle sortait de tes lèvres au moment fatidique. Retenant l’instant final pour ce mot, je me laissais finalement aller dans une jouissance exquise, loin d’être réciproque, bien que je n’en doutais pas une seconde. Pour moi, tu venais avec moi rejoindre les nuages, comme à chaque fois, comme si ce qui venait de se passer n’avait eu aucune importance, aucune incidence. Ce n’est qu’en redescendant, une fois mon boxer et pantalon remis en place, que je me rendais compte que non, tu étais restée sur terre tout du long, touchant peut-être les étoiles du bout des doigts, avant d’en être totalement punie. Posant ma main sur ta joue en guise de réponse à ta caresse, je plongeais mon regard dans le tien. « Tu vas pouvoir manger quelque chose ? Je peux aller réchauffer ton truc italien. Ou te donner un verre d’eau. » Parce que de toute évidence, tu devais te reposer, faire en sorte que ton corps reprenne ses forces. Sauf que les marques sur ton cou, elles étaient présentes, je les voyais. Mes doigts avaient abusé, tu avais frôlé la mort aujourd’hui. Mais les regrets ne pointaient pour autant pas le bout de leur nez.


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