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Lyvon ✞ When they ask you who you're living for, you'll drop my name

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When they ask you who you're living for, you'll drop my name★ ─ w/ @Devon Bulger


Quelques jours avaient passé et oui tu avais été contraint dans une certaine mesure à un repos forcé. Tu es solide toutefois et ton corps tend à récupérer. Bientôt tu es de nouveau suffisamment alerte pour commencer à sortir, reprendre tes activités, mais cela doit se faire progressivement. Alors pourquoi ne pas démarrer par une activité banale ? Quelques courses, un peu de shopping. Un peu comme tous les couples. Ce que nous ne sommes pas mais que nous nous efforcerons d’être pour quelques instants. C’est cette joie juvénile qui vient marquer mes traits lorsque je t’emmène au dehors. Mes yeux s’emplissant des activités multiples et bruyantes des commerçants alentours. Tu me l’avais dit pourtant que tu n’étais pas très « touristique » mais comme tout le monde, tu dois te nourrir. J’imagine que tu comptes sur Izzy pour ces choses quotidiennes mais moi j’ai décidé de te sortir quelque peu de ta zone de confort.  « De quoi as-tu envie ? » dis-je alors que nous déambulons dans les rayons du marché. J’ai ce sourire aux lèvres, de la fille banale et innocente. Regarde comme je me fonds si bien dans ce décor artificiel. Alors que de toi se dégage une certaine lourdeur, une ombre, quelques craintes même. Finalement, peut-être que moi aussi, j’ai des choses à t’apprendre.

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Le repos forcé m’avait fait du bien, même si quand tu rentrais du boulot, j’avais très peu droit à du repos à ce moment là. Tu avais pris l’habitude d’avoir le contrôle et tu semblais adorer ça. Si en temps normal, ça ne me plaisait que moyennement, avec toi c’était différent et je te laissais faire. C’est pas comme si j’avais assez de force pour t’en empêcher. Mais ce n’est qu’une question de jours avant que la tendance s’inverse. Ton idée aujourd’hui n’était pas dans mes habitudes. Sortir en plein jour, faire des activités banales. J’avais grogné, pas tellement emballé. Mais tu m’avais forcé et je t’avais suivi. Je me sentais canard, je l’admets. Mais les yeux pétillants que tu pouvais avoir en cet instant me faisaient quelque chose et je n’avais su résister. Parcourant les allées du marché, je regardais autour de moi, pas habitué à tout ça, tandis que tu semblais dans ton élément. En fait, qu’importe où tu te trouves, tu es à ta place. Un véritable caméléon. « Je sais pas. De pommes. » Les vertes, acides et piquantes. Celles qui te réveillent, que tu aimes ou que tu détestes. Proche de toi mais sans véritable contact, je finissais par te regarder toucher les fruits. « Qu’est-ce qui t’attire… là-dedans ? » Une véritable question, pour te cerner un peu plus je dirais.


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Je suis cette invisible qui s’adapte à tous les paysages. La lunaire mystérieuse, la Joviale ensoleillée, la Terne insignifiante. Je m’adapte au gré de mes envies et de mes humeurs. Si bien qu’on ne me connaît pas vraiment, que je n’expose que quelques facettes avec parcimonie, mais avec toi plus vraiment. Certes, cette partie de moi est inédite, mais je n’ai plus peur de te la montrer désormais, je te sais suffisamment lié. Et je suis un peu cette gamine effrontée qui profite que l’ours soit blessé pour mieux le provoquer. Ma main qui s’attache soudainement à la tienne, pour te rapprocher de l’étal des pommes, de plusieurs couleurs toutes. On pourrait les empoisonner, les offrir aux plus belles sorcières, on a que faire des princesses. Elles sont trop fades. Et puis c’est moi qui joue ce rôle, même si j’aime mieux être ta Reine.  « Lesquelles tu veux ? » Tu me désignes les Granny et mon sourire s’accentue. Tu me vois directement négocier avec le commerçant, ajouter quelques légumes au tout et voilà qu’on m’offre un kilo d’agrumes en prime. On passe au vendeur suivant. « ça me rappelle ma mère. » Ok, on a connu moins cliché, mais c’est vrai. « Elle m’emmenait chaque semaine au marché dans notre quartier et crois-moi, elle savait négocier.» C’est ainsi qu’on apprend dès le plus jeune âge l’art de la manipulation et j’avais tout à apprendre d’elle. Mon sourire s’accentue encore lorsque nous passons aux abords d’un traiteur italien. « Parmigiana di melanzane , tu as déjà essayé ?» Je ne sais même si tu apprécies particulièrement de te nourrir, mais après ça, je suis certaine que oui…


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Me retrouver ici en ta compagnie était étrange. Déjà parce que sortir le jour n’était pas dans mes habitudes. Encore moins accompagné d’une fille. Et puis les marchés n’étaient pas vraiment mon lieu de prédilection. Si tu étais à l’aise, c’était peut-être parce que c’était dans tes habitudes. Moi au contraire, cette vie ne me convenait pas. Mais pour toi, je faisais l’effort d’être à tes côtés, regardant chaque personne autour de nous de façon assez suspecte. Que personne ne t’approche, sinon il aura à faire à moi, blessé ou non. Puis détaché de mes pensées par ta voix qui me ramenait à la réalité, je t’avouais avoir un faible pour les pommes. Ta main qui venait s’attacher à la mienne, tu m’attires avec toi vers les fruits en question. Les granny smith. Voilà ce que je voulais, en t’indiquant les vertes. Des légumes et une négociation plus tard, te voilà parée d’agrumes en plus. J’attrape le sac de tes mains alors que tu te confiais. « Elle était comme toi ? Souriante et joviale ? » Enfin, comme je te découvrais aujourd’hui, étant donné que c’était la première fois que je te découvrais ainsi. C’était étrange comme sentiment, de ne pas te connaître entièrement. Tu avais de toute évidence plusieurs facettes et il me faudrait du temps pour toutes les apprivoiser. L’Italie t’appelle et tu venais me parler d’un plat, incompréhensible. « Je parle pas italien. C’est quoi ? » Je regardais ce qui s’y faisait et à part les pizzas et les pâtes, le reste ne me disait vraiment rien. « T’as du sang italien ? »


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Je veux dire, là c’est une partie de moi que je t’expose. Une partie de moi avec laquelle je ne pensais pas renouer. Celle que tout le monde voyait, avant. Mais tout était différent désormais. Au travail, oui, je restais cette fille gentille et joviale. Finalement, c’est ma véritable nature que tu avais vu en premier, celle que je cachais au monde et c’est l’apparence, la coquille qu’à toi j’avais caché, sentant cette sensation pressante que je devais être honnête, ne rien te cacher, au contraire t’exposer les enfers que j’ai dans le ventre sous peine de te manquer. Et je serai passé à côté d’un Tout, je dois bien l’admettre. « Elle l’était oui, mais elle savait surtout ce qu’elle voulait. » Je pose mon regard en coin sur ton profil, un regard effronté qui me parcourt. « C’était une femme de caractère. » Une femme riche, enfanté d’un puissant italien ayant fait fortune sur le sol américain. Elle avait renoncé à tout pour mon père, sa vie en cage doré, et finalement elle avait opté pour l’amour même si c’est la terre qui l’entoure désormais. « Je pense qu’on se ressemble, tout comme j’ai pris de mon père. » Tu comprendras au fur et à mesure, quand tu viendras gratter mes surfaces, comprendre mes nuances et moi sans doute révéler les tiennes. « Et tes parents à toi ? Je ne les imagine pas souriants et jovials. » Plutôt du type violent, fermé, un peu comme toi. Et puis, on se dirige vers ce traiteur, je souris à nouveau de voir que tu ne connais pas. « Des aubergines à la parmesane, en accompagnement c’est divin. » Tu ne peux qu’aimer ce genre de plat. Mes épaules se haussent. « Italien par ma mère, écossais par mon père, mais je suis un pur produit du Bronx. » Comme beaucoup d’américains, j’ai des origines diverses.


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Un peu à l’écart, t’observant dans ce monde qui était loin d’être le mien, je te découvrais sous un nouveau jour. Sous la lumière du jour finalement, qu’on peut dire. C’était étrange, je n’avais pas l’habitude et je n’étais pas certain de pouvoir m’y habituer. Seulement, c’était une part de toi et je l’embrasais comme ta part de ténèbres. Tout ou rien. J’avais choisi tout. Quitte à m’en brûler les ailes par la suite. Te voir parler de tes parents, de ta mère notamment, malgré la tragédie, c’était tout aussi étrange. Je sentais dans ta façon d’être et dans ta posture, dans tes mots qu’ils te manquaient. Tu semblais être très famille de toute façon, ça reste logique. « Ils te manquent ? » Une fausse question, ça m’était évident en te voyant dans les allées de ce marché. Tu tentes de renouer avec la vie que tu avais avant qu’ils ne viennent à disparaitre. « Les deux, pur sang irlandais. Pudique mais on ressent l’amour quand même malgré tout. Ils n’étaient pas russes, si tu veux tout savoir. Ils étaient dans la norme je suppose. Tu vois un peu Izzy ? » Mon opposé, un soleil. Elle était la seule à s’en être sortie comme ça. Et pourtant, c’était celle qui ressemblait le plus à notre mère. Sociable, souriante. « Mais je ressemble à mon père oui. » Presque un copié collé. Sauf que lui a réussi là où j’ai visiblement échoué. Puis vient le traiteur italien, où tu me parlais étrangement. Italien donc, je devinais. « Je connais pas. Je suppose que tu veux en prendre ? » Je te laissais gérer la commande, parler italien et faire tes négociations. « Faut croire qu’on a quelques origines communes. Côté européen j’entends. » Les écossais et les irlandais sont assez proches mine de rien. Et ça peut expliquer pourquoi on s’entend si bien, toi et moi. Je finissais par switcher le sac de fruits et légumes de main, sentant le poids tirer mes côtes.


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Que ce soit pour l’Italie ou l’Ecosse, ce sont des pays où la valeur de la famille est une force. C’est ainsi que j’ai grandi, entourée, choyée, malgré la violence qui régnait autour de nous. Mon père n’ayant eu que des filles a toujours eu cet objectif de nous protéger. Sans doute que cela aurait été différent si il avait eu un garçon, peut-être même qu’il en aurait fait un homme comme toi Devon. Puisque la filiation au gang se passait de père en fils depuis déjà trois générations. Je suis celle qui a tout brisé. « Terriblement. » que je te rétorque en toute franchise. Je compte pas t’apitoyer ou jouer le numéro de la jeune fille éplorée, je n’en suis plus là, mais un mince soupir s’échappe de mes lèvres. Qui sait ce que je serais devenue si ils étaient toujours là ? Je serai sans doute encore un peu de cette douce et rêveuse Lyra, ou bien aurais-je fini par réveiller mon potentiel démoniaque tout de même ? Une certitude me tenaille, sans leur disparition, je ne t’aurais pas connu. Et tout aurait été différent. Avec toi, je nourris mes destins les plus funestes, mais j’envisage aussi de me reconstruire, et qui sait peut-être bien que l’idée semble folle, construire un jour une nouvelle famille à moi. A nous. Mon regard s’attarde quelque peu sur tes traits lorsque tu viens parler de tes parents, une certaine nostalgie envahit ton visage et c’est inédit. « C’était des gens de valeur alors. » Parce que c’est ce que je pense d’Izzy, mais aussi de toi, quand bien même les nôtres vont à l’encontre du monde actuel, on est prêt à tout pour sauver ceux qui importent et ça me suffit ainsi. « Il s’appelait comment ? Moi Darren. » que j’ajoute avec un sourire pincé. « Qui sait nos pères se seraient bien entendus ou bien entre-tués ? » ça avait l’air d’être le même genre de colosse et ça se trouve oui, ils se connaissaient… « Tu goûteras oui… » Et tu te feras un avis sur la question, je commande dans ma langue natale, et récolte quelques gâteaux en plus, faut croire que j’ai un certain talent. Tu sembles chargé mais obstiné à ne pas vouloir que je reprenne les sacs. « J’aurais besoin d’une dernière chose… » que je te dis d’un regard timide. Prenant ta main pour t’entraîner à l’intérieur d’une boutique de prêt à porter. Heureusement, on te décharge des courses, mais je ne suis pas certaine que tu apprécies davantage l’instant que tu vas passer.


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C’était une question qui ne méritait pas de réponse. Je sais qu’ils te manquent, à chaque fois que tu les mentionnes, ton regard se voile légèrement. La blessure est encore trop fraiche, je l’admets. Mais tu allais en ressortir plus forte, je te promets. Regarde moi, regarde nous. Ensemble, on peut tout faire. On va les venger, et prospérer sur une vie basée sur le crime et la violence, parce que nous sommes faits comme ça, c’est notre essence même, ce qui nourrit notre moteur intérieur. Ce n’était pas de réconfort dont tu avais besoin, c’était de vengeance. Faire souffrir ceux qui t’ont arraché ta famille. Et j’allais t’aider, dès que j’irai mieux. Je peux déjà commencer à passer quelques coups de fil à propos de ta famille, en savoir plus et quels étaient les ennemis possibles de ton père. Il le fallait bien. Ce tragique événement, bien qu’il soit regrettable, avait été indispensable à notre rencontre. Alors je ne veux pas retourner en arrière pour te les rendre, si jamais ça avait été possible. Égoïstement, je te préférais sans famille et à moi, plutôt qu’entourée des tiens à plusieurs centaines de kilomètres. La discussion passait sur ma famille et forcément, je ne suis pas très bavard, comme à mon habitude. « En effet. » Très carrés, ne laissant rien passer. C’était bien pour cette raison que Connor s’en prenait toujours plein la tronche de ma part. Il était indispensable pour lui de comprendre qu’on ne pouvait pas faire ce qu’on veut quand on est un Bulger. « James. Mais il était connu sous le nom de Whitey. » Et moi c’est Stark, le loup. « Tout dépend du caractère de ton père en vrai. Je peux pas tellement dire. » Mais bon, parler des morts ne nous faisait pas avancer, littéralement. Toujours devant ce traiteur italien, tu me faisais cette promesse de goûter ce plat, que tu commandais sans attendre avec quelques autres denrées. Mains chargées de tous tes achats, je pensais en avoir fini avec tout ça mais ta main se glissait dans la mienne pour m’attirer dans une boutique de prêt à porter. Soupirant en voyant ça, j’étais cependant soulagé de retrouver l’usage de mes mains sans le poids de tes achats. « T’en as pour longtemps ? T’as besoin de rien, t’es bien comme tu es. » soufflais-je encore une fois en te suivant entre les rayons, incapable de savoir ce qui m’attendait. Ce genre de moment banal ne faisait pas partie de ma vie. Sauf depuis toi, visiblement.


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Finalement on se côtoie chaque jour davantage sans vraiment nous connaître. Ce n’est pas étonnant nous concernant, nous qui avons pris cette tenace habitude de courir à l’inverse des masses. Commençant par la mort, la violence, les affronts puis les plaisirs charnels avant d’arriver à ce que font les couples classiques pour se rapprocher. Se connaître. Tu n’es pas démonstratif mais j’ai appris à percevoir chaque soubresaut sur tes traits, et je vois bien que les évoquer provoque quelque chose chez toi. Je suis plus lisible, plus déchiffrable. Du moins, c’est ce que pensent les autres vu que je suis plus expressive mais peu importe. Je t’écoute me parler de ton père et les quelques détails que tu égrènes sont déjà importants. Ce surnom, il me dit quelque chose, mais impossible de savoir à quel souvenir je le rattache. Juste cette impression de lettres en écho, de déjà entendu. « Il était très dur et imposant. Un homme surtout très loyal, dévoué à ceux qu’il aime. Mais insubmersible en apparence. » Je retrouve beaucoup de Lui en toi finalement. Mais cette petite escapade, ce n’est pas vraiment l’endroit parfait pour les confidences alors je ne les pousse pas davantage. Je t’entraîne dans un magasin non loin de là. Les vêtements sont plutôt chics sans avoir des prix affolants. De toute manière, je ne pourrai pas me les payer autrement.  « ça dépend de ce que je trouverai. Et si, figure-toi qu’il y a une soirée spéciale bientôt au Nephilim, on nous a demandé une tenue adaptée. » On va dire que la soirée Tentations s’avère être l’alibi parfait pour le sort plus funeste que je réserve à cette robe. Je rumine mon plan depuis quelques jours, te mettant consciemment et volontairement à l’écart puisque tu m’en empêcherais. Je suis vile également, manipulatrice comme il faut, effrontée et provocatrice, jusqu’à te faire choisir l’arme que j’utiliserai pour venger ce crime dont tu ne veux pas que je te venge. Te liant à mon plan alors que tu l’ignores. J’emprunte deux robes dans les rayons, une cintrée et noire en bustier et à la jupe courte. Une autre rouge plus fluide mais plus décolletée avant de me glisser dans la cabine d’essayage. Quelques minutes passent, avant que ma voix enjouée ne demande « Prêt ? » Ta raison dictera une option, ton visage sans doute une autre. Et je sais déjà à laquelle je me fierai.


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Je n’étais pas du genre à me confier, à donner des informations pertinente à mon propos. De loin l’idée de ne pas me sentir bien à tes côtés, mais il était évident que je ne devais pas me fier à tout le monde. Donner des éléments de mon histoire, c’était une levier pour avoir quelque chose contre moi. Et j’avais eu quelques doutes te concernant, notamment après ta révélation quand tu m’as avoué être enceinte. Tu m’avais vu comme un pion, bien que ce ne soit plus le cas à présent. Donc j’aurais eu raison de me méfier de toi, de ce que tu représentes. Et même encore maintenant, si la confiance règne, ce n’est pas pour autant que je viens à t’avouer certaines choses. Mon passé, mon histoire, ils n’appartiennent qu’à moi. « Je suppose qu’ils étaient pareils alors. » On aurait dit une description de mon père, dit comme ça. Très grossière, certes, étant donné qu’il avait énormément de couches différentes. Mais ça lui ressemble. Faut croire que tous les patriarches de gang sont à peu près du même acabit. Une fois dans le magasin, les bras chargés qui s’étaient finalement libérés, je me demandais bien ce que tu voulais faire ici. C’était pas forcément le genre de lieu que je fréquentais en temps normal, ne faisant ainsi aucun effort de mode pour ainsi dire. Mais ça semblait être ce que tu voulais faire. Grognon, oui, je te suivais parmi les rayons pour comprendre que c’était pour la soirée au Nephilim et que tu devais t’imposer ce thème pour tenue vestimentaire. Soupir qui se dégage de mes lèvres. Deux tenues dans tes mains et tu te rendais dans les cabines d’essayage. Je te suivais, m’installant sur le banc non loin de là. J’aurais pu venir dans la cabine avec toi et trouver une utilité à tout ça. Mais non, j’étais de corvée pour donner un avis sur un vêtement inutile. « Prêt. » Soupir encore une fois, avant de te voir défiler avec la première, puis peu de temps après avec la seconde. Les deux étaient belles, les deux t’allaient bien. Et forcément, j’avais tiqué sur la rouge, bien plus sexy et adéquate pour ton corps. Mais la soirée Tentations était de loin celle que je voulais que tu évites. Les hommes autour de toi, les femmes également. Je refusais. « La noire. » Sourire en coin. Il était hors de question que les gens te voient dans la rouge.


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