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[-18] Lyvon † It became the too of our bleeding hearts

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It became the too of our bleeding hearts
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Je laisse mes billes errer sur mes phalanges. Quelques éclats de sang recouvrent mes mains de gamines, mais surtout la lame qui vient témoigner de mon acte. J’ai embrassé un nouveau serment aujourd’hui. Celui de tuer. Celui de lutter. D’oublier celle que j’étais pour devenir qui je suis. Un démon à l’apparence angélique. Je viens essuyer la lame sur mon jean alors que je pose de nouveau mon regard sur toi Devon. Ta main se tend vers la mienne, et je viens l’attraper, l’autre tenant toujours la dague. Tu viens me plaquer contre le mur, ton corps se collant au mien, mon regard ne te quitte pas lorsque tu me demandes comment je me sens. Je laisse échapper la dague d’entre mes doigts. Mes bras passent autour de ton cou, pour empoigner ta nuque. Je force tes lèvres à rencontrer les miennes. Je m’empare de ta bouche avec férocité, avec fureur. Par ce geste, je viens te signifier que tu es à moi. Et à personne d’autre. Je n’hésiterai pas à répéter ce petit manège si c’est nécessaire. « Je me sens libre. » que je dis enfin en frissonnant quelque peu. Le débardeur n’est pas très approprié pour ce mois de février. Et on ferait mieux de ne pas traîner ici. Mais c’est une autre pulsion qui anime mes veines, une autre énergie qui vient dicter notre danse macabre. Ma bouche s’imprègne de ton cou, mes dents viennent mordre doucement ta chair. « Prends-moi comme tu l’as prise. » Je veux être la seule. Je ne veux pas que tu te perdes dans d’autres corps, dans les yeux d’autres femmes. Je veux maîtriser chacun de tes gestes, remplacer chacun de tes accords que tu as commis avec elle par ma propre personne. Qu’importe la violence.  

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Le sang n’a fait qu’un tour dans mes veines quand la lame tranche la gorge de cette idiote. L’exaltation du moment s’imprégnait alors de moi, faisant alors monter d’un cran la fascination que je pouvais avoir pour ta personne. Tu étais pleine de surprise et pour le premier corps déchu, j’étais presque touché que ce soit par une certaine jalousie. Elle m’avait touché, elle avait donc trouvé la mort. Aussi simple que ça. Peut-être que je m’amuserais à toucher d’autres corps impurs pour te voir leur ôter la vie. Vision parfaite à mes yeux. C’est pour cette raison que je t’attirais à moi, avant de te bloquer contre le mur, mon corps épousant ainsi parfaitement tes formes. La chute de la dague résonne peu sur le bitume. Ce qui m’importe, c’est ta poigne autour de moi, tes lèvres sur les miennes qui faisaient passer un message clair et précis. Je le comprenais, comme je comprenais quasiment tout de toi. On était fait du même sang, des mêmes pulsions, et je répondais avec autant de férocité. Je commençais à soupirer à tes baisers fiévreux sur ma peau, à tes attaques de tes dents. Puis tes mots avaient leur effet. De toute façon, dès l’instant où le sang a coulé, l’effet était visible entre mes jambes. Tu étais la seule à avoir ce don où mes réactions sont instantanées.


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On se retrouve ainsi essoufflés, un peu hébétés et échevelés après ces retrouvailles fugaces. Je me rhabille rapidement avant de la regarder toujours au sol. « Faut qu’on se débarrasse d’elle, on ne peut pas la laisser ici. » Trop de preuves amoncelées. « Va chercher la caisse. » Je te commande ceci déterminée car ce sera plus commode pour ne pas attirer l’attention des autres. Alors que tu pars, je ramasse le mégot que tu as laissé sur le sol, ainsi que ma lame. Sans doute que coucher ici n’était pas la meilleure idée, mais on se doit d’avancer toujours plus dans nos enfers.

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Essoufflé et clairement satisfait de ce qui venait de se passer, je me rhabillais, te laissant le soin de faire la même chose. De toute façon, il était évident que ce ne serait pas la seule fois de la soirée. Je voulais faire durer les choses de nouveau, te montrer que tu étais la seule à me faire cet effet. Est-ce que c’est dingue de vouloir ça ? Te prouver les choses ? Je suppose que ce sont des choses “normales”. Bien que la normalité ne fasse pas vraiment partie de notre vocabulaire, surtout ce soir, quand on avait ton cadavre sur les mains à gérer. Ton cadavre, ton premier. Celui que tu as créé par pure jalousie. Rien que de le voir, un sourire naissait de nouveau sur mes lèvres. Tu as tué pour moi. Et cette sensation était purement divine. « Non. » On allait pas chercher la caisse tout de suite, c’était grillé vis à vis des deux autres putes présentes sur le trottoir. Elles savent qu’on a pris leur copine et pourront bien trop facilement nous reconnaitre. « Prépare ta lame, elle va servir de nouveau. » J’avais la mienne dans ma veste de toute façon, une chacune pour conclure cette soirée sanguine. M’avançant vers la rue, je sifflais les deux filles, les intimant de venir en secouant quelques billets comme appât. Une fois qu’elles commençaient à avancer vers nous, je me calais contre le mur, prêt à attaquer. « Prépare-toi. » que je chuchotais à ma moitié alors que les deux filles arrivaient. Ne me remarquant pas au premier abord, elles avançaient vers toi et je me plaçais derrière l’une d’elle en poussant l’autre vers toi. Sans un mot, j’égorgeais celle qui était ma proie, sans la toucher, juste en glissant ma lame le long de sa gorge, suffisamment profondément pour que l’artère soit sectionnée. Il suffisait que tu fasses la même, comme ça, on aurait qu’un seul cadavre à se débarrasser.


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Encore grisée par notre rapprochement, par ce crime que je viens pour la première fois de commettre. Je me précipite en me disant que nous devons enterrer les preuves. Le cadavre en fait partie naturellement. Et je me doute bien que mon geste aura des conséquences. Je n’ai pas pu faire autrement que laisser parler la fureur et d’ailleurs, tu n’as rien fait pour l’empêcher. Au contraire, tu as profité du spectacle. Je m’arrête net dans mon geste ceci dit, lorsque tu refuses d’aller chercher la voiture. Effectivement, ça ne fera qu’attirer l’attention des deux autres. L’espace d’un instant je les avais oubliées et c’est dans ces moments-là, que je me dis que j’ai encore tout à apprendre. Je viens incliner ma tête dans un signe affirmatif lorsque tu me demandes de préparer ma lame. Tu ne tardes pas à attirer les deux victimes en leur agitant quelques billets. Ce qu’on ne ferait pas, pour l’appât de l’or vert. Nous c’est un autre instinct qui nous anime et il est bien plus redoutable. Je viens poser la main sur ma lame, la glissant à l’arrière de ma taille lorsque tu viens me dire de me préparer. Pour la première, tu actes rapidement la fin. Un coup de lame bien placé ne lui donne même pas le temps de s’étonner. Je reste statique là t’admirer. Car oui, je t’admire. Tu n’es jamais aussi beau que dans cette violence. Et je pourrais te regarder encore et encore. Mais la deuxième panique, crie en s’élançant dans l’autre sens. Je la rattrape rapidement, frêle mais agile. J’attrape sa chevelure pour la plaquer violemment vers le sol. Aussitôt, je me mets à cheval sur elle. Elle tente de m’atteindre au visage, y parvient d’un poing ferme la garce. Une larme écarlate s’échappe de mes lèvres et je lui crache au visage, enfonçant mes phalanges dans sa gorge, jusqu’à lui donner envie de vomir. Prestement, j’abat la lame au centre gosier, endommageant profondément le larynx. C’est moins rapide mais elle ne peut pas crier et ça s’avère aussi efficace. Je passe un avant-bras dans ma chevelure pour la remettre en arrière, ma main étant ensanglantée jusqu’au poignet. Je me relève, la traînant jusqu’à l’autre. Ça va faire du monde pour le coffre. 


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L’appât de l’argent fonctionnait quasiment à tous les coups. Alors quand je voyais les deux corps élancés s’avancer vers nous, je retournais dans la pénombre, prêt à attaquer le premier. Elles arrivaient doucement mais sûrement. Les silhouettes se faisaient voir, se faisaient remarquer par nos deux paires d’iris aiguisés pour la soirée. Tu avais déjà tué et il était temps de remettre le couvert. Et crois-moi, je suis capable de te regarder tuer encore et encore. Si on était pas pris par le temps, je suis sûr qu’on aurait pu faire quelque chose de beau, de majestueux. Je te promets ça pour une prochaine fois. Sans aucune précipitation. Des meurtres prémédités, sans perdre de vue l’objectif à atteindre. Mais pas le temps de me perdre dans des rêveries morbides, la réalité m’appelle à gorge déployée. Les deux corps face à moi, je me place habilement derrière celle qui était plus proche de moi pour donner un coup de lame sec et puissant au niveau de sa gorge, laissant le sang couler le long de son corps, avant qu’elle ne tombe en avant, la tête la première. La vie s’extirpait de ce corps, et je te voyais me regarder, non sans fascination. Sourire sur les lèvres, t’admirant à mon tour, on était rattrapés par les cris de la deuxième. Mais tu t’en occupais et si j’avais pu, j’aurais regardé le spectacle entièrement. Seulement, j’en profitais pour aller chercher la voiture, remarquant le désert de la rue à présent. Tant mieux, que personne ne nous regarde, ça m’arrangeait pas mal. Coffre vers la ruelle, je me garais comme ça, l’ouvrant par la manette correspondant, avant de sortir de l’habitacle pour te voir tirer le troisième corps inerte. Remontant le capot du coffre, j’attrapais la bâche afin de couvrir tout le tissu de l’habitacle. Puis j’empilais les corps un à un, avant de refermer et m’approcher de toi. Bien que mes mains étaient pleines de sang, je les glissais sur ta peau, le long de tes joues pour capturer ton visage et t’embrasser sans aucune retenue. L’amour dans la mort, dans le sang et dans la violence. L’amour dans tous ses états. Je t’avais trouvée, mon âme sœur. Il n’y avait plus aucun doute là-dessus. « La pluie fera le reste du nettoyage. » glissais-je avant de quitter ton corps, t’invitant à rejoindre la voiture pour qu’on aille se débarrasser des corps. J’allais te montrer quelques secrets que j’avais, notamment sur comment ne laisser aucune trace, surtout avec trois corps.


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C’est folie. La même démence qui nous consume. Le même vice qui nous hante et cette violence qui nous embrase. Par le sang versé, le nôtre ne devient que plus vif. Œil pour œil. Dent pour dent. On s’affranchit de ces règles trop rigides, on abat cette barrière qui nous sépare des gentils moutons de Panurge. Non, nous on dictera notre destin à la force de nos poings, par le tranchant de notre lame. Et personne ne viendra se mettre sous notre chemin. C’est la bascule dans la folie pour certains mais je n’ai jamais eu cette impression d’être si forte, si lucide. Si libre. Quand bien même, mon âme s’accroche chaque jour un peu plus avec toi. Nos nuances nous peignent, du sang, des ténèbres, de quelques lueurs tout de même. L’amour, ne reste-t-il pas l’amour après tout ? Même lorsqu’il se déploie entre deux fous aux yeux du reste du monde. Je bascule sans remords, au contraire même, avec grande conviction, avec toi. Je viens traîner le corps de la troisième pute près des autres. Un tas immonde qu’on forme, de chairs, de vices, de destins fracassés. Elles étaient déjà mortes quelque part tu sais. On les a presque choyés en leur offrant ce cadeau, la libération ultime d’une lame. Pas le temps d’y penser, pas le temps de la redouter. La mort. On leur a offert, sur un plateau et elles devraient s’estimer heureuses. D’ailleurs, c’est un mince sourire qui emplit le charnu juvénile de mes lèvres. Un jour, moi aussi, je l’embrasserai. Et ce sera sans remords. Mais pour le moment, c’est toi mon Diable qui vient abattre notre serment, par l’embrasement de nos lèvres. Par tes mains écarlates sur ma chevelure claire, sur les miennes semblables qui passent autour de ta taille, pour jouer des reliefs, des stigmates qui témoignent de tes chaos sur ton épiderme. Là, je m’insinue. Dans ton corps, dans ta tête. Partout en toi. On subit la même pénitence.  Je t’observe charger les corps, t’aidant comme je peux, mais tu n’as pas réellement besoin de moi. « Les larmes du monde effaceront leurs remords. » que je commente d’un regard plus fixe alors que quelques gouttes sur nos silhouettes viennent s’abattre. C’est comme un pardon du ciel, comme un remerciement pour nos actes. Je te rejoins dans l’habitacle, observe ton profil déterminé alors que tu mets le contact. En route. Pour les enfers. Ce sont les trois mots qui m’embrasent les lèvres, de ceux que je ne prononcerai pas encore. Parce que les monstres comme nous en sont-ils seulement capables ? Pourtant oui, j’ai cette certitude au corps. Que chaque parcelle de mon être t’aime.


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C’était dans ces moments-là que je me sentais vivant. Plus vivant qu’entre tes cuisses. Plus vivant qu’avec mes proches. Le sang coule, se répand sur le sol et la vie quitte ces corps inanimés. Tout ce qu’on pouvait faire, c’était se débarrasser des corps et laisser la nature effacer nos erreurs, ou nos actes samaritains. Après tout, pour beaucoup, ces femmes représentaient le mal à proprement parler. Débarrasser la ville de Boston de ces femmes était alors une bonne chose. Quand les premières gouttes d’eau nous tombaient dessus, j’ai très vite compris que la nature était de notre côté ce soir. Sourire en coin, mon regard posé sur toi avant de dévier sur le sang présent dans cette ruelle. Tu avais pris soin de retirer toute preuve nous accablant et tu avais bien fait. Il ne nous restait plus qu’à déguerpir et se débarrasser de ces trois corps encombrants. Alors une fois le contact enclenché, on s’en allait, une direction précise en tête. Je ne sais pas si tu connais un peu comment ça fonctionne ici, mais je suppose que c’était pareil à New York. Les relations, l’influence. Tout avait une importance et je ne négligeais rien. Me rendant jusqu’à une boucherie, je me garais au niveau de l’arrière cour, avec un accès privilégié à l’intérieur. Il pleuvait des cordes à présent et ça serait un peu plus chiant de faire ce qu’on voulait correctement, mais au moins les preuves seront toutes détruites et c’était l’idéal. Ouvrant le coffre, j’apportais une brouette mise à disposition pour y déposer le premier corps. L’emmenant à l’intérieur, je t’intimais de me suivre pour voir ce que j’allais faire. Une table de boucher, des couteaux. Voilà que je me mettais à démembrer ce cadavre en plusieurs morceaux, afin de les hacher comme il se doit. Tout ce qui était cheveux, ça finissait dans un bac d’acide. Oui, c’était ma cuisine personnalisée, tu l’aurais compris. Et on a réitéré tout ça pour les deux autres corps, ne laissant ainsi aucune trace d’elles, si ce n’est cette chair dans des sacs. « Tu as une idée de ce que je vais faire de tout ça ? » te demandais-je doucement, mon corps se rapprochant du tien. Merde quoi, l’envie de te prendre ici était captivante mais j’avais d’autres plans pour toi, pour nous.


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