Breathe in, breathe out

Breathe

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C’est trop dangereux entre nous et c’était pas destiné à être aussi dangereux que çà de base mais là, rien ne va plus. Nous sommes partis ensemble pour deux semaines, et je ne sais même pas comment çà va se terminer tout ça. Franchement, parfois je me demande qui peut bien me passer par la tête pour jouer comme ça aussi dangereusement mais en même temps, c’est tellement bon de pouvoir s’amuser comme ça. Il fait froid et on aura clairement besoin de se réchauffer et pas forcément autour de la cheminée, vous voyez. J’en joue, j’en joue tellement, c’est abusé mais en même temps tu joues toi aussi très bien et on ne peut donc pas s’arrêter toi et moi. Tu me fais rire, je sais que tout ce que tu dis, tu vas finir par le faire, parce que mine de rien, même si on ne se connait que depuis Hawaii, je sais que tu n’as qu’une parole et c’est çà qui rend le jeu plus intéressant encore. Ah bon tu crois ? Je l’ai tout de suite vu la première fois qu’on s’est vus tu sais; que je te dis en rigolant. vraiment, je crois que c’est la première chose que j’ai vu chez toi, cet agacement et cette impatience qui trouaient dans ton regard et dans ta façon de te comporter mais c’est çà qui est tout aussi plaisant finalement. si j’ai aucune tenue, tu vas m’en tenir rigueur ou pas ? non j’ai des tenues, mais c’est pour creuser un peu plus, tu vois mais ps certaine d’avoir un maillot de bain pour le coup. Quand je pack trop vite ma valise, il se peut que j’en oublie des choses au passage. oui t’as besoin d’une invitation, parce que tu sais que tu pourrais avoir mon meilleur ami sur le dos après jamais je ne jouerai là dessus pour être honnête mais si je peux l’utiliser pour t’embêter un petit peu, je le fais volontiers. parfois je me demande vraiment si t’es un grand garçon et après je me souviens que ce que tu as dans ton pantalon reflète vraiment l’homme que tu es oh, bim, désolée mais j’aime tant jouer et je suis si proche de te faire flancher là. Ce serait tout de même malvenu de notre part que de coucher ensemble dès notre arrivée au chalet tu ne penses pas ? Je hausse les épaules, et fais la fière quand tu me dis que je ne suis pas un pot de peinture. Encore heureux. je montre déjà un bonne partie de moi comme ça, on n’est jamais déçus par la suite tu vois et çà fonctionne toujours. je suis toujours très contradictoire. Je te tire la langue et tu finis par te placer derrière moi. Oh, oui, oui tu joues et tu sais que çà me fais frissonner. Cet effet là, je le déteste mais tu attises la chaleur que je peux ressentir au fond de moi. t’es chiant que je te rétorque tout simplement quand tu me dis que ta chienne dormira avec toi. Voilà que je me mets à bouder faussement. t’en connais beaucoup des meufs qui dorment avec une nuisette et des trucs en-dessous ? Parce que moi j’en connais pas je te dis seulement la vérité, même si je sais que çà va encore plus te démanger. oui, il vaut mieux pour toi si tu souhaites aussi rester en vie j’éclate de rire en pensant à ce que Mahé pourrait te faire si jamais il m’arrive quelque chose. c’est du chantage monsieur te réponds-je avec un petit sourire tout en te laissant me retirer le haut. Je passe alors devant toi et retire finalement mon soutien-gorge j’ai hâte de voir si t’es un bon masseur que je te lance une fois sur le canapé. je suis un peu frileuse, alors chauffe tes mains avant sinon je vais avoir les tétons qui pointent

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Entre vous c'était tous feu, tous flamme. Il y avait cette électricité, cette forte tension qui pouvait vous embrasser en un instant. C'était un jeu dangereux. Tu n'avais pas réellement réflechi au fait que tu allais te retrouver seul avec elle, mais genre complétement seul, pendant deux semaines. Est ce que c'était un problème ? Vous n'aviez pas mit de mot pour définir votre relation, vous étiez plutôt des sexfriends ?! Tu avais spécialement choisi la montagne car dehors avec la neige, il faisait plutôt froid, c'était un bon prétexte pour devoir se réchauffer à l'aide de nos corps. Vous vous entendiez bien à la colocation et tu espérais que ça allait continuer lors de ce séjour. Tu étais finalement content que Milo t'aie appelé pour venir à Hawai, car ça avait été une belle rencontre. « Je vois, tu m'as analysé dés le début et sous toute les coutures à ce que j'entends. » Un sourire naquit au coin de tes lèvres. « La patiente sans aucun doute une de mes plus grande qualité bien sur. » Dis tu ironiquement en rigolant. Tu aimais avoir ce que tu voulais tous de suite, l'attente, ce n'était pas pour toi. « Si tu n'as aucune tenue, je vais devoir t'accompagner et me mettre aussi nu. Je ne vais quand même pas te laisser seule sur ce point là. Je suis un gentleman quand même. » Tu haussas les épaules innocemment. Si elle venait dans le jacuzzi nue, la température allait monter d'un cran d'un coup. « Parce que tu vas aller le voir pour lui raconter, ce que je te fais ? Même quand je te fais prendre ton pied ? » Parce que si tu t’imisser dans sa douche, c'est forcément ce qui allait se passer. Le meilleur c'est que Mahé t'avais envoyé un sms pour te demander de prendre soin d'elle, et pour te dire qu'il ne t'en voulait pas. « Content que mon anatomie masculine te plaise. Tu sais qu'elle va être à toi pendant deux semaines. » Elle avait lancé le sujet et tu ne pouvais pas y éviter. T'essayais de lui résisté et de la faire flancher, voyons qui craqueras le premier ?! Tu l'as senti frisonner et instinctivement tu te mis à sourire content de l'effet que tu lui faisais. « Je suis chiant ? Tu as cas dormir avec moi, comme ça tu ne dormiras pas seule. » Vous étiez deux gamins tous les deux, voila qu'elle boudait faussement, ce qui te mit à rire. Tu grognas de nouveau. « Géneralement les femmes qui dorment avec moi ne porte pas de nuisettes, elles ne portent rien du tout » D'ailleurs souvent quand elle te rejoignait dans ton lit, Elisa n'avait pas de vêtements, une tradition que tu n'avais pas envie de changer. « Evite de mourir en ma présente s'il te plait, ça foirerait bien les vacances quand même, après je serais un peu triste. » Tu hochas la tête, d'un air enfantin. « C'est pas du chantage ? Je veux juste savoir où se trouve mes intérêts. » Tu fis ton sourire en coin. Tu lui retiras le t-shirt pour le massage, mais tu lui laissas le soutif, histoire de ne pas craquer, mais elle choisi de le retirer d'elle même avec une phase qui te fis impulser ton sang dans tous tes membres. Elle avait finalement réussi à te filer une erection, même si tu avais essayé de te retenir. « Alors là je vais pas me gêner. » Tu viens t'assoir sur elle, au niveau de ses fesses, sans non plus l'écraser. Tu commenças à la masser au niveau des épaules et du haut du dos, tu y allais doucement et non comme un bourreau. « Alors tu pointes ?»

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C’est vraiment trop étrange entre nous, on passe j’ai envie de toi à je te fuis en un instant. On joue beaucoup tous les deux, on adore çà, et on est doués pour çà, alors comment faire marche arrière ensuite ? Impossible. Au départ je ne te voyais pas comme un plan cul ? Ni même comme un ami d’ailleurs, en fait, je ne te voyais pas comme une personne qui allait rester dans ma vie. T’étais le meilleur ami de Milo, un type que j’apprécie absolument pas, alors pour moi, tu n’allais faire qu’un tour à Hawaii et basta. Mais il a fallu que ce soit toi le type pour la colocation et finalement, je ne m’en porte pas plus mal. Je suis ravie que ce soit toi, et que ta chambre soit à côté de la mienne et je suis certaine que tu l’as fais exprès d’ailleurs. comme toi tu l’as fais une fois que j’ai ouvert la porte de ma chambre ne me dis pas le contraire, je me souviens encore de ce jour-là. Tu me regardais de haut en bas et t’avais qu’une envie, de pouvoir tout voir tout de suite et me mettre dans ton lit le plus rapidement possible. pourquoi donc me serais-je gênée alors que toi tu profitais bien de la vue que t’avais c’est un prêté pour un rendu, ni plus ni moins. Avec moi, tu risques de prendre goût à la patience que je te sors avec un petit sourire, seulement pour te faire chier un petit peu. je ne peux pas tout te dévoiler maintenant, tu n’aurais plus aucune surprise et tu te ferais bien chier après quoique, je suis certaine que tu trouverai quelque chose à faire et que tu ne pourrais pas te faire chier en ma compagnie. Je lève les yeux au ciel quand tu me dis que tu serais un gentleman et que tu te mettrais nu aussi t’as besoin que je sois nue pour te mettre nu… t’es pas très cool, même pas tu ferais le pas… çà donne matière à réfléchir mais surtout matière à t’embêter un peu. le jacuzzi, ce sera pour ce soir, à la belle étoile, ce sera encore meilleur crois moi, ce sera meilleure si on attend un peu avant de se mettre dans le jacuzzi même si je sais que t’aimerais pouvoir voir mon corps tout de suite. je lui raconterai que t’es vilain avec moi, pas ce que tu me fais, mais je pourrais lui dire que j’ai déjà pris mon pied avec toi… mais je ne dis pas ce genre de chose à Mahé, du moins, je sais que je pourrais, mais ce n’est pas trop mon délire, je préfère me plaindre si quelque chose ne va pas, ou si je ne prends pas mon pied par exemple mais pas le contraire. Je baisse les yeux, et passe ma langue sur mes lèvres avant de remonter le regard et de le poser dans le tiens mais peut-être que j’en aurais pas envie laissez moi rire, tu seras bien plus vite que prévu dans mon lit, ou sur la peau de bête qu’il y a devant la cheminée mais pour le moment, je ne flanche pas, il est hors de question que je fasse ce pas, surtout pas pour que tu puisses être content après. pourquoi tu veux absolument dormir avec moi ? t’as vraiment besoin de quelqu’un pour te border c’est ça ? Te faire un bisou et te lire une petite histoire ? que je te dis en plaisantant. Ne me force pas, tu auras ce que tu veux mais pas la peine de forcer les choses. les nuisettes donnent une très belle allure pourtant et j’en ai tout un tas. J’adore les porter, même si je débarque souvent sans rien et que je n’ai rien non plus quand tu t’approprie mes draps parce que je sais que tu vas venir. Je ne réponds rien quand tu me parle de ton chantage et retire simplement mon soutien-gorge. Une fois sur le canapé, une fois sur moi, je peux sentir cette bosse qui c’est déjà formée, collée contre mes fesses. seulement parce que je sens que t’as déjà bien chaud et que tu commences à être dur. je me mords la lèvre je suis un peu tendue, faut enlever les noeuds plus haut stoplait fait moi voir ce que tes mains peuvent faire sans penser au sexe t’as les mains froides et ma peau frisonne sous les gestes de tes mains.

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Avoir quelqu'un à ta taille pour jouer le même jeu que toi, c'était plutôt pas mal, au moins tu étais sur de ne pas t'ennuyer. Finalement prendre des décisions hâtives, ça t'avais réussi. Et la colocation aussi était plutôt quelques choses qu'y t'avais réussi, en tout cas tu ne regrettais pas la pure cohincidence du fait qu'elle avait sa chambre prêt de la tienne. « Je voulais savoir à quoi m'attendre avec toi, et je dois dire que je n'ai pas été déçu. » Tu observais souvent pour analyser les gens et elle tu l'avais analysé sous toutes coutures pour savoir dans quel sens la prendre ? Tu aimais avoir tous, tous de suite mais après tu te lassais assez vite. « Et quelle vue j'ai eu. » Tu sifflas avant de rigoler. « Je ne sais pas si c'est une bonne chose ça. » Tu fronças les sourcils, la patiente, se mot qui t'agressait à chaque fois que t'y pensais. « Je suis sur que tu es pleine de ressource. Je n'arriverais pas à m'ennuyer avec toi. » Avec toute cette conversation, tu n’arrêtais pas de l'imaginer nue, ton imagination tournait à plein régime. « Non, d'ailleurs j'espère que tu n'as pas peur de voir le loup, je vais surement me balader nu, tu n'auras cas mater à ta guise. » Tu lui fis un clin d'oeil en rigolant, c'est vrai qu'avant la colocation, tu avais tendance à te balader nu comme un vers mais tu habitais seul. « D'accord, ce soir alors. » Tu vois, tu allais finalement attendre pour le jacuzzi, tu savais te montrer un peu patient parfois, tu te résignais surtout mais tu savais que tu allais la voir tôt ou tard dans la tenue qu'elle t'avait concocter. Tu lui fis un sourire en coin, c'est clair que votre pied, vous l'aviez prit plus d'une fois. Tu avais juste signifié à Milo qu'Elisa avait le don de t'allumer et il t'avait dit qu'il ne voulait pas de détail là dessus. « Vraiment ? Mais ce serait vraiment dommage ça. » Tu savais qu'elle déconnait, enfin tu espérais car si tu devais passer deux semaines avec elle et dormir avec elle sans pouvoir la toucher, ça annonçait la frustration à dix mille pas. « Tu sais que je dors nu ? » Peut être que ça allait insistait à venir dans ton lit. C'était ta dernière attaque après tu lâchais l'affaire, enfin après tu t'imposerais surtout dans le lit qu'elle va choisir. « Ouais, les nuisettes ça rend les femmes très sexy » Tu passas ta langue sur tes lèvres, elle jouais avec tes nerfs, mais tu ne savais pas si tu allais avoir le temps de la voir avec cette panoplie, car tu avais tendance à les lui retirer rapidement, la rare fois où elle en avait. La voilà torse nue sur le canapé, alors tu ne te gênas pas pour t'assoir sur elle, collant en passant ta bosse contre elle. « A qui la faute si je deviens dur ? Tu n'as pas arrêté de m'allumer » Tu étais aussi entré dans son jeu mais tu étais un joueur né. Tu lui massais les épaules en essayant de lui enlever ses nœuds, tu avais une pote à toi qui était masseuse et elle t'avait montrer comment faire, car les filles adoraient, même si tu n'avais pas besoin de ça pour choper. « Si tu pointes, c'est pas parce que mes mains son froide. Et puis c'est toi qui a chaud, je le ressent jusqu'ici. »

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Je ne vais pas trop ce qu’il se passe et je ne veux pas trop réfléchir à tout ça mais c’est bien la première fois que je remets le couvert plusieurs fois avec le même homme. Mais avec toi, je suis obligé de remettre ça, je suis obligé de céder parce que même si on joue le même jeu tous les deux, et que j’essaie toujours de te tenir tête, c’est impossible de ne pas céder. Il y a une attraction beaucoup trop forte entre nous et c’est ce qui rend notre relation unique. mais chaque jour est une surprise mon grand, parce que j’ai beau en dévoiler un petit peu à chaque fois, je te montre toujours autre chose le lendemain. je te fais un clin d’oeil. C’est la vérité finalement, j’aime en dévoiler un peu et finir par dévoiler tout autre chose après coup. Je n’ai pas envie d’une routine et de banalités, et avec toi, je sais que je ne m’ennuierai jamais. la meilleure qui soit je sais, et je sais que tu affectionnes tout particulièrement ma poitrine, en même temps, je ne peux guère te blâmer est-ce que ce n’était que du sexe entre nous ? Est-ce qu’il n’y avait pas plus que çà ? Cette attraction pouvait parfois être déconcertante, il fallait bien l’avouer. mais si mais si, ne soit pas si défaitiste apprends à prendre ce qu’on peut t’offrir, apprends à attendre et à savourer ce que je peux te donner. Je hausse les épaules, fais la fière et te fais un petit sourire en coin Pour le coup, je suis d’accord avec toi. Comme quoi, on peut parfois être d’accord tous les deux ouais, je me lance quelques fleurs, il faut de temps en temps. tu ne peux pas t’ennuyer avec moi, et pour l’instant tu l’as bien vu petit clin d’oeil, je suis sure de moi pour le coup mais je pense que tu l’as déjà remarqué. J’arque un sourcils comme tu me demande si je n’ai pas peur de voir le loup puisque tu as décidé que tu allais te balader la plupart du temps à poil tu n’as pas peur que Nova te la croque à un moment ? que je te dis, un petit rire traversant ma bouche je l’ai déjà vu ton sexe, tu crois qu’il me fait peur ? balade toi nu, je pourrais en faire tout autant et j’en profiterai, sois-en certain. Je ne vais pas me gêner. Je te fais un petit sourire en coin alors que tu me sors que tu dors nu, oui je le sais, mais crois-tu que cela va me faire flancher ? tu crois que c’est en me disant cela que je vais flancher peut-être ? on verra, apprends à apprécier l’effet de surprise voyons. Tu devrais savoir maintenant que j’aime bien te surprendre. oui, et elles me rendent vraiment très sexy, y’a rien à dire là dessus je joue avec toi, je sais que tu vas finir par flancher plus vite que moi. Ne cherche pas, à ce petit jeu, je suis meilleure que toi. Tu as d’ailleurs déjà une belle bosse de former. parce que tu es faible et que je suis meilleure que toi à ce petit jeu te lance-je fièrement, accompagnant mes dires d’un petit sourire en coin que tu ne peux même pas admirer. Un bon massage, voilà qui me faisait le plus grand bien. T’étais plutôt doué avec tes mains t’es plutôt doué avec tes mains que je te lance, pour t’embêter et en rajouter une couche tu sais faire quoi d’autre ? je sais ce que tu sais faire d’autre, mais c’est terminé pour toi, je sais que tu vas pas réussir à garder ton calme maintenant. Je bouge et te pousse pour me mettre sur le dos et regarder le plafond. Oui, je te laisse profiter de la vue de mes seins. j’ai froid

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Les filles généralement passaient dans ton lit, un soir parfois deux ou trois mais pas plus. Avec Elisa c'était différent, vous couchiez ensemble depuis déjà un petit moment et tu ne t'étais pas lassé. Entre vous c'était beaucoup de physique mais il y avait aussi une alchimie, ce jeu perpétuelle, et tu aimais beaucoup ça, d'ailleurs, elle t'avais fait ralentir ton rythme, car tu ne baisais presque plus, toute les filles qui passaient, tu allais là voir car tu savais qu'avec elle tu allais t'amuser et que tu pouvais être là le lendemain. A ses sms tu avais sentis qu'elle n'était pas bien et c'est pour ca que tu l'avais emmené ici, que tu était parti avec elle. Tu avais envie de lui remonter le moral, et surtout tu n'avais pas envie qu'elle se sente invisible, car elle ne l'était pas. « Tu sais au début j'ai pensé que tu étais bipolaire mais en faite c'est ton caractère. Et j'aime bien ça ! » Un sourire au coin des lèvres, tu lui fis toi aussi un clin d'oeil. Tu n'avais pas peur de lui dire ce que tu pensais. «En même temps tes seins sont magnifiques, je vais pas craché dessus. Si tu me la mets sous le nez, je me sens obligé de regarder. » C'est une des partie de son corps que tu préférais, bien sur il n'y avait pas que ça. Elisa c'était la tentation même, et tu avais beaucoup de mal à lui résister. « J'accepte de patienter, car je sais que le jeu en vaut la chandelle. » Tu trouverais bien de quoi t'occuper en attendant. « J'ai bien vu oui. Tu es pleine de ressources. Et je suis sur que tu as des talents cachés. » Tu étais sur qu'elle avait des petits secrets qu'elle gardait pour plus tard. Elle avait une certaine part de mystère que tu avais envie de découvrir. C'est vrai que tu ne t'étais jamais baladé nu depuis que tu avais Nova, tu n'en avais pas eu l’occasion, d'ailleurs tu perdis ton sourire n'ayant jamais pensé à cette éventualité, Tu cherchas ta chienne du regard pour lui lancer un regard désapprobateur avant de lui caressait la tête. « Tu es prié de ne pas croquer dans le sexe de papa ! Sinon après Elisa elle va être toute triste. » Tu pris Nova pour lui faire un calin, tu étais completement gaga avec elle. Puis tu reportas ton attention sur Elisa. «C'est vrai qu'il ne te fait pas peur. Il te fait plutôt un tout autre effet .» Tu lui fis un clin d'oeil en riant. « Je l'espère au moins » Tu haussas les sourcils en la regardant droit dans les yeux, puis elle te parle de nuisettes et tu l'imaginais très bien dedans. « J'ai hâte de te voir te pavaner dans toute tes nuisettes, et pouvoir te les enlever une par une tout les soirs. »

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Je ne sais pas ce qu’il se passe entre nous, c’est vraiment trop bizarre et je ne pourrais même pas mettre un terme sur cette relation que nous avons toi et moi. On pourrait bien dire que nous sommes sex friends, que nous sommes juste deux amis, deux colocataires en train de profiter des plaisirs de la vie mais il y a un truc en plus, je peux le sentir, mais je ne sais pas si toi tu peux le sentir. Quoiqu’il en soit, j’ai décidé de te suivre, non pas pour changer d’air et t’utiliser mais pour profiter de ce moment à nous, pour pouvoir en savoir plus sur toi. c’est bien beau de coucher ensemble, mais j’ai envie d’en savoir plus, de voir ce que tu peux cacher tu vois ? Je devrais peut-être pas penser comme ça, je devrais peut-être juste profiter de l’instant, mais je suis une fille après tout, et j’ai besoin de comprendre ce qu’il se passe. Et là, je comprends vraiment rien à ce qu’il se passe, et j’aimerai juste pouvoir remettre mes idées en place. J’étouffe un rire, moi bipolaire ? ouais, çà aurait clairement pu être le cas mais non, j’ai mon petit caractère et je me fais désirer t’aime bien ça ? Alors je devrais continuer à me faire désirer et ensuite à te montrer ce que je veux, c’est ça ? je te fais un petit clin d’oeil, avec un petit sourire en coin. Et oui, je ne suis pas bipolaire mais j’ai un vrai petit caractère, je suis un bout de femme bien folle, alors il faudra t’y faire. ah tu penses qu’en me faisant des compliments sur ma belle poitrine tu auras quelque chose ? ouais, tu auras clairement quelque chose, mais attention, ma poitrine, tu dois en prendre soin, parce que je ne l’a montre pas à tout le monde non plus. t’as pas peur, c’est bon à savoir, et c’est plutôt sexy que je te lance avec un large sourire. Çà me plait, ouais, tu vois, tu me plais, et tout ça, çà me plait. Le cadre, le fait que tu m’aie demandé de venir avec toi, le fait d’être là, le tout quoi, c’est tellement… déstabilisant. tu seras surpris de connaitre mes talents cachés il faudra un petit peu de temps, mais tu finiras par connaitre quelques petites choses, sois-en certain. Je me mords la lèvre et te regarde, amusée en t’écoutant parler à ta chienne elle pourrait prendre ton sexe pour une grande saucisse écoute j’étais bien obligée de te la sortir ça, oui, il le fallait, tu m’as mis la carotte juste sous le nez, j’y peux rien. Je regarde finalement Nova et lui lance un baiser au loin je serais triste oui, mais je t’en voudrais pas je te regarde finalement avec un petit air coquin. du moment que tu les déchires pas quoique, tu pourras faire tout ce que tu veux.

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Votre relation était non définit, tu ne savais pas comment vous définir.Tu l'aimais beaucoup et la voir fragile t'avais perturbé, si bien que tu lui demandé de partie avec toi. Tu ne l'aurais pas demandé à une simple amie, peut être à ta meilleure amie Meluzine et bien sur Katalia aurait suivit, car l'une n'allait jamais sans l'autre. Depuis que Milo t'avais mit en tête de réfléchir sur ce que tu ressentait pour Elisa, ton esprit c'était bien embrumé, enfin ton esprit était clair, aucun sentiment, surtout avec une fille comme elle. Une séductrice comme toi, c'était d'autant plus flippant. Y avait un truc chez cette fille qui t'attirais plus que nécessaire, mais ça tu ne l'admetrais pas.De toute façn, vous étiez là seulement pour passer du bon temps, rigoler et se changer les idées, Juste profiter du moment, et faut arrêté de réfléchir comme tu le fais, juste profiter, et tu comptais bien profiter avec elle, même si elle se faisait désirer, tu aimais quan ce n'était pas trop facile non plus, sinon ça gâche un peu tout. « J'aime quand il y a un peu de difficulté. ça rend le jeu plus amusant ! Et qu'est ce que tu veux ? Qu'est ce que tu attends de moi pendant ce séjour ? » Tu savais déjà ce qu'elle voulait, car tu voulais la même chose soit satisfaire ses désirs. Tu avais juste envie de l'entendre le dire, l'entendre dire qu'elle te désirait, car en si peu de temps, elle était devenue un vrai fantasme pour toi, malgré que tu puisses l'avoir quand tu avais envie, enfin presque, fallait aussi qu'elle en est envie. Tu louchais sur sa poitrine en te mordant la lèvre comme si tu avais une vision à rayon x et que tu pouvais voir à travers ses vetements. « Rien que d'en parler, ça me donne envie de plonger ma tête dans ta poitrine. » Tu l'aurais probablement fait si elle avait porté un decolté, mais elle portait un col roulé, qui moullait trés bien ses formes. Tu souris en entendant qu'elle te trouvait sexy, même si ce n'était pas une nouveauté, tu es sexy, mais dans sa bouche à ça sonnait si bien. Ses talents cachés tu avais hâte de les découvrir, tu espérais seulement que ce ne soit pas, qu'elle était ultra casse couilles, ou des choses du genre. Nova vous regardait comme des extraterestres, et Elisa qui parle de saucisse, tu levas les yeux au ciel. Tu te redressas pour attraper la main d'Elisa et la posa sur la bose dans ton pantalon. « Tu vas me dire que ça te manquerais pas ! » Tu rigoles avant de te détacher d'elle. « Alors là je peux pas te le prometre ! Tu sais que je ne me contrôle pas, j'aime quand c'est sauvage. » Tu lui fis un clin d'oeil.

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Qui aurait pensé que notre attraction serait aussi forte que çà ? Pas moi en tout cas. Je me souviens encore du jour ou t’as débarqué à Hawaii, pour que Milo puisse être tranquille avec mon meilleur ami. Je l’avais mauvaise, et je t’avais même toisé de haut en bas. Je ne voulais pas te le montrer, je ne voulais pas faire la fille faible, mais je t’avais tout de suite trouvé mignon. On avait passé de bons moments ensemble, et on avait découvert qu’on serait colocataires au retour d’Hawaii, comme quoi le monde pouvait être petit mais bien fais. que tu arrêtes de poser autant de questions et que tu apprennes à laisser faire les choses, et à laisser faire la surprise aussi je te fais un clin d’oeil, tu t’attendais certainement pas à ce genre de réponse, mais tu m’as posé la question, et t’as eu ta réponse. apprends à profiter de l’instant, et tu verras que tu apprécieras encore plus si j’étais du genre impatiente, avec toi, çà pouvait être tout le contraire parce que j’aimais jouer, j’aimais voir à quel point tu pouvais si impatient, et si demandeur, mais c’était plaisant et drôle à la fois. Je te désire, mais tu le sais déjà, sinon, on ne coucherait pas autant ensemble à l’appartement, on ne passerait pas autant de temps ensemble. Et je pense qu’on passe même beaucoup trop de temps ensemble et que çà en devient réellement dangereux. Et tu penses que le jeu en vaut la chandelle ? Oh, je sais que tu adores ça… t’es bien l’un des seul à toujours passer ton temps au lit à plonger la tête dedans oui je crois que t’es vraiment le premier à toujours faire ça à chaque fois qu’on se retrouve en tenue d’Adam et Eve toi et moi. Je te fais un petit sourire en coin, parce que pour cette fois, tu ne gagneras pas puisque je porte un pull en col roulé, mais il moule assez bien cela dit. Tu prends ma main pour la placer sur la bosse qui est en train de se former dans ton pantalon tu dois être à l’étroit dis moi je te tire la langue avant de te faire un large sourire.

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Si tu devais choisir un des sept péchés capitaux pour vous définir, tu choisirais la Luxure. En un claquement de doigt, elle avait rendu ta vie beaucoup plus amusante. Depuis hawaii les choses avait changé pour toi, maintenant tu vivais en colocation avec Elisa et d'autres personnes. Elisa était de loin ta préféré, vous aviez une relation sans définition. Tu essayais de te dire que rien n'avait changer et qu'avec elle c'était juste pour le sexe, mais que vous étiez aussi de bon pote puisque vous rigoliez souvent ensemble, mais tu t'étais déjà retrouvé à refuser de rentrer avec une fille car tu avais envie de la retrouver dans son lit. ça n'était jamais arrivé avant l'arrivé de la tornade blonde, tu avais mit ça sur le fait que les femmes ne te plaisaient pas forcément physiquement mais est ce que c'était la seule excuse ? Tu souris quand tu sentis qu'elle évitait soigneusement ta question. « Il faut que je me laisse porter par les évenements alors, pour voir ce qu'il nous attends. » Ce n'était pas vraiment la réponse que tu attendais en effet mais c'était une réponse qui te fis sourire. L'impatience est un vilain défaut et toi tu en était remplis, on t'avait toujours tout donné tout de suite, c'est pour ça que tu n'aimais pas attendre non plus. Tu avais juste à demander pour que tes parents t'offrent ce que tu demandaient surement parce qu'il n'était pas présent pour toi. Tu avais toujours été l'enfant roi, finalement tu le portais bien ton nom de famille. Même les femmes, tu avais juste besoin de leur faire un numéro de charme pour qu'elles craquent. Partie en voyage avec Elisa et seulement elle, c'était une première pour toi, ça ne te faisait pas peur, mais tu ne savais pas ce que ça voulait dire en sois. Et ce que vous aviez vraiment besoin de poser un nom dessus ? Tu avais juste eu envie de lui faire plaisir, en l'emmenant loin de Boston et maintenant vous étiez coincé tout les deux ensembles pendant deux semaines, mais est ce que c'était négatif ? Pas vraiment. Ses seins, et quels seins ! Les seins étaient aussi un organe de plaisir et tu avais pris l'habitude de plonger la tête dedans ou de jouer avec, un de tes passes temps favoris. « C'est juste que tu as une jolie poitrine. ça ne te déplait pas ? » En tout cas elle ne c'est jamais plaint de toi la dessus. Quelle connerie c'est col roulé quand même, il te frustrait et ce n'est pas la seule chose qui te fruste, ton pantalon était en effet devenu un peu serré, à l'étroit c'est le mot et tu te mordit la lèvre alors qu'elle faisait l'enfant.

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