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red line, wagon n°1 ► impact fort

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Sofia Dunn-Aguera
La Doyenne
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Aidé par d'autres personnes, les flammes commencent à dépérir et je jette mon extincteur quand je vois les portes s'ouvrir. Je laisse les autres finir avec tout ça. Je n'ai qu'un seul but retrouver, Dimitri et Lydia. Je rentre à l'intérieur du Wagon jetant un coup d'oeil à mon père pour lui montrer que je ferais attention. Je baisse mon écharpe placée sur ma bouche la fumée un peu dissipée et je longe le wagon du mieux que je peux. Le spectacle est macabre, horrible, pire que dans toutes les scènes que j'aurais pu m'imaginer. L'adrénaline me fait avancer, car j'ai juste envie de vomir et la nausée ne semble pas redescendre. C'est bien pire que tous les cartels de drogue sur cette terre. Il n'y a que l'agonie qui se fait entendre. «DIM ! LYDIA  !» Je scande leurs noms en espérant une réponse, mais je n'attends que de l'écho. Je souffle un moment en me concentrant en avançant encore un peu jusqu'à ce que je tombe sur l'image que je me refusais jusqu'à présent. Il est là, empalé comme un vulgaire chiffon. Je trébuche, je cours comme une défoncée vers lui. Je m'arrête un moment devant lui stupéfaite. Je tends mes bras vers la barre de fer. «BOUGE PAS ! je vais te sortir de là.» Le sang se déverse abondamment à ses pieds en créant un nouvel océan complètement atroce. Il semble être dans les vapes, ma tête part en cherchant une solution impossible. Il n'y a rien à faire, si je tire, si je tente de le bouger, la situation va se détériorer. «QUELQU'UN MERDE, J'AI BESOIN DE QUELQU'UN ICI.» Je prends son visage entre mes mains. «DIM', reste avec moi, RESTE AVEC MOI.» Mes larmes se rabattent sur mon visage. «Dim'...»  Ses yeux révulsent et il tombe dans le noir. «Réveille-toi...va-t’en pas. » Je tapote un peu son visage avant de lâcher un crie complet de rage et toutes les larmes possibles dans la même intensité. Et je reste contre lui, sous le choc de le voir ainsi, le protégeant du reste des évènements, protectrice de mon amour envolé. Parce que je l'avais promis et même dans la mort j'aurais voulu l’accompagner.

@Dimitri A. Marriott-W @Daryl Nicholson
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Aucune nouvelle de Cléolya. Je n'entends rien. Je n'entends pas sa voix et ça me rend fou. J'arrive cependant à sortir mon téléphone de ma poche, comme si j'avais envie de dire aurevoir, parce que je me sens partir. Sauf que je suis incapable de choisir la personne que je veux appeler. Je pense à ma fille, que je suis en train d'abandonner encore une fois. Mais je suis capable que d'appeler le dernier numéro appelé, c'est à dire Aubrey, et clairement ça me va aussi. J'ai envie de lui dire au revoir, sauf que je suis incapable de dire quoi que ce soir. Je l'entends à travers le téléphone. Mais mon énergie est focalisé sur le fait de survivre. Je sens mes yeux se fermer, alors que j'entends une voix si familière crier mon prénom. Je vois Aubrey toucher cette barre et je me crispe. " Aub... " Je suis incapable de prononcer son prénom entièrement. " Thais... " Et je n'arrive plus à lutter contre mes yeux. Ils finissent par se fermer, n'entendant même pas le cris de détresse de la jeune femme.

@Aubrey Nicholson
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L'ambiance avait quelque peu changée. En effet, tout le monde était paniqué tandis que des personnes moins blessées commençaient à venir vous sauver. Du moins à vous faire signe que nous n'étiez pas seuls dans cette merde. Quant à toi, la barre de métal avait perforé ton flanc gauche rendant chaque mouvement impossible à faire. Tout ce que tu avais pu faire, c'est restée allonger au sol, tendant de refermer les mains autour de la barre pour empêcher que ça saigne encore plus. Évidemment, cela ne suffisait pas, tes phalanges et tes mains étaient tâchés de liquide rouge qui avait coulé sur tes vêtements. Ian avait tu ne sais pas quel miracle réussi à te rejoindre. Cela voulait dire que vous étiez dans le même wagon depuis le début de l'accident. bref, tu essayais de lutter pour éviter de t'endormir. Sa présence te rassurer un peu plus, essayant de capter son regard pour éviter de tomber une nouvelle fois dans les pommes. Rien que le fait qu'il te touche le visage suffit à faire ralentir les battements de ton coeur ainsi que les tremblements de ton corps. « j'essaie.... » Tes yeux parcourent sa tête, découvrant les tâches de sang. « ta tête ... » déplaçant ta main, tu attrapes le haut de l'homme de trente-cinq ans entre tes doigts comme pour lui faire savoir que tu étais toujours de ce monde. Un homme qui semblait avoir un bras non fonctionnel pour le moment tente de vous aider @Chad.W. Miller mais tu préférais économiser tes forces afin de ne pas saigner encore plus abondamment. Tu sentais tes yeux devenir de plus en plus lourd ...

@Ian S. Castellano @Chad.W. Miller

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L'inconnu nous a rejoint et propose son aide, un geste qualifié d'humain alors que d'autres se ruent sur les portes dans l'espoir fou de se sortir de cet enfer sans se soucier de ceux qui sont à terre. Des crevards qui ne répondent qu'à leurs instincts primaires, à leur cerveau reptilien.  
" Je vais vous aider, enfin essayer avec mon seul bras. Les secours arrivent, je crois bien. Mais faut aussi ouvrir ces portes…" Et il ne m'apprend rien puisque c'est ce que je lui avais soufflé avant de croiser du regard la silhouette de Fionna. "  Si eux n'y arrivent pas, personne ne s'en sortira " . Parce que ce ne sont pas un manchot et un mec à la limite du malaise au moindre effort qui feront le poids et j'ai curieusement d'autres prérogatives maintenant que je les sais au-dehors à s'occuper des portes.  

« j'essaie.... » Elle a murmuré malgré la souffrance, a même osé un geste qui aurait pu rajouter à sa douleur en posant sa main sur moi. « ta tête ... ». Du superficiel qui n'est rien face à son traumatisme à elle. Mes doigts se sont refermés sur sa peau, sa main ramenée contre elle. Mieux vaut qu'elle évite de bouger le temps que l'on trouve tous les deux le moyen de la déloger d'ici. Un regard en amont sur le point d'ancrage de la barre qui la transperce et un autre vertige m'a subitement pris. La triste vérité c'est que je ne pourrais jamais me mettre sur mes deux jambes afin d'atteindre la fixation sans m'écrouler. Lentement mes doigts sont allés chercher ce que ma poche recélait de secrets: un couteau de poche bien utile dans certains cas, et l'ai fait glisser à notre étranger. " Dévisse la pendant que je la maintiens. " Il est le seul à pouvoir se tenir debout assez longtemps et moi, le seul à pouvoir tenir fermement l'objet de sa plaie le temps qu'il opère de son coté, un partage judicieux des tâches. Alors le temps qu'il se prépare, j'ai tiré sur mon t-shirt encore intacte pour voir le tissus se déchirer, si facilement et sans retour, comme les chairs ici et là éparpillées... Le bout d'étoffe a été appliqué avec soin, entourant la barre et faisant pression sur la plaie, une main serrant l'objet et l'autre apposée sur la blessure.


@Fionna C. Rowling @Chad.W. Miller
BLESSURE: Le choc te projette en arrière, l’arrière de ton crâne se fracasse contre la vitre, créant une ouverture profonde qui saigne abondamment.
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Je regarde longuement @Fionna C. Rowling pour ensuite écouter les paroles de @Ian S. Castellano. Bonn très bien, mais, oui, il avait assez raison, je souris légèrement. Je me rapproche encore plus d’eux, pour ensuite m’exécuter aux paroles de celui-ci. Je dévisse aussitôt la barre à une main, car je n’avais pas vraiment le choix dans ma condition. Après quelques minutes, je viens aussitôt tenir mon bras en douleur. Mais je continuais à dévisser, je devais les aider et surtout ne pas traîner. Je regarde @Fionna C. Rowling elle devait tenir bon, j'allais l’aider le plus que je pouvais. J’espérais que la situation n’allait pas empirer, mais j’étais toujours attentif à celle-ci. Je viens aussitôt à sa hauteur, pour ensuite examiner longuement la situation. Je me demandais déjà comment tout cela allait se finir.
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les portes enfin ouvertes et bloquées, le feu plus ou moins maîtrisé. on se hisse tous à l'intérieur pour chercher des proches.
j'espérais que ma fille ne soit simplement pas là dedans. en voyant les gens s’éparpiller, je suis aubrey qui se met à crier.
ne pas laisser se submerger par les émotions et la détresse. dimitri est mal en point. « ne le secoue pas, ma puce. » que je dis en posant ma main sur son épaule. « et ne crie pas non plus, tu ne l'aides pas. »
je me pose à côté d'elle. « ne touche pas la barre, et garde le dans une position où il ne peut pas s'étouffer. ne le bouge surtout pas. » je prends la tête de mon gendre, comme j'aimais l'appeler. je cale mon genou contre ses épaules. « pose toi là, la tête sur ta cuisse et tends celle-ci contre son dos, attention à la barre. et parle lui doucement, chérie. les secours arrivent, essaie de le maintenir conscient. » je lui fais un baiser sur la tempe avant de partir à la recherche de sa sœur. « je vais trouver lydia, ne bouge pas. » que je lui dis en la pointant du doigt alors que je regarde le chaos et  le sang qui jonche le sol rend les manœuvres bien plus désagréables.
apercevant finalement une silhouette inerte puis une seconde.
une seconde qui me retourne le cœur. non, ça ne peut pas. « camille ? » que je dis doucement en tombant à genou près d'un mec surement et de ma petite blonde. « ok. »
je souffle en posant mes doigts sur la nuque du gars en premier. faible mais en vie. je lui ouvre les paupières. inconscient complet. il a besoin de secours immédiatement. « J'AI BESOIN D'AIDE ICI. URGENCE ! » que je gueule de tout mon soul avant de poser mes doigts, cette fois plus tremblants, contre le poignet de camille. « hey, chérie. » que je dis doucement en essayant de ne pas la déplacer, ni trop la toucher, dégageant un peu son visage de ses cheveux, la sueur perlant son front.
je souffle, le cœur battant. « c'est daryl, mon ange. est-ce que tu m'entends ? »
m'asseyant finalement à côté du gars, du quel je surveille le souffle qui est si saccadé, je pose délicatement la tête de camille sur ma cuisse, attrapant leurs mains liées dans ma grosse paluche. j'ignore pourquoi ils se tiennent la main, et à vrai dire là, sur l'instant T, je m'en bas les couilles. « ok, on va rester ensemble jusqu'à ce que les médecins arrivent. »
la vue de cette barre me transperçait le cœur, je n'imagine pas la douleur et la peur qu'elle a eu. tout comme marque les vêtements et hématomes qui se forment déjà partout. « je suis là, je suis là. » que je dis légèrement impatient, tapotant les doigts de camille. balayant le wagon du regard pour choper le premier médecin qui pointe son nez.

@Aubrey Nicholson @Dimitri A. Marriott-W @Camille Ainsworth @Wyatt O. Hunter
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les minutes sont semblables à des heures. s'éternisent. bien trop longue quand on ressent ce genre de douleur. elle voudrait que tout s'estompe, ne plus ressentir. ne plus avoir mal et dans la pagaille autour d'elle, elle ne reste capable que d'écouter son corps meurtri. si tu le dis elle n’a pas la force de rire ni de contester. pourtant, les mots sont idiots. la mort n’a rien à voir avec la beauté, jamais. c’est pas si moche glisse dans un murmure, les derniers mots qui se fondent dans le vacarme, ses prunelles qui se ferment une nouvelle fois. elle n’y arrive plus, n’est plus capable de lutter, n’entends pas les derniers mots qui jaillissent de sa bouche. peut être que c’est ça la fin. le noir complet, l’arrêt sur image. c’est calme soudainement, comme si tout s’était estompé. plus de cris, plus de larmes, même la douleur qui semble s’en aller un court instant. voix tonitruante qui semble venir de loin, qu’elle peine à reconnaître sur le moment. elle sent le contact, les doigts sur son visage. grogne légèrement à sa question, la douleur qui refait soudainement surface. je.. les mots semblent rester coincés dans sa gorge, ses doigts qui se serrent un peu plus sur la main qu’elle avait attrapé. le corps lui semble trop froid à moins que ça ne soit le sien. elle ne sait plus. ses grands yeux verts qui s’ouvrent quelques secondes, gémit quand on trébuche sur sa jambe. mickey.. y avait son frère ici, c’était son frère qu’il fallait aider. pas elle, lui.

@Ji-Sung Lee @Daryl Nicholson @Wyatt O. Hunter @Mickey Ainsworth
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Tu n’as même pas le temps de répondre à @Lyna Al Zahid que tout d’un coup tu te retrouves de l’autre côté du wagon avec cette dernière, et en prime avec une sale blessure au niveau du crâne après un sale choc contre la vitre. Tu essayes de retrouver tes esprits après ça, ta sœur te demandant même si tu allais bien. Te tenant l’arrière de ton crâne, tu te contentes de hocher simplement de la tête pour lui répondre, incapable de dire quoique ce soit pour le moment si ce n’est le prénom de @Neyla Al Zahid. Tu t’empresses à ramper, cherchant à tout prix ta petite sœur afin de t’assurer qu’elle n’a rien de mal de son côté en oubliant presque tout le sang que tu pouvais perdre... Mais tu tombes finalement à ta plus grande surprise sur @Nora Al Zahid. En plus de tes sœurs toute deux présente, ta fiancée était elle aussi là? T’as juste l’impression de vivre un vrai cauchemar, un cauchemar dont t’es sur le point de te réveiller. Tu t’approches avec difficulté vers cette dernière, finissant par attraper à l’aide de ta main recouvert de ton sang. « No-No... Nora. » D’un ton fébrile, le temps défile et tu te sens plus faible. Tu entends de nouveau du bruit, des hurlements de personnes sûrement venu pour vous venir en aide. Tu te tournes de nouveau vers la brune. « Dis moi que t’as rien.. »
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Âge : 24
Lieu de naissance : -
Quartier d'habitation / Colocation : -
Situation sentimentale : -
Études / Métier : -
Date d'inscription : 14/05/2017
Pseudo & Pronom(s) IRL : le staff d'ilh
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Description (1) : red line, wagon n°1 ► impact fort - Page 13 Ob_edc871_tumblr-mf1aeohw401qdunk8o1-500
Warnings : WARNING // concernant (personnage) écrire iciTRIGGER // refuse de jouer ; écrire ici
RPS : 180
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Personnage non jouable
ils s'acharnent. que ce soit de l'extérieur ou de l'intérieur, un objectif est commun, celui d'ouvrir les portes des wagons pour permettre l'accès aux blessés, et fuir loin des tunnels. les quelques personnes qui se sont dirigées vers les flammes sont parvenues à les contrôler, mais le danger reste là. les secours ne vont pas tarder à intervenir, et comme s'il s'agissait d'un signe du destin, miracle inespéré, ou le mécanisme qui s'est décoincé, les portes cèdent. certaines l'étaient déjà, mais pas assez pour l'évacuation des blessés, désormais, c'est bien pleinement que les portes peuvent être tirées, l'ouverture d'urgence fonctionne, bien que les portes s'ouvrent laborieusement et aient besoin d'aide pour être ouvertes. tenez bon, les secours pourront bientôt pour sortir de là.

les wagons sont désormais accessibles pour tous. n'oubliez pas les blessures de chaque passager, qui sont résumées dans le dernier post du maître du jeu. et merci pour les non médecins de ne pas jouer à l'apprenti secouriste, ça serait dommage de tuer un de vos petits camarades accidentellement Vicprochaine intervention vendredi.
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Oh putain de sa mère la grosse tchoin... Je ne sens même plus ma jambe droite sous ce gravât énorme, la douleur atroce remonte dans ma hanche et j'ai l'impression qu'elle s'amplifie plus le temps passe. Je regarde autour de moi et ne fais même plus attention aux cadavres à mes côtés. C'est l'instinct de survie ça non ? Quand on est proche de la mort on ne fait même plus attention à ce qui nous entoure, on s'accroche au peu d'espoir qu'il nous reste pour rester en vie. Les secours devraient arriver vite non ? Ils ont dû être alerté de tout ce merdier n'est-ce-pas ? Tu parles... On va tous crever dans ce bordel, on va finir comme les corps aux regards sans vie à nos côtés... Puis des voix, des cris même, et l'espoir qui revient même si je suis toujours bloqué sous ce truc énorme, incapable de faire le moindre mouvement sans ressentir la douleur qui remonte dans la cuisse puis dans la hanche pour finir dans le bas du dos. L'humain n'est peut-être pas si con, peut-être qu'il y a encore du bon en ce bas monde. Des gens parviennent même à entrer tandis que je fais de mon mieux pour rester éveillé.

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