Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(fb) Don't leave me here again • Mileïa - Page 4
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(fb) Don't leave me here again • Mileïa

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Milo Novak & Veïa Alvisio

Don't leave me here again


La passion me tue à petit feu. Elle me consume sans appelle, comme une grande égoïste ne voulant rien laisser derrière. Et il n'y a que lui comme seul responsable. Lui et ses chemises orange à tout va. Ses lunettes qui me rappellent son grand côté intellectuel et ses monologues interminable sur les étoiles. Tout de lui, même ses défauts me rappelle à quel point je suis folle de lui et amoureuse en perdre la tête. Cette dispute semble être si loin dans ma tête. Comme s'il venait d'un passé lointain. Après avoir dormi à ses côtés ma colère est passé, même si je devrais sans doute être plus ferme. Pour le moment je laisse l'air du matin filtré par la fenêtre. Elle est trop fraiche à ce temps-ci de l'année, mais elle réveille doucement mon épiderme. Je tire plusieurs fois sur ma cigarette un peu angoissée et je l'entends bouger. Il sort de sous la couette et je l'admire sans gêne pendant qu'il me rejoint. Je le laisse prendre le tabac de mes lèvres. «Bon matin mon coeur.» Un baiser sur le front je souris amoureusement. Je l'accueille dans mes bras en passant ma main dans sa chevelure sombre. Je reste un moment contre lui en terminant de fumer pendant qu'il semble s'assoupir de nouveau contre moi. Et je pourrais passer l'éternité ainsi du moment qu'il m'appartient. Je jette le mégot par la fenêtre et je la referme. Je dépose un baiser sur sa joue en le poussant doucement. «J'ai un petit-déjeuner à faire.» J'avais perdu la gagure après tout et je n'avais pas oublié dans l'espace d'une nuit. Je relève son menton et je l'embrasse fougueusement avant de me lever pour de bon. Je lui vole une de ses vestes puis j'ouvre la porte. Je regarde en direction de la chambre d'Elvia qui semble encore être endormi à cette heure. Je m'installe sans plus entendre pour lui préparer des crêpes, n’ayant pas envie d'un petit-déjeuner typiquement américain. La farine se loge dans mes cheveux sans m'en rendre compte et même un peu sur Hermès qui se cache entre mes jambes par moment. Je commence la cuisson des crêpes en attendant que Milo pointe le bout de son nez.     
AVENGEDINCHAINS


@Milo Novak
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Veia x Milo


j'avais une chance incroyable dans les bras. et bien que ses rêves soient bercé par l'amour, les miens étaient transformés en cauchemars. la voir s'éloigner puis disparaître complètement si elle apprenait les erreurs que j'ai commise. si elle lisait dans mes pensées, elle saurait pourquoi je ne dors pas, ou très peu.
elle saurait les horreurs que je peux penser voire éprouver. de ces doutes qui continuent de me consumer... et cette terreur qui m'étrangle tous les jours. j'étais désabusé par les évènements. je ne me sentais plus vraiment en phase avec moi-même. complètement perdu.
et il fallait bien penser que mes sentiments pour veïa étaient extrêmement forts, si fort que j'hésitais encore à la demander en fiançailles. pour la piéger dans cette relation qui devenait de plus en plus toxique.
nous perdant tous les deux dans un dédale de ténèbres qui finiraient par éteindre les seuls éclats de vie qui nous rendaient encore amoureux.

au matin, le sommeil lourd et difficile, j'ai fini par la rejoindre arrachant son cancer d'entre ses lèvres pour me contaminer à mon tour. soufflant la fumée vers la fenêtre, l'enfermant dans mes bras avant de reposé la clope entre ses lèvres fines qui m'appelaient plus que de raison.
je la laisse s'échapper, me laissant retomber sur le lit, l'embrassant fougueusement, le barreau dressé, prêt au service. mais elle s'échappe déjà sans s'en rendre compte, et j'avoue ne pas avoir la force de gueuler que j'ai envie d'elle.
posant ma main sur mes yeux, je pourrais volontiers me rendormir. mais je finis par me lever aussi, sentant l'odeur familière d'un dessert typiquement français.
ouvrant la porte, je me faufile jusqu'à la cuisine pour prendre ma blonde dans les bras, lui déposant un baiser dans le cou, soufflant doucement sur la peau de porcelaine là où de la farine a fini par tomber. « j'ai envie de toi. » que je dis doucement, glissant mes mains sous ma veste pour venir chatouiller ses côtes, passant mes pouces sous ses seins, la serrant contre mon torse, avec la fiévreuse envie de tout laisser tomber.
petit déjeuner, compris.

(c) AMIANTE



@Veïa Alvisio
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Milo Novak & Veïa Alvisio

Don't leave me here again


Prise dans la légèreté du matin, de la farine plein le visage, je vogue vers le bonheur qui nous rendait total. Je cherche à revenir en phase avec son âme, comme la toute première fois. C’est hasardeux et compliqué, mais je tiens à m’y accrocher. La tête dans la farine, les crêpes qui commencent à cuir sur le rond, je sens ses bras qui enroulent ma taille. J’oublie la cuisson un moment, je ferme les yeux, comme quand nous étions collés dans notre lit. Notre univers tout aussi érotique que romantique. Ses baisers dans mon cou me font frissonner même les parties où ma peau est voilée. Je relâche doucement la spatule en attendant ses mots. Je me mordille la lèvre inférieur, l’envie placer au creux du ventre. Ses mains ne perdent pas du temps gagnant du terrain sous le tissu. Je deviens fiévreuse me sortant de ma tête encore un peu ensommeillée. Je dessine déjà dans ma tête toutes les envies que j’ai envie de lui faire. En oublier le monde encore une fois et ce que je faisais au départ. Je me retourne vers lui passant mes bras autours de son cou. Je frôle mes lèvres sur les siennes avant de déposer mes dents contre celle qui est inférieure pour tirer légèrement dessus. «Mais j’ai très faim…» dis-je en le regardant de mon regard ténébreux en me retournant de nouveau pour continuer la cuisson de mes crêpes. Le bassin toujours contre le sien, je le sens qu’il est prêt à vouloir continuer, mais il doit se rappeler combien j’aime le frustré et jouer avec lui. Je finis ma première crêpe la déposant dans l’assiette puis je rajoute du coulis de fraise. Le liquide rouge un peu sur mon doigt je le glisse à l’intérieur de ma bouche pour retirer toute trace en le regardant un sourire en coin, accoudé contre le comptoir.  
AVENGEDINCHAINS


@Milo Novak
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Veia x Milo


et c'est pourtant en gain de cause que je finis par l'emprisonner dans mes bras. écourtant le petit-déjeuner à des baisers enflammés.
de cette passion qui finira détruite par mes décisions. ce coeur que je tiens entre les mains, prêt à y mettre une pression certaine pour le voir exploser en mille morceaux... pris en tenaille dans les choix égoïste de l'italien.
l'italienne allait subir une descente brutale aux enfers alors que ma propre âme se perdait dans les desseins d'une indécision certaine. de ces querelles qui n'en finissent pas, de ces ébats toujours plus bestiaux.
nous savions déjà que nous étions cassés. qu'on ne tenait plus qu'à un fil. que cette passion allait s'éteindre si violemment que la haine prendrait la place dans l'amour...
que toutes mes décisions allaient me revenir en pleine gueule... alors que je saurais pourtant que son corps gît sur le sol, bourrée par l'alcool, noyée par les larmes.
je savais que j'étais sur le point de tout détruire.
de détruire notre monde. cet amour qui n'était plus le nôtre... mais devenu trois. je ne pouvais pas me dédoubler et pourtant je refusais de choisir, manquant de respect à tout le monde.
détestant le monde alors que le monstre... c'était moi.

je l'enfermais dans mes bras, occultais ses doutes par des baisers. lui arrachant les idées vraies de son crânes en lui faisant l'amour.
et me faisant gagner le temps que j'espérais encor long... d'utiliser son amour pour cacher mes erreurs.... d'utiliser sa naïveté pour continuer à vivre cette histoire de double vie.
la bague de fiançailles dormant dans ma commode pour le jour où tout imploserait.
ironie du sort...
ironie oui... quand la vérité n'est finalement pas celle que l'on croira, sortant des lippes de mon propre sang.
détruisant les doutes pour une honnêteté qu'elle voulait pure... une relation qu'elle voulait vraie... pour son amie.
et me piégeant dans mes mensonges.
au final, je n'aurais fait que jouer à la poupée... un beau connard de marionnettiste.

FIN DU RP  


(c) AMIANTE



@Veïa Alvisio
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