✈ You're shining so bright POPPY&AARON.

Il se trouvait immature et il ne voulait pas l'être aux yeux de qui que ce soit et encore moins ne serais ce que le paraître aux yeux de Poppy. Il n'avait jamais été un pleurnichard et ne se plaignait que rarement, quand ça en valait la peine. Il se considérait même comme plutôt facile à vivre. Il n'haussait pas souvent le ton, il n'affectionnait pas les disputes et n'avait guère un besoin insupportable d'avoir toujours le dernier mot. Il ne voulait pas s'éterniser sur le passé et essayer toujours d'aller de l'avant. Mais en ce qui concernait sa famille, sa mère, il semblait bloquer à se remémorer ses souvenirs du passé, tournant sans arrêt, comme un film dans sa tête. Il voulait arrêter ça mais n'avait jamais songer que sa mère puisse décider de rentrer en ville et donc qu'il serait confronter à elle. Même si c'était ridicule, après trois absences, il s'habituait chaque jour à l'idée de ne plus jamais la revoir. Elle était partie et ne lui avait pas donner de nouvelles sans doute pour une raison après tout : elle avait voulue qu'il l'oublie, qu'elle cesse de compter pour lui. C'était absurde, mais il ne trouvait pas d'autres explications pour expliquer qu'elle n'ai jamais essayer de lui parler avant ce jour. Mais c'était sa faute à elle, elle était la perdante dans cette histoire. Merci souffla Aaron à Poppy pour les derniers mots qu'elle avait prononcé mais également pour tout ce qu'elle avait dit avant et pour sa compréhension. Il l'embrassa avant de se remettre à parler. Avec sa main, Poppy, lui caressa la joue. Merci d'être là. Répondit-il simplement en l'embrassant une nouvelle fois.

En effet, Poppy avait trouver le jackpot le jour où Aaron était tomber amoureux d'elle car de tous les garçons qu'elle avait fréquenter, il était l'un des plus faciles à vivre. Il avait un super caractère, toujours gentil et attentionné envers elle malgré les épreuves difficiles qu'ils pouvaient vivre en ce moment. Malgré cela, il se montrait fort et la consolait alors que la Cabot perdait presque goût à la vie. Franchement, sans lui elle ignore ce qu'elle serait devenue. Il était donc tout à fait normal qu'elle soit là pour lui à son tour lorsqu'il avait un petit coup de mou. Ce genre de situation la dépassait, comment quelqu'un pouvait abandonner son enfant sans nouvelles ? Si elle aurait pu avoir la chance d'en avoir un jour, jamais elle ne leur aurait fait une chose pareille. Poppy comprenait donc le bouleversement d'Aaron et le fait qu'il ne soit pas encore prêt à pardonner après 3 ans de silence. Il la remercia même d'être là pour lui entre deux baisers. Sa fait plaisir. Je serai toujours là, faudra que tu m'endures. Elle rigola légèrement après cette légère taquinerie inoffensive puis elle prolongea son baiser avec amour. Elle avait tellement de chance d'avoir un petit-ami comme lui !

Fin du sujet.