WIDENER LIBRARY ►

• Je pense sincèrement que ce jour restera gravé dans les mémoires de tous les étudiants présents ici même. On pense toujours que ça n’arrive qu’aux autres, que nous sommes à l’abris de tout ça, que rien ne peut nous arriver, mais malheureusement, c’est bien faut tout ça, c’est juste une pure illusion, car si vous regardez, le monde fait en sorte de s’acharner sur vous à certains moments de votre vie. Peut-être pour vous faire avancer plus vite, pour vous faire grandir, j’en sais rien du tout, mais il n’est pas toujours cool avec vous, il ne va pas vous faire gagner au loto, il ne va pas vous poussez à toujours tout réussir, loin de là même. C’est dans ce genre de moment-là que vous vous rendez compte que vous ne voulez pas mourir ainsi, que vous avez encore beaucoup de chose à accomplir. Et après aujourd’hui, je savais que Nevada serait présente à mes côtés pendant encore très longtemps. C’était elle la femme de ma vie, c’était avec elle que je voulais grandir, avoir des enfants, une maison, c’était elle et pas une autre. Bref, après avoir aidé Nael à se dégager de tous ces bouquins, nous l’aidons à se relever pour sortir de ce gros bordel, tout d’abord réticent, voulant se la jouer à la héros en nous disant de partir, je lui fis gentiment comprendre qu’il pouvait toujours rêver pour qu’on le laisse ici. S’avançant prêt d’une sortie, je pris la parole. « On passe par où ?! » J’étais passé par la fenêtre pour venir ici, mais je ne savais pas si le chemin que j’avais pris pourrait nous mener dehors… •

(Invité)

J'ai horreur de pleurer, ça me détruit le cœur encore plus. Ça me soulage qu'une fois que ça s'arrête. C'est pas comme si je pleurais à torrent, parce que je me retiens. Mais je me sens vraiment mal, à pleurer tout contre Micah. J'ai tellement peur pour lui. Heureusement, je le sens respirer un peu plus et dire quelque chose. Je relève la tête et l'écoute. Je me met à sourire bêtement à ce qu'il dit. Cela ne voulait peut-être rien dire, je m'en foutais, tout ce qui compte c'est qu'il ait repris ses esprits. Je me met à pousser un grand soupir de soulagement et à aller lui déposer un tendre petit baiser sur son front. Pas besoin de mot pour lui faire comprendre que j'étais soulagée. Mais ... Tu as mal quelque part ? Bah oui parce qu'il venait se recevoir un rayon de livre sur lui. Il était forcément blessé. Peut-être l'arrière de sa tête ... J'avais peur de passer ma main derrière celle-ci et d'en découvrir trop de sang ...

(Invité)

Une explosion, des cris se firent entendre. Xaver avait tenté de me rassurer mais je ne l'étais guère. je restais là pendant qu'il tentait de rejoindre sa proche amie, Candice. Il ne m"abandonnait guère, je ne pouvais lui en vouloir, mais j'étais tellement sous le choc qu'il savait qu'il pouvait rien faire pour m'aider. Il fallait que je reprennes mes esprits. Je n'avais pas peur, j'étais effrayé de pouvoir imaginer perdre quelqu'un que j'aimais, car pour ma part, je m'en fichais, c'est pour les autres, mes amis, ma famille, mes proches que je m'inquiétais. Si seulement, j'avais pu avoir les prévisions de cela, j'aurais tout fit pour les évincer. Après l'explosion, je tentais de me secouer pour rejoindre mon ami ou aider, mais je me sentais mal, j'avais du me prendre quelques choses dans la tête mais je ne savais guère comment pourquoi ou quoi, et quelques choses semblaient m'avoir touché ... Je regardais l'endroit d'où venait ma douleur. Un espèce de gros morceau verre s'était planté dans ma jambe, m'ouvrant légèrement mais d'autres devaient être bien plus blessé, je devais pas me laisser aller et reprendre mes esprits réellement. je tirais doucement le morceau de verre, criant tout doucement tout en mordant mon t-shirt pour atténuer mes potentiels cris. Je me levais difficilement, marchant en claudiquant et cherchant mon principal ami présent dans la bibliothèque ayant déjà subi quelques dégâts. J'imaginais bien que dans d'autres endroits ils étaient surement pire et je pensais à Lilo, Andréa et surtout mon frère que je ne voulais pas perdre, pas encore une personne. Je mis quelques temps à retrouver Xaver car je me perdais un peu, voyant lègèrement trouble dans la panique. J'avais l'impression de m'etre à nouveau réveillé vachement tard, mais en fait, c'était surtout que tout se passait bien vite. Il était là, penchait sur une jeune femme, la fameuse amie, la fameuse Candice, je tentais de m'approcher de lui sans tomber, appuyant sur ma jambe bien engourdie. Oh non ... mon ami semblait sous le choc dans un état second face à la peur et la tristesse. Je le pris par les épaules montrant dans la force de ms mains, ma présence auprès de lui ... Je tentais de le calmer ; Calme toi Xav' ... je suis là, on va l'aider! Il recrachait du sang, semblait déconnecter, je l'attrapais tentant de le soutenir au maximum pour ne pas le voir me claquer entre les doigts, les secours lui demandaient des choses auxquels je e pouvais malheureusement pas répondre, ne connaissant pas la jeune femme. Xav', tu m'entends ... Est-ce ... Est-ce que tu m'entends ? Je pleurais, j'avais l'impression de le perdre et d'être impuissante. Il était l'une des personnes les plus importantes pour moi avec mon frère et de le voir si ... paumé me traumatiser que plus. Je sentais que mon évanouissement suite à l'explosion me laissait encore quelques perturbations et lourdeurs à la tête mais e tentais de résister un maximum aux douleurs.

(Invité)

Je sais pas si je prenais totalement conscience de ce qui se passer vraiment autour de moi. J'étais un peu enfermée dans un monde où la santé de mes proches passée avant tout. Je ne posais pas les questions sur mon avenir, sur l'après à propos de cet attentat. Est ce que j'arriverai à oublier, sûrement pas. Il faut oses espérer que cela ne m’affecterai pas trop non plus. Heureusement pour moi, je ne traverserai pas cette épreuve de reconstruction toute seule, j'avais ma famille, mes amis et surtout j'avais Alek. C'était sans aucun doute la personne la plus importante, celle sur qui je pouvais le plus compter et l'inverse est vrai aussi. Je le laisserai pas tomber non plus. A présent on est deux, dans les bons comme dans les mauvais moments de notre existence. Mon instinct protecteur m'avait poussé à aider du mieux que je pouvais Nael, il semblait déboussolé et sa blessure n'était pas des moindres. J'espérais vraiment qu'il n'est pas trop de séquelles mais pour ça nous devions au plus vite quitter cet endroit." Putain... Bon bah ecouter sortons de là comme on peu et attendons les secours dehors... " J'allais dire qu'on pouvait prendre ma voiture mais hélas je pense qu'elle n'a pas du survivre. Enfin bon ça on s'en fout comme de la dernière pluie." On passe par où ?! " Bonne question très bonne question vraiment car l'entrée était encore bloquée et je me voyais mal escalader des meubles." Je crois que notre seule option reste les fenêtres. " Alek est bien rentré, on devrait bien réussir à sortir. Enfin j'imagine. Je regardai Nael, et d'un simple regard je lui demandai s'il était capable d'y arriver, alors que je prenais la main d'Alek prête à le suivre.

(Invité)

" On passe par où? " Cette question me laisa pontois tout de même je dois dire que je me sentais inutile avec cette handicap je ne voulais pas répondre pour eviter de trop les encombrer non plus et soudain Nevada parla des fenêtres... les fenetres? :O Je déglutissais je me sentais mal montait au fenêtre a l'aveugle je leur dit: « Effectiivement ca semble être notre seul moyen. » Nous marchions vers la fenêtre qu'avais emprunter Alek pour venir jusqu'ici Je lai laissa me guider jusqu'à qu'on sorte d'ici: « Je pense que Nevada tu devrais passer en première... » ... Je sentais que passais par la fenetre aller être un veritable défi même pour moi mais je sentais que je pouvais y arriver. J'avais la peur qui s'en alla j'avais qu'une envie c'était de sortir et que tout cela s'arrete pour de bon. Je voulais retrouver Hoël lui dire que je l'aime et redormir dans ses bras a nouveau.

(Invité)

Nous étions chacun de notre côté, face à face. Un mur de feu nous séparait. La fumée me prenait à la gorge, me faisant tousser. C'était tellement atroce que la cigarette que je désirais tellement depuis plusieurs heures n'était plus. Je le regardais impuissante. Les larmes aux yeux et cette putain de douleur dans les côtes. C'était irréaliste, Harvard était en train de bruler, les images allaient faire le tour du monde. La bibliothèque était un endroit sacrée, pourtant, aucuns livres n'allaient survivre à cette bombe. Edenshaw faisait de son mieux pour se rapprocher de moi, quelques mètres nous séparaient, mais j'avais l'impression que je n'allais jamais réussir à le retrouver. Puis, une idée. Il allait falloir être très rapide. Je retirais ma veste et m'approchais des flammes. "Il faut trouver un endroit où le feu est moins menaçant... peut être que l'on pourrait l'étouffer le temps de quelques secondes." Il y avait beaucoup de bruit, la toiture menaçait de s’effondrer, nous n'avions plus beaucoup de temps pour s'enfuir.

(Invité)

(Je rescucite ce RP WIDENER LIBRARY ► - Page 14 2157042859

)

L'idée des bibliothèques n'avait pas marché. Et à nouveau, Eden revoyait le visage d'Arwen face à lui, avec, comme seule frontière entre eux, un mur de flammes incandescentes. Des larmes montaient à ses yeux tant la fumée était intense tandis qu'il se retenait du mieux qu'il pouvait de toussoter ; néanmoins, si Arwen venait d'arriver, il avait été exposé aux flammes depuis les explosions ... Et ses poumons devaient, à l'heure actuelle, être bien noircis par la poussière et la fumée inhalées. Il porta sa main à sa tête, la ramenant ensuite sous ses yeux afin de s'assurer qu'il saignait réellement. Car la douleur était encore là. Les volumes qui lui étaient tombés dessus n'étaient pas des moindres. Arwen avait une idée. Et désespéré, las, fatigué, Edenshaw renonça à la prudence. Laissant s'échapper du fond de son gosier la quinte de toux qu'il étouffait depuis bien trop longtemps, il prit son courage à deux mains. Après avoir trouvé la partie du passage où les flammes étaient moins fortes qu'ailleurs, il s'élança ... Sautant au travers de la barrière de flammes. Il ressentit un léger picotement sur l'intégralité de sa peau ... Un instant, il volait dans les airs. Et il était en feu. Il était en feu.

Spoiler:

(Invité)

Les choses se gâtaient. Les flemmes dégageait énormément de chaleur en plus des nombreux dégâts. Mais avant même que la jeune femme puisse mettre sa veste dans les flemmes quelques secondes pour qu'Edenshaw puisse sauter, le jeune étudiant se précipita pour la rejoindre. Arwen regardait la scène comme si le temps c'était arrêter pendant cette action. Puis le bellâtre se retrouva allongé à terre, des flammes le recouvrant. Arwen se précipita vers lui pour étouffer le feu avec sa veste le plus rapidement possible. Sans s'en rendre compte, elle était en train de crier son prénom tout en pleurant. Il ne pouvait pas mourir, et elle ne pouvait pas supporter la mort d'une personne qu'elle aime une fois de plus. Le feu était éteint. Elle s'arrêta aussitôt, regardant le jeune homme qui s'était redressé tant bien que mal. Arwen attrapa les mains du jeune homme en détournant le regard. "Il faut que l'on sort d'ici."

(Invité)

Un instant, il était en flammes. Celui d'après, une force extérieure étouffait tant bien que mal le feu affamé qui tentait de dévorer ses vêtements. Ébahi, il regarda le visage d'Arwen ... Mais Eden était rendu assourdi par la panique, la surprise et l'adrénaline. Les lèvres d'Arwen bougeaient mais il n'entendait pas son nom. Son bras gauche Le démangeait énormément ... Les flemmes avaient dû atteindre la chair. Néanmoins, il tint bon. Se levant subitement, il regretta rapidement cet acte : il avait le tournis. Fixant ses yeux sur le visage (légèrement) par la fumée d'Arwen, son audition lui revint, petit à petit. Elle leur disait de fuir, et si ses premières pensées étaient adressées aux autres victimes, pris d'une envie de vivre sans regrets, le Dunster passa un bras autour de la taille de la Lowell avant de l'embrasser, doucement. Il la regarda avec une tendresse qu'il ne se sentait, jusqu'à ce jour, plus capable d'éprouver. Finalement, il parvint à trouver ses mots.

- Je te suivrais.

Il s'en voulait de l'avoir embrassée, mais au fond, il en était heureux. Si Arwen n'avait pas été aussi fragile, il lui aurait dit à quel point elle comptait pour lui ... À quel point il avait envie d'elle. Mais elle avait perdu Ethan, et il était allé bien assez loin pour le moment. Laissant ses doigts glisser dans ceux de la brune, il leur fraya un passage vers la sortie, tandis que derrière eux, les étagères s'effondraient les unes après les autres.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)