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De Bourlan ☆ L'Attachement d'un être à son lit

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Elle fait attentiion à toi mais dès qu'elle veut, elle devient lionne assoiffé de plus. Tu viens prendre alors cette cravate noire, la regardant en souriant faiblement, comme si tu savais déjà que cela fera l'affaire mais tu n'en sais rien. Sauf qu'elle te le confirme. Tu repenses à ces paroles, un stratège ? Toi ? Sérieusement ? Non impossible, t'es bien moins doué que ça. Juste logique finalement dans tes paroles et tu t'approches d'elle encore, venant l'embrasser. Honnêtement, tu remercies le ciel de porter un simple jogging et d'éviter qu'elle voit le reste de ton corps, parce que t'es pas bien du tout, t'as chaud, t'es légèrement pas bien et mal à l'aise de tout ça et tu vas peut-être hurler aux brûlures si tu continues de te laisser tenter par le Diable en personne. Tu déposes alors les armes, tu en oublies que tu dois l'attacher parce que tu ne sais pas penser à deux choses à la fois et là, tu veux juste l'embrasser elle et c'est tout
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Le bout de tissu entre ses mains, tu surprends ce sourire sur son visage, mais tes billes elles observent son corps qu'il présente négligemment à toi. C'est lui qui t'a allumé, qui a réveillé le vice sans même le savoir. Tu envisages une douche froide, là maintenant, tout de suite, mais il revient à toi. Ses lèvres se saisissent des tiennes et tes bras passent autour de sa nuque, tu viens coller ton corps au sien doucement et tu as cette impression de respirer normalement. Comment c'est possible qu'il te fasse cet effet là à chaque fois ? Tu comprends rien. Tu sens juste ses lèvres qui partagent avec les tiennes et plus rien n'existe. Plus même la cravate que vous semblez avoir oublié. Tu quittes ses lèvres finalement pour venir poser ta tête sur son épaule, ta bouche venant effleurer la peau fine de son cou là sous son oreille. « Je ne suis vraiment pas sage du tout. » C'est terrible à dire, mais malheureusement vrai. Tu vas encore le pousser dans ses retranchements et tu le sais. Parce que tu as besoin de lui et parce que tu es égoïste.
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Tu ne sais pas pourquoi, c'est malsain ce truc, tellement que tu en lâches ta cravate pour pouvoir l'embrasser correctement et l'avoir que pour toi. Ton corps s'approche du sien, tu es pris dans cette spirale impossible à enlever. Quand ses lèvres te quittent, tu viens sentir son corps et même son souffle contre ton oreille et tu es pas bien du tout J'ai chaud t'es obligé de lui avouer. T'es obligé de lui dire que tu as trop chaud sinon elle va continuer et qu'est qui peut l'empêcher aussi, après avoir su, qu'elle va pas continuer ? Cette femme est le diable et tu viens de le comprendre, sauf que tu vas partir, t'es incapable. Tu t'approches d'elle, venant caresser sa hanche, pourquoi ? T'en sais rien et tu marches sur ta cravate avant d'ajouter Mince, je devrais t'attacher ajoutes-tu petit rire stupide oui c'est vrai c'est stupide ..
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Il est cette tentation ultime que tu ne peux pas posséder pour de bon. Tu ne sais pas pourquoi tu fais ça, pourquoi tu reviens, ça vous mène à rien tout ça. Mais il te regarde et tu oublies tout. Il a chaud te dit-il et tu te recules légèrement. Sa main passe sur ta hanche et il se marre parce que oui, il a oublié de t'attacher. Tu grimaces, rien qu'un peu gérant comme tu peux cette frustration. « Alors, je dois m'échapper, si tu as chaud en plus. » Tu viens passer une mèche noire derrière ton oreille, l'observe en silence. Tu ne bouges pas vraiment. Tu aimes à croire que c'est toi qui l'a pris dans tes filets mais c'est bien possible que ce soit l'inverse en réalité. Tu te baisses avec grâce pour ramasser le bout de tissu noir entre tes doigts, l'observe avec un mince sourire. « Tiens. » Et tu tournes les talons. Parce que à quoi bon ? Tu n'apporteras rien de louable.
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Elle a un pouvoir contre toi c'est impossible, tu oublies tout face à ses paroles et autant que tes gestes finalement. Tu viens l'observes dans ta chambre à toi alors qu'elle veut de nouveau partir, non non. Mais oh ! Tu lui prends le bras par instinct comme si la toucher pouvait te calmer mais c'est tout autre chose en fait, tu as encore plus envie de son corps. Difficilement, elle vient se baisser pour te prendre le bout de tissu et tu le prends dans tes mains. Un petit sourire et elle se tourne mais tu as encore ta main sur son bras. Tu la tires vers toi, tu la regardes en hochant la tête négativement Non tu restes avec moi tu murmures ou chuchotes, tu apprécies ce moment juste tous les deux et tu ne veux pas la voir partir non. Tu ne veux pas la voir regagner chez elle, parce que tu tombes pour elle littérallement ..
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Sa main passe autour de ton bras alors que tu tournes les talons. Pour la première fois, tu te dis que partir serait sans doute préférable. Tu as cette impression d'aller toujours trop loin, d'être trop sombre pour sa candeur, et il prend le tissu que tu lui tends. Sa voix te chuchote de rester avec lui et tu sens ta conscience qui s'affaiblit. Merde. De rage, tu en pinces tes lèvres puis vient cueillir les siennes là, furtivement, parce que tu ne peux pas y résister. Tes paumes se posent à plat sur son torse, sans crier gare, tu le touches et il n'aime pas ça. Alors tes lèvres reprennent leur liberté et tu murmures à ton tour. « Je vais te toucher, te faire des choses qui vont te donner chaud, et en profiter encore et encore parce que j'ai envie de toi Valentin, de ton corps, mais que toi t'es trop innocent pour tout ça faut croire. Vraiment vaut mieux que je parte parce que tu vas encore regretter et me dire d'arrêter. Et moi je ne peux plus me contrôler, tu comprends ? » T'es gentille, tu es une tigresse qui prévient, ça va encore être insupportable pour lui et vaut mieux pas. « Laisse-moi partir. » que tu dis en le regardant. Mais t'aimerais qu'il fasse l'inverse. T'es juste folle au plus haut point.
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Elle parle beaucoup. Vraiment beaucoup mais tu n'écoutes pas, merde, tu vas te faire tuer, parce que tout ce que tu veux c'est elle et ses lèvres. Bordel c'est ça d'être taré à ce point ? Tu as l'impression d'avoir perdu quelque chose ou pas compris autre chose. Tu viens l'embrasser, délicatement, malgré le fait qu'elle veuille partir Mais.. Je veux pas que tu partes.. tu t'asseois sur le bord de ton lit, la fixant dans les yeux, c'est pas possible qu'elle parte, elle va t'abandonner encore, et tu as presque ces yeux humides de rage, tu ne sais pas pourquoi tu détournes ton regard pour fixer le sol et tu trembles légèrement parce que c'est d'une rage extrême qui te consume lentement. Tu sais que c'était elle qui te donnait ce droit d'être froid et d'être invincible mais en fait, c'est pas ça du tout. Tu pinces tes lèvres pour regarder le tissu que tu as dans la main. Elle t'abandonne encore ..
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Tu vois bien qu'il n'écoute pas. Tu en dis trop. C'est trop de détails pour lui et tu l'as perdu. Il y a cette brume qui parfois vient s'installer entre vous et elle reprend de l'épaisseur entre vos deux silhouettes. Tu vois la peine que tu lui infliges, parce que c'est une chose de la provoquer en toi, mais en lui. Tu te brises. Tu soupires doucement alors qu'il s'éloigne de toi et tu ne sais pas quoi faire non. Tu accroches la porte entre tes mains doucement, regarde le salon vide et tu vas partir oui. Comme on arrache un pansement. Un coup sec et décidé, ça sera douloureux mais ça passera. Mais tu vois son corps trembler et tu ne sais pas vraiment comment, tu te retrouves contre lui, ton buste contre son dos, ta bouche près de la sienne. « Ne fais pas ça. » dis-tu doucement. « J'ai pas envie de partir. » que tu avoues en venant marquer sa joue de tes lèvres. « Mais je vais pas réussir à me tenir. » Coupable. Criminelle. Perverse. Tu es tout ça oui. « Ne me déteste pas. » que tu dis d'une voix plus faible que tu n'aurais voulu. T'es perdue, faut que tu l'acceptes Deirdre.
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C'est bizarre cette rage que tu as en toi d'un coup alors que y'a seulement quelques secondes, tu avais envie de l'avoir contre toi toute la nuit, toute la journée, toute la vie. C'est encore plus bizarre quand tu te connais en plus, tu n'es pas du genre à être si bipolaire, mais seulement avec elle. Parce qu'elle te fait des trucs qui n'ont pas lui d'être. Tu lèves les yeux vers elle, elle est encore là, quelque peu face à toi, tu l'observes tu la regardes Reste s'il te plait dis-tu avant de la regarder et tu te redresses pour l'embrasser. Tu l'embrasses délicatement, violemment, comme si ta vie en dépendait, tu as envie de l'embrasser, de bien plus mais tu ne sais pas l'exprimer Tu m'as jamais fait mal Mensonges mais tu n'as pas envie d'en parler. En fait si t'es obligé Sauf à l'hôpital prononces-tu en murmurant. Et tu finis par ajouter Je te veux toi c'est ce qu'elle a dit la dernière fois, alors tes lèvres se déposent sur les siennes, tu es pris au piège mais tant pis, tu as besoin d'elle
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Tu étais censée partir et t'es là auprès de lui à demander toujours plus. Tu es incorrigible et pas du tout raisonnable. Mais il se redresse et te demande de rester. Tu souris faiblement. « Je reste. » Parce que tu es incapable de partir, c'est ça la vérité en fait. Aussi vrai que le fait que tu te perds là dedans . Il vient t'embrasser à nouveau avec une violence nouvelle. Tu passes ta main sur sa joue. C'est pas vrai, tu lui as déjà fait mal. Et tu viens te faire pardonner en embrassant doucement ses lèvres. « Désolée. » Tu fais mal, tu détruis, c'est un fait, une réalité qu'on ne peut nier. Et tu as faillit le briser encore une fois. Tu passes tes mains dans les siennes et le regarde doucement. « Tu me veux moi ? » que tu demandes interrogative. T'es pas certaine que te vouloir toi c'est pas comme toi quand tu le veux lui.
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