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TG INTRIGUE ► discours du maire de Boston

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Jasper O. Ellington
Eowyn Clark
La Doyenne
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Je porte ma main sur son abdomen pour essayer de compresser sa plaie et j’appuie de plus en plus fort même si j’ai peur de lui faire mal. Je ne veux pas qu’il perde beaucoup de sang car je sais à quel point cela peut lui être fatal. Je regarde mon petit ami alors qu’il me dit qu’il m’aime et je secoue la tête vivement parce que je refuse qu’il me fasse ça. « Non..non Floyd tu dois tenir les secours arrivent. Ça va aller….» Je continue de compresser sa plaie mais je sens son pouls devenir de plus en plus filant et je ne réalise pas qu’il est entrain de partir. « Tout va bien se passer...» Mon regard se posait sur le sien alors qu’il venait de fermer les yeux et sa main lâchait mon avant bras….c’est à ce moment là que je compris qu’il était partit. « Non ! Non tu n’as pas le droit Floyd ! » Je commençais à lui faire un massage cardiaque même si son sort était scellé. Je continuais durant plusieurs minutes lorsque des secours arrivaient derrière moi et me forçait à arrêter de comprimer sa poitrine. En un instant j’eus l’impression que mon coeur aussi me lâchait et je poussais un cri qui pouvait être entendu de tous. Les secours me tenait contre eux alors qu’on m’emmenait dans une ambulance pour me sortir de cette scène. Sans m’en rendre compte mon corps et ma tête lâchaient prise pour éviter un surplus de souffrance. Ma tête n’était pas encore prête à admettre que j’avais perdu mon petit ami….


OUT

@Floyd Powell TG INTRIGUE ► discours du maire de Boston - Page 11 2442039969  TG INTRIGUE ► discours du maire de Boston - Page 11 2442039969
« bla bla »
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Vous alliez juste à un stupide discours et te voilà entrain de donner ton groupe sanguin. La vie est pleine de surprises et tu espères simplement qu'elle ne se termine pas ici. Plusieurs fois tu t'es interrogée sur ta fin, sur le pourquoi tu es ici. Mais tu as toujours su résister finalement, parce que tu ne te laisses pas abattre, parce que tu es forte. Et tu dois encore le démontrer ici. Le souffle peine à se frayer un chemin dans ta gorge mais tu ne paniques pas. Tu restes placide tandis que le froid s'empare de ta personne. Il a quelque chose de désagréable et de confortable en même temps. Parce que l'espace d'un instant, tu ne ressens plus la douleur. Celle qui t'accompagne depuis tout ce temps. Tes billes délavées se portent de nouveau sur Abé. Il te rappelle fermement à l'ordre. « Je suis fatiguée Abé. » que tu dis en soupirant. Et tu fermerais bien les yeux là l'espace de quelques instants mais tu sais que tu ne dois pas, alors tu luttes. « Alors il faut que Franck vienne parce que tu en perds trop. » Tu ne sais plus vraiment ce que tu dis. Tes idées disparaissent avec le froid. Tout t'engourdis, et tu souris simplement. Parce que c'est plus doux ainsi. Tu restes ainsi quelques instants, c'est court mais ça te semble affreusement long et puis tu perds la notion du temps. Enfin les sirènes retentissent mais tu ne comprends plus vraiment ce qu'il se passe.

@Abelard Z. de Belgique-S.
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Elle pensait que tout irait bien, que ce serait une journée comme les autres. Une journée de joie, où tout le monde était réunis pour passer un bon moment. Lennie était venue avec ses frères, les personnes qu'elle aimait le plus au monde. Elle voulait à tout prit assister au discours du maire alors que la plupart de ses frères voulaient rejoindre la fête foraine. Soit, elle leur avait dit qu'elle les rejoindrait. Seul Carter, son jumeau, était restée avec elle ce jour là. Et tout se passait bien. Le maire prit la parole, souhaitant une bonne année. Ca semblait parfait et elle avait promis à Carter qu'ils ne resteraient pas longtemps. Elle n'avait prévenue personne de sa présence, parce que pour elle, c'était une journée en famille.

Et puis ça a viré au cauchemar. Le maire n'eut pas le temps de terminé son discours. Les chuchotements sont devenu un sentiment de panique générale. Lennie prit la main de son frère, persuadée qu'il allait se passer quelque chose. il y'avait du monde partout, ils étaient trop proche de l'estrade... Elle se rappelle seulement d'avoir senti son corps être propulser, et avoir lâcher la main de Carter. Les oreilles qui bourdonnent, un gros sifflement. Elle n'entendait plus rien, elle n'arrivait pas à voir quoi que ce soit. Et puis elle tournait la tête, tentant de retrouver l'usage de sa vision. Carter était là, par terre. Tremblant, la tête en sang, la gorge aussi.

Il suffoquait, mais Lennie était sa priorité. Elle ne paniquait pas, parce qu'elle ne comprenait pas. Elle ne réalisait pas ce qu'il venait de se passer, ni même l'ampleur des dégâts. Mais elle se sentait soudain oppressée. pas de douleur, juste un manque d'air. Elle n'arrivait pas à bouger et Carter, mal en point, tentait tant bien que mal de la rejoindre. "Ca va aller, ça va aller". La petite blonde ne comprenait toujours pas ce qui lui arrivait, mais les larmes de son frère commençait à la faire percuter. Alors elle baissait les yeux vers a poitrine. Cette dernière était transpercée avec une barre en métal. Mais elle, elle n'avait pas mal. Et elle n'avait pas le temps de paniquer, pas le temps d'avoir peur.

Elle n'arrivait pas à parler, elle savait qu'elle ne pouvait plus bouger, et elle sentait la chaleur quitter peu à peu son corps. Carter arrivait finalement, rampant, à rejoindre sa petite soeur, attrapant sa main comme si ça l'aiderait, laissant ses larmes coulées. Elle ne le quittait pas des yeux, serrant légèrement sa main dans la sienne, et elle comprit. Il n'y avait rien à faire, rien à dire. On ne pouvait pas la sauver, elle se sentait déjà partir. Et il n'y avait rien à dire, Carter savait déjà tout. Tout l'amour qu'elle lui portait, toute la reconnaissance qu'elle avait envers lui et ses frères. Elle n'avait pas mal, et elle n'avait pas peur. Parce qu'elle savait que lui s'en sortirait, et parce qu'elle savait que quelqu'un l'attendait. Que sa place n'a jamais été là, qu'elle était déjà morte quelques années auparavant, quand sa mère l'a quittée.

Elle savait que là haut, peu importe où elle irait, elle ne serait pas seule. Que c'était peut être ça, sa place après tout. Elle émit un dernier sourire, laissant une larme couler le long de sa joue. Parce qu'elle était triste de les quitter sans avoir pu dire proprement au revoir. Et puis elle fermait les yeux....

OUT
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Eowyn Clark

Âge : 28
Lieu de naissance : Ellworth (Maine, USA)
Quartier d'habitation / Colocation : Appartement en centre ville, en coloc avec Sofia
Situation sentimentale : Célibataire, le coeur battant encore un peu trop fort pour une belle blonde
Études / Métier : Journaliste Junior chez Vanity Fair, rubrique culture
Date d'inscription : 16/10/2013
Pseudo & Pronom(s) IRL : lovebug (marie ; elle)
Icon : TG INTRIGUE ► discours du maire de Boston - Page 11 5cc30dc0d2798657b19b30d7556b9200ec1ee064
Faceclaim : Madelaine Petsch
Crédits : mathoumatoufait (avatar), magma. (signa)
Multicomptes : jude montgomery, jackson brennan-jobs & fiorella russo
Description (1) :
EOWYN
Clark
TG INTRIGUE ► discours du maire de Boston - Page 11 94639fa3290ee6493c89754ea2e448f9ad7c51e6

Eowyn, c'est un véritable rayon de soleil : malgré les épreuves, elle fait toujours tout pour rester positive et garder ce sourire sur ses lèvres. Elle voit toujours le meilleur chez les gens, ce qui lui vaut de parfois être un peu trop naïve, ça peut lui jouer des tours. Grande sentimentale, elle s'attache très vite, que ça soit en amitié ou en amour. Militante, elle se bat pour ses idées et ses convictions, quitte à devoir se salir les mains et dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Elle a tendance à être un peu trop curieuse et à se mêler de ce qui ne la regarde pas. Elle déteste le conflit avec les gens qu'elle aime.

( 01 ) Sa petite soeur, Lily, est décédée dans une fusillade qui a eu lieu dans leur lycée quand Eo avait 18 ans et sa soeur 16. Elle s'en est toujours voulu, puisque ce jour-là, elle avait séché les cours pour aller à la dédicace d'une autrice qu'elle adorait. ( 02 ) Passionnée par le paranormal, la mort est une source d'angoisse, la poussant à trouver des "preuves" d'une vie après la mort pour se rassurer que sa petite soeur est encore quelque part. ( 03 ) Elle n'a pas ressenti le besoin de faire de coming out à ses parents ou sa famille ; au lycée, elle se considérait comme bi-sexuelle mais elle penche aujourd'hui plus vers la pansexualité, puisqu'elle se fiche du genre de la personne : c'est son âme, sa personnalité qui l'intéresse et dont elle tombe bien souvent amoureuse. ( 04 ) Bien qu'elle a été presque toute sa scolarité à la Dudley House, dont elle a été présidente l'année dernière, elle tient très mal l'alcool : elle aime faire la fête, mais elle est pompette après un verre, ce qui amuse beaucoup ses ami·e·s. ( 05 ) Elle déteste conduire la nuit, puisqu'elle arrive mal à distinguer les voitures. Elle porte des lunettes de repos pour travailler, mais la conduite de nuit est quelque chose dont elle a horreur. ( 06 ) Féministe, elle défend aussi la cause LGBTQIA+ et milite contre le port d'armes aux Etats-Unis. ( 07 ) Elle a toujours voulu devenir journaliste : curieuse, elle n'hésite pas à investiguer pour sortir le meilleur papier possible, quitte à mettre son nez là où elle ne devrait pas. Une qualité pour une journaliste, mais un défaut dans sa vie personnelle. ( 08 ) N'arrivant pas à se remettre de sa rupture avec Billie, elle décide de quitter Boston en février dernier après avoir eu une proposition de travail à New York. Elle pensait que ce changement de ville l'aiderait mais spoiler alert : on ne fuit pas ses problèmes, car ils nous suivent peu importe où on va. ( 09 ) Le journal où elle a été embauchée ne payant pas assez et avec le coût de la vie exorbitant à New York, elle a eu un peu du mal à s'en sortir financièrement et elle est encore un peu limite niveau argent. ( 10 ) Elle a mit son nez dans une affaire très louche à New York et s'est mit quelques personnes dangereuses à dos ; effrayée, elle a donc décidée de retourner à Boston et a laissé son rêve New Yorkais sur place, en espérant que les problèmes ne la suivraient pas ici.

RPS en cours : » Wade — sujet » Rym — sujet » Sofia — sujet
Warnings : Fusillade, mort d'un·e proche
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Eowyn Clark
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rédaction & design | LOVE SHOT › heart speaks in puzzles
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t175094-eowyn-clark-madelaine-petsch#8665377Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t165719-jude-eowyn-jackson-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t175110-eowyn-clark-fiche-de-liens#8666475Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t175107-meetsachussets-eoclark
Je suis quelqu'un de nature très anxieuse : je panique très vite, je me sens vite dépassée par les évènements alors forcément, quand il arrive quelque chose comme ce qui est en train de se passer, je panique. C'est bien pour ça que je me mets à pleurer et à presque supplier Jeff qu'on s'en aille ici. J'ai peur qu'ils reviennent nous tirer dessus, j'ai peur qu'ils aient cachés d'autres bombes qui finiront par exploser : j'ai peur de mourir. Mais Jeff, qui a pourtant l'air lui aussi blessé, semble arriver à garder son calme. Il est calme pour nous deux, ce qui est une bonne chose. Je me redresse, dans l'espoir qu'il se décide à m'écouter et je sens sa main dans mon dos pour m'aider dans mon mouvement. "Ama, ils vont pas revenir. Y'a le maire ici et la police a certainement du encadré le périmètre. Ces enculés sont certainement en cavale dans la ville à l'heure qu'il est. J'ai pas franchement envie qu'on se retrouve nez à nez avec eux." Je croise son regard, son regard confiant. C'est dingue quand même, Jeff est un étranger à mes yeux et pourtant, il arrive à me réconforter alors que c'est la panique totale dans ma tête. "Fais-moi confiance.." Je déglutis et je ferme les yeux en hochant la tête. Les larmes continuent cependant de couler sur mes joues, car la peur reste là. Ma gorge est serrée, mon estomac noué. "Tiens le coup. T'es Wonder Woman, rappelle-toi." Un léger rire sort de ma bouche, un rire nerveux et en même temps, sincère. Sauf que rire fait contracter les muscles de mon vente qui lui, me fait un mal de chien. Je grimace presque instantanément après mon rire,  « Wonder Woman se serait pas fait avoir comme ça.. » Avec ses super pouvoirs, elle serait même plutôt en train de pourchasser les méchants.  « Les secours vont arriver, tu penses ? » Arriver vite, je veux dire. Avant que je ne me vide de mon sang et que je ne meurs bêtement comme ça, dans ses bras.

@Jeff H. Scamander
(Eowyn Clark)


It's not that complicated: you should stay in my good graces or I'll switch it up like that so fast 'cause no one's more amazin' at turnin' lovin' into hatred.
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Je ne suis jamais en retard habituellement mais là j’ai été retardé par tellement de chose que je n’ai pas pu me rendre immédiatement à ce discours. J’avais encore un peu de temps pour moi mais bon pour rejoindre mes amis ça va être la galère. J’arrive en balle et alors que je me rapproche de la foule j’entends une explosion puis une fusillade ainsi que des cris. C’est horrible, immédiatement mes pensées sont tournées vers Claudia, pourquoi ? Je ne sais pas mais c’est comme ça. En courant je prends une balle dans le bras ainsi qu’une autre dans l’épaule et je grimace en me tenant ce dernier mais je ne vais pas abandonner comme ça. Je vois du monde à terre mais je suis perturbé par ou se trouve la princesse alors je ne prends pas le temps de m’arrêter pour sauver qui que ce soit, d’autant plus que quelques minutes plus tard les secours arrivent. De mon côté je pars, je m’isole un peu plus loin et j’envoie un message à la brésilienne pour en avoir le cœur net. Je saigne, c’est douloureux mais ce n’est que secondaire, je serre simplement les dents et ça passera enfin je l’espère.

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(Désolé j'ai tellement été pris avec mes autres persos que j'en ai oublié de faire jouer Zach)
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Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
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Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 77
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Jasper O. Ellington
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I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
Rien dans ce lieu ne te ressemble, et c'est bien pour ça que je t'y emmène. Enfin, que je requiere ta présence plutôt, avec  l'exigence d'un service rendu, dont tu peines à rembourser la dette. J'suis pas décidé à t'accorder la rédemption, c'est bien trop plaisant de te voir débarquer, quand l'envie m'en prends. Et malheureusement pour toi, elle me prends souvent. Rien que pour ton visage ronchon, j'regrette pas. J'avais juste pas anticipé que t'avais perçu mon regard perdu sur Deirdre. Tu vises à côté, mais j'relève pas, c'est plus simple de s'en amuser. « Ne soit donc pas jalouse que je préfère les brunes. » Ca l'fait sourire l'idiot, qui déblatèrerait tout ce que tu veux, juste pour une bonne réplique. Qu'importe l'erreur, vu la couleur blé de certaines brisées du passé. Et j'aimerai beaucoup enfoncer ce petit clou, au lieu de m'en faire planter un dans la cuisse, juste parce qu'un détraqué à décidé que mes cauchemars n'étaient pas encore assez nourris de bombe, de prise d'otage. Allez, il tient debout l'Ellington, faut frapper dans les jointures, faut le faire plier. Voyons combien les épaules peuvent supporter, avant qu'il ne ploie. Le souffle le fait joliment valser en arrière, se ramassant le dos contre des morceaux d'estrade. Le bois craque sous le poids, et le bois pointu, écharde disproportionnée, traverse le merveilleux costume, et la chair tendre de son côté, là sous les côtes, laissant le liquide précieux teinter le blanc de la chemise, puis le tissu noir de la veste. Eponge d'hémoglobine, ce beau costume sur mesure. Gâchis. Sonné, l'homme, pendant quelques instants. Les instants des balles, de la fuite. Il touche son côté, la douleur se fait filtrer par sa gorge, et rien ne sort, tellement le cri ne serait pas assez fort pour représenter la douleur, la colère. Ne pas bouger, ne pas ôter le corps étranger. Ouais, c'est un sage conseil, sauf quand t'as la peau empalée sur du bois. Que le bois, il va pas bouger. Que toi, t'entends ton prénom. Que tu crois halluciner, mais ça revient. Alors, t'appuies tes doigts sur les débris, et tu pousses, tu forces, et là, tu hurles, tu hurles parce que t'as l'impression de laisser un bout de corps sur ce pic de bois. Que c'est probablement le cas. Qu'il a la couleur de ton sang, en tout cas. Chancelle, se ramasse la gueule en avant, sonné, le cerveau qui balance tout ce qu'il peut d'adrénaline, pour apaiser tous ces signaux des nerfs en panique. Deirdre. Esmée. Esmée ; toute seule. Elle est où putain ? Et d'un coup, tu deviens la personne la plus importante de son moment, Esmée. Les pas sont incertains, il trébuche, et ses doigts compressent le sang qui se barre, lâche, de son corps. Allez, reste encore un peu. « ESMEE ! » Il gueule. Enfin il croit qu'il le fait, parce que finalement pas tant que ça, en comparaison avec le vacarme environnant. Elle t'appelle. Maintenant, t'es sûr, c'est elle. C'est elle, sous ce mort. Mort, il est mort. Il en a pas encore l'odeur, mais ses prunelles sont vides. Et toi, ça te gèle la colonne, t'as peur qu'elle soit morte. C'est con, parce qu'un mort, ça crie pas un prénom. Toi tu lui as dit de venir, tu trouvais ça drôle, et la blague vire au naufrage. T'es qu'un abruti Jasper. Alors j'crois que tu te précipites, que t'as même plus mal, que tu dégages le corps comme si c'était pas humain y a encore quelques minutes, que tes doigts sont sur le visage juvénile de l'étudiante. Qu'il y a du sang, que t'en as sur les mains, du tien, du sien, du fantôme, un mélange des trois, surement. J'veux juste voir qu'il vient pas de tes traits, j'veux juste enlever ce sang de l'horreur, de ton visage qui ne mérite pas ça. « J'suis là, j'suis là. » Les genoux sur un macchabée, comme si c'était le sol, moi j'vois que toi. Toi et ton bras en charpie, alors que je vérifie que tout est là, le corps suffoquant. « Faut qu'on sorte de là. » De cette odeur de mort, qui nous entoure, qui va finir par nous contaminer.   La force du désespoir nous sort des corps, presqu'en rampant, nous fait regagner un sol recouvert de poussière, de traînées rougeâtres. J'fais pas gaffe à mon rouge qui dégouline, le long du corps, qui goutte sur le sol, parce que j'fais gaffe qu'au tien. « A part le bras, t'es blessée ? » C'est moche, genre vraiment moche. Désarçonné, l'homme, qui passe ses doigts rouges sur son visage, pour tenter de reprendre un peu d'esprit. « Faut te faire un garrot, compresser, j'en sais rien, faut faire quelque-chose. » Regarde autour de lui, voit sa ceinture. C'est bien ça non, pour faire un garrot ? Putain pourquoi j'ai fais informatique, ça sert à rien.

@Esmeralda Bezos
(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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Me voilà partit dans un autre monde, enfin non je ne suis pas encore morte rassurez-vous bien. Je compte bien me battre plus que jamais. J'ai tant de choses à vivre encore, je suis jeune et je ne veux pas laisser ma famille. Seulement je suis dans un sommeil profond, je suis si bien et mon esprit vagabonde tandis que mon corps est transporter par les secours, qui sont enfin arrivés.  

OUT

(hj: intrigue de malade, merci :loukas: )
@Davi Carvalho @Zélia I. Carvalho @Archibald Snicket (merci mon sauveur TG INTRIGUE ► discours du maire de Boston - Page 11 1525747124)
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Yuri n’avait pas souhaité ce joindre à cette fameuse réunion du maire et encore moins à cette Fête foraine. Le cœur n’y était tout simplement pas suite à sa rupture très récente avec Naeun. C’était mieux pour lui, pour eux certainement mais il n’avait pas encore le cœur à s’y mettre totalement. Alors il se trimballait non loin, cherchant de quoi s’occuper comme prendre un café ou un donut. Enfin, jusqu’à ce que son téléphone sonne. Katsumi, il y répond et sous les paroles perturbées de la demoiselle, il écarquilla les yeux. « Jee… ne bouge pas, j’arrive » Il raccrocha aussitôt avant de s’élancer en direction de l’endroit. Il parcourut quelques blocs en courant, ses écouteurs l’avaient empêché d’entendre quoi que ce soir, mais ce qu’il vit le choqua. Il s’aventura dans cette foule bien que le monde fût abondant. Il entendait des cris, des pleurs, il avait l’impression que c’était la fin du monde et ce n’était pas loin. « Katsumi ! Katsumi ! Tu es où ? » dit-il en hurlant malgré qu’il se fasse bousculer de partout. Difficile de retrouver la belle dans ce genre de situation chaotique, pourtant il n’en démorda pas et continua de la chercher. Espérant la trouvé, ou qu’elle le trouve tout simplement.

@Katsumi Yamamoto
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Ma jambe me fait souffrir, c’est atroce. Je ne suis plus capable de la bouger, sans avoir envie de hurler à pleins poumons. Je sais qu’il y a des personnes qui sont plus atteinte que moi et je me sens impuissant, incapable d’aider qui que ce soit. De plus, voir Asia, qui a l’air inconsciente non loin de moi est encore pire que la douleur que je peux ressentir. J’aimerais tant pouvoir l’aider, la supporter en attendant que les secours n’arrivent. Heureusement, ce jeune homme que je ne connais pas m’aide à dégager ma jambe. Dans la panique la plus totalement je n'écoute même pas ce que ma soeur me dit. Je lâche cependant un cri de douleur qui me traverse l’esprit et me relève comme je peux, avant de retomber sur le sol. « Merci ! Mais il faut aider Asia. J’vous en supplie ! » J’attrape même la jambe d’une personne qui passe par-là, pour m’aider à me relever. À cloche pied, j’arrive comme je peux à côté d’elle et d’une jeune femme avant de crier à pleins poumons : « Quelqu’un, il faut les aider! » Je ne partirai pas d’ici tant que les secours ne les aide pas. Ma main dans celle d’Asia, si faible, si inerte, j’attrape celle de la jeune femme avec elle. « Je ne vous quitterai pas, c’est une promesse ! » J'espère de tout coeur que Crystal va bien...

@Asia I. Ferrari  @Briséis Wildingham  @Archibald Snicket  @Zélia I. Carvalho
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Finiras-tu par regretter de t'être pointé ici ? Finiriez-vous, tous présents par regretter ? Difficile. En attendant comme tout un chacun ici, tu n'avais rien vu venir. Une explosion, à peine croyable, se faisait entendre au niveau de l'estrade. Tu étais persuadé que ton regard avait aperçu des choses horribles. Ta seule idée c'était forcément de te mettre l'abris. Tu as ce souvenir n'est-ce pas ? Ce souvenir qu'il fallait se planquer ? Puis dans la seconde qui avait suivi tu avais pensé à ta famille, à Colombe, à Daisy puis merde Camille. Il était dans le coin tu n'en avais aucun doute. Ces personnes furent ta dernière pensée avant l’irrattrapable. Tu t'es retrouvé au sol avec une douleur atroce à l'abdomen. C'était le côté droit, tu l'avais senti. Tout portait à croire que tu venais de prendre une balle et putain ce que ça faisait mal. Tes jambes lâchèrent, tu te retrouvais au sol, mains pleines de sens désireux de te mettre un peu à l'écart. Alors c'était ainsi que tu périrais ? Difficile à dire. Une chose est sure tu te sentais affreusement faible, et ce bruit sourd mêlé à aux cris et mouvements de panique semblait te cristalliser. Pressant la plaie, tu ne demandais qu'à reprendre ton souffle, pour pouvoir te mettre à l'abris. C'est fou comme tu n'arrivais même pas à espérer l'arrivée des secours. C'était littéralement comme si l'espoir avait quitté cette minable terre. Quel lâche !
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