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[Soliman] We wish you a merry christmas. We wish to love the Santa Claus.

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Soliman & Liam.
Tout avait basculé dans ma vie. J'avais perdu mon job, et je venais de l'annoncer à ma famille deux jours avant Noël, autant vous dire qu'ils ne pouvaient pas compter sur moi pour passer un Noël tranquille, sans ma paye, ils ne pouvaient pas nous offrir de cadeaux, ils ne pouvaient pas nous offrir plus qu'un simple repas de réveillon. Bref, en plus de ça, j'étais dans le bad complet parce que Soliman me manquait plus que tout au monde, je n'avais pas osé l'appeler pour savoir s'il se remettait de la blessure que je lui avais infligé la dernière fois. J'en souffrais et je n'avais pas envie de l'embêter, il devait sûrement passer du bon temps avec ses amis. Obligé de porter le vieux tricot de la grand-mère, je rejoignais la famille dans le salon. C'était le coté négatif quand on était pauvre, le repas de Noël, on était tous serrés comme des sardines dans une boite sauf qu'on avait la chance d'être ridicule avec les vieux pull. Je parlais avec ma grand-mère qui me faisait un sermon, elle venait d'apprendre que c'était de ma faute si elle n'avait pas eu son bain à remous qu'on avait commandé pour elle au début du mois. je me confondais en excuse et je remerciais carrément le ciel que quelqu'un sonne à la porte. Je me dépêchais alors que je tombais nez à nez avec ... le père Noël ? j'étais trop grand pour y croire. Ma sœur aussi, mais bon, elle restait une gamine quand même. « euh... Bonsoir... je peux vous aider ? » Je penchais la tête, essayant de voir la tête de la personne mais avec la montagne de paquets qu'il avait, c'était vraiment pas possible. Me voyant stagner devant la porte, mes parents s'approchaient à leur tour.
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Il se passait tellement de trucs, chaque jour était différent et je ne savais jamais comment j’allais réagir sur le plan sentimental. Voilà maintenant une bonne semaine que je m’étais retrouvé à l’hôpital à cause d’un morceau de verre qui avait traversé ma peau pour venir se coincer dans la peau de mon dos. Je m’étais battu avec Liam et il s’était montré plus qu’attentif et présent pour moi ce qui m’avait définitivement troublé au point que des papillons étaient nés dans mon ventre au moment même où il s’était penché sur moi. Je ne pouvais me sortir cette sensation de la tête alors que mon dos allait mieux, je m’étais quasiment complètement rétabli et les choses avec Charlie s’étaient stabilisées, nous pensions tous les deux qu’il était plus prudent d’attendre un long moment avant d’imaginer que plus que de l’amitié soit envisageable. Je voulais reprendre à zéro et être tout simplement proche d’elle, une amie sur qui je pourrais m’appuyer lorsque les choses tourneraient mal. Une conclusion avait été apportée à un chapitre mais il restait une petite chose en suspens, qu’est-ce que je devais faire de cette euphorie, ce sentiment d’ivresse que j’éprouvais aux côtés de Liam ? Mon cœur battait follement rien que d’y repenser et c’est pour ça que je m’étais décidé à passer un coup de téléphone ou deux aux amis proches du jeune homme pour obtenir son adresse. En route j’avais fait un gros chèque d’argent pour que ses parents puissent tenir sans le job de leur fils, j’étais riche et je me sentais prêt à tout faire pour que mon Liamounet soit heureux et que sa famille le soit également, je m’étais ensuite rué dans les magasins pour acheter pleins de cadeaux en espérant qu’ils plairaient à tout le monde. Déguisé en Père Noël même si le ventre était moins gonflé forcément, portant bien la barbe blanche je prenais une grande inspiration, j’avais le traque devant la porte de sa maison. Je toquais trois petits coups et c’est lui qui ouvrait justement. « euh... Bonsoir... je peux vous aider ? » Je devais être à fond dans mon personnage, je prenais une voix relativement marquée par la vieillesse. « OH OH OHHHHH, MERRY CHRISTMAS »
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Soliman & Liam.
Je n'avais pas forcément le moral pour ce réveillon de Noël, ma famille m'en voulait pas mal d'avoir fait le con une nouvelle fois. Car un an plus tôt, j'avais aussi perdu mon job parce que je m'étais tapé la fille du patron et bien maintenant, je me battais. Il manquerait plus qu'ils apprennent que j'étais gay, qu'en plus de ça, je me droguais de temps à autres et je me faisais virer de chez moi. Bref, VDM j'ai envie de dire. Puis, en ouvrant la porte, j'avais vraiment pas la foi en voyant le mec là avec tous ses cadeaux, je sais pas ce qu'il me voulait lui ! « OH OH OHHHHH, MERRY CHRISTMAS » se mit-il à annoncer. Mes parents et ma sœur arrivèrent en premier à l'entrée, heureux de voir ce "faux" père Noël. Entrez, Monsieur, entrez! Je m'écartais de la porte pour les laisser faire entrer cet inconnu. Enfin, à l'écouter, j'avais l'impression de l'avoir déjà vu quelque part, mais rien qui m'aidait à savoir où. Un peu blasé, je reprenais la discussion. « Le père Noël fait grève de la faim, M'man, t'embêtes pas à lui donner un de tes chocolats moisis. » Je poussais un soupir avant de regarder ma famille toute contente de le voir, pour ma part, j'allais me poser dans le canapé. Je les regardais discuter avec lui, sauf que... je vis les mains de ce "père Noël". Je le reconnaissais entre milles. Qu'est ce qu'il foutait là?! Je le regardais, choqué. Son dos semblait d'aller bien hein. Je me levais du canapé, le regardant d'un regard interrogateur. « M'man... T'as pas du vin chaud ? il sera content ... » Je fis une petite moue, confiant. Ma mère et mon père, plutôt joyeux et guilleret ce soir, ils retournèrent dans la cuisine à la recherche du vin chaud. Manquait plus que ma sœur. Je passais à coté d'elle en lui enlevant les aggraffes de son soutif'. Azy, dégage Liam!! Grrr!! Je lui tirais la langue alors qu'elle s'enfuyait dans la salle de bain pour remettre son soutif. Je prenais Soliman par le bras. « Qu'est ce que tu fous là?! Comment tu sais que j'habite ici ?! » Réalisant que c'était Soliman, j'avais un peu honte... qu'il voit mon chez moi. C'était loin des palaces d'Harvard, c'était si petit, l'appartement faisait la taille de la cuisine des Winthrop quoi! J'étais mal à l'aise... De l'autre, j'avais envie de lui sauter dessus, car même si j'étais gêné, j'étais content de le voir en forme, surtout en pensant à ce qu'il s'était passé la dernière fois qu'on s'est vu.
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Je m’étais longtemps torturé à chercher comment faire du bruit, je voulais que Liam comprenne que j’étais libre et plus qu’intéressé à l’idée de perdre ma liberté à son profit. Je m’étais souvenu d’un coup qu’il avait perdu son travail à cause de moi, de ma jalousie et qu’il ne pouvait donc plus donner de l’argent à ses parents ce qui, à cette période de l’année était terrible. Mon compte en banque était généreusement garni par mon père de quelques centaines de milliers de dollars chaque mois, ma richesse était déjà estimée à cinq ou six millions de dollars alors faire un effort, donner cent mille dollars à une famille qui avait besoin ce n’était pas grand-chose pour moi. J’avais en plus de ce gros chèque dépensé quelques milliers de dollars dans les magasins pour offrir à chaque membre de la famille du jeune homme un cadeau, j’avais conservé celui de Liam au chaud, chez moi et je ne voulais pas le lui offrir maintenant. Bien-sûr j’espérais qu’il accepterait mes excuses, mes cadeaux et voudrait faire une croix sur le passé pour enfin être mien. Trouver un déguisement de Père Noël à la dernière minute avait été très difficile mais j’y étais parvenu et je me retrouvais donc à attendre sagement à la porte du petit appartement de la famille Campbell. « Entrez, Monsieur, entrez! » Je souriais rejoignant donc l’entrée, ils fermaient la porte visiblement très heureux de voir le Père Noël, okay ils savaient bien que ce vieux monsieur n’existait pas mais qui ne retombait pas en enfance lorsqu’il en voyait une imitation ? « Le père Noël fait grève de la faim, M'man, t'embêtes pas à lui donner un de tes chocolats moisis. » Je regardais Liam qui paraissait blasé, il reculait très vite pour venir s’installer sur le canapé, reprenant mon rôle très à cœur je retirais ma hotte de mon dos. Liam me coupait néanmoins l’herbe sous le pied. « M'man... T'as pas du vin chaud ? il sera content ... » Ses parents s’exilaient dans la cuisine à la recherche de vin chaud, je tournais la tête vers Liam qui embêtait sa petite sœur afin qu’elle aussi puisse mettre les voiles, la grand-mère suivait dans la cuisine critiquant les parents qui n’allaient pas assez vite à son goût. « Qu'est ce que tu fous là?! Comment tu sais que j'habite ici ?! » Je lui souriais, je me sentais si bien là, chez lui à découvrir son monde hors de la bourgeoisie. « Les joies de la popularité, j’ai fait jouer mes relations… Je devais m’excuser pour l’autre soir et… » La petite sœur revenait puis les parents avec un verre de vin chaud, je souriais reprenant ma voix de Père Noël tout en sortant de ma petite hotte les fameux cadeaux pour chacun d’eux, un bon pour un jacuzzi, des vêtements, des clés de voiture pour la BM qui attendait dans la cour, quelques livres, de la cuisine… Un peu pour tout le monde quoi. Je tendais l’enveloppe aux parents de Liam. « J’ai cru comprendre que tout n’allait pas au mieux, voici un petit cadeau de Noël personnalisé ! »
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Soliman & Liam.
J'avais tout fait pour que ma famille s'écarte, pour la simple raison que j'étais déstabilisé que Soliman soit là. Qu'est ce qu'il faisait ici ? La bonne question qui me taraudait, que je ne tardais pas à lui poser et d'ailleurs, qu'il répondit avec trop de gaité à mon gout. « Les joies de la popularité, j’ai fait jouer mes relations… Je devais m’excuser pour l’autre soir et… » Je devrais exprimer le fait que j'étais content de le voir, car c'était vrai, j'étais heureux mais sa réponse me glaça automatiquement. J'étais très complexé sur ma situation sociale et voir qu'il s'en amusait de faire le père Noël, je ne supportais pas trop. Cependant, je ne pus rien rétorquer quand ma famille revint à la charge. Je me grattais la tête en voyant tous les cadeaux qu'il sortait pour ma famille. Évidemment, ma sœur était toute folle de voir autant de cadeaux, c'est vrai qu'on en avait jamais vu autant. Je n'y touchais pas, regardant la scène. D'un coté, c'était plaisant de voir ma famille tous sourires alors qu'ils avaient cru qu'il n'y aurait pas de cadeaux pour Noël. Je redevenais spectateur, regardant aussi ma mère qui échangeait l'enveloppe et lui donnait du vin chaud. « J’ai cru comprendre que tout n’allait pas au mieux, voici un petit cadeau de Noël personnalisé ! » Il capta mon attention et je regardais attentivement. Je fus surpris en voyant la tête de mes parents lorsqu'ils ouvrirent l'enveloppe. Ils sautaient de joie mais moi, je leur prenais le chèque des mains. De l'argent, beaucoup d'argent. Le sourire de mes parents finirent par s'estomper lorsque je déchirais le chèque de Soliman. « Que tu te ramènes avec quelques cadeaux pour compenser le fait que je suis viré à cause de toi, ça passait. Mais ça, c'est purement de la pitié envers ma famille. J'ai pas envie de pitié. » J'étais de mauvaise foi, mais après tout, il était pas avec Charlie?! A ce qu'il m'avait dit. Mais mon père s'énervait, il n'appréciait pas du tout que j'ai déchiré le gros chèque de Soliman. ça ne m'empêchait pas de le regarder comme ça. « C'est de pas de l'argent que j'attendais de toi. Mais si c'est que ça tu veux me donner, tu peux passer la porte. Je sais me débrouiller pour faire vivre ma famille. » Rien à foutre que mes parents comprennent que j'étais gay, j'allais pas passer un Noël comme ça. Je partais bouder dans le couloir, alors que mes parents se confondaient en excuses auprès de Soliman. Adossé contre le mur, je me sentais mal. Qu'est ce qu'il attendait de moi ?
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Pour moi lorsque j’appréciais énormément quelqu’un je me devais de faire des cadeaux à lui, à ses proches et je ne voyais pas où était le problème. Je n’étais pas un gosse de riche à la base, mon père avait mis du temps pour fonder sa fortune, nous n’étions qu’une famille d’algériens qui galéraient avant que le gouvernement américain ne vienne le démarcher parce qu’il était le plus formé pour construire des nouveaux vaccins et des technologies qui pourraient faire avancer la société. Il avait réussi son premier pari et avait fait gagner des millions d’euros à notre famille puis, chaque année il touchait toujours davantage par ses découvertes scientifiques. Autant vous dire que je n’étais pas forcément différent du garçon sans un seul sous en poche à la seule différence qu’à présent j’étais millionnaire et que, lorsqu’à mon tour je me mettrais à travailler je pourrais bâtir ma propre fortune sans l’aide de mes parents. En attendant je distribuais tous les cadeaux à sa famille en profitant pour donner un petit chèque aux parents de Liam, okay cent mille euros c’était une somme énorme mais rien n’était trop beau pour le jeune homme et je ne pensais pas faire mal les choses en étant aussi sympathique. Les parents s’extasiaient sur la somme, je voulais qu’ils puissent avoir de quoi voir venir pendant un temps sans avoir toujours peur de ne pas avoir assez d’argent, d’être pauvre ou ce genre de choses, ce n’était pas une vie à mes yeux. Je prenais le verre de vin remerciant la mère de famille, elle avait les mêmes yeux que Liam s’en était troublant. Les choses auraient pu parfaitement se finir mais le jeune homme arrachait le billet des mains de son père pour le déchirer en voyant la somme, je sentais que la bonne humeur était bien loin à présent. « Que tu te ramènes avec quelques cadeaux pour compenser le fait que je suis viré à cause de toi, ça passait. Mais ça, c'est purement de la pitié envers ma famille. J'ai pas envie de pitié. » Je me mordillais la lèvre, ce n’était pas de la pitié, pas du tout je voulais juste lui montrer à quel point je l’aimais, partager avec l’homme que je désirais plus que tout au monde mais il ne pouvait pas comprendre, il n’était pas au courant qu’entre Charlie et moi les choses étaient réglées et qu’il n’y avait plus rien, plus de danger pour lui. « C'est de pas de l'argent que j'attendais de toi. Mais si c'est que ça tu veux me donner, tu peux passer la porte. Je sais me débrouiller pour faire vivre ma famille. » Il partait comme un enfant qui n’aurait pas obtenu du Père Noël ce qu’il avait commandé, je le suivais du regard un peu blasé alors que ses parents se confondaient en excuses, profitant de son absence je sortais mon chéquier de ma hotte signant un nouveau chèque identique au précédent, ils gardaient le secret jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour que Liam puisse dire quelque chose. « T’es plutôt mignon pour un Père Noël » Je souriais amusé, la sœur du jeune homme avait la même fougue, le même sens du charme que son frère. « Merci jeune fille… Si vous voulez bien m’excuser ! » La sœur m’indiquait la chambre de Liam et je le prenais par le bras au passage, une fois la porte fermée, la lumière allumée je lui coupais la parole pour entamer ma déclaration. « Je sais que tu n’es pas heureux de me voir apporter de l’argent à ton foyer, je sais que tu m’en veux mais… Je veux que quoi qu’il arrive maintenant tu me laisses aller jusqu’au bout d’accord ? » Sans plus attendre je prenais une grande inspiration sortant de ma poche une petite boite… Non, je ne le demande pas en mariage vous pouvez vous remettre à respirer. C’était simplement un collier en argent qui m’avait certes énormément coûté puisque mon nom y était inscrit en diamants qui coûtaient plusieurs milliers d’euros à l’unité. « J’ai pris une décision, j’en ai parlé avec Charlie et… Entre elle et moi s’est terminé ! » Je levais les yeux vers lui timidement lui tendant la boite. « C’est toi… Je l’ai vraiment compris à l’hôpital et… C’est toi ! » J’avais l’air con mais moi et les discours ça fait trente.
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Soliman & Liam.
Je savais que j'étais d'une mauvaise foi à m'en blâmer durant des siècles, mais je ne supportais pas d'avoir cette impression de me faire acheter, d'avoir l'impression d'être inutile pour ma famille car le mec que j'aimais venait de leur offrir 100 000$ quoi! J'aimais Soliman mais je ne voulais pas qu'il me "gâte" moi et ma famille comme ça. J'avais cette haine de l'argent, de l'indépendance de ses billets verts pour vivre. Ce que je ne supportais pas du tout. Le seul truc "marrant" qui me faisait penser à ça, c'était notre après-midi où il m'avait acheté des trucs, et que je lui avais dis que j'étais pas son mec pour accepter qu'il fasse ça. Et si maintenant ... ? J'en savais trop rien. J'avais l'impression qu'il y a quelque chose que je ne me doutais pas. D'ailleurs, cette chose arrivait. Le père Noël me kidnappait dans ma chambre, sans vraiment que j'ai le temps de faire quoi que ce soit. Je le regardais me faire face, j'avais envie de m'enfuir. Au fond, il était tellement gentil et moi ingrat, que je devais peut-être apprendre à accepter nos deux conditions différentes ? « Je sais que tu n’es pas heureux de me voir apporter de l’argent à ton foyer, je sais que tu m’en veux mais… Je veux que quoi qu’il arrive maintenant tu me laisses aller jusqu’au bout d’accord ? » Le cœur battant, j'avais peur qu'il m'annonce une nouvelle des plus grave, surtout la mise en scène qu'il avait, ça pouvait me préparer au pire. Je m'imaginais des trucs comme le fait qu'il quitte Harvard ou qu'il ai une maladie grave et je peux dire que ça me retournait entier d'imaginer ça. J'avais pas envie de le perdre encore plus que maintenant. Il sortait une boite, j'étais un peu... c'était le bazar. « J’ai pris une décision, j’en ai parlé avec Charlie et… Entre elle et moi s’est terminé ! » Je levais mon regard sur le Winthrop, j'étais surpris, très surpris même. Il ... n'était plus avec Charlie ? Je comprenais plus rien à ma vie. Mais pourquoi?! Ne l'aimait-il pas ?! « C’est toi… Je l’ai vraiment compris à l’hôpital et… C’est toi ! » C'est moi ... Il me fallut un petit moment pour comprendre, et lorsqu'il me tendit la boite, je l'ouvris. C'était... pour moi ? Je regardais Soliman, j'étais très surpris. « C'est... C'est moi ? » Je déposais la petite boite sur la commode. « Tu pouvais juste me le dire, tu sais... » Je souris timidement, c'est clair qu'avec cette déclaration, il venait de faire disparaitre toute mauvaise foi et j'étais soulagé, détendu, libéré. Après tout, c'était moi. (les chevilles vont bien). Je m'approchais pour lui enlever son bonnet, lui faire descendre sa barbe de Père Noël et en me saisissant de son visage, je le pris entre mes mains pour l'embrasser tendrement. Je n'avais pas besoin de plus que ça pour lui montrer que je l'aime et surtout, montrer que je passais un merveilleux Noël à présent. Je n'avais plus besoin de tasser mes sentiments dans un coin, j'étais libéré. « Désolé de ne pas être plus démonstratif mais j'ai l'impression d'embrasser vraiment le père Noël. » Je ris légèrement, c'est vrai qu'avec cette tenue... Je lui enlevais aussi sa chemise de Père Noël, pas que je veuille lui faire l'amour (enfin si mais pas maintenant) mais c'était plus facile pour moi. Puis je repensais à Charlie soudainement. Même si c'était un peu la guerre au début entre elle et moi, à la base, nous avions été amis juste avant. Je m'inquiétais un peu. « ça va ... aller pour Charlie ? » Je passais mes mains sur sa nuque en le regardant. J'allais pas m'arrêter seulement sur Charlie. « Excuse moi... d'avoir réagit comme ça. Mais tu connais ma réaction sur l'argent, et tout... J'aime pas avoir l'impression de profiter, et, je veux pas ça... Mais ... ça me fait plaisir que tu ai pensé à ma famille, dans le fond. » Je passais mes doigts dans sa chevelure, j'avais encore du mal à réaliser avec sa déclaration. J'avais envie de l'embrasser encore et encore, profiter de ses lèvres. Lui dire mille fois que je l'aimais. D'ailleurs, je le pensais mais l'avais-je dis ? Je n'osais pas. Timidité, voyez vous... Je passais mon bras autour de sa nuque pour le rapprocher de moi et l'embrasser, tout en fermant les yeux afin de profiter de ses lèvres. J'avais envie de lui dire que je l'aimais moi aussi...
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Il est vrai qu’à cet instant si j’avais appris que, parmi les nombreux examens qu’on m’avait à l’hôpital en guise de check up pendant que j’étais là-bas j’étais atteint d’une maladie incurable et qu’il ne me restait plus beaucoup de temps à vivre alors j’aurais pensé à faire une mise en scène festive pour que l’ambiance malgré le fait qu’elle soit plombée par la suite ne soit pas trop pénible à vivre quand même. Une chance qu’il m’ait été confirmé que tout allait bien. J’étais toujours très imaginatif et je me disais que c’était un moyen honorable de ne pas être mis à la porte de chez lui tout en rendant sa famille heureuse et en m’offrant la possibilité de prendre mes couilles à deux mains pour lui avouer que je l’aimais, qu’il était celui que je choisissais après des mois à le faire tourner en rond. Au fond je me disais que sans ma jalousie maladive lorsqu’il m’avait ignoré, lorsqu’il avait dragué Abygaelle peut-être que jamais je n’aurais pu ouvrir les yeux et cette idée me déplaisait franchement beaucoup. Avoir pris en conscience que je l’aimais était la chose la plus importante à mes yeux actuellement et même si je n’avais pas consulté Briony ni aucun de mes meilleurs amis je savais très bien qu’ils seraient heureux pour moi. Je me justifiais pendant un temps une fois dans la chambre du jeune homme sur le fait d’avoir donné de l’argent aux parents de Liam, je savais qu’il refuserait toute aide de ma part comme lorsque je m’étais mis en tête de lui acheter des vêtements mais, personne ne me dit non sans paraitre prétentieux. « Quoi que tu dises j’ai refait un chèque à tes parents et s’il faut que j’en fasse soixante parce que tu les détruits il n’y a pas de problèmes, fais-le juste pas pour que j’économise les feuilles de mon chéquier. » Okay, une petite touche d’humour qui me permettait de décompresser un court instant avant de partir sur ma déclaration d’amour aussi piètre qu’elle soit, je n’étais pas doué pour faire des choses romantiques, je n’étais pas non plus aidé par le scénario d’une comédie romantique, j’écoutais juste mon cœur. Je prenais une grande inspiration débutant un discours très confus qui était totalement improvisé, mon impulsivité faisait le nécessaire alors que je sortais une boite contenant mon prénom incrusté en diamants sur une chaine, une manière maladroite de faire comprendre à ceux qui avaient des vues sur lui qu’il était à moi. « C'est... C'est moi ? » Je le regardais timidement et surtout gêné étant préparé à recevoir des insultes, peut-être même une gifle parce que j’avais perdu beaucoup de temps avant cette soirée. « Tu pouvais juste me le dire, tu sais... » Je souriais répondant du tac au tac alors qu’il déposait ma petite boite sur son meuble. « C’est difficile à dire, je n’ai pas l’habitude ! » Je souriais naïvement, il approchait, retirait mon bonnet et descendait ma longue barbe blanche de Père Noël, pas besoin de plus pour que les battements de mon cœur soient nettement accélérés comme si je venais de prendre un coup de fouet. Ses mains chaudes contre mon visage, ses lèvres sur les miennes, j’allais faire une crise cardiaque tellement j’étais bien et tellement ma respiration se montrait forte. Mes lèvres s’entrouvraient pour que sa langue puisse rejoindre la mienne, je fermais les yeux caressant son visage de mes doigts habiles. « Désolé de ne pas être plus démonstratif mais j'ai l'impression d'embrasser vraiment le père Noël. » Je riais. « Certes, mais j’suis persuadé que c’était un de tes fantasmes inavoué. » Je souriais amusé frissonnant lorsque ses doigts contre ma chemise rouge de Père Noël déboutonnaient mes boutons frôlant ma peau bientôt totalement dénudée, du moins pour mon torse, le faux-ventre tombait avec ma chemise. « ça va ... aller pour Charlie ? » J’étais surpris qu’il s’inquiète pour elle mais c’est ce que j’aimais chez lui, il n’écrasait pas les gens. « On a pris cette décision ensemble, je pense qu’une très belle amitié est à venir entre nous deux. » Je lui adressais un clin d’œil, torse nu sans avoir d’autres vêtements à me mettre sur le dos. « Excuse moi... d'avoir réagit comme ça. Mais tu connais ma réaction sur l'argent, et tout... J'aime pas avoir l'impression de profiter, et, je veux pas ça... Mais ... ça me fait plaisir que tu ai pensé à ma famille, dans le fond. » Je souriais attendri pas ses propos, il venait briser la distance à l’aide de ses bras contre mon cou et je n’hésitais pas à en faire de même en glissant mes mains contre sa cage thoracique approchant pour prendre possession de ses lèvres, je fermais les yeux prolongeant encore un peu. « Je t’aime… Et tu ne me dois rien, je veux faire tout ce qui est possible pour ton bonheur ! »
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Soliman & Liam.
J'étais trop heureux de l'entendre que je ne comptais pas lui en vouloir d'avoir mis du temps à me le dire, car à présent, je voulais profiter du temps perdu et de l'avenir à ses cotés. L'embrasser était une délivrance, un bien être que je ne pouvais pas quantifier tellement c'était bon. D'ailleurs, il ne pouvait pas être parfait. Ce n'était pas contre Soliman mais habillé ainsi, je me sentais quand même un peu bloqué. « Certes, mais j’suis persuadé que c’était un de tes fantasmes inavoué. » m'avait-il répondu lorsque je lui faisais remarquer. Je souris alors que j'approchais mon visage du sien. Mes lèvres proches de son oreille alors que je lui déboutonnais petit à petit sa tenue de Père Noël. « Ce n'est pas le meilleur de mes fantasmes, car en réalité, il te suffit simplement d'être toi pour remplir mon fantasme le plus fou. Et crois pas que je risque de le combler très vite... J'adorerais faire des lieux sympathiques avec toi... » Bon c'est clair, j'avais envie de lui faire l'amour pour fêter ça. Mais j'avais le temps pour cela, des jours, des semaines, des mois et peut-être plus s'il m'aime encore jusque là. Car même si j'étais heureux d'être à lui, qu'il soit à moi, je me demandais ce qu'il en devenait de Charlie et ... bah j'étais plutôt surpris. Amis ? D'un coté, c'était ce qu'ils pouvaient faire le mieux pour rester en contact, je savais pas si moi-même j'aurais supporté ça, j'aimais tellement Soliman que d'imaginer avec quelqu'un d'autre, ça me rendait mal. Encore plus que lorsqu'il avait hésité. Mais oublions le passé douloureux, je voulais passer au bien être. En parlant de bien être, le plaisir de ses lèvres était plus que divin. Je répondais à son baiser, avec fougue, passion. J'en débordais. « Je t’aime… Et tu ne me dois rien, je veux faire tout ce qui est possible pour ton bonheur ! » Je rougissais en l'écoutant. Savait-il l'impact que ça donnait sur moi ? Je déposais un baiser sur ses lèvres avant de lui répondre. « Ta présence suffit à mon bonheur. Je... Je t'aime aussi. » Je posais ma main sur sa nuque pour le rapprocher de moi afin de l'embrasser. quand je disais que je pouvais en devenir accro, c'était le cas. j'adorais ça, surtout qu'il était en tenue légère, c'était... affolant dans ma tête. Mais j'essayais de calmer mes ardeurs, en m'écartant de lui alors que quelqu'un arrivait dans le couloir. Coté pratique quand tu es pauvre, c'est que tu entends les portes qui grincent, le plancher qui craque. Maman va servir le repas, elle a dit que ton ami pouvait rester dès que tu auras terminé de faire la gueule. Et dépêches toi parce que je compte pas te laisser une seule part de foie gras. BITCH. Je regardais Soliman et ma sœur, celle-ci qui se gênait pas de mater mon copain (huh, ça fait plaisir de le dire ça). J'attrapais un tee-shirt sale par terre pour le lui jeter sur la tête. « azy dégages, va voir grand-mère! » Je gonflais les joues alors que celle-ci s'étouffait sous l'odeur nauséabonde de mon tee-shirt. Je regardais Soliman. « Atta, je vais te filer des fringues. T'as de la chance, tu te tapes pas le super pull qui gratte de Noël. » Je me grattais la nuque alors que je récupérais quelques vêtements dans mon armoire. Je les plaquais contre le torse de Soliman mais j'en profitais pour contourner le corps de celui-ci pour l'entourer et le tenir contre moi. Je murmurais à son oreille. « T'as de la chance que ma famille nous attendes, je t'aurais bien montré à quel point tu m'as manqué. » Et pour tout avouer, ce n'était pas qu'un peu. Je profitais d'ailleurs qu'il se rhabille pour aller chercher une clope et m'en allumer une avant d'affronter les parents. je tenais dans ma main libre la petite boite qui contenait le cadeau de Soliman à mon égard. Je le regardais, le détaillais alors que je fumais sagement à l'écart du winthrop. « C'est extravagant quand même, mais... je t'offrirais un aussi beau quand je deviendrais le meilleur informaticien d'Harvard et qu'ils essaieront de me recruter à la NASA! » Je riais. Moi et mes rêves farfelus. Je prenais le collier pour l'attacher autour de mon coup. voyant mon reflet dans le miroir au dessus du lavabo, ça me faisait rire. Le collier était vraiment... ça contrastait vraiment avec mes vieux vêtements de pauvre. Je regardais Soliman tout en écrasant ma clope dans le cendrier. « Prêt à affronter ma famille? Dis le si tu veux... pour nous deux. Moi je m'en tape de leur avis, tant que je suis avec toi, ça me convient. » J'en savais rien de leur position sur l'homosexualité, mais au fond, je m'en tapais de leur avis. Mon père pouvait me foutre dehors, je m'en fou. Je grugerais le lit de Soliman, ça serait même encore mieux.
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[Soliman]  We wish you a merry christmas. We wish to love the Santa Claus. Tumblr_lvuf5klsWJ1qi1g0zo1_500

Je me sentais étonnamment à ma place ici, je n’étais certes pas habitué à être dans des appartements modestes mais ce n’est pas pour autant que j’avais mes habitudes de bourgeois, nous ne sommes pas dans 2 broke girls après tout. Non, je me sentais comme chez moi et si Liam ne voulait pas être dépaysé lorsque nous emménagerions ensemble –et oui, j’avais déjà envie de prendre une grande maison avec lui– j’étais prêt à faire en sorte que notre petit nid d’amour ne soit pas trop luxueux. Tout ce qui pouvait lui faire du bien me rendait heureux, inhabituel pour moi mais bien réel et je m’en rendais totalement compte. « Ce n'est pas le meilleur de mes fantasmes, car en réalité, il te suffit simplement d'être toi pour remplir mon fantasme le plus fou. Et crois pas que je risque de le combler très vite... J'adorerais faire des lieux sympathiques avec toi... » Il s’était approché pour pouvoir me susurrer ses mots retirant peu à peu mon pantalon de Père Noël, mon dieu, nous n’avions pas pu faire l’amour depuis au moins deux mois et il était le dernier avec qui je l’avais fait qui plus est, autant vous dire que je n’avais pas eu besoin de plus pour être échauffé, je baissais la tête pensant à des trucs dégoutants pour pas que cette bosse qui était en train de grossir ne soit remarquée par le jeune homme. Non, je n’avais pas honte qu’il me fasse un effet monstre mais ce soir nous nous retrouvions, il n’y avait pas de place pour du sexe au milieu de cet instant hautement romantique. « Des lieux… Alors tu comptes me satisfaire un peu partout ? J’en ai de la chance. » Je souriais amusé lui faisant un nouveau petit discours sincère et très mignon, qu’il en profite, je faisais un gros effort et il était très difficile pour moi de mettre des mots sur mes sentiments comme je le faisais ce soir. « Ta présence suffit à mon bonheur. Je... Je t'aime aussi. » Je souriais me sentant le plus heureux des hommes, j’approchais pour l’embrasser restant en caleçon devant lui, heureusement que je savais me tenir parce que là j’avais terriblement envie de lui faire ouvrir une rangée de son petit meuble pour mettre sa jambe et lui faire comprendre qu’il avait aussi manqué à mon pénis. Le couloir grinçait signe que quelqu’un approchait, sa petite sœur ouvrait la porte non sans loucher sur mon corps zéro défauts, je souriais amusé. « Maman va servir le repas, elle a dit que ton ami pouvait rester dès que tu auras terminé de faire la gueule. Et dépêches toi parce que je compte pas te laisser une seule part de foie gras. » Je riais alors qu’il lui lançait un t-shirt qui semblait ne pas sentir bon, je souriais alors qu’elle quittait la pièce en grognant, tous les deux avaient cette aptitude à faire la gueule qui me faisait rire, un air de famille indéniable. « Atta, je vais te filer des fringues. T'as de la chance, tu te tapes pas le super pull qui gratte de Noël. » Je souriais, il revenait avec des habits à lui m’entourant de ses bras, je me mordillais la lèvre venant glisser mes doigts contre les siens sur mon torse. « Si tu ne retires pas tes mains je ne vais pas pouvoir me remettre quelque chose sur le dos tu sais. » Je riais levant la tête pour pouvoir atteindre ses lèvres sur lesquelles je déposais un très court baiser. « T'as de la chance que ma famille nous attendes, je t'aurais bien montré à quel point tu m'as manqué. » Je souriais coquinement, il savait toujours comment me faire réagir, il ne se doutait pas à quel point je le désirais et pourtant j’étais prêt à attendre encore des heures, des jours, des semaines, des mois, des années, prêt à être le mec le plus chaste du monde juste pour lui. « C'est extravagant quand même, mais... je t'offrirais un aussi beau quand je deviendrais le meilleur informaticien d'Harvard et qu'ils essaieront de me recruter à la NASA! » Je gloussais fier de voir que mon chéri avait mis mon collier, pendant ce temps j’avais enfilé un jean qui lui appartenait avec un t-shirt alors que je conservais ma paire de chaussures, elles n’étaient pas celles que mettraient un Père Noël de toute manière je m’en fichais. « Tu sais… A l’époque où ma famille et moi vivions en Algérie, mon père a été recruté grâce à ses qualifications scientifiques ici… Sans ça jamais je n’aurais obtenu la nationalité américaine ni mis les pieds sur le sol américain. » J’aimais peu à peu lui en apprendre plus à mon sujet, d’ailleurs tôt ou tard je comptais prendre le risque de perdre ma famille en leur annonçant que j’étais gay et en couple avec un homme formidable. Autant mes parents prendraient bien la chose autant ma famille du bled risquait de moins bien voir la situation, ils étaient plus dans la tradition exception faite à mes cousines et à ma grand-mère. « Prêt à affronter ma famille? Dis le si tu veux... pour nous deux. Moi je m'en tape de leur avis, tant que je suis avec toi, ça me convient. » J’approchais, savoir qu’il allait annoncer deux bombes d’un coup à sa famille me rendait anxieux mais j’étais prêt à être là, il était la personne qui me comblait de bonheur alors pourquoi pas ? « Je veux juste que tu sois heureux, fais les choses comme tu le sens ! »
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