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le problème c'est qu'y a rien qui nous arrête, ni toi, ni moi. parce que je sens comment ton corps réagit contre le mien, parce que tu dois probablement saisir la force avec laquelle mes lèvres répondent aux tiennes. parce qu'on a pas la moindre volonté, la moindre force quand il s'agit de l'autre, tout simplement. et au fond, tout au fond, je sais qu'après les choses vont être compliquées. qu'on va pas savoir comment gérer tout ça, comment apprivoiser les choses. mais comment veux-tu décemment que je te repousse ? j'ai l'impression qu'après trois années passées à me contenter de souvenirs flous, j'me retrouve avec de la haute définition. avec des sensations décuplées. et cette fois j'le sais, tae. je sais qu'y a pas que moi qui ressente cette fièvre, cette frénésie à ton contact. et j'peux si facilement lire dans tes pensées, quand tu nous entraîne dans le couloir sans même savoir où tu t'aventures. c'est ma main qui vient s'accrocher à l'encadrement de ma chambre pour t'indiquer là où tu dois t'arrêter, ma main qui claque la porte derrière nous dans un geste brusque, à l'aveugle, tandis que tu nous guide jusque mon lit. et je me courbe, me plie sous tes lèvres qui me brûlent la peau. j'ai pas une seule seconde de répit, et j'en veux pas, j'ai trop peur que tu t'envoles si on s'arrête maintenant. pourtant t'es toujours là. je m'appuie sur un coude pour mieux te voir, et t'es si beau que j'voudrais figer l'instant. figer ce moment où t'es là, à t'abandonner pleinement à moi, sans retenue. j'voudrais garder pour toujours cette atmosphère hors du temps, mais j'veux surtout profiter de chaque seconde. du contact de mes doigts contre la courbe de ton dos, des tiens qui s'aventurent sur mon épiderme, qui réagit aux moindres de tes caresses. mais ce qui me renverse le plus, c'est pas tes mains contre moi, ni tes regards, c'est rien de tout ça. c'est ton sourire. cette manière que t'as de sourire en réponse à chaque réaction que tu provoques chez moi. à la fois tendre et victorieux. c'est illégal d'être capable de faire ça. et c'est ma main qui vient chercher la tienne, tandis que tes lèvres reviennent jusqu'aux miennes. mes doigts qui s'entrelacent aux tiens tandis que mon corps se soulève pour mieux épouser chaque parcelle de ta peau. si c'est ça de foncer droit dans le mur, c'est probablement la plus douce des tortures. et j'en veux plus, tellement plus. doucement, je t'incite à basculer sur le dos, pour mieux venir te surplomber. mes cheveux qui tombent contre les draps, ma paume contre ta joue, j'ai besoin de tout imprimer. besoin de ne pas faire comme la dernière fois. « je veux pas oublier. » je me rends même pas compte que je viens de te dire ça à voix haute, trop perdue dans ma contemplation de chacun de tes traits. mon pouce qui effleure tes lèvres, mon regard rivé sur le tien, tandis que je laisse mes deux mains tracer la courbe de tes muscles. des gestes que j'ai déjà faits, sans oser t'observer. sauf que cette fois, y a rien pour m'enivrer. et j'ai pas peur de te montrer combien j'te veux ce soir, parce que je sais que la réciproque est tout aussi valable. j'le sens à ton bassin contre le mien, à ton souffle irrégulier, à ta réaction quand ma main cherche le bouton de ton pantalon pendant que mon nez effleure le tien. à la fois douce et brusque. de feu et de glace. des émotions qui font les montagnes russes, illustrant parfaitement le brouillard dans lequel on nage.
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je sais pas où on va et pourtant, je me laisse enivrer par toutes les sensations. j’ai tous les sens qui se décuplent et cette envie profonde de m’approprier tout ce qui est de base à toi. est-ce que ça fait de moins quelqu’un de malsain ? te pousser au loin parce que t’es une enfant et attendre la première occasion pour me retrouver une nouvelle fois dans ton lit ? encore une fois, c’est une simple réponse à nos pulsions. comme si l’on venait de trouver la solution mathématique d’une équation et que l’on ressentait l’obligation de la coucher sur papier pour l’exprimer d’une autre manière. tes doigts qui s’accrochent aux miens pour marquer la connexion si particulière que l’on peut partager à ce moment et nos corps qui valsent ensemble sur le même rythme qu’un slow. ta peau me donne l’impression d’être un électrochoc à chaque fois. un puissant coup de défibrillateur qui refait partir mon coeur avec plus d’intensité. et je capitule en un temps record quand tu inverses la tendance préférant prendre le dessus sur le moment. j’ai mes yeux qui se perdent dans tes prunelles verte et je retiens mon souffle quelques instants te laissant poser ta main contre ma joue. « n’oublie pas. » que je réponds simplement sans prendre le temps de la réflexion. ça passe juste la barrière de mes lèvres et je crois que je n’arrive tout simplement plus à savoir ce qui est bien et ce qui ne l’est pas. je fais abstraction de tout ce soir pour me perdre dans tes draps. et même si je ne l’avouerais pas, je veux que tu soupires mon prénom à plusieurs reprises comme cette nuit-là. ma lèvre inférieure se coince entre mes dents quand tes mains glissent jusqu’au fermoir de mon jean, quand le tissu quitte mes jambes et quelque part, je le sens. je sens qu’on ne reculera pas. qu’on ne fera rien pour empêcher ce qui est en train de se produire et je profite de la proximité de ton visage pour m’approprier tes lèvres une nouvelle fois. mes doigts, eux, glissent dans ton dos, déclenchant des frissons que tu ne peux contrôler pour finalement s’arrêter sur l’attache de la dentelle que tu portes et t’en libérer. t’es belle misha. t’es tellement belle que tu me renverses. et je me redresse collant mon buste au tiens sans cesser de t’embrasser une nouvelle fois. j’ai besoin de sentir ta peau nue contre la mienne. mes lèvres goûte à ton épiderme, glisse sur ton épaule où je m’attarde avec tendresse, descendant finalement sur ta poitrine dénudée. je sais pas si tu saisis correctement l’état dans lequel tu me mets ni même ce que je peux ressentir à ce moment là. je ne sais pas non plus si tu percutes à quel point on va sombrer tous les deux à continuer comme ça mais.. le souci est sûrement la manière dont on s’embrase l’un l’autre. comme si c’était là où l’on devait se trouver. comme si on mettait fin à des années de tortures en s’octroyant finalement le droit de se découvrir sans ajouter une goutte d’alcool dans la problématique. je remonte à ta bouche et te tiens fermement contre moi avant de te laisser regagner le matelas. parce que c’est ton bas que j’attaque désormais m’attardant sûrement un peu trop sur ton bas ventre où j’y dépose une multitude de baiser. et j’le fais glisser le long de tes jambes, embrassant chaque parcelle de peau se libérant pour te marquer entièrement. j’te jure, tu me fais défaillir misha. j’en perds le contrôle et la raison.
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n'oublie pas. dans toute notre contradiction, ça te semble si naturel que c'en est renversant. l'espace d'un instant, nos regards s'accrochent, comme une communication silencieuse, un échange qui vaudrait mille mots, tandis que mes doigts effleurent tendrement la courbe de ta joue, l'angle de ta mâchoire. j'oublierai pas. comment est-ce que je le pourrais cette fois ? y a pas un seul instant qui ne me fasse pas vibrer. de la douceur de tes gestes jusqu'à la fébrilité avec laquelle tu réagis quand je viens tirer sur ton pantalon, en passant par tes lèvres qui semblent moulées pour parfaitement épouser les miennes. tes doigts glissent sur mon échine, libère ce dernier vêtement qui couvre ma nudité à ton regard, et alors que la dentelle m'échappe et vient rejoindre le sol, j'me surprend à rougir et à me demander ce que tu penses. est-ce que tu crois toujours que je suis la gamine qui habite dans la maison d'à côté, est-ce que la femme que je suis te plait ? mes lèvres planent au dessus des tiennes, concentrée sur le moindre de nos gestes, jusqu'à ce que tu entreprennes de te redresser, ma peau nue collée contre la tienne. et j'sens mon coeur qui bat la chamade contre le tien, j'sens tout sans la moindre barrière pour entraver nos bustes, rien pour me séparer de toi. mes bras s'enroulent derrière ta nuque, mon visage bascule, t'offre ma peau et mon corps sans la moindre retenue. l'abandon le plus total, alors qu'instinctivement, mon corps entier ondule contre le tien, attise nos désirs qui semblent déjà pourtant proches du paroxysme. mes soupirs répondent à chaque baiser, et chaque pression de ta bouche m'enveloppe de cette chaleur qui m'était inconnue, lointaine, et désormais si saisissante. un raz-de-marée. t'es un putain de raz-de-marée tae, et je sais que tu vas me submerger pour ne laisser plus rien d'autre que ton empreinte. puis, le matelas de nouveau. mes mains attrapent les draps, les serrent jusqu'à ce que mes phalanges en soient douloureuses, tandis que tes lèvres et tes mains deviennent plus aventureuses. je sais qu'on se rapproche du point de non retour. à vraie dire, je pense qu'on l'a déjà franchi depuis un moment. que ni toi ni moi ne pouvons faire machine arrière, alors que je soulève mon bassin pour t'aider à me dénuder, cette fois entièrement. tes lèvres se posent sur chaque centimètre de ma peau découverte, et c'est ton empreinte que tu tatoues sur moi, que tu laisses, indélébile. « tae... tae. » ton prénom quitte mes lèvres comme une supplique, une prière incohérente, un appel pour te retrouver entièrement contre moi, ma main cherchant désespérément à atteindre le tiroir de ma table de chevet en espérant pouvoir y attraper un préservatif. j'veux pas que tu croies que je suis le genre de fille sans cervelle, celles que t'aimes pas, celles qui semblent trop faciles et qui se font le premier venu sans réfléchir. quand mes doigts parviennent enfin à saisir l'emballage, c'est mon autre main qui vient chercher la tienne pour t'étendre à nouveau au dessus de moi. alors c'est ça que ça fait ? de sentir entièrement ta chaleur contre moi ? les yeux dans les yeux, cœur contre cœur, je déglutis avant que mes doigts tremblants ne viennent se glisser entre nous pour venir toucher, couvrir, protéger la zone la plus érogène de ton anatomie. et mes yeux te quittent pas un instant. parce que j'ai la trouille. non pas d'aller jusqu'au bout, non. mais plutôt que tu recules maintenant qu'on a un pied dans le vide. mes lèvres effleurent les tiennes sans les embrasser, comme une requête silencieuse. j'ai une jambe dans le vide, taehyun. à toi de voir si tu vas me rejoindre, et nous faire basculer.
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et puis je m’en fous, j’arrête de me poser des questions. je vis le moment comme il vient, je me laisse transcender par les émotions. et ça fait un bien fou d’arrêter de réfléchir par moment. de laisser mes envies prendre le dessus. parce que ce feu qui fait rage dans ma poitrine, personne ne le déclenche à part toi. personne n’a jamais su me faire vibrer de la sorte. c’est déroutant, flippant. j’ai l’impression d’être largué en pleine mer soudainement. pour la métaphore, t’es mon phare ce soir. mais je sais que quand la tempête fait rage, c’est plus aussi facile de l’apercevoir. tu me mets dans un état second, dans une phase que je ne comprends pas. mais je me délecte des traits de ton visage qui se transforment un peu plus à chaque instant, de tes doigts qui s’accrochent aux draps avec force et de ton corps qui se courbe sous la caresse de mes lèvres. j’ai ce demi sourire qui étire mes lèvres quand mon prénom filtre de ta bouche. je m’en lasse pas de l’effet que ça peut avoir sur moi. ça me rend dingue même je crois. j’te vois partir à la recherche de quelque chose mais moi, j’arrête pas. j’continue ma valse, la lenteur des baisers que je dépose à l’intérieur de tes cuisses jusqu’à ce que tu attrapes ma main pour me tirer vers toi. et je remonte le long de ton corps, t’écrasant certainement sous mon poids mais j’aime la chaleur que tu dégages et la sensation que ça me procure de te sentir contre moi. j’ai le souffle qui accélère, rauque, chaud. qui s’intensifie quand tes mains glissent le plastique visant à nous protéger de tout. mais est-ce que ça nous protège de la suite ? mes yeux dans les tiens, j’en ai finalement le souffle coupé. j’reste là, en silence, à t’analyser alors que tu détournes finalement tes prunelles des miennes. non. je veux que tu me regardes. je veux voir chaque seconde du moment à travers tes yeux. alors je dépose doucement mes lèvres sur ta mâchoire, me laissant guider jusqu’à tes lèvres. un baiser servant à apaiser le tout. et quand j’arrive à reconnecter avec le vert de tes yeux, quand j’arrive à me perdre dedans une nouvelle fois, je laisse finalement nos deux corps entrer en symbiose pour la deuxième fois. et c’est un souffle plus fort qui s’échappe de ma bouche alors que tes traits se crispent sur les premières secondes pour se détendre presque aussitôt. j’entame la danse attrapant ta cuisse pour la remonter contre moi. regarde moi misha. je veux que tu me regardes. qu’on perde rien de ce qu’on est en train de faire là. ça tambourine si fort dans ma poitrine que j’ai l’impression que ma cage thoracique va finir par imploser. je laisse courir mes doigts sur ta hanche, remontant doucement, incapable de me lasser de la chaleur de ta peau. puis c’est finalement ta main que je reviens chercher pour y enlacer nos doigts. parce que tu vois, tout ça là, ça n’a rien de bestial. ça n’a rien d’un coup d’un soir dont on se fout éperdument. est-ce qu’on va l’assumer ça misha ? j’sais pas, j’sais plus. je sais juste que je vibre pour les gémissements qui filtre de tes lèvres, pour ton dos qui se courbe un peu plus à chaque fois, pour la pression de mon bassin sur le tiens. je vibre pour le moment dans son entièreté je crois. et j'sais que la chaleur qui nous ravage est le signe que l'on prends sûrement trop de plaisir à ce qu'on est en train de faire là. j'regagne ta bouche, mes doigts toujours fermement accrochés aux tiens, mordillant ta lèvre inférieure avec douceur. tu vois ce que tu me fais faire là ?
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quoi qu'il advienne, on est déjà condamnés. j'crois qu'au fond, on l'est depuis cette nuit y a trois ans. on a préféré geler la situation, mais c'était tellement facile quand y avait un océan entre nous, tae, quand j'te voyais à raison d'une fois, peut-être deux par an. et je sais pas ce qui nous attend. je sais pas comment vont se dérouler les choses après ce qu'on est en train de faire, mais cette fois, c'est mon bon sens que j'ai décidé de mettre en sommeil. balancé par dessus mon épaule pour mieux me perdre sous tes baisers qui sillonnent ma peau, qui l'embrasent, qui m'animent toute entière. et quand je t'attire jusqu'à moi, quand je sais qu'on est plus qu'à un geste, un seul de nous abandonner l'un à l'autre, j'ai le coeur qui s'emballe. le regard qui dérive, qui se baisse sur ton épaule. tu t'rends compte qu'y a rien de plus important que la façon dont tu me regardes, là ? j'ai tellement peur de ce que je pourrais y lire. tellement peur que sur le moment, j'préfère choisir d'être lâche. j'ai le coeur qui s'affole, la respiration bien trop rapide, l'impression d'être au bord du précipice. mais pas toi. cette fois, c'est toi qui décide pour nous deux. c'est toi qui trace du bout des lèvres ta route jusqu'aux miennes, comme si tu savais exactement comment m'apaiser. mes yeux se ferment, ma main glisse derrière ta nuque, se perd dans tes cheveux. et quand mes iris verts se dévoilent à nouveau, c'est pour mieux croiser ton regard brun. et je n'ai plus peur. car alors que ton corps s'abaisse contre le mien, je fais la promesse silencieuse de ne rien laisser se mettre entre nous. ni ce soir, ni demain. ma main se crispe légèrement autour de ta nuque, et je me mord la lèvre inférieure alors que pour la première fois depuis trois ans, je redécouvre cette tendresse que j'ai jamais su retrouver avec un autre. tu te rends compte, tae. t'as réussi à me marquer malgré l'alcool, malgré les souvenirs manquants, malgré la place vide à mes côtés quand j'me suis réveillée. mais c'est resté la plus belle et la plus douce de mes nuits dans les bras d'un homme. jusqu'à ce soir. le souffle plus fort, ma main qui s'agrippe à ton épaule sous tes gestes, mon corps qui ondule en réponse, et nos regards qui ne démordent pas l'un de l'autre. j'imprime tout, jusqu'au moindre détail. et t'as cette façon indéchiffrable de m'observer. j'pourrais m'y perdre, tae. tout donner pour ces yeux et pour ce sourire. pour ta main qui prend la mienne, alors que mes doigts se serrent autour des tiens. y a quelque chose entre toi et moi, et c'te connexion va falloir qu'on parvienne à la déchiffrer. mais là, tout de suite, j'veux plus rien voir au delà de ce lit. au delà de tes souffles rauques qui viennent se mêler à chacun de mes gémissements. mon visage part dans ton cou, quelques secondes, le temps d'en embrasser, d'en mordre la peau. j'veux laisser ma marque, te rappeler que tout ça, c'est réel. aussi réel que la première fois. et peut-être plus vivant encore. et quand j'promène ma bouche sur ton épiderme, qu'elle remonte jusque la tienne, j'ai ce sourire qui vient tout seul à la prise de tes dents contre ma lèvre inférieur. c'te complicité, on voudrait la feindre qu'on y arriverait même pas. ma main libre quitte finalement ton épaule pour venir se plaquer contre ton dos, te rapprocher de moi encore un peu, répondre à tes gestes avec plus d'intensité, mais toujours autant de tendresse. je sais qu'on tiendra pas longtemps encore. c'est comme si ton corps m'était inconnu, tout en m'étant entièrement familier. j'étouffe un soupir contre tes lèvres, et mes doigts serrent les tiens jusqu'à en avoir presque mal. et à nouveau, mes iris trouvent les tiens. j'ai pas honte de l'effet que t'as sur moi, taehyun. et j'aurai pas honte de te regarder jusqu'au bout, jusqu'à perdre totalement pied. si ma main tient toujours la tienne jusqu'à en devenir engourdie, l'autre quitte ton dos pour glisser à nouveau sur ta joue. épouser la forme de ton visage pour m'assurer de ne jamais, jamais oublier l'instant présent. peut-être que j'fais l'erreur la plus monumentale de ma vie. mais j'peux pas m'empêcher de penser au fond que tout autant, peut-être que j'ai abattu l'unique obstacle qui valait la peine d'être franchi.
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j’ai littéralement coulé pour toi. je me suis totalement abandonné dans ce partage que l’on peut avoir. et je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas comment, mais le résultat est le même. c’est toi et moi, dans tes draps, à étouffer chacun de nos désirs sur la peau de l’autre, en continue, sans répit. comme si malgré nous, on venait de trouver notre place. est-ce que tu le ressent tout ça misha ? parce que moi, ça me prends aux tripes. ça me consume un peu plus de seconde en seconde mais étrangement, à aucun moment je n’ai ressenti l’envie de repartir en arrière. est-ce que ce sera l’erreur la plus monumentale de notre vie ? est-ce qu’après ça, on va recommencer à s’éviter comme si l’on était que deux inconnus ? je ne sais pas. je ne pourrais absolument pas prédire ce qui pourrait se produire par la suite et je crois que quelque part, j’ai pas envie de l’imaginer. ce serait une façon de mettre fin à l’ambiance qui s’est installée entre nous et j’ai pas envie d’y penser. j’préfère venir étouffer mes doutes contre tes lèvres, contre ton épiderme, comme si rien d’autre n’avait d’importance. et j’aime cette façon singulière que tu as de t’accrocher à moi. que ça soit par tes ongles qui se plantent dans ma nuque ou tes doigts qui s’agrippe à mon épaule. par ta bouche qui mordille ma peau. j’ai l’impression de t’être indispensable dans un sens. la danse de nos deux corps s’intensifient jusqu’à atteindre le point de non retour. jusqu’à ce que nos souffles déjà bien amochés s’unissent une dernière fois pour nous laisser cette sensation de plénitude. je plane là, j’ai l’impression d’être dans un autre monde, d’avoir quitté la terre ferme. et je finis par fermer les yeux, relâchant doucement ta main. inspirer doucement, revenir sur terre. tu te rends compte de ce que l’on vient de faire ? on a même pas eu le temps de reconstruire tout ce qu’on a abandonné il y a trois ans qu’on repartait presque aussitôt dans le même vice. sauf que tu n’as toujours que dix-neuf ans et j’arrive plus à savoir si je profite de ton jeune âge ou si l’on peut effectivement envisager quelque chose de plus.. profond. mon visage vient se loger dans ton cou où j’inspire ton odeur, caressant doucement tes cheveux sans oser rien dire. j’ai le coeur qui bat tellement vite que j’ai la sensation de ne plus réussir à trouver mon calme dans tout ça. mais petit à petit, l’organe s’apaise lui aussi. en appuie sur mes mains de nouveau à plat sur le matelas, je me redresse légèrement me risquant à te regarder. je sais pas ce que je cherche à déceler sur ton visage. peut être du regret ? j’vois rien de tout ça et ça me plonge un peu plus dans le flou. j’rompt finalement la connexion, me décalant sur le côté libre du matelas pour récupérer mon boxer après m’être débarrassé de la protection. et une fois fait, je reviens à côté de toi. j’crois que j’ai pas le courage de partir cette fois. sûrement parce que t’es réveillée et que nos esprits ne sont pas embrumés par une quelconque substance. j’en sais rien. je sais juste que toi, t’as pas bougé -j’ai presque l’impression que t’as arrêté de respirer. ma tête calé contre ma main, je te regarde sans un mot décalant une mèche rousse de ton front encore moite. qu’est-ce qu’on fous misha ? j’te regarde toi et ton corps que je viens tout juste d’épouser avant de finalement tirer sur le drap pour te couvrir ne serait-ce qu’un peu. et mon regard dérive sur tes lèvres, toujours sans un mot, ressentant cette envie oppressante de venir me les approprier encore une fois. mais ça serait étrange pas vrai ? tout ce qu’on vient de faire l’était en soit et j’avais aucune idée de quelle direction emprunter.
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c'est trop intense pour être éphémère. j'le sais. j'pense qu'au fond, toi aussi. mais pour l'instant, gardons tout sous silence, étouffons nos pensées par nos baisers, oublions juste un peu le problème épineux qu'on vient de lancer, à mesure que nos vêtements ce sont envolés. et j'le sais. j'le sais au moment où toi et moi on bascule dans le vide, dans l'abîme de notre désir. les choses sont sur le point de devenir plus compliquées encore qu'elles ne l'étaient déjà entre toi et moi, et pourtant, j'ressens pas une once de remord, aucun regret tandis que je sens mon dos se voûter, et mon corps se plaquer contre le tien une dernière fois. et je reviens sur terre seulement au moment où je sens tes doigts glisser peu à peu des miens. mon regard suit ton geste, en silence. y a rien d'autre que nos respirations dans ma chambre, rien d'autre que nos souffles qui tentent comme ils le peuvent de retrouver une certaine normalité. et y a cette crainte sourde qui commence à naître, qui germe dans ma tête, qui me prend aux tripes : est-ce que tu vas partir comme la dernière fois ? est-ce qu'on est repartis pour de longues années de silences gênants, ou pire encore, est-ce que cette fois c'est pour de bon que tu vas me laisser ? pourtant, quand j'te sens te blottir dans mes bras, ton visage contre mes boucles rousses, ta main dans mes cheveux, j'ai envie de croire que peu importe comment, on va trouver une solution. et tout aussi silencieusement, j'enroule mes bras autour de tes épaules pour te serrer contre moi, regard tourné vers le plafond, les pensées qui commencent à affluer, trop nombreuses, et pas franchement ordonnées. puis évidemment, t'es le premier à réagir. si ça ne tenait qu'à moi, j'crois que j'aurais passé la nuit sans dire un mot. trop peur de l'après. trop peur de la suite. et quand tu me regarde, j'arrive pas à déchiffrer dans tes iris autre chose que de la confusion. qu'est-ce que tu cherches exactement, taehyun ? parce que si ce sont des remords, tu vas devoir chercher ailleurs. de la peur, oui. mais rien d'autre. je déglutis, te laissant t'éloigner. j'reste immobile, les sens en alerte, à détailler du regard la moindre ligne des muscles de ton dos, et surtout je suis prête. prête à te courir après si t'essaies de partir. pourtant quand tu reviens près de moi, j'me rend compte que la seule chose à laquelle je me suis pas préparée, c'était à te voir rester. et j'ai les yeux qui te lâchent pas, en quête d'un indice, d'une foutue explication, quelque chose qui me dise exactement comment agir avec toi si j'veux pas te perdre. et j'me rend compte que tous mes muscles sont crispés seulement au moment où tu les détend d'un coup, d'un simple geste sur mon visage. j'expire, et je laisse le drap froid glisser contre ma taille, tandis que je pivote enfin sur le côté pour rouler jusqu'à te faire face. et j'voudrais pouvoir me cacher dans tes bras et oublier tout, oublier ce que tout ça veut dire, oublier le reste du monde. sauf que dans le cas présent, c'est pas le monde qui me plonge dans cette foutue confusion, c'est toi. rien que toi. après une hésitation, je me décide enfin à lever la main qui était restée le long de mon corps pour la glisser jusque ton visage. ma paume qui épouse ta joue, mon pouce qui en effleure la peau alors que mes sourcils se froncent, et que je cherche mes mots. « j'ai besoin de toi. » c'est une constatation, tant pour toi que pour moi. j'ai toujours eu besoin de toi, et j'ai juste l'impression que ce besoin évolue à mesure qu'on grandit et qu'on change tous les deux. « j'te le dis pas pour que tu te sentes enchaîné, j'te demande rien tae, j'ai juste besoin que tu le saches. j'ai besoin de toi. » ma main retombe sur le matelas, entre nous deux, et je soupire, les yeux baissés sur l'espace entre nous. je sais pas comment agir pour éviter qu'on s'ignore. je sais pas quoi faire pour qu'on contourne l'explosion. « je crois qu'y a... certaines questions que je vais devoir me poser dans les temps à venir. » de grosses questions sans réponses, que je pourrais plus contourner désormais. pourtant, quand je relève les yeux vers ton visage, ton regard rivé sur moi, ta bouche... toujours si désirable que c'en est presque douloureux, j'ai tout de même une question qui me brûle les lèvres. « tu regrettes...? » est-ce que tout ça c'est juste dans ma tête ? est-ce que si t'en avais l'occasion, tu effacerais ce moment qu'on vient de partager, comme t'as voulu effacer la première fois ?
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j’ai la sensation que l’on vient de me lâcher dans une sorte de carrefour. y a quatre chemin possible à emprunter mais aucune signalisation. alors j’fais un pas vers l’une avant de rebrousser chemin et ainsi de suite. c’est comme un labyrinthe. on y perds la tête à trop chercher la sortie. on panique, on s’agite, on part dans tous les sens mais on emprunte jamais la bonne direction. c’est ça l’impression que j’ai à ce moment précis et quelque part, ça me rend dingue. je garde le silence parce que je ne saurais de toute façon pas quoi dire. je me dis que prendre la parole suffirait surement à tout gâcher et.. je sais pas si je suis près à affronter de nouveau le silence pesant entre nous. y a pas l’océan pour nous séparer cette fois et qu’on le veuille ou non, on a encore agis comme deux idiots. t’as raison, c’était peut être pas de ma faute la première fois. je l’ai cru pendant longtemps mais tu es celle qui est venu me chercher ce soir encore et je commence à comprendre que t’en avais envie. que c’était ce que tu voulais et qu’à aucun moment je ne t’ai poussé dans cette action ni forcer à quoi que ce soit. c’est probablement ce qui me rends encore plus incertain. parce que je me dis que ce genre de raisonnement, ça rends les choses encore plus réelles et je sais pas si toi comme moi on est prêt à affronter ça. on se connait depuis toujours, on s’est vu grandir mutuellement mais de là à partager le même lit maintenant ? dans quel but ? à quoi ça rime ? j’voudrais les avoir les réponses mais y a rien d’autre que ce brouillard insistant qui me vient en tête et.. je ne suis pas certain de pouvoir composer avec. puis dans tout ça, je ne fais rien d’autre que te regarder, je me dis que bêtement, tu sauras m’aiguiller mais t’as l’air tout autant -si ce n’est pas plus- paumée que moi. donc on fait une sacrée paire de bras cassés, tu trouves pas ? mon regard dérive sur ta peau pâle et mes lèvres se pince. j’ai toujours beaucoup trop aimé avoir le contrôle pour apprécier me retrouver dans une situation comme celle-là et pourtant, je ne crois pas avoir le choix. j’y ai plongé tête la première et maintenant que l’euphorie est retombée, je crois qu’à part assumer, il ne me reste pas beaucoup d’options. il y a ta main qui se porte à ma joue et ton pouce qui caresse doucement mon visage. moi, j’essaie de taire les battements de mon coeur qui redouble d’intensité alors que nos yeux se parcourent comme si l’on cherchait à déchiffrer l’autre. puis c’est ta voix qui rompt finalement le silence. t’as besoin de moi. j’inspire un coup, incapable de savoir quoi répondre. t’as besoin de moi dans quel sens misha ? parce que je ne suis pas certain de comprendre où est-ce que tu veux en venir. est-ce que tu insinues quelque chose en particulier d’ailleurs ? « quel genre de question ? » que je demande la voix rauque. et sûrement que les questions dont tu parles, je vais devoir me les poser moi aussi. faire un tri dans ma tête et mes pensées pour réellement savoir où est-ce que j’en suis dans tout ça. mais encore une fois, sûrement que ça apporterait un trop plein de réalité et je sais pas si j’ai envie de l’affronter. j’voudrais fuir et d’un autre côté, je me dis que tu mérites mieux que ça. que j’ai pas le droit de te faire subir ce schéma une nouvelle fois alors que j’ai pris tout ce que tu avais à m’offrir ce soir. et ta question, elle me prends de court. je te fixe intensément, les mains moites avant de soupirer. « non. » j’crois que si j’avais regretté, ça aurait été plus facile. t’aurais eu le droit de m’insulter, de me mettre dehors et t’aurais probablement été celle instaurant le silence entre nous. mais c’est pas la vérité. j’ai pas regretté une seule seconde de ce moment. je crois qu’au contraire, mon corps entier vibre encore de toutes les sensations qui ont pu me parcourir. « je devrais sûrement mais ce n’est pas le cas. » y a le drap qui retombe un peu et te dévoile une nouvelle fois. j’ai cette lueur dans les yeux que j’arrive pas à éteindre et j’finis par me laisser tomber sur le matelas passant mes mains sur mon visage comme si ça suffirait à me remettre les idées en place. « c’est la merde » j’soupire. sans vouloir te vexer mais concrètement, c’est la merde. on vient de se foutre dans la merde et tu pourras pas dire le contraire.
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((taesha)) close to me - Page 3 0efhb15s_o
je suppose que ça se saurait, si on avait une carte avec des instructions pour ce genre de situation. mais y a rien d'autre que toi, moi, et ce flou qu'on va devoir balayer tous les deux comme les adultes qu'on est devenus. j'peux pas te laisser partir comme la dernière fois. et c'est sûrement égoïste comme façon de penser, mais comme j'viens de te le dire, j'ai besoin de toi, et je sais que ça me crèvera le coeur si j'te perds à nouveau. puis tu reprends enfin la parole, pour la première fois depuis qu'on a commencé tout ça. quelles questions ? automatiquement, mes dents viennent nerveusement à l'attaque de l'intérieur de ma joue, tandis que je fronce les sourcils, songeuse. puis je te regarde longuement, comme si les questions pouvaient se retrouver écrites sur ton front. « des questions qui vont me permettre de clarifier ce qui vient de se passer. » avouais-je finalement, la gorge nouée. une fois, tu peux mettre ça sur le compte de l'erreur. deux, soit c'est de l'imbécilité, soit c'est qu'y a quelque chose sur lequel j'aurais dû mettre le doigt depuis longtemps déjà. et il allait falloir que je fasse le tri. mais toi, tae, est-ce que tout ça est déjà clair dans ton esprit ? j'ai l'impression que non, mais j'peux pas m'empêcher de demander. de savoir si tu vas vouloir mettre un cadenas fermé à double tours sur ce moment qu'on vient de partager, ou si toi aussi, t'es au moins aussi perdu que moi. et on se fixe, comme si on pouvait lire la solution dans les yeux de l'autre, sauf que tout ce que je peux voir dans tes yeux noirs, c'est plus de questions, et une sorte de résignation quand enfin, t'avoues que non, t'as pas de regrets. et je suppose que t'as pas tort. je suppose que ça aurait été plus facile si toi comme moi on considérait tout ça comme une erreur commise par deux amis qui se sont emportés sur le moment. et alors que le drap glisse contre ma peau, et que tu retombes dos contre le matelas, moi c'est sur le ventre que je glisse, une main logée sur l'oreiller, l'autre qui effleure ton épaule d'un air pensif. et malgré la cruauté de la situation qui nous torture tous les deux, j'peux pas m'empêcher de rire doucement à ta conclusion. « c'est clair. » y a pas meilleure analyse, en fait, on est juste dans la merde tous les deux, et j'sais pas trop comment on va pouvoir s'en tirer dans la finalité. puis le silence s'installe. j'suppose qu'on est plongés dans nos pensées, chacun de notre côté. jusqu'à ce que je me redresse à mon tour sur un coude pour te regarder, mon autre main remontant le drap pour mieux dissimuler ma nudité. « on devrait... peut-être essayer d'éviter de se voir un moment. » presque aussitôt je précise dans un bref élan de panique : « j'dis pas qu'on doit arrêter de se parler, juste... prendre le temps de réfléchir chacun de notre côté, à tête... reposée. » est-ce qu'on peut vraiment appeler ça à tête reposée alors que j't'aurais probablement dans la tête à longueur de journée ? « on peut parler par sms, s'appeler, mais on se voit pas. pas avant de rentrer en angleterre ces vacances. » et là bas... là bas je sais pas. on avisera si on a besoin de plus de temps. si on se voit pour en parler une bonne fois pour toutes. peut-être que d'ici là, avec un peu de chance, ça sera passé. peut-être que ce soir, c'était juste parce qu'y a trois ans on était resté sur un goût d'inachevé trop alcoolisé. j'en sais rien, j'ai l'impression de chercher des excuses et ça me rend folle.
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je suis censé être celui qui trouve toujours des solutions. qui te tire des mauvais pas quand tu te fourres dedans mais.. là, j’ai rien. rien parce qu’on s’est tous les deux embarqués dans cette merde sans y réfléchir une fois de plus. à croire que faire l’erreur une fois n’était pas suffisant. non, fallait qu’on saute à pieds joints dedans sans même avoir résolu la première fois. on est deux imbéciles, ni plus ni moins. deux idiots qui font n’importe quoi. « mh » que je souffle simplement d’un haussement d’épaule. moi, je crois que je pourrais me poser toutes les questions du monde que je ne trouverais quand même pas de réponse. parce que je suis tout simplement incapable d’expliquer pourquoi est-ce que ça vient de se produire une nouvelle fois. j’ai pas su résister à tes lèvres, à ta peau, à tes demandes et je ne sais même pas pourquoi. c’est comme si j’avais perdu le fil, la connexion, je sais pas. j’me suis juste transporté dans un autre monde où j’étais plus capable de contrôler mes propres actions. puis c’est le silence qui nous enveloppe. moi, j’ai le regard rivé vers le plafond et j’sais pas quoi dire, j’sais pas quoi faire. je suis juste là à attendre que le temps passe. mais quand tu reprends la parole, je tourne les yeux vers toi arquant un sourcil. ah ? « je vois. » c’est curieux que tu proposes ça quand on sait que c’est typiquement le comportement que tu me reproches pour la première fois. mais soit misha. tiens toi loin, ça te donnera sûrement toutes les réponses que tu cherches. « oui chef » que je souffle un brin ironique avant de me redresser. et je sais même pas pourquoi ça m’énerve autant ce que t’es en train de dire mais ça le fait. j’récupère mon jean au sol, refaisant glisser sur ma peau ce dont tu m’avais démunis plus tôt. y a que mon tee shirt qui doit probablement traîner dans la cuisine. en fait, j’ai la sensation que là, c’est toi qui me jette et dans mon cerveau embrumé, j’ai du mal à saisir le pourquoi du comment. l’explication. « bonne soirée misha » que je lâche d’un ton distant, ouvrant la porte de ta chambre pour en sortir. et j’me bouge parce que j’ai pas envie que tu me rattrapes, j’ai pas envie que tu me parles. j’tiens toutes mes affaires entre mes doigts et fais le choix de me rhabiller dans l’ascenseur. putain, tu me retournes la tête et j’aime vraiment pas ça.

rp terminé ((taesha)) close to me - Page 3 2109348208
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