Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility((taesha)) close to me - Page 2
Le Deal du moment : -25%
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 ...
Voir le deal
749.99 €


((taesha)) close to me

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
((taesha)) close to me - Page 2 0efhb15s_o
je roule des yeux au ciel, presque automatiquement, même si mon sourire parle pour moi. tu sais que le jour où t'es malade, je campe chez toi jusqu'à ce que t'ailles mieux, pas vrai ? « je viendrais t'empoisonner avec une soupe maison. hâte que tu chopes un rhume. » et j'en pense pas un mot, mais c'est tellement plus simple d'utiliser de l'humour dans pratiquement chacune de nos discussions. tellement plus simple que de devoir te regarder dans les yeux après que tu m'aies pris dans tes bras aussi spontanément. mais c'est ce que j'ai demandé, après tout. te retrouver comme avant. faut juste que j'arrive à trouver ma place à nouveau. que j'oublie c'te tentation que t'es devenu à toi tout seul, inconsciemment. alors je recule, et comme souvent, je change le sujet. reconnaissante que tu sois capable d'utiliser l'humour en retour pour détendre un peu plus la situation. « comment t'as deviné que je comptais mettre de la mort aux rats dans les épices ? » je ris avant de froncer le nez quand tu viens désordonner mes mèches rousses, expression désespérée sur le visage, avant de me redresser sur mes deux jambes en glissant une main dans mes cheveux pour les remettre en place. « ah bah en l'occurence c'est assez simple puisque ce sont des pots tout prêts que j'ai pris à l'épicerie asiatique. de l'eau chaude et paf, magic happens. » après tout, je suis étudiante, faut pas s'attendre à ce que je mange de la haute gastronomie. j'allais vers la cuisine pour mettre en route la bouilloire, et revenais avec les deux pots pour les poser sur la table basse. « elle me passe souvent le bonjour via ma mère aussi. » peut-être parce qu'elle s'est rendu compte qu'on se parlait un peu moins. beaucoup moins à vraie dire. « tu penses rentrer en angleterre pour les fêtes de fin d'année ? » j'sais combien ta mère c'est toute ta vie, et au passage... c'est un moyen de savoir si j'vais te voir à la fin du mois. j'allumais la télévision, lançant directement netflix avant de te tendre la télécommande. « à toi l'honneur. j'vais chercher l'eau. » et je glisse sur mes chaussettes jusque la bouilloire pour la récupérer. ptet avec un peu trop d'élan, puisque dans mon euphorie, une partie de l'eau m'atterrit tout droit dessus, m'arrachant un cri de surprise. accompagné de nombreuses injures.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« je le savais, les roux sont tous diaboliques. » et c'est presque désespérant tu vois. parce que clairement, tout le monde voit clair dans votre jeu. surtout moi dans le tiens. j'peux pas te faire confiance en fait, suffirait que je ferme les yeux quelques secondes pour te retrouver en train de concocter un poison pour ma personne. « depuis que tu crachais dans mon bol de lait après les cours. » ouais, tu t'en souviens de celle-là ? parce que moi ouais. et c'était clairement crade après réflexion. « j'me disais aussi, c'était étonnant que tu puisses cuisiner » j'veux dire.. même les cookies que t'avais tenté de me préparer à l'obtention de mon diplôme avait été franchement pas bon. j'voyais pas comment est-ce que tu aurais pu t'améliorer, y a des talents que l'on ne peut pas posséder. « ouais, toujours collées ensemble » à un peu trop parler par moment. j'comptais plus le nombre de fois où ma mère avait tenté d'aborder le sujet que tu étais. comme si elle cherchait à comprendre ce qui pouvait bien se passer entre nous et j'te jure, c'est exaspérant par moment. « yep. ma mère me tuerait si je suis pas là pour noël » et je crois qu'en fait, la mort serait un châtiment plutôt cool à côté de ce qui m'attendrait vraiment si j'osais ne pas fouler le sol anglais pour la fin d'année. « oui chef » j'plisse les yeux l'air concentré passant directement dans la section recherche de l'application avant de t'entendre hurler. réaction immédiate, je saute du canapé et me précipite vers la cuisine pour te découvrir quasi trempé, à lancer des insultes à tout va. « putain misha » c'est de l'eau bouillante, pourquoi tu fais pas attention ? et je te tire vers moi agrippant ton pull pour le retirer et éviter le contact avec ta peau. forcément, j'embarque tout. le pull et le tee shirt dessous. et puisque je t'avais vu secouer ton bras dans tous les sens, j'en déduis que ça doit chauffer sur cette partie-là. allumant le robinet, je te tirais avec force le plaçant dessous avant de me rendre compte que.. oh. ah. détourne les yeux du con.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
((taesha)) close to me - Page 2 0efhb15s_o
les roux sont pas diaboliques, on est juste stigmatisés parce qu'on a la plus belle couleur de cheveux au monde. bande de jaloux. je secoue la tête en grimaçant quand tu ramènes sur le tapis une... très vieille anecdote.  « j'avais huit ans, et tu venais de finir mes céréales. mes préférées. » et face à l'asperge que t'étais déjà, fallait bien que je trouve un moyen comme un autre de me défendre, même si dix ans plus tard, j'me rend compte que bordel, c'était vraiment pas glamour.  « et tu sauras que je cuisine bien mieux depuis que j'habite plus avec mes parents. » mais j'suis pas sûre d'avoir envie de t'y faire goûter pour le coup. ramens sur la table basse, je portais mon verre de jus d'abricot à mes lèvres, souriant à imaginer nos mères en train de ragoter toutes les deux tous les soirs pour le café. « on change pas les bonnes habitudes. » tout comme je sais que jamais ta mère pourrait te tuer, même si tu pouvais pas venir pour les fêtes. t'es bien trop précieux pour elle. mais j'suis soulagée d'apprendre qu'à la fin du mois, depuis ma chambre, j'verrais cette petite lumière dans la tienne, qui m'indique que t'es là. et j'repartais pour aller chercher l'eau pour nos plats, sauf que j'suis un boulet, sauf que l'eau se renverse sur mon pull, éclaboussant mes avant bras nus au passage. je lâche l'objet aussi vite que je l'ai attrapé, l'insultant allègrement jusqu'à ce que tu déboules dans la cuisine comme un éclair pour constater les dégâts. « j'ai pas fait exp... » sauf que j'ai pas le temps de dire un mot de plus que je finis devant toi, mon sweat qui part pour me libérer de la chaleur que j'ai reçu sur le buste, et c'est seulement à mi chemin vers l'évier de la cuisine que je réalise que... qu'il manque pas que mon sweat. et j'reste bouche bée, en état de choc, réalisant même pas le froid qui glisse sur mon avant bras nu parce que j'ai le regard rivé vers toi. en soutien gorge, mon tee shirt accroché au reste par terre. et mon premier réflexe ? enrouler mon bras valide derrière ton dos pour me plaquer entièrement contre toi et mieux me cacher à ta vue. le coeur qui cogne si fort dans ma poitrine que j'ai l'impression de l'entendre comme le tic tac d'une horloge. un tic tac entêtant et bien trop rapide. et qu'est-ce que tu fous misha ? y avait littéralement plus un millimètre pour me séparer de toi, et c'était peut-être pas la meilleure solution à trouver. « c'est rien, je.. » tu quoi ? je pivote d'un coup pour que mon dos se retrouve contre toi à la place, le bras toujours sous l'eau. la gorge bien sèche tout à coup. « désolée. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
je crois que soudainement, le temps s'arrête. tout ce qui a pu se passer avant s'évapore et je bloque. j'ai les yeux rivés sur ta peau dénudée et j'ai beau me répéter en boucle de me détourner, je ne bouge pas. j'reste juste là à te fixer étrangement, sûrement sous le choc. c'était pas prévu ça. c'était pas du tout prévu. et j'ai des flashs qui tournent dans mon esprit. le genre de flash qui me retourne. j'te revois y a trois ans en arrière, sans plus rien pour couvrir ton corps. j'me revois au dessus de toi à laisser mes doigts glisser sur ton épiderme au rythme de tes soupirs. putain. et d'un coup, tu te retrouves complètement collée à moi, ton bras accroché à moi alors que les miens retombent le long de mon corps. merde, merde. t'as l'air aussi paumée que moi pour le coup et j'sais pas. j'crois que y a aucun mot qui ne peut franchir la barrière de mes lèvres là maintenant tout de suite. et tu pivotes pour changer ta poitrine contre ton dos. j'ai le coeur qui s'est embarqué dans une course effrenée que je n'arrive pas à stopper. j'me sens juste con. terriblement con. d'avoir louché comme ça sur toi et que tu ai pu le voir. putain, fais chier. j'sais pas quoi faire de mes mains et en les bougeant, j'effleure ta hanche. « pardon, pardon » je marmonne fermant les yeux pour tenter de me remettre les idées en place. y avait tout qui se passait bien et soudainement, il fallait que ça dérape. fallait que le karma fasse des siennes et nous foutent dans une position pas croyable. et j'le sens que chez toi aussi ça dérape, tu respires trop fort, trop vite. j'vois ta poitrine se soulever avec un peu trop de force à chaque fois et j'finis par poser ma main sur ton coeur reprenant doucement. « inspire, expire » me fait pas une crise de panique là. et sûrement que je suis con d'imaginer que c'est ça mais j'fais ce que je peux pour calmer la situation même si te toucher reste probablement la pire idée au monde.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
((taesha)) close to me - Page 2 0efhb15s_o
je sais plus quoi faire, quoi dire, comment réagir exactement. comme si ma raison était restée dans le salon tandis que j'me retrouvais collée contre toi par réflexe pur. à se regarder comme deux idiots qui savent plus où poser leurs yeux, autre part que sur l'autre. et maintenant ? j'tente au moins de sauver la situation en me tournant pour éviter tout contact visuel, le souffle aussi désordonné que les battements de mon coeur, avec rien d'autre que l'eau qui s'écoule sur mon bras sans interruption comme bruit de fond. est-ce que c'est ton coeur que je sens cogner contre mon dos, tae, ou juste le mien ? je ferme les yeux, j'respire, j'fais tous les efforts du monde pour pas partir en vrille. puis y a ta main qui passe brièvement sur ma hanche. et le frisson qui me remonte le long de l'échine est si violent que j'en tremble, la bouche ouverte, pas un mot qui en sort. il s'excuse sans interruption, moi j'sais juste plus quoi dire. j'arrive pas à prononcer le moindre mot tant j'ai la respiration qui s'affole. et finalement, peut-être que j'me suis pas tant remis de cette nuit là. de ton contact. de cette façon singulière que t'as d'agir avec moi. parce que dès que tu poses ta main contre mon coeur qui pulse contre tes doigts, j'sais que ma respiration elle va pas se calmer. et j'ai ma main qui vient par dessus la tienne, pour que tu sentes pleinement l'état dans lequel tu me mets. « tae... » qu'est-ce que j'fais ? qu'est ce que je dois faire ? parce que là, j'suis sur pilote automatique et y a que toi qui puisse m'arrêter. rien qui puisse freiner ma main qui quitte l'eau froide pour s'accrocher à ton épaule, tirant sur le tissu de façon fébrile. juste assez pour que tu te penches vers moi. juste assez pour que je puisse tourner la tête vers la tienne, ma bouche séparée de la tienne par un centimètre à peine. « dis moi stop. » c'est un murmure, un souffle, j'suis même pas sûre de l'avoir dit, ptet qu'y a juste mes yeux qui te supplient. je déglutis, avant de répéter entre deux respirations indisciplinées « dis moi de m'arrêter parce que j'saurais pas le faire spontanément. » j'm'en fiche bien de la douleur, de la brûlure. y a que toi qui peut m'embraser comme ça, tae. y a que toi qu'a ce pouvoir sur moi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j'ai le palpitant qui s'emballe beaucoup trop pour que ça soit normal. mes pensées qui se mélangent avec les souvenirs d'une nuit en particulier et cette difficulté à faire le tri dans tout ça. j'ai l'impression de perdre la tête, de plus contrôler quoi que ce soit. comme cette nuit-là. et je voudrais pouvoir me détacher de toi, te pousser, mettre ma tête sous l'eau froide pour me rafraîchir un peu ou détaler comme un idiot pour retrouver mon appartement mais je fais rien de tout ça. j'ai juste ma main qui se pose sur ta peau pâle et la tienne qui vient la rejoindre. t'es consciente qu'on a l'air bête tous les deux comme ça ? j'ai le souffle court et cette impression que ça pourrait déraper. qu'on est en train d'emprunter la mauvaise voie et qu'on s'en mordra les doigts. l'eau qui s'écoule change de rythme quand tu viens accrocher mon pull à la place me tirant légèrement. et soudainement, j'ai la vision trouble. tes yeux dans les miens et ton souffle qui se répand sur mon visage comme une alerte. je devrais saisir que c'est trop proche, qu'on peut pas, que tu peux pas faire ça et que tu devrais arrêter de me mettre dans cette position-là. mais y a pas un mot qui sort de ma bouche, rien. stop, stop, stop. ça se répétè en boucle de ma tête mais ça sort pas de ma bouche. comme si les mots restaient bloqués. et peut être que j'ai pas envie que tu arrêtes finalement. peut être que c'est ma tête qui entre en conflit avec un autre de mes organes visiblement incapable de se mettre d'accord sur ce qu'il était correct de faire ou non. je ferme les yeux quelques secondes, cherche à retrouver le calme, à reprendre le contrôle et dégage finalement ma main de toi reculant pour rompre tout ça. rompre peu importe comment l'emprise que t'as sur moi. sauf que le feu dans ma poitrine, il est toujours là. j'ai l'impression qu'on me consume de l'intérieur et dans un élan j'attrape ton bras indemne pour que tu me fasse face. t'es la reine des connes misha. y a ma main qui se plaque pourtant dans ta nuque te tirant vers moi et les pulsations de mon coeur qui reprenne de plus belle à la proximité. fais pas le con tae. trop tard. mes lèvres sont parties à la découverte des tiennes une nouvelle fois. comme un rappel trois ans plus tard et toujours cette même vague de chaleur qui se propage en moi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
((taesha)) close to me - Page 2 0efhb15s_o
dis moi stop. retiens moi. n'importe quoi qui me sorte de ce gigantesque point d'interrogation qui me plane au dessus de la tête sans que je puisse trouver une issue. j'sais que je joue à un jeu dangereux, sauf que c'est pas moi qui tient les cartes. et j'suis pas certaine que toi non plus t'aies une quelconque emprise sur la situation. on est juste là, les yeux dans les yeux, ma voix qui te supplie de m'arrêter, mais mes yeux qui te supplient de ne rien dire. et c'est le silence. le silence total, mais aussi l'immobilité complète, de ton côté comme du mien. on pourrait croire que le temps s'est arrêté, si nos respirations chaotiques venaient pas toujours se mêler au flux incessant de l'eau que j'ai oublié d'arrêter. puis tu recules. j'm'accroche au rebord de l'évier, coupe l'eau au passage, incapable de te faire face. j'sens encore l'empreinte de tes doigts contre mon coeur, tae, et pourtant on est séparés par un mètre maintenant. et maintenant, d'ailleurs ? on fait quoi ? on reste plantés là sans savoir se regarder, sans savoir quoi dire ? et quand t'enroules ta main autour de mon bras, quand tu me tires jusqu'à toi, j'm'attends à un savon. à ce que tu cherches une explication. mais j'ai pas bu cette fois. j'peux rien accuser d'autre que ma conscience, alors que j'te regarde en silence. et ta main derrière ma nuque, elle me rapproche encore, tandis que les miennes s'accroches à ton autre avant bras, en quête d'un équilibre. parce que tu m'énivres rien qu'avec cette proximité. et j'sens toute résistance m'abandonner quand cette fois, c'est toi qui vient m'embrasser. les yeux grands ouverts, ma main qui remonte pour s'accrocher à ton épaule. si sur le coup je reste immobile, en état de choc, il ne me faut pas plus d'une seconde pour que mes lèvres sachent à nouveau comment épouser les tiennes. c'est comme un déjà vu. comme un souvenir flou et entâché par l'alcool. comme une brume qui se lève sur une route pour que tout devienne plus clair. ton parfum, nos baisers, cette façon que j'ai de m'agripper à toi. et ça me frappe plus fort encore que cette soirée y a trois ans. j'en perds l'équilibre, ma seconde main venant glisser dans ton dos, sous ton haut, à même ta peau. t'irradies littéralement, tandis que j'recule à peine mes lèvres le temps de retrouver mon souffle. le temps de te fixer, bouffée par le brasier que tu ravives avec aisance. y a rien qu'est parti, tae. on a juste tout gardé sous scellé, tout gardé sous silence. et cette fois c'est à moi de revenir me hisser sur la pointe des pieds pour venir en quête de ta bouche contre la mienne, ma main qui glisse derrière ta nuque pour retrouver le contact de tes mèches noires sous mes doigts. arrêtes de te poser des questions. parfois, il faut juste accepter une évidence, aussi déroutante soit-elle.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
j’ai perdu le contrôle d’un coup, comme ça. j’ai mis mon cerveau sur pause pour une fraction de seconde. la fraction de seconde de trop puisque ma bouche se mêle à la tienne sans plus attendre. et je devrais pas. on devrait pas. tu devrais pas me pousser dans ce sens-là et je ne devrais pas y répondre. tu devrais me repousser de toutes tes forces et me laisser m’en aller parce que ce chemin, j’voulais pas qu’on l’emprunte. sauf que t’y réponds à ce baiser, t’y réponds avec autant d’ardeur que je te donne et je te sens t’accrocher à moi comme si j’étais ta bouée t’évitant le naufrage. mais tu comprends pas qu’on part tous les deux à la dérive comme ça ? tu comprends pas que ce qu’on est en train de faire, on va s’y brûler tous les deux ? ta main glisse sur la peau de mon dos et m’arrache un frisson. un truc si puissant que j’ai l’impression d’en trembler et je crois que c’est pour ça que j’arrive pas à arrêter. tu fais tout remonter à la surface, tout ce que j’ai cherché à taire pendant trois ans. t’es en train de foutre le bordel dans ma tête et je devrais te détester pour ça. te détester toi ou me détester moi ? parce qu’aujourd’hui, j’ai franchi la ligne. j’ai pas dis non, j’ai lancé le jeu. je viens de nous pousser tous les deux dans un putain de précipice et je crois pas qu’on soit prêt pour ça. mes doigts s’emmêlent dans tes boucles rousses, mes doigts épouses les courbes de ton corps. t’as raison, t’es plus une enfant misha. t’es pas une enfant quand tu m’aguiches comme ça. j’ai le souffle court et le coeur qui cherche désespérément à sortir de ma poitrine. mes mains passent sous tes cuisses et je m’abaisse légèrement pour te faire quitter le sol, bifurquant légèrement jusqu’à ce que ton dos entre en collision avec le froid du mur. « c’est ce que tu veux misha ? » parce que si tu me laisses continuer, je ne sais pas si je pourrais m’arrêter. je ne sais pas si je serais capable d’arrêter tout ça. et mes lèvres dérivent dans ton cou avec une ardeur non retenue. je redécouvre ton corps et cette fois, j’ai aucune excuse pour ça. pas un gramme d’alcool, rien qui pourrait justifier ce qui est en train d’arriver. ton souffle sur ma peau me fait perdre la tête et je te déteste au même point que je te désire là tout de suite. autant dire que les deux émotions font rage contre ton épiderme que je torture de ma bouche.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

((taesha)) close to me - Page 2 0efhb15s_o
j'ai plus seize ans, j'ai pas bu, j'ai rien qui justifie ma façon d'agir, rien qui puisse expliquer cette façon désespérée que j'ai de m'accrocher à toi, à tes lèvres, à tes mains autour de moi. et j'sais qu'on s'engage sur une pente glissante, voir même vers une foutue falaise. et la chute elle sera lourde, en fonction de ce qu'on va faire. maintenant, après. sauf que j'ai pas moyen de réfléchir, là. je déconne pas quand je dis que je suis sur pilote automatique, et qu'y a rien, absolument rien dans ma tête qui réponde correctemen tdans l'immédiat. parce que le moindre contact est comme une décharge électrique. du moindre baiser au simple contact de ta main qui glisse dans mes boucles pour venir s'échouer sur la chute de mes reins. et comme réflexe pur, j'me serre un peu plus contre toi, jusqu'à ce que, comme si tout était réglé comme du papier à musique, tu viennes me soulever, mes jambes s'enroulant autour de tes hanches, mes mains bloquées derrière ta nuque. j'manque d'air, mais j'veux pas reculer. ne parvenant à reprendre mon souffle qu'en sentant le mur froid contre la peau nue de mon dos. et tu poses une question, rien qu'une. mon regard s'agrippe au tien en silence, mes mains quittant ta nuque pour mieux venir encadrer ton visage, poser mon front contre le tien. regardes moi, taehyun. regardes moi. « est-ce que j'ai l'air de ne pas le vouloir ? » est-ce que j'ai l'air de vouloir reculer une seule seconde ? mon regard reste rivé vers le tien sans un mot, avant que tes lèvres ne viennent à l'assaut de la peau de mon cou. un tremblement, un soupir, la pointe de mes ongles qui effleure ta nuque et mes mains cherchent désespérément le bout de ton haut pour mieux le tirer vers le haut et le passer par dessus ta tête. j'te laisse pas une seconde de répit, ma bouche cherchant déjà le creux de ton épaule pour remonter dans un sillon de baisers jusque ton oreille. juste assez pour répéter dans un souffle : « est-ce que j'ai l'air de ne pas avoir envie de toi ? » j'crois qu'y a pas une parcelle de mon être qui ne te désire pas, tae. à tel point que c'en est effrayant.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
pourquoi tu ne me repousses pas ? pourquoi tu fais rien pour m’arrêter ? je t’ai entre mes doigts et tu laisses faire comme si c’était exactement ce que tu cherchais. sauf que j’arrive pas à stopper de mon côté. je suis incapable de mettre un terme à tout ça et je crois que j’espère que tu seras celle qui aura le courage de dire stop. je sais que si tu le fais, ça me donnera l’électrochoc nécessaire pour te reposer à terre et m’en aller. mais tes mots, c’est tout le contraire. non. t’as pas l’air de vouloir arrêter. t’as pas l’air de vouloir faire en sorte qu’on aille pas trop loin et t’accentue le tout en tirant sur mon tee-shirt jusqu’à le retirer. c’est ma peau contre la tienne et j’ai l’impression que tu me brûles à chaque contact. ton touché me brûle, tes baisers m’électrise. et je souffle fortement quand tu viens murmurer à mon oreille quelques mots supplémentaire. t’as envie de moi misha, je peux le sentir et je crois que tu peux sentir à quel point la réciproque est vrai mais ça ne change pas qu’on ne devrait pas. et sans cesser de te soutenir une seule seconde, je te fais quitter le mur. ça n’arrivera pas. pas comme ça. t’es pas le genre de fille que j’ai vulgairement envie de sauter contre un pan de mur. jamais je ne te traiterait comme ça. j’préfère prendre la direction de ta chambre, avançant avec précautions jusqu’à parvenir au niveau de ton lit où je te laisse tomber. et mes lèvres, elles viennent retrouver ta peau, glissant sur ton ventre avec précaution, remontant doucement jusqu’à ta poitrine. t’es belle. t’es belle à m’en couper le souffle là et je sais pas si j’y ai jamais prêté attention ou si j’ai juste fait semblant de ne pas le voir jusqu’à maintenant. et je me loge entre tes jambes, faisant pression de mon corps sur le tien, remplaçant ma bouche par mes doigts qui t’effleures. et j’en profite cette fois. des réactions qui se marquent sur ton visage quand j’touche des endroits plus sensibles que d’autres. cette manie que t’as de te mordre les lèvres quand tu ressent un peu trop de chose. je me surprends même à sourire bêtement devant le spectacle que tu m’offres. tu te rends compte de ce qu’on est en train de faire là misha ? parce que y aura pas de retour en arrière possible cette fois. on aura pas d’excuses ou des milliers de kilomètre à mettre entre nous. puis ma bouche revient épouser la tienne avec douceur. un baiser qui fait redoubler d’intensité chaque émotion. je me surprends à me souvenir que c’est exactement les même sensations qui avait parcourut mon échine la première nuit. je me surprends à penser que j’ai peut être juste cherché à éteindre tout ça, à rester dans le déni pour pas affronter la flamme que tu pouvais allumer en moi. et je pourrais pas te promettre que ce sera mieux après parce que je contrôle rien. je sais juste pas où on va.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)