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Versace on the floor - Lounio

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❝Versace on the floor❞
ANTONIO & LOUISON

Autant elle avait l’air assez ouverte ou du moins motivée précédemment que soudainement je la trouve vraiment bizarre, en témoigne sa réflexion à propos de notre possible déception commune et pour le coup je ne crois pas trop ce qu’elle me dit, c’est bien trop louche pour être rien. « Sauf que contrairement à ce que l’on peut penser je ne suis pas un mec en manque qui couche à tout prix et qui ne se préoccupe pas de sa partenaire » Effectivement je couche souvent et je ne suis pas le plus gentil des hommes avec les femmes qui partagent une nuit avec moi puisqu’après cela je peux me montrer je m’en foutiste, mais avant je prends soin de savoir si la personne est réellement consentante, qu’elle ne fait pas ça sous la contrainte ou autre et là j’ai plus l’impression que c’est une contrainte par peur de me vexer qu’une envie réelle. Surtout que je ne sais pas encore qu’elle n’est pas elle-même, ce qui en réalité change totalement la donne. Malgré ses quelques mots des plus claires et provocateurs, je reste focalisé sur ce qu’elle m’a dit précédemment, j’arrive pas à décrocher. De ce fait je vais tenter de prêcher le faux pour savoir le vrai en lui tirant les verres du nez. Je la provoque aussi afin de pouvoir mieux la surprendre puis je la plaque contre sa voiture avant de déposer un baiser sur son front pour lui demander ce qu’il se passe dans sa tête et elle passe enfin aux aveux, choses que je préfère. Elle m’explique qu’elle vient de parler à mon vice président, probablement l’élu de son cœur et qu’elle lui a avoué qu’elle va coucher probablement coucher avec un autre homme, et je comprends vite qu’ils ont dû se prendre la tête mais surtout que ses pensées sont tournées vers lui et non vers moi et qu’elle n’a pas spécialement envie de cela. Cependant je n’ai pas le temps d’agir, qu’elle vient coller ses lèvres contre les miennes tout en plaçant mes mains sur ses fesses. Cependant ce qu’elle me dit derrière me fait froid dans le dos, ça me rappelle quelques souvenirs et sur le moment j’ai quelques flashs de ma mère totalement morte après cette merde de poudre blanche qu’elle a sniffé, me laissant dans les mains ignobles de mon père sans même tenter de me défendre tellement elle était stone. Certes ce n’est pas le cas de Louison ou du moins elle n’est pas à ce stade là mais je ne décroche pas alors je retire mes mains de ses fesses « Je suis très bien, je suis conscient de tout mais toi je ne pense pas donc je pense qu’il vaut mieux que l’on arrête là Louison » Effectivement j’ai des envies mais qu’elle vient d’annihiler en m’expliquant sa consommation de drogue que je ne connais pas encore mais consommation tout de même. Certains auraient sauté sur l’occasion probablement mais je ne suis pas comme ça « Tu reviendras me voir quand tu seras toi-même Louison et là peut être que si t’en as réellement envie on pourra tenter quelque chose » Non pas que je me venge de la dernière fois en la repoussant, mais c’est surtout pour son bien à elle et pour ma fierté, je ne me vois pas abuser de quelqu’un, sinon ça signifierait que je ne vaudrais pas mieux que mon père. Alors qu’elle me rapproche d’elle pour se frotter à moi, je retire ses mains de mes fesses, et je me recule un peu « Non tu n’as pas de faible pour les Dunsters, mais pour un en particulier » Si elle lui a envoyé un message ce n’est pas pour rien, c’est que même alors qu’elle va s’envoyer en l’air elle pense à lui. De ce fait je comprends mieux la fameuse déception dont elle parlait « Retourne travailler et on se revoit un prochain coup si l’envie te dit mais soit clean » Je souris timidement avant de déposer mes lèvres sur son front puis sa joue, la serrant dans mes bras ajoutant dans un murmure « Tu vaux mieux que ça » Effectivement elle vaut mieux que ce job et pour le coup je suis sincère.
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Noooon. C’était juste un rail ou deux. Je comprends à peu près ce qu’il se passe et j’irais pas crier au viol tu sais.. J’rêve, t’es vraiment un homme bien et respectueux. En vrai je n’en ai jamais douté avec la réaction que tu avais eu durant le Summer Camp. Et alors que tu me remballes avec une grande douceur, je fronce mes sourcils comme une gamine en tapant du pied sur le goudron humide. « Pffff d’accord mon chou » Je continue pourtant de te chercher, je plaque mes mains sur tes jolies fesses, mais tu les retires assez rapidement. « Un en particulier ? Deux quand même » Liam sera toujours quelque part, même si j'aurais espéré un peu plus de combativité pour me récupérer. Je ris ensuite comme une bécasse, mais j’sais pas pourquoi, j’ai plus envie de pleurer qu’autre chose quand tu me dis de retourner à l’intérieur pour assumer mes responsabilités de gogo danseuse. J’hoche alors fébrilement de la tête et je ferme les yeux lorsque tes lèvres caressent la peau de mon visage à différents endroits. Tes bras m’encerclent et je les attrape pour qu’ils me serrent un peu plus contre toi « J’sais bien.. Attends pars pas, reste là un peu s’il te plaît » J’ai droit à une demie-heure, j’ai même pas grillé dix minutes et j’me sens pas bien du tout. Ma joue se blottie contre ton torse et je m’y frotte en oubliant que j’suis recouverte de paillettes « J’sais pas vraiment pourquoi j’ai pris ce job, la facilité et mon goût pour la provocation.. » Je câline Antonio Munoz sur un parking, normal. Y a plusieurs semaines, on a failli se tuer et là, j’ai de la compassion. J’suis perdue. Me détachant finalement de toi, je cherche ton regard perché un peu plus haut pour le capter « Je te demande pardon pour la dernière fois et si tu le veux bien, j’aimerais vraiment garder contact avec toi et passer des moments en ta compagnie.. On pourrait par exemple aller chasser l’ours un de ces quatre nan ? » Cette course-poursuite dans la grotte avait été mémorable. Non mais c'est vrai, il y a un feeling intéressant entre nous, il faut l’exploiter..
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Je suis peut être sanguin par moment, j’apprécie pas être pris pour un con mais il y a des choses que je suis incapable de faire comme m’envoyer en l’air avec quelqu’un qui n’est plus réellement lui-même et encore plus lorsqu’il s’agit de drogue car ça me rappelle trop ma mère ou plutôt la personne m’ayant mis au monde car pour moi elle ne vaut rien, elle n’a pas obtenu ce rôle, non c’est plutôt cette mère de famille dans la famille d’accueil ou j’ai été refourgué que je considère comme tel. Savoir que Louison a consommé ça me bloque et même si j’ai envie de plus sur le moment, je me freine car cette fille je l’aime bien et je préfère qu’elle soit maitre d’elle-même totalement, surtout que ses pensées ont surtout l’air occupées par un autre, mon vice président plus spécialement. Elle semble pas trop satisfaite que je refuse de passer le pas mais je pense qu’au fond ça lui convient « C’est mieux pour toi et pour moi pour le moment » Bien entendu que je ne suis pas fermé mais après il faut encore qu’elle soit totalement clean pour cela. Elle passe ses mains sur mes fesses qu’elle agrippe mais je les retire tout en lui souriant, parlant de son gout pour les Dunster et elle confirme mes propos. J’hoche donc simplement la tête de haut en bas. Je l’invite à retourner dans la boite tout en étant plutôt calme avec elle et bienveillant surtout alors que je dépose mes lèvres sur sa joue mais aussi son front ensuite, ne manquant pas de passer mes bras autour d’elle comme pour la rassurer avant de glisser quelques mots que je pense réellement. Je me prépare à partir incessamment sous peu mais elle me demande de rester un peu, probablement qu’elle a des choses à me dire alors je vais écouter, ça ne me coute rien. Ce qui me peine c’est qu’elle sait qu’elle abuse, que c’est mal mais elle poursuit ce qui est dommage de courir à ce point à sa propre perte. Elle se serre alors encore plus contre moi et je ne la repousse pas au contraire, si elle est bien là alors qu’elle se fasse plaisir. Je rigole bêtement lorsqu’elle m’avoue la raison de son choix et je lève les yeux au ciel « Justement pourquoi toujours vouloir provoquer ? Tu sais que ça ne t’apportes rien si ce n’est des problèmes et je doute que ce soit ce que tu veuilles réellement » Je capte son regard un instant avant de poursuivre « Surtout que tu pourrais faire autre chose de bien plus intéressant si tu veux mettre ton physique en avant. Tu plais, tu le sais alors au lieu d’en jouer de la sorte, pourquoi ne pas faire autre chose ? » C’est sûr qu’il y a bien mieux pour se mettre en avant que cela, surtout qu’il va y avoir des rumeurs et je doute que ça lui serve par la suite. Suffit que quelqu’un passe là et que l’on nous voit ensemble pour que les braises prennent. Elle se retire me regardant et j’en fais de même alors qu’elle finit par s’excuser pour nos frasques passées et je souris largement lorsqu’elle me parle de cette aventure que l’on a eu ensemble qui nous a de toute évidence soudée sinon on ne serait pas là aujourd’hui « Je te pardonne et ça me dérange pas que l’on continue de se côtoyer, bien au contraire même. Oui faudrait qu’on le retrouve celui là pour lui faire la peau, il a eu de la chance la dernière fois » Je rigole tout en la regardant me remémorant ce passage de la course poursuite. C’est vrai que lorsque l’on se retrouve tous les deux c’est explosif, drôle, fort en émotion quoi mais dans tous les sens du terme. « Toute manière tu as mon numéro alors tu sais ou me joindre si t’as envie de quelque chose en particulier » Je lui fais un clin d’œil alors que je regarde l’heure qu’il est « Tu sais faire semblant d’être malade ou pas ? » Non parce que je ne suis pas trop séduit à l’idée qu’elle retourne dans cette boite pleine à craquer de détraqués sexuels donc autant que l’on parte chez moi ou elle n’importe pour regarder un film ou juste faire les cons voire même discuter n’importe.
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La provocation me fait vivre. J’sais que j’aurais bien plus d’émotions en travaillant ici que dans une boutique de téléphone portable. Et j’ai besoin d’émotions moi, j’suis sans arrêt en quête d’adrénaline et d’autres hormones. « Ouais, peut-être bien.. J’aime pas m’ennuyer alors je préfère me foutre dans la merde plutôt qu’être face au vide » Nos regards perdus l’un dans l’autre, je fronce mes sourcils en t’écoutant parler de moi, du moins de mon physique qui pourrait ‘servir’ autrement. J’vois pas comment moi. « Je vois pas quoi Tonio.. J’suis petite, c’est pas vendeur dans notre société, faut être une girafe » Je m’esclaffe et m’éloigne enfin de toi pour éviter de te mettre mal à l’aise ou autre. C’est juste si facile de s’agripper à toi et de ne plus rien ressentir. T’es sécurisant comme type et apaisant quand tu le veux bien. Je remets ensuite sur le tapis notre aventure Canadienne et j’éclate de rire en repensant à ma gamelle « Oooh. Merci.. Ouais, tu m’as sauvé la vie ce jour-là.. Et tu t’es pissé dans le froc ! » Je cogne un de tes pec de mon poing pour te taquiner et je souris plus tendrement en observant plus précisément les traits de ton visage. « Ah, tu ne m’as pas bloqué ? Ok, je te harcèlerai bientôt alors » Merde, tu regardes l’heure, tu dois être attendu autre part et moi je me pends à ta cheville là. Ah non, quoi ? Me faire porter pâle ? Mh, j’étudie pas le théâtre pour rien, je pourrais y arriver. « Ça peut se faire ! Combien de fois j’ai séché les cours en trafiquant le thermomètre. Je vais les prévenir et s’ils me virent, bah peut-être que tant mieux au final.. Reste-là, j’re ! » Prenant mon courage à deux mains et m’inventant une fulgurante gastro, j’pénètre dans l’club pour aller le signaler à un des boss. Bon, le gars m’a foutu une claque sur la fesse, normal, mais il m’a dit de me rétablir et de revenir très vite. Cool. J’récupère alors en vitesse mes affaires et j’reviens sur le parking en roulant du cul. Pas de ma faute, ce sont ces maudits talons. Sur mon passage, je te balance les clés de ma caisse à la figure pour que tu conduises « Question de prudence, j’suis encore stone ! Tu vis où toi ? Dunster House ? Je m’en fous, ramène-moi où t’habites, ça m’ira très bien » Entrant dans l’habitacle, je retire mes chaussures en poussant un soupir de soulagement. « Let’s gooooo señor ! »
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Je peux comprendre sa quête de sensation forte oui mais pas ce genre de job, c’est plus nocif qu’autre chose, son image risque d’être mis à mal pour juste une question de pulsion et de satisfaction de se rouler dans la merde et c’est dommage je trouve car elle vaut mieux que ce nid à merde mais bon après je ne suis pas son mec donc je n’ai pas à lui dire quoi faire, même si c’est con je trouve. « Toi la merde ça te stimule. Du coup je t’imagine sauter dans une piscine de merde, c’est … ravissant » Je rigole tout seul devant cette image avant de reprendre mon sérieux et essayer de lui trouver une option de quelque chose qui pourrait la stimuler mais en même temps par la mettre à ce point en porte à faux. « Prends des échasses dans ce cas » J’hausse les épaules cherchant un exemple concret « Je sais pas mais t’es chiante toi avec ton délire » Je lève les yeux au ciel assez frustré de ne pas trouver quelque chose et bizarrement lorsque je la regarde, par moment j’ai l’impression d’avoir le reflet de ma maternelle avant qu’elle ne me mette au monde et disons que ce n’est pas une bonne chose pour elle, ça serait dommageable qu’elle finisse comme elle. Je ne préfère pas penser à ça et heureusement nous discutons de notre escale canadienne qui s’est avéré tellement épique, d’ailleurs j’en rigole encore et elle aussi « Je suis ton héros, ne l’oublie pas » Je souris en lui montrant toutes mes dents « C’est toi qui t’es pissée dessus en te retrouvant le cul par terre ouais. T’as été maitrisé par une branche » Je rigole en revoyant la scène, c’était vraiment un super voyage et j’espère que cette année on aura encore droit à des souvenirs du genre. « Bien sûr que non je t’ai pas bloqué. Harcèle moi donc. » En règle générale je supprime le numéro ou alors je ne réponds juste pas aux messages que je reçois tout simplement. Je regarde d’ailleurs l’heure qu’il est pour savoir quand es ce qu’elle doit y retourner et je ne peux par soucis de conscience la laisser remettre les pieds là bas donc je lui propose de simuler une maladie. Après tous, les femmes simulent bien un orgasme parfois, donc une simple gastro ça ne devrait pas être trop compliqué. « Ah ouais mais toi t’es une vraie fourbe en fait. T’as simulé autre chose sinon ? » Qui sait peut être fait elle partie du groupe des simulatrices. Je la laisse aller s’arranger et j’attends patiemment devant sa voiture, puis elle revient quelques minutes seulement après, me lançant les clés de sa voiture. Je regarde la mienne un instant « On retournera chercher la mienne demain du coup. Je vis à Boston dans un appart, c’est mieux pour être tranquille » J’avais vécu à la Dunster, j’y avais eu ma chambre mais disons que l’on ne se sent pas réellement chez soi comme ça peut être le cas dans un appartement. Je rentre donc dans la voiture et je mets en route le moteur « Vamos » Je lui fais un petit clin d’œil avant de partir chez moi. Peu de temps après nous nous y retrouvons et je pousse la porte de ma demeure la laissant y entrer « Fais comme chez toi » Je souris avant de fermer derrière elle et de retirer ma veste. « Du coup t’as une envie particulière ? Discussion, film, jeu ? » Moi ça m’est égal de toute évidence. « D’ailleurs tu veux boire quelque chose ? »
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Je mérite bien que tu te foutes de ma gueule. Vas-y, imagine toi que je nage dans la chiasse, je t’en prie. Quelle délicatesse venant de toi, j’suis même pas surprise et je m'abstiens même de bouder. J’ai la tête qui tourne. Un manège, un vieux carrousel de Paris. Je suis trop joyeuse, nostalgie, mélancolique. J’sais pas. J’ai un cortège d’émotions qui me traversent. J’ai envie de plein de choses. J’ai surtout faim. Mon estomac se creuse alors que je fais un bond vers le passé. « Mais ta gueule, la branche elle était plus lourde que moi aussi, biatch » Tu te marres et cette fois-ci je t’envoie une petite tape dans ton biceps afin que tu me caches tes jolies dents email-diamant là. « Je ferais ça oui » Je t’enverrais un message dans quelques jours, promis. On verra alors si on est toujours cool tous les deux. En attendant, je te vois zieuter ta montre et ça me fout le cafard. Tu veux partir ? Nan, tu voudrais carrément que je m’échappe de mon job pour continuer la soirée avec toi ? Wow. Antonio s’est vraiment levé du bon pied ce matin, j’peux pas refuser. « Mh, j’ai déjà simulé quelques orgasmes ui.. Ça m’a permis de faire venir les gars plus vite et d’abréger des parties complètement nazes » Je pouffe de rire en rabattant une lourde mèche blonde derrière mon oreille et je disparais de nouveau à l’intérieur pour aller prétexter une maladie imaginaire. Ma supercherie passe crème, j’reviens sur le parking, je te lance mes clés et je me rapproche de ma bagnole toute neuve « Ça marche, putain non, ça veut dire que je vais devoir te supporter toute une nuit ??? Shit » J’entre dans la bagnole, je claque la portière, je m’enroule de la ceinture et je retire mes pompes pour masser mes pieds endoloris. Je t’encourage ensuite à se barrer d’ici avec un petit peu d’espagnol et nous voilà enfin en route pour ton « chez toi ». Le chemin se passe sans encombre, t’étais bien concentré et moi encore dans les nuages. Disons qu’on a pas eu la discussion du siècle quoi. Bref, on arrive enfin à ta piaule. Tu passes la clé dans la serrure, t’ouvres et j’entre la première en me cognant direct contre un meuble. Sorry, mais j’ai pas la vision infra-rouge moi. T’allumes enfin et je jette mes escarpins maléfiques dans un coin pour m’aventurer un peu plus dans ton espace « J’vais éviter l’alcool, t’as de la bière aromatisée au rhum ? » J’éclate de rire et j’escalade ton canapé pour m’allonger dessus et ne plus bouger. Ouais, on est bien mieux ici que sur un podium, un string entre les fesses. « J’veux bien qu’on discute jusqu’à ce que je m’endorme.. Racoooonte moi une histoire papa Antonio » Je deviens un gros bébé là, je pédale dans le vide, je fais des gazouillis, je m’extasie en fixant l’ombre de la lampe sur le plafond. « Raconte-moi un peu ton histoire steplaaaait, j’suis sûre que ton histoire respire le soleil.. Et fais moi un sandwich, j'meurs de faim»
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Quand on y pense bien, entre nous le courant passe bien, c’est pour ça que l’on a autant rigolé lors de ce voyage au Canada que je ne regrette nullement. Malgré notre brouille je n’ai pas pris la peine de la supprimer ou autre car je ne suis pas un enfant, mais juste je ne lui parlais pas, je faisais le mort, ni plus ni moins. « Arrête de te trouver une excuse, t’es une petite chose frêle » Je rigole tout en revoyant la scène se dérouler sous mes yeux et je rigole alors que je lui avoue ne pas l’avoir supprimé et elle me signale qu’elle m’enverra des messages « Très bien alors » Je lui fais un clin d’œil avant de regarder ma montre pour me rendre compte de l’heure qu’il est. La laisser dans cet endroit ça me déplait alors je lui propose de se jouer de son boss et bien entendu elle accepte ce qui ne me surprend pas en soit. « J’en peux plus de toi c’est trop » Je rigole à l’entendre me raconter tout cela, imaginant la scène enfin rapidement seulement et je la laisse partir pour arranger le bail et elle se débrouille bien puisqu’elle revient peu de temps après en me lançant par la même occasion ses clés « Arrête de faire genre t’es la plus heureuse du monde » Je prends place dans sa voiture et je pars en direction de chez moi dans la bonne humeur. Le trajet se passe sans soucis, nous rigolons d’un peu tout et une fois chez moi, je l’autorise à rentrer et d’ailleurs elle se cogne contre un meuble me valant un rire alors que j’allume la lumière « T’as de la chance que ça n’a pas été au petit orteil » La douleur dans ce cas est juste horrible, pour ma part je casserai tout sur le moment tellement c’est traitre. Je lui propose d’ailleurs de boire alors qu’elle fait le tour du propriétaire et sa remarque me fait rire, vraiment elle est intenable celle là et encore plus lorsqu’elle est sous l’effet de stupéfiant. « J’dois avoir ça » J’en sors donc une pour elle et une pour moi alors qu’elle se pose sur mon canapé agité comme jamais alors que je lui laisse libre choix sur le programme de la fin de soirée et sur le coup ça me bloque, je sens mon cœur rater un battement et mes muscles se crisper. « Oula, il y a rien à dire sur moi tu sais, mon histoire est banal je n’ai rien fait de particulier. Ce serait une perte de temps. Autant que tu me parles de toi plutôt » Mon histoire respire vraiment tout sauf le soleil, bien au contraire même, ça ressemble bien plus à l’enfer qu’autre chose. Je lève les yeux au ciel avant de sortir le bain et de lui ouvrir le frigo « Tu lèves ton joli petit cul qui remuait sur mon entrejambe il y a une petite demie heure de ça, et tu te le fais toi-même hein ? » Je lui fais un clin d’œil tout en souriant alors que je pourrais peut être moi aussi me laisser tenter par un sandwich maintenant que j’en parle ça me donne faim « Alors parle moi un peu de toi et de ta petite vie en même temps que tu te fais un sandwich. D’ailleurs Maité ça serait cool si tu pouvais m’en faire un au passage » Après tout je l’invite chez moi, elle peut au moins faire ça.
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Enfoiré de meuble. Je me suis défoncé mes petits pieds tout mignons. « C’est pas passé loin ouais » Si c’était chez moi, j’aurais explosé toute la décoration, mais je dois rester calme ici, rien ne m’appartient, j’peux rien défoncer pour soulager ma douleur. Tu me demandes ensuite ce que je voudrais boire et t’as l’air consterné de ma réponse. Tu savais très bien que je n’allais pas te demander de l’eau hein. « Merci dude » Hop, je m’affale dans ton canapé bien moelleux et je m’enfonce dans l’angle pour bien me caler pendant que tu ouvres le frigo quelque part au loin. « Bah, j’aime bien les histoires banales tu sais.. Et tu n'es pas une perte de temps. Tu vaux la peine qu'on s'arrête sur toi » Je crois que j’abuse ensuite un tout petit peu en te demandant de me faire à bouffer, mais oh, j’suis encore droguée, j’ai besoin de donner quelque chose de cool à mon estomac, fais pas ton chiant. « Pas gentil Tonio » boudais-je en attrapant un coussin pour le plaquer sur ma poitrine et m’en servir de … doudou. Je te regarde de loin et je vois que t’es vraiment sérieux, tu veux que je me lève pour me démerder. Ça me choque même pas venant de toi, le macho dans toute sa splendeur. « Va te faire foutre enfoiré ! » Je déploie mon superbe fuck et je te tire la langue en m’accrochant au canap’ qui semble voguer sur un fleuve invisible. Wow, ça bouge de ouf. « Laisse tomber, je dormirai le ventre vide. Ma vie est naze. J’suis née à Paris, j’y ai grandi, mes parents sont avocats et moi aussi j’veux l’devenir pour les rendre fiers tu vois. Le truc basique de la petite fille qui cherche de l’attention chez ses parents trop obsédés par eux-mêmes » J’m’en rends compte et pourtant j’continue, peut-être parce que j’suis aussi fascinée par la justice et les causes perdues à défendre, j’sais pas. Eux ils défendent les riches qui font des conneries, moi je veux défendre les pauvres victimes d’injustices. « Et j’aime me foutre dans des histoires à la con et nager dans la merde » Je soulève mon pouce pour approuver mon propos et je me relève enfin en titubant pour foutre la main sur ma bière « Pourquoi tu veux vraiment rien me dire, même pas la ville où tu es né ? Tu viens de l’espace ?? T'es pas obligé de me raconter tes plus gros secrets, juste ce qu'il y a en surface d'Antonio Munoz »
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J’en peux plus de cette femme, je viens seulement de lui reparler mais elle me blaze déjà par ses conneries mais bon elle me fait rire quand même. Je lui sors sa bière et je fais de même pour moi alors qu’elle fait la con sur son canapé puis elle veut que je lui parle de moi mais le truc c’est que je n’ai rien à dire puisque l’histoire que je me suis inventé n’est pas bien intéressante, au contraire elle est banale, totalement sans saveur et d’ailleurs j’aurais préféré avoir cette vie classique plutôt que d’avoir la mienne. Elle est plutôt mignonne quand même de s’intéresser à moi mais je ne lui réponds pas sur le moment en espérant qu’elle oublie puis lorsqu’elle me demande à manger, je lui signale qu’elle n’a qu’à se lever pour se servir de ce qu’elle veut mais ça ne semble pas lui plaire. Au début elle ne me prend pas au sérieux mais je le suis et lorsqu’elle s’en rends compte, elle me fait un fuck ce qui me fait rire « Mets le toi ou je pense ton jolie petit doigt en espérant qui ressorte avec la même couleur » Je rigole tout en lui faisant un clin d’œil avant de déposer un baiser sur la paume de ma main, soufflant sur cette dernière en direction de la blonde. Je l’écoute donc me raconter sa vie et me prendre légèrement par les sentiments alors je m’emploie à lui faire un sandwich classique jambon beurre et j’en fais de même pour moi car j’ai faim avec tout ça et puis je ne vais pas la laisser manger seule. Lorsqu’elle me parle d’avocat j’hoche la tête et j’ai des frissons, tout ce qui touche à la justice, aux forces de l’ordre ça me remémore mon enfance, ce procès à Séville pour condamner mon père ou j’ai dû témoigner. Je ne montre rien car il ne faut pas qu’elle se doute de quelque chose mais au fond ça me fait bizarre « Oh je vois, c’est cool tout ça. Et dans tout ça Paris ça te manque pas ? » De plus comme elle est de Paris s’il faut mon histoire elle l’a déjà entendu ou étudié même peut être car elle a fait le tour de l’Espagne et peut être les pays limitrophes aussi, je ne sais pas trop mais j’espère pas. En soit heureusement que dans ce monde il y a des personnes comme Louison qui souhaite venir en aide aux plus démunies et rendre la justice aussi même si effectivement derrière ce n’est pas pour autant que tout va mieux, la preuve je n’ai pas réussi à me reconstruire au fond. Je reviens donc vers elle avec les sandwichs « Allez tiens mais n’y prends pas trop gout c’est la première et dernière fois que je t’en fais » Je lui fais un clin d’œil avant de me poser à ses côtés « C’est pas question de pas vouloir, je m’en fiche à vrai dire mais c’est juste que je n’ai pas l’histoire à couper le souffle quoi. Je viens de Séville, j’ai vécu dans une famille classique de salarié et disons que je n’ai pas envie de vivre la même vie. J’ai jamais eu de problème d’argent mais mon père faisait les trois 8 et avec le temps il s’est fatigué. J’ai toujours voulu ouvrir une salle de sport et j’ai toujours cette envie mais j’avoue avoir pris gout au mannequinat maintenant. Je suis moins héroïque et chevaleresque que toi c’est sûr » J’hausse les épaules tout en ouvrant ma bière pour boire dedans avant de croquer dans mon sandwich tout en lui souriant.
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J’peux agir comme un vrai petit mec avec toi, c’est quand même plaisant. T’as aussi pas mal de répondant et j’aime ça. Disons que t’es loin du mec nian-nian qui ferait tout apparaître comme séduisant, la preuve, cette phrase sur mon doigt est tout bonnement dégoûtante. Bref, me relevant péniblement, je m’approche du comptoir pour attraper ma bière et j’constate que tu mets la main à la pâte pour nous faire deux sandwiches. En parallèle, je te raconte mon parcours dans les plus grandes lignes. C’est cool de papoter comme ça, en oubliant notre dernière discussion horrible du Summer Camp. Ça me fait du bien en tout cas. « Ouais, bien évidemment, Paris me manque, Nice aussi, la France entière » J’hausse mes épaules et me hisse sur le plan de travail pas loin de toi pour continuer la discussion. « Mais bon, mes parents étaient trop toxiques, m’éloigner m’fait du bien.. » Les pieds dans le vide, je sirote ma bière jusqu’à ce que tu me tende mon casse-croûte « Merciiiii, t’inquiète pas, je n’oserais pas abuser de ta bonté » Je pouffe de rire et dépose ma bouteille pour croquer dans le pain. Après la première bouchée avalée, j’inverse les rôles pour te questionner à ton tour. Si on regarde bien, mon histoire n’a rien d’exceptionnelle non plus hein. Donc bienvenue au club le spanish. « Ah ouais, c’est vrai que t’es mannequin toi, enfin, logique avec ton corps et ta gueule de crâneur là » T’es beau gosse, j’avoue. Malheureusement, le physique décline toujours à un moment ou un autre, quoique, y a de plus en plus de senior sexy maintenant. « T’es con ! Je n’ai rien d’héroïque, j'veux juste aider mon prochain comme il pourrait le faire pour moi… Réciprocité tu vois. Si t’ouvrais vraiment ta salle, tu serais peut-être un héros pour des tas de gens qui vivent un cauchemar dans leur corps.. » J’dis ça, j’dis rien, on est tous le chevalier de quelqu’un à un moment ou un autre. Je continue de bouffer comme une mort de faim tout en te regardant dans tes beaux yeux « Et ton père va mieux depuis le temps ? Il a arrêté de bosser comme un fou ? »
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