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(magique) let's get out of this town, drive out of the city, away from the crowds

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"Précipite pas les choses, tu vas me faire fuir, j'aime pas l'engagement. La fois où je me suis marié, il m'a fallut pas plus que deux semaines pour divorcer." Mouhaha. Dans le lot, bim, t'apprenais que j'avais déjà été marié. De nada. J'étais content d'un côté que ton ventre ne se soit pas arrondi, parce que j'crois que malgré moi, j't'aurais vu différemment, j'aurais trop réfléchi à la question. J'étais pas un gars qui aimait les gosses, loin de là, mais quand j'ai rencontré Addie, la fille de Meg... J'suis tombé en amour. Et même si j'en parle pas, même si j'en ai parlé à absolument personne, ça me déchire le coeur de savoir qu'ils m'ont retiré le titre de parrain. Pour mettre Philip à la place. Il aime encore moins les gosses que moi et n'a jamais soutenu Meghan dans sa grossesse. Abusé. Bref. J'te racontais mes ambitions, mes rêves écrasés à cause de mes conneries et mes erreurs de parcours. "Ouais, je sais que le trouble de l'attention n'est pas de ma faute. D'ailleurs, si un jour tu me parles et que je décroche, que je regarde ailleurs ou je sais pas quoi, sache que c'est surement pas contre toi, c'est justement les troubles qui parlent." J'évoquais ma dépression, chose que je ne faisais quasiment jamais non plus mais avec toi, c'était facile de parler, j'avais pas cette peur d'être jugé. Tu me demandais si ça allait mieux et je lâchais un petit rire sarcastique. "J'suis accro à la morphine." La drogue connue pour effacer la douleur. Alors... non, j'crois que ça va pas mieux, dans le fond. J'te disais même pour te montrer à quel point ma vie était merdique que le gars qui s'était crashé en début d'année dernière, surprise, c'est moi. "Nope, j'me fous pas de toi. J'ai perdu tous mes souvenirs, toute mon identité, j'savais plus qui j'étais en me réveillant, ni qui étaient mes proches." Maintenant, j'suis guéri. Y'a encore quelques trous par-ci par-là, mais rien d'important. Je t'avouais la situation actuelle avec Cléolya, qui m'avait réclamé une autre chance et qui m'avait surpris l'aiguille dans le bras. J'haussais vaguement les épaules. "Elle avait peur, elle a pleuré je crois, elle m'a reproché de ne pas lui parler quand ça n'allait pas." En gros. "Mais j'la comprends t'sais... Une nuit, elle devait me rejoindre chez moi après une soirée, et elle s'est pointée à la porte et j'étais pas là. Elle a attendu, encore et encore. Puis elle est rentrée chez elle parce que j'arrivais pas. Elle m'a rejoint au poste de police à cinq heures du matin, avant qu'on me jette en taule à cause de la drogue." Cléo, elle avait été là après l'accident de voiture, elle avait vu dans quel état la drogue pouvait me mettre, elle avait assisté à une redescente brutale, un bad trip que je n'oublierai jamais. Mais j'pouvais pas lui accorder mon exclusivité, sachant que mon esprit divaguait souvent pour penser à toi. Tu t'approchais un peu à cette confession et me lançais un autre cap ou pas cap. "Cap..." que je soufflais en te prenant la main, te tirant dans l'eau pour t'amener jusqu'à moi. Je te prenais par les hanches pour t'attirer à califourchon sur mes cuisses et venais écraser mes lèvres contre les tiennes. Ouais, pour l'instant, c'est toi que je veux et personne d'autre.

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Face à sa révélation où il m'avouait avoir été marié pendant deux semaines avant de demander le divorce, à mon tour je lui disais que j'avais été marié aussi, deux fois. À Andrea Grimaldi et.. ma meilleure amie, Rhiannon. Sauf que cette dernière je lui en parlais pas, précisant seulement que c'était une copine. Déjà que j'avais de la difficulté à prononcer son nom devant Philip, alors là devant Elliot y'avait rien qui sortait. Bref. On parlait de son trouble d'attention, de la morphine, sa perte de mémoire et finalement de Cléolya. De tout. J'lui faisais part de mes points de vue et j'crois que ça lui faisait du bien d'entendre l'avis d'une personne extérieure. Pour conclure ce moment de confidence, j'lui lançais un cap ou pas cap qu'il acceptait. Bien évidemment. Il me tirait vers lui pour me positionner à califourchon sur lui, ses mains sur mes hanches et nos lèvres collées ensemble, on s'embrassait avec envie. Plus que d'habitude.. Après le jacuzzi, on allait dans le sauna avant de retourner à notre chambre pour se coucher, totalement crevés. Le lendemain, on passait une bonne partie de la journée à la piscine et à la plage, cette dernière étant collée à notre hôtel. On s'amusait bien, à prendre des photos, profiter du paysage, regarder un mec jouer du violon par-dessus la musique de mi gente. C'était le paradis sur terre et j'crois que j'avais pas arrêté de le mentionner à Elliot ça. J'arrivais pas à me dire que demain on quitterait cet endroit paradisiaque pour retourner à Boston. J'en avais pas envie. La journée avait passé tellement vite putain, c'était dingue. Ce soir on allait manger au restau de l'hôtel et j'optais pour une robe courte bohème que j'avais achetée en Grèce cet été. « T'es beau. »   les mots sortaient d'eux-mêmes de ma bouche en voyant la tenue d'Elliot et lui. Il était tellement beau ce mec j'vous jure. Main dans la main, on quittait notre suite pour descendre au restaurant. Dès qu'on arrivait, on prenait place à une table. « J'ai trop faim tu peux pas savoir à quel point. » je regardais les plats des autres autour de nous et je mourrais à petit feu.  
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Instant confidences, on se parle à cœur ouvert sur des sujets qui ne sont pas forcément faciles à aborder. C’est... libérateur. D’avoir face à soi quelqu’un qui ne juge absolument pas. Qui nous soutient, même. J’te sens loyale envers moi Agathe, et j’apprécie. Vraiment. T’as ce quelque chose en plus qui me fait me sentir vivant, ce grain de folie qui fait grimper mon adrénaline, un physique qui réveille toutes les flammes qui animent mon bas-ventre et cette affection qui me ramollit un peu le coeur. Alors oui, c’est toi que je veux, j’t’assure. Donc ton cap ou pas cap, il est encore trop facile. Je t’attire contre moi pour t’embrasser avec une envie non-dissimulée, des mains baladeuses par-ci par-là, avant qu’on ne bouge jusqu’au sauna pour se sécher et rentrer à la chambre comme deux amants en vacances.

On profitait de notre week-end : plage, piscine, bain de soleil, spa, buffet à volonté, cocktails, selfies, shootings photos improvisés dont des bribes termineraient probablement sur Instagram. Ce soir, j’avais voulu t’emmener au resto de l’hôtel pour une soirée un peu plus posée. J’t’emmènerai danser après. On n’aurait pas pleinement vécu l’expérience Cancun si on n’allait pas se déhancher un minimum sur des rythmes latinos. On s’appretait pour sortir, comme si on allait en date. Tu enfilais une petite robe courte qui t’allait à merveille, alors que moi, je passais un bermuda clair et une chemisette à manches courtes (cc), laissant les premiers boutons ouverts. Je tournais la tête vers toi quand tu ouvrais la bouche. Un petit sourire se dessinait sur mes lèvres à ce compliment inattendu. « Tu trouves vraiment que je suis beau? » Je me demande. Après tout, je sais pas ce que c’est, ton type de mec. On s’est jamais posé la question toi et moi. Un coup d’eau de parfum masculine, une main passée dans les cheveux et je venais attraper la tienne pour t’attirer contre moi. « La vue ne me déplaît pas non plus. » J’étais nul en compliments. Ça me gênait en fait. J’trouvais que, sortis de ma bouche, c’était trop niais, c’était pas moi. Pourtant, j’le pensais. T’étais vraiment belle comme fille. Je viens d’ailleurs déposer un baiser sur tes lèvres pour appuyer mes propos. Et puis on se bouge enfin pour descendre au resto. On s’assoit, tu baves sur les plats des autres en te plaignant de ton estomac vide. Je lache un petit rire et repose les yeux sur toi. « J’ai quelque chose à te dire, Agathe... » Je plonge la main dans ma poche de bermuda. Je vois tes sourcils qui se froncent, ton front qui se plisse légèrement. Tu stresses tout à coup hein? Mh... Je me racle un peu la gorge, sentant ton regard me scruter, et je me lève pour venir près de toi. Je sens déjà quelques regards se poser sur nous. Mais moi, c’est le genou que je pose à terre, devant toi. Et là, des murmures s’ajoutent aux regards inquisiteurs des autres vacanciers. Je sors l’écrin en velours noir de ma poche pour le tendre vers toi, l’ouvrant sur un duo d'anneaux en or, sertis de saphirs blancs, d'où les reflets un peu mauves. Ce sont des anneaux discrets, une pierre spéciale, et tout ça, je t'expliquerai pourquoi après - ce ne sont pas des choix anodins, bien au contraire. Mais pour le moment, je relève les yeux vers toi, sans rien dire. Je garde le silence. J’aimerais voir ta réaction avant de dire quoi que ce soit...

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J'étais prête et mon regard se posait sur Elliot, sur sa tenue. L'ensemble lui allait bien, il avait laissé les premiers boutons ouverts de sa chemise et putain que je le trouvais sexy comme ça. Cette remarque sortait de ma bouche, je m'en rendais pas compte. Un compliment spontané et inattendu et il demandait si en gros, j'étais franche dans mes propos. J'parlais pas pour rien dire moi. « Oui, sinon je te l'aurais pas dit idiot. » il se parfumait, puis il replaçait ses cheveux avant de prendre ma main dans la sienne pour m'attirer contre lui. Son compliment me faisait sourire, rien que ce genre de mot ça me faisait plaisir. « Difficile de déplaire anyway. » tg Agathe. J'étais pas compliquée là-dessus, ça restait un compliment et je demandais rien de plus. Il se penchait pour m'embrasser, baiser que je lui rendais et on quittait la suite pour descendre au restau. On s'assoyait à la table et en voyant les gens déguster la nourriture, j'pouvais pas m'empêcher de me plaindre que j'avais faim. Salut j'mangeais pour deux, fallait pas oublier. Elliot riait et quelques secondes plus tard, il reprenait son sérieux alors qu'il m'annonçait qu'il avait un truc à me dire. Je posais mes prunelles sur lui, en attendant la suite des choses. Gardant toujours le silence, je voyais sa main disparaître sous la table et je fronçais les sourcils. Qu'est-ce qu'il voulait me dire? Qu'est-ce qu'il comptait faire? Je l'analysais comme jamais, surveillant ses moindres gestes alors qu'il se levait pour venir près de moi. Je me tournais légèrement sur ma chaise pour lui faire face, comprenant toujours pas pourquoi il était debout. Et là, il se penchait en posant un genou au sol devant moi. J'arrivais pas à déchiffrer les traits sur son viage, il avait un air sérieux. « Qu'est-ce que.. »  trop tard, il sortait un écrin en velour noir de sa poche de bermuda en le tendant vers moi avant de l'ouvrir. Dans l'écrin, y'avait des anneaux en or, sertis de saphir blancs qui reflettait une couleur mauve et y'avait aussi une pierre sur un des anneaux. Les gens au restau nous regardaient, une femme derrière Elliot était en train de nous filmer avec son iphone. J'savais pas quoi dire, comment réagir. Déjà parce que je m'y attendais pas, il m'avait carrément prise par surprise et.. avec ces vacanciers autour de nous qui regardaient dans notre direction, omg omg. C'est eux qui me rendaient mal à l'aise en fait. Ok Agathe prend sur toi, tg. J'lui lançais un petit sourire, j'arrivais pas à ouvrir ma bouche fml.  
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Tu me complimentais et... ça me faisait sourire. Ça me faisait du bien d’entendre ce genre de mots. D’autant plus si tu le pensais vraiment. J’te retournais la chose, de façon sincère, même si mes mots n’étaient pas les meilleurs. J’étais pas habitué à faire de vrais compliments moi, j’me trouvais pas crédible. Mais ça avait l’air de te convenir, là où une autre aurait demandé plus ou se serait même vexée. Tant mieux. Un baiser et quelques étages plus tard et on se retrouvait assis au restaurant de l’hôtel. Ça paraît cheap dit comme ça mais crois-moi, c’est bien plus chic que les restaus de Cancun. Et je saute direct les pieds dans le plat : j’ai quelque chose à te dire. Ma main plonge dans ma poche et je sens ton regard m’analyser. Je me levais pour venir vers toi et mettre un genou à terre. Tu ouvrais la bouche mais la refermais quand je sortais l’écrin en velours noirs de ma poche, l’ouvrant sur deux belles bagues fines en or, serties de saphirs blancs. Les murmures des vacanciers s’intensifiaient dans mon dos et ça me faisait sourire. Toi, t’étais juste bouche bée, petit sourire gêné. Haha. Je finissais par me relever. « Non, j’rigole, détends-toi. J’t’ai déjà dit que je voulais pas être prince. » que je blaguais dans un sourire de gamin. En revanche, les bagues, c’était pas une blague. Je tirais ma chaise pour la foutre face à toi et m’asseoir. « Je voulais juste te dire que j’étais désolé d’avoir brisé notre promesse. T’avais tous les droits de me jeter, t’as tous les droits de penser que je ne suis pas quelqu’un de confiance, mais... j’voulais te faire une nouvelle promesse. La promesse de toujours être là. Toujours être présent pour toi si t’en as besoin. Et j’voudrais que t’acceptes ces bagues pour officialiser la promesse. Que je sois toujours à ton doigt, que tu te souviennes que pour n’importe quoi, à n’importe quel moment, je suis là. » C’est pas une demande en mariage, j’voulais juste te faire un peu flipper pour le coup. Désolé, c’est mon côté blagueur qui a parlé. « Et pour ce qui est des anneaux en eux-mêmes... C’est de l’or, et les pierres sont des saphirs. J’trouvais que le bleu habituel faisait un peu tape-à-l’œil du coup j’ai opté pour les saphirs blancs, c’est pour ça qu’ils ont un reflet un peu violet... Et j’ai choisi des bijoux assez fins parce que j’voulais pas tenter un taré qui aurait l’idée de te voler un gros joyau. Et puis j’trouvais que ça te correspondait mieux, ça faisait plus féminin. Ah, et... le saphir représente la paix et surtout... la loyauté. » Tu vois? Aucun de mes choix concernant ce cadeau n’avait été laissé au hasard. Mais t’avais le droit de refuser. Je méritais peut-être pas ta considération, ton affection, whatever. J’avais brisé une promesse importante mine de rien et c’était pas en t’achetant une simple bague que j’allais me faire pardonner, j’le savais.

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Il était vraiment en train de me demander en mariage? Pour le coup, j'avais envie de me glisser sous la table et de partir en courant. Sauf que mes jambes étaient incapables de bouger, malgré les signaux de mon cerveau. Du coup, tout ce que j'arrivais à faire c'tait de lui lancer un sourire gêné. J'étais mal à l'aise, voilà. Et en plus.. j'comprenais pas trop son raisonnement, hier soir il m'avait dit que l'engagement c'était pas pour lui. Et là présentement, il était à genou devant moi en me montrant les bagues. Elliot finissait par se relever, en m'annonçant qu'il rigolait et que j'devais me détendre, revenant sur les mots qu'il m'avait dits par sms.  « T'es con, voilà ce que t'es. »  finissais-je par prononcer après mon moment de silence, en riant avec lui. J'étais vraiment prête à me barrer putain. Il tirait sur sa chaise pour la mettre devant moi, en venant s'asseoir sur celle-ci. Il m'expliquait qu'il était désolé d'avoir trahi notre promesse, que j'avais tous les droits de penser qu'il était pas quelqu'un de confiance et tout le toutim. J'étais une meuf vraiment rancunière mais.. j'lui avais pardonné le soir que j'étais chez lui et qu'il avait littéralement craqué, en pleurant devant moi. « Ptêtre que j'aurais pu te jeter sauf que je l'ai pas fait, parce que si ça aurait été moi j'pense pas que tu m'aurais tourné le dos. Je pense pas que t'es pas quelqu'un de confiance, t'as craqué et voilà. On était deux anciens toxicos, t'aurais pu retomber n'importe quand avec ou sans promesse. J'peux pas t'en vouloir pour ça, ça serait trop hypocrite sinon. Si tu m'avais fait un coup de pute, alors là, je serais pas avec toi à Cancun. Et t'aurais même pu de nouvelles de moi, basta. »  j'étais rassurée, parce que c'était pas une demande en mariage. On avait déjà eu cette conversation auparavant mais ce soir, il tenait vraiment à mettre les choses à plat. Comme si c'était une façon pour lui de soulager sa conscience vis-à-vis de moi, vouloir repartir sur de nouvelles bases. C'était déjà oublié. Elliot m'expliquait que les choix des bagues et des pierres n'étaient pas anodins. Par exemple, le saphir représentait la loyauté et la paix, j'trouvais que c'était significatif. « Merci Elliot, ça me touche. Vraiment. J'espère que cette fois-ci, cette promesse tu la tiendras. Sache que c'est pareil pour moi, je serais toujours là pour toi.»  et j'savais pas trop si c'était à moi ou à lui de mettre les bagues mais je les prenais et je venais les glisser à mon doigt de ma main gauche - genre la main de la promesse m'voyez. - 
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La demande en mariage, c'était une blague. Quoi? J'étais un gamin du haut de mes vingt-quatre ans. J'devais t'offrir des bagues, c'était l'occasion rêvée pour faire un prank de ce genre non? Bon, ça aurait été chelou si t'avais dit oui. J'crois que ça aurait mené à une situation assez awkward, mais au contraire, tu restais silencieuse. Du coup, j'décidais de rompre la blague et tu m'insultais gentiment alors que je t'offrais un beau sourire Colgate en guise de réponse. Tu m'adorais, ne prétends pas le contraire, chérie. Bref, je t'expliquais la signification de mon cadeau, des bagues. Une demande de pardon, une promesse d'être toujours présent, ma loyauté à ton doigt. On s'était déjà dit tout ça, oui. Mais moi, j'avais pas réglé cette histoire avec moi-même, et j'voulais mettre les choses à plat, qu'on en parle sérieusement avec un peu plus de recul et que je te prouve ma bonne foi et ma bonne volonté. J'expliquais même le choix des bagues en elles-mêmes. La finesse des anneaux, l'or, les saphirs blancs. C'était pas un choix anodin, en mode, j'suis allée à la bijouterie et j'ai dit "donnez moi un truc beau" et basta. J'voulais un truc personnalisé. Et elles avaient été faites sur-mesure. "Je la tiendrai... Tu peux avoir confiance en moi." J'te trahirai pas. J'te trahirai plus. Tu prenais les bagues et les enfilais au doigt de l'alliance, ce qui me fit sourire. "On risque de te poser des questions si tu les laisses là, tu sais..." Moi ça m'allait en tout cas. Ça dissuaderait peut-être certains gars te mettre leur grappin sur toi, par la même occasion. Je sors une autre bague de ma poche, qui t'appartient. "Tiens, je peux te la rendre maintenant. J'te l'avais piquée pour les mesures." Et t'avais rien remarqué alors j'étais trop fier de mon coup. Et puis, je m'avançais, venant poser mes lèvres sur les tiennes pour un baiser qui devenait vite langoureux. Mais je plissais le nez quand j'entendais des applaudissements bruyants. Et je comprenais finalement. "J'crois qu'ils pensent tous qu'on vient de se marier..." que je susurre contre tes lèvres, un fin sourire habillant les miennes.

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C'était tellement significatif les bagues qu'il m'offraient. Ça me prouvait qu'il tenait à moi, que notre relation lui tenait à coeur et était importante à ses yeux. Honnêtement, ça me faisait plaisir. Mes yeux regardaient Elliot et les bagues, j'pouvais pas m'empêcher de le mettre en garde. Parce que ouais, c'était bien de m'offrir un truc personnalisé que moi seul possédais mais.. voilà pour moi les actions prouvaient tant de choses. Je lui en voulais pas pour l'autre promesse mais en ce qui concernait celle qu'il me faisait à cet instant, celle-là je lui en voudrais. Il me promettait qu'il tiendrait parole, que j'pouvais avoir confiance en lui. Je lui souriais en le regardant dans les yeux, puis je prenais les bagues que j'enfilais au doigt de l'alliance. Significatif jusqu'au bout. Je soutenais son regard, en entendant sa remarque. « J'aime avoir l'attention sur moi, c'est pour ça. »  non en fait je m'en foutais des avis des autres. Ptêtre qu'en effet, les gens me poseraient des questions mais j'avais pas envie de me prendre la tête pour une histoire de bague au doigt. Elliot sortait une autre bague de sa poche, bague que je reconnaissais. « Genre, ça me pique des trucs oklm? »  il avait réussi son coup, ayant tout manigancé dans mon dos alors que je m'étais pas rendu compte de la disparition de ma bague. Il s'avançait pour venir capturer mes lèvres, un simple baiser qui se transformait en un baiser langoureux. Main sur sa joue, ma langue dansait avec la sienne et on entendait des applaudissements dans la salle. On avait oublié qu'on était pas seuls, j'crois. Je souriais aux mots qu'il me susurrait contre mes lèvres et je me reculais pour regarder les vacanciers. « Je suis mariée! Youhouu! »  ils sifflaient en entendant ça, tandis que je me penchais vers Elliot. Moi aussi j'étais capable de jouer la comédie, d'être une vraie gamine. « C'est pas laid Agathe Maxwell. » et sans lui laisser le temps de répondre, je l'embrassais. 
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J’te faisais la promesse de toujours être là pour toi tant que tu voudrais de moi. C’était dangereux comme promesse. Ça voulait dire que même si tu me blessais, tant que tu voulais pas que je parte, j’étais obligé de rester à tes côtés. C’était un peu la promesse du prisonnier. Mais j’espérais qu’on n’en arriverait pas là. Qu’on se blesserait pas, que tout resterait comme ça l’était maintenant. On était bien là, pas vrai? À se taquiner, à se comporter comme des gamins. « Merde, j’aurais du choisir un plus gros saphir alors. Un beau gros saphir bleu roi. » Là, t’aurais réellement attiré l’attention sur toi. Je lâche un petit sourire en te rendant la bague que je t’avais piqué pour les mesures. « Faut faire plus attention à ce que tu laisses traîner. » Et sur ce, je venais capturer tes lèvres, par simple envie. J’trouvais que le moment s’y prêtait bien et en plus, j’avais envie de sentir ta langue caresser la mienne. Mais c’était sans compter les applaudissements de la foule face aux pseudo nouveaux mariés. Hahaha. Tu souris également et tu en joues, clamant haut et fort que t’es mariée, déchaînant encore plus les foules. Je secouais doucement la tête en riant à ta connerie, avant que tu ne me provoques. Agathe Maxwell? Hm, j’avais même pas le temps de répondre que tu revenais m’embrasser. C’était mieux que Agathe DBS en tout cas, si tu voulais mon avis. Mais bon j’crois que j’étais pas très objectif. Je venais glisser une main aventurière sur ta cuisse, mes lèvres déviaient sur ta joue jusqu’à frôler ton lobe. « J’ai faim... » Et j’crois que vu le chemin que ma main est en train de remonter, tu devineras facilement que j’parle pas du resto, mais de toi.

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Je passais ma main dans mes cheveux, en faisant exprès de faire ma diva pour appuyer mes propos. Nos réponses étaient spontanées, j'aimais quand un mec embarquait dans mes délires. « Tu peux toujours te rattraper, mon anniv c'est le 26 octobre. Note ça stp. »  un coup de pression? Noon. Je le taquinais, parce que j'voulais pas un truc qu'il lui coûterait les yeux de la tête. J'avais pas besoin de truc comme ça pour me sentir valorisé ou quoi que ce soit, moi les trucs simples ça m'allait m'voyez. Voilà qu'il me rendait ma bague qu'il m'avait volée pour les mesures. Je glissais cette bague à mon doigt de la main droite, alors que je relevais les yeux vers lui en faisant un léger sourire. « T'inquiète, maintenant que je sais que t'es un voleur j'vais faire gaffe. »  heureusement que ce bijou qu'il m'avait volé n'était pas important pour moi, ni significatif. J'avais encore la bague de mon mariage avec feu Rhiannon à mon doigt et ça aurait été la fin du monde si elle avait disparu. C'tait le seul souvenir qui me restait d'elle. Elliot m'embrassait et évidemment, je répondais à son baiser. Le moment était bien choisi, c'était naturel et voilà quoi, c'était magique. En entendant la réaction de la foule, je décidais de jouer le jeu en leur disant que j'étais mariée. Je regardais Elliot qui riait à ma connerie et ma remarque sortait d'elle-même. Agathe Maxwell c'était pas banal, ni laid. J'lui laissais pas le temps de placer un mot que mes lèvres retrouvaient les siennes. Sa main se glissait le long de ma cuisse, tandis que ses lèvres déviaient sur ma joue jusqu'à mon lobe. « Et.. si on laissait tomber le repas pour remonter à notre chambre.. »  c'était ni une question, ni une proposition, mais plutôt un sous-entendu pour lui dire que j'avais envie de lui. Et avec sa main qui remontait, c'était dangereux là.
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