(ellya) you look as good as the day i met you

Tu jouais nerveusement avec mes doigts en m’avouant tout ça, en dévoilant le fond de ta pensée. Pourquoi maintenant, Cléolya? Pourquoi on pouvait jamais avoir l’esprit tranquille? J’ai toujours l’impression que dès qu’on vit un truc simple, l’un de nous vient toujours tout compliquer avec des problèmes ou des sentiments qui n’ont pas lieu d’être. J’pouvais pas vraiment t’accorder ce que tu voulais, mais je ne voulais à la fois pas te blesser alors je t’attirais contre moi après avoir enlacé nos doigts, te demandant de me regarder au lieu de me fuir. Tu relèves les yeux, un regard perçant et à la fois enfantin, candide. Je glisse une main sur ta joue, et c’est peut-être ce genre de gestes que je ne devrais plus avoir avec toi mais j’y peux rien, ça vient naturellement quand t’es près de moi. "C’est pas ça… Tu sais très bien que j’adore partager les mêmes draps que toi." Ou même sans draps. Le bureau, l’ascenseur, le taxi. Peu importe. Tu le sais que je prends toujours mon pied avec toi. "Je pense juste que… l’exclusivité, c’est peut-être pas pour moi finalement." Parce que le peu de fois où j’ai décidé de me lancer dans une relation, ça n’a pas fonctionné, ça a résulté en désastre. C’est moins contraignant d’être le Elliot maxwell qui baise qui il a envie, quand il a envie, sans se soucier du reste et des potentiels sentiments. "Mais moi j’te suffis pas comme ça." Ose dire le contraire. Tu saurais pas te contenter de m’avoir en partie, hein? De m’avoir comme tu m’as là, ces dernières semaines, ces derniers jours? "Pourquoi faut toujours que tu reviennes quand je pense avoir enfin tourné la page, hein…?" que je souffle dans un petit soupire. Là encore, j’pensais avoir tourné la page de notre histoire, pour de bon cette fois, réellement. Et en fait, à la première occasion, j’étais retombé dans tes bras. "Dis-moi pourquoi tu fais ça? Pourquoi, dès que tu me vois avancer sans toi, tu reviens désespérément t’accrocher?" Pourquoi t’es égoïste comme ça Cléo? Pourquoi tu t’en es pas rendue compte avant, que c’était moi que tu voulais? Quand j’étais là, quand je t’étais dévoué corps et âme, quand il était encore temps. Quand j’étais fou amoureux de toi.

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i was insane
w/Elliot

C’était rassurant de jouer avec tes doigts, peut-être innocent et plein de naïveté, mais ça me rassurait, alors je fixais ce que je faisais, avant de te regarder quand tu me le demandais. Je savais que n’importe quelle relation avec moi te faisais peur, amicalement parlant ou plus.. Parce qu’on s’aimait vraiment à une époque et que retomber dans les bras l’un de l’autre, c’était prendre le risque de tomber à nouveau, de se prendre un mur. Moi aussi ça me faisait peur Elliot, réellement, mais.. Ça en valait la peine, j’en étais certaine. Alors je te demandais si c’était de ne coucher qu’avec moi le problème et tu me rassurais sur nos ébats, le problème, c’était l’exclusivité. Et tu savais que je n’étais pas partageuse, que ça ne me convenait pas qu’un soir, tu m’attrapes et que le lendemain t’aille en sauter une autre. Ce n’était pas moi d’être une parmi tant d’autre. Je retirais ta main de ma joue, tournant à nouveau le regard après m’avoir demandé pourquoi je revenais… T’étais loin de ressentir ce que moi, je pouvais ressentir et ça ne me brisait pas, mais ça me rendait triste, de comprendre qu’il était probablement trop tard. « Tu penses, ou tu l’as fait ? » Tourner la page ? Parce que ce n’était pas clair en réalité, moi aussi, j’avais besoin de précision. « Ce n'est pas ça.. C’est que mettre un point final à ma relation avec Hadès, m’a ouvert les yeux sur notre histoire. Ce n’est pas fini et ça ne le sera jamais Elliot… Pas tant qu’on n'aura pas essayé dans des véritables conditions saines. » Sans lui pour me détourner de toi, mon cœur complètement ouvert et prêt à m’accrocher à nouveau à toi.

Tu me demandais si j’pouvais me satisfaire que de toi et... c’était la question piège non? En soi, je peux. Mais est-ce que je le veux? Je suis pas sûr. J’aime bien en avoir d’autres. J’me sens désiré. Et tu sais que c’est ce dont j’ai le plus besoin dernièrement. Avec tous les murs que je me suis pris, vos retournements de vestes à toi, Vega et Meghan... J’ai juste besoin de voir que je plais toujours autant qu’avant. Et puis, j’suis pas sûr de vouloir replonger dans tes bras. Jamais deux sans trois et j’veux pas. Ça m’a fait trop de mal, j’ai mis trop longtemps à refermer les blessures alors pourquoi rouvrir les plaies, qui sont presque cicatrisées ? Mais toi, tu ne veux pas. Tout comme moi je peux pas te donner ce que tu veux, tu ne peux pas me donner ce que je veux. Une relation simple, sans prise de tête, sans questions existentielles, sans étiquette. Une liberté dont tu sais que je jouirais. « Je pensais. Je serais pas là si je l’avais réellement fait... » J’aurais pas couché avec toi si j’avais tourné la page, je t’aurais même pas revue en fait. Tu sais que j’suis pas le genre de gars qui est pote avec ses exs. « Je t’ai demandé de mettre un point final à votre relation en février Cléo... Ca fait sept mois que je t’ai demandé de me choisir moi, je t’ai dit y’a sept mois qu’Hades était nocif, pour toi, pour nous. T’as pas voulu m’écouter... T’as ruiné les deux chances que je t’avais donné. » Parce que oui, la deuxième rupture avait été causée par une tromperie de ma part, mais si on en était arrivé là, c’était à cause de ton besoin constant d’aller vers lui au lieu de te tourner vers moi. Et en fait, j’ai sincèrement l’impression que tu fais avec moi ce que lui a toujours fait avec toi. Il n’a jamais réellement voulu de toi, mais des qu’il te sentait lui échapper, il revenait à la charge. T’as jamais voulu de moi, et maintenant que tu me vois le coeur réparé de toi, aux bras d’autres femmes, tu reviens pour me demander une troisième chance. « Tu vois pas le problème Cléo? Troisième chance? » Troisième. Hades avait beau ne plus soi-disant être dans ta vie, j’suis pas sûr que ça marcherait pour autant, nous deux. « Je te veux Cléo. Mais... j’en veux aussi d’autres... » D’autres comme Agathe, ou Demi par exemple. Et ce que tu me demandes là, me satisfaire de toi, j’pourrais pas. J’ai pas assez de volonté pour. Et j’crois pas assez en nous pour en avoir.

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Cet article, il m’avait retourné, comme tout ce que je pensais de toi ces derniers temps. Tu m’obnubilais et je n’étais pas certaine de comprendre ce que ça voulait dire, alors j’avais osé t’ouvrir mes pensées les plus profondes. Je n’étais pas sereine du tout, tu pouvais le remarquer, parce que tu me connaissais suffisamment pour voir dans mon regard, cette lueur inquiète. Je n’étais pas indécise, c’était toi que je voulais, prenant cette erreur de message que tu m’avais envoyé comme un signe. Mais la réalité était tout autre, si dans mon conte de fées, tu m’aurais dit oui, là, tu fermais juste la porte sans la verrouiller. Est-ce que c’était ce que je voulais me battre pour quelque chose de perdu ? Toi t’avais abandonné, alors probablement que je devais faire la même. J’écoutais ton discours légèrement contradictoire, comme quoi tu n’avais pas tourné la page, mais qu’il y avait plein de mais. Je reculais légèrement sans te lâcher les mains, levant les yeux au ciel. Tu comprenais vraiment rien, et par chance, je ne connaissais pas le fond de ta pensée, parce que si je savais que tu me pensais être comme lui, j’aurais moi-même fait tes affaires pour que tu quittes cet endroit. En fait, je me braquais, plus tellement prête à m’ouvrir, plus prête non plus à souffrir encore une fois de tes mots. Tu me voulais moi, comme tu voulais les autres, signe que j’étais loin d’être spéciale, même si j’étais ton premier amour. Je m’approchais, te prenant dans mes bras, avalant difficilement ma salive. « Merci d’avoir mis les choses aux clairs, maintenant, je sais à quoi m’en tenir. » Mais si tu pouvais sincèrement aller sauter tes meufs, autre part qu’ici, j’apprécierais grandement. Je lâchais ta main reculant d’un pas pour te regarder, un léger sourire qui manquait cruellement de volonté. « J’espère que ces filles te rendront heureux alors.. » T’avais un fardeau en moins à porter comme ça. Moi, je tirais ma révérence. Et j’espérais pour toi qu’un jour une de ces femmes t’aimerais autant que moi, je t’avais aimé.

J’suis désolé Cléolya, vraiment. Mais je ne pouvais pas te donner ce que tu attendais, ce que tu espérais. C’est ironique, tu trouves pas? Comme les rôles s’inversent? Quand j’étais focalisé sur notre relation, toi tu étais ailleurs. Et maintenant que moi j’étais ailleurs, c’était toi qui était focalisée sur nous. J’trouve ça profondément triste en réalité. J’y croyais pas, au discours du “on s’est connu au mauvais moment de notre vie”. Meghan m’avait tenu ce discours, et je la détestais pour ça. Mais pour toi... Ouais, même si j’y croyais pas, ça semblait assez redondant. On n’était jamais en phase l’un avec l’autre. Pourquoi on pouvait pas avoir notre chance? Une vraie? Sans personne autour pour nous causer du mal, chacun de nous absolument sur de ce qu’il ressent pour l’autre, un amour fou et inconditionnel. Face à mes mots, tu fais quelques pas en arrière, sans pour autant lâcher mes mains, et j’te comprends. Dans ma tête, je suis exactement comme ce geste. Je m’éloigne et pourtant, j’arrive quand même pas à te lâcher. Finalement, tu t’approchais pour me prendre dans tes bras, me remerciant d’une petite voix d’avoir clarifié les choses. T’étais blessée, j’le savais, je te connaissais assez pour le voir dans les yeux et l’entendre dans ta voix, aussi subtil que ça pouvait l’être. “Je cherche pas à être heureux...” Tu crois que c’est mon but? Tu crois que je pense qu’aller sauter toutes ces nanas m’amènera au bonheur? Tu te trompes. J’veux juste ne plus souffrir. Et être ne plus souffrir et être heureux, il y a tout un fossé. Et même si t’as lâché ma main, moi, je reprends la tienne. “Dors avec moi ce soir...” J’te demande pas de coucher avec moi. Juste dormir, comme les premiers jours en Australie, comme chez toi en Angleterre. J’veux juste pas qu’on se quitte, littéralement ou figurativement, et j’ai trop l’impression que t’es en train de me dire au revoir pour être rassuré.

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Je savais que c’était une erreur, mais j’avais foncé tête baissée, réalisant enfin les conséquences. Je le savais dans le fond que ça n’allait pas être positif, mais une toute petite partie de moi espérait quand même que tu apprécies ma démarche. Trop tard. Je réalisais toujours trop tard mes erreurs, alors je devais juste encaisser. Me taire et encaisser, j’étais douée pour ça. Alors je m’approchais de toi, pour te prendre dans mes bras, te remerciant d’avoir accepté de parler de tout ça et mettre les choses aux clairs. J’en avais sûrement besoin pour comme toi, tourner la page. Je te souhaitais le meilleur, comme pour mettre un véritable point final à notre histoire et accepter qu’on ne serait désormais plus que des amis. Plus d’ambiguïté. « Ok.. » Tu faisais ce que tu voulais de toute façon, j’avais rien d’autre à dire en réalité... Je lâchais ta main, prête à partir, alors que tu t’empressais de la récupérer. T’allais me rendre folle, d’autant plus quand tu me demandais de dormir avec toi. « Elliot… » C’était loin d’être la meilleure chose à faire, pas pour moi en tout cas. « Ce n’est pas raisonnable. » On allait cohabiter, et dormir avec toi, c’était plus intime que de coucher avec toi surtout après ce qu’on avait vécu dans le passé et à l’instant. Je regardais ta main qui semblait ne pas vouloir se détacher de la mienne et je relevais les yeux vers toi. « C’est la dernière fois alors… » Parce que je n’allais pas tomber dans le même piège qu’avec Cole, les dernières fois, ce n'était pas pour moi, je n'étais pas douée pour ça. Alors, je devais avoir de la volonté et réellement tirer un trait sur nous.

J’appréciais ton honnêteté dans un sens. Mais dans l’autre, je haïssais l’idée que je puisse te faire du mal. Que je ne puisse pas te donner ce que tu veux, que je ne puisse pas te rendre heureuse. Y’a un temps, c’était tout ce à quoi j’aspirais. Je vivais pour toi, aussi extrême que ça puisse paraître. T’étais mon monde Cléo. Et mon monde s’est détruit deux fois. La première fois, il a éclaté d’un coup, comme quand on touche une bulle et qu’elle s’évapore. La deuxième, ça a été une destruction lente, mais encore pire que la première. Et j’pouvais pas faire face à un troisième anéantissement. C’était égoïste je crois, mais j’voulais me préserver. Déjà que je galérais à me reconstruire, je ne pouvais pas prendre un tel risque, connaissant notre passif. Mais tu restes une personne à qui je tiens énormément. Même si tu ne croyais pas à ça. T’avais une place indéniable dans mon cœur et dans ma vie, bien que ce ne soit pas exactement celle que tu désires. Sauf que je réclame que tu dormes avec moi ce soir et même si je vois ta réticence, j’en ai envie. Là aussi, c’est sûrement égoïste. Mais si tu ne veux pas, t’as qu’à le dire, j’te forcerai pas. C’est pas raisonnable, je sais. C’est la dernière fois. La dernière fois? Vraiment ? Dernière des dernières ? Hm... “D’accord...” Je me recule pour aller vers mon sac de voyage duquel je sors un short de pyjama que j’enfile - oui, parce que j’étais encore en boxer. “C’est mieux comme ça ?” Pas d’ambiguïté on avait dit. Et j’regrettais déjà ça.

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Cette conversation, je ne l’imaginais pas autrement dans le fond. Je t’avais réellement perdu et je devais me faire à cette idée. Exit les pensées de nos retrouvailles sur les plages portugaises, les souvenirs torrides de notre nuit lors de ton anniversaire, je devais me concentrer sur notre amitié. L’ambiguïté, je devais la contrôler, l’empêcher de prendre le dessus et réussir à être celle que tu vois en moi, ton amie. Alors j’étais prête à partir, à te laisser retrouver ton intimité, taire ma jalousie et m’enfermer dans ma chambre seule, mais toi, tu ne voyais pas les choses de la même façon. Toi, tu voulais que je reste, du moins pour la nuit, dormir avec toi et.. Pourquoi ? C’était la question qui me brûlait les lèvres. Qu’est-ce que ça allait nous apporter ? Pourtant, j’acceptais, te disant que ça serait la dernière fois. Tu acceptais, sans être réellement convaincu alors que tu partais pour chercher un truc dans ton sac : un pyjama que tu t’empressais d’enfiler. « Ah.. Parce qu’on soit s’encombrer de pyjama ? » Tu savais que moi, moins j’avais de tissu, mieux je dormais alors.. Ouais, on avait dormi combien de fois nu toi et moi ? Il fallait juste que ça ne dépasse pas les limites, ou pas trop quoi. « On sait se tenir, non ? » On n’était pas des animaux – quoi que – on pouvait certainement se tenir à carreau pour une nuit.

Ça faisait mal. Te dire non. J’avais jamais imaginé être celui qui te mette un stop, entre nous deux. Une belle relation avec toi, c’était tout ce dont je rêvais, pendant plusieurs mois. Mais ces dernières semaines... c’est la chute libre et j’crois pas que nous deux, ce soit une bonne idée. Et peut-être que je m’en mordrais les doigts plus tard, peut-être que dans quelques mois je serais prêt à être de nouveau avec toi, et que ce sera toi qui aura tourné la page et qui voudra quelqu’un d’autre. Et alors, je croirais au mauvais timing. Et ça sera tant pis. Pour moi, pour toi, pour nous. Mais là, j’suis juste pas dans cette optique. J’ai pas envie de te mentir, de te tromper, ou quoi que ce soit d’autre qui soit dégradant. Alors j’préfère pas m’engager. Mais j’veux quand même pas qu’on soit des étrangers toi et moi. Et mine de rien, j’aime bien te retrouver comme ça. Alors je te demande de dormir avec moi, enfilant même un bas de pyjama pour te montrer ma (fausse) bonne volonté de respecter ton vœu de chasser l’ambiguïté. Tu rechignes sur l’idée. Est-qu’on sait se tenir? Hm. Toi peut-être que oui, moi probablement pas. “On garde des sous-vêtements. Ça te va ?” Parce que sans sous-vêtements... Collé à toi... Ouais, j’risque de me réveiller en bas, même avec toute la bonne volonté du monde.

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C’était une page à tourner, un point à mettre, pour être certaine d’arrêter d’avoir de faux espoirs. J’arrêtais de croire en toi, en nous, ayant pris ton message, nos échanges et nos rendez-vous comme une chance à saisir. À croire que je n’avais pas su lire à travers les lignes. J’étais soi-disant spéciale, mais pas assez pour mériter une vraie chance. Tu me demandais une nuit à tes côtés, acceptant sans oublier de te dire que ça allait être la dernière. Les dernières fois, ça avait été une grande partie de ma relation avec Cole, alors je n’allais pas reproduire le même schéma avec toi. Alors quand t’enfilais un pyjama, je ronchonnais, ne voulant pas m’encombrer de tissu pour dormir. On était capable de tenir non ? « Si tu veux, c’est déjà mieux. » Que je disais dans un petit sourire. Je glissais mon bas, puis mon haut avant de venir me glisser dans tes draps. « Tu viens ? » Ouais autant profiter de chaque minute non ? Tu me rejoignais très vite, alors que je me glissais contre ton torse, glissant mon bras par-dessus, calant ma tête au creux de ton cou y déposant un petit baiser. « J’espère que t’arriveras à bien dormir.. » Parce que tu n'étais pas sans savoir que j’étais une girouette la nuit, alors si tu te prenais un coup, ce n’était pas de ma faute hein.