(FW) new beginning ?!? + Jade

Ses réactions te font sourire. Tu la vois se laisser tomber sur le lit et tu rigoles pour toi-même en laissant au pauvre chat, un peu de liberté. ‘’ Chez les Andrews la robe est de mise pour les femmes et la chemise élégante pour les hommes. ‘’ Dis-tu en te redressant alors qu’elle t’enlace sans même prévenir. Tes bras passent derrière son dos, tu la presses contre toi tandis que ses lèvres trouvent ton cou pour te faire frissonner jusqu’ à la moelle. Tu t’apprêtes à lui rendre l’attention, mais ta mère te devance en entrant dans la pièce. ‘’ Mom… ‘’ Dis-tu simplement tout en créant une distance entre toi et la jolie tatouée. Elle sourit chaleureusement à ta charmante compagne pour lui faire comprendre que ses compliments lui vont droit au coeur avant de reporter son attention sur toi. ‘’ J’espère que tu comptes te changer Moses. ‘’ Dit-elle. Paroles accentuées d’un clin d’oeil. ‘’ Ouais, j’allais changer de chambre justement. ‘’ Tu t’avances dans la pièce, embrasse ta mère avec une tendresse infinie avant de trouver ton propre havre de paix. Ta chambre, ton univers, ton monde. Il y a tout un tas de truc représentant ton enfance, ton ancienne vie et tu souris, nostalgique en faisant glisser tes doigts sur les meubles anciens qui ornent la pièce. Sa trop perdre de temps, tu ouvres le garde-robe, attrape une chemise blanche sans un pli suivi d’un pantalon propre et d’une cravate. Tu enfiles de tout, après qui tu glisses une main dans tes cheveux pour les remettre en place. Fin près, tu sors rejoindre Jade ou du moins tu l’attends, adossé contre le mur, bras croisés.

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Tu saisis une belle robe rouge longue avec manche en dentelles. Tu ne te souviens plus trop pourquoi tu as cette robe et pour quelle occasion l’as-tu portée, ni même ce qu’elle fout dans ta valise, mais au moins en a une. Faudrait qu’tu ailles en chercher d’autre ce week-end, au risque de porter la même tout le temps de ton séjour. Tu remontes tes cheveux en chignon serrés, laissant quelques boucles voler librement chaque côté de ton visage. Malheureusement, tes tatouages sont très apparents dans cette robe, beaucoup moins qu’en bikini certes, mais tout de même assez pour te rendre nerveuse à l’idée de te faire dévisager. Lèvres peintes en rouge comme ta robe, mascara uniquement, tu rigoles devant ton reflet que la glace t’envoie : « C’que t’es ridicule ma grande… » te dis-tu à toi-même. La confiance en toi n’est pas une qualité chez toi et dans cet accoutrement, devant son père, les tatouages, la peur te paralyse tout à coup. Tu prends une très grande inspiration et ouvre la porte de ta chambre pour voir un Moses élégant comme un roi, t’attendant sur le coin de celle-ci. « Wow, t’es à couper le souffle bébé. » Tu le regardes te demandant si vous vous seriez aimez, quand il était toujours ce Moses-là, dans un rang très haut placé. Tu mets ta main sur son bras, tel un couple princier et tu tentes vraiment de ne pas rire. « On a la classe, t’trouve pas? Une fois de temps en temps, comme si nous étions la famille royale quoi! » Tu rigoles timidement, tu ne veux que détendre l’atmosphère et tu es très anxieuse toi-même, essayant de garder en mémoire des trucs très important que tu as appris durant ta vie. Au cas où ils te prendraient pour une conne des bas quartiers, uniquement à cause de tes tatouages, de ton apparence. Parce que ton intelligence démontre bien que ton corps n’est que canevas et surtout « T’crois ils s’attendent à mes tatouages? J’veux dire, toi artiste, faut bien que t’as « petite amie » soit quelque peu artistique non? » Dis-tu simplement pour te rassurer, faisant des guillemets avec tes doigts au mot petite amie, suivit d’un clin d’œil. Avec lui à tes côtés, tu garderais toujours la tête haute, même si c’est devant papa Andrews, même si se souper ce solde par quelque chose de décevant, tu as confiance. « Bébé, tu as fait la bonne chose de revenir vers eux. Tu ne le sais pas encore, mais tu es plus fort que tu n’le crois d’faire ça. Et t’es l’plus beau en passant. » lui susurres-tu près de l’oreille, juste avant d’arriver tout prêt de la salle à dîner.

Tes pensées vagabondent, tu t’évades. Y’a des années que tu n’as pas porté ce genre de vêtements hors de prix aux marques exorbitantes. Tu songes à ce souper, aux conneries qui risquent de franchir les lèvres de ton père, les soupirs las de ta mère et le rire moqueur de tes frères qui tout comme toi, font abstraction de l’autorité paternel. Elle sort enfin, Jade. Tes lèvres s’entrouvrent un peu, signe de ton admiration pour cette beauté sauvage et naturel. ‘’ Il ne faut pas abuser bébé… ‘’ Dis-tu en froissant le bas de ta chemise. Tu te sens ridicule dans cet accoutrement. Malgré tout, tu joues le jeu en lui tendant ton bras le temps de la guider jusqu’à la salle à dîner ou vous attendent les autres. ‘’ Je trouve qu’on est mieux assorti en casual mon coeur. ‘’ Dis-tu en étouffant un rire. Tout ce cérémonial, ce n’est pas toi, ce n’est pas vous. Tu engages le pas, descendant le premier sans perdre sa main. Ton regard reste ancré sur sa silhouette divine et tu te rappelles à quel point tu as de la chance de l’avoir dans ta vie… dans ton coeur. ‘’ J’crois qu’il s’attendait à ce que je reste seul jusqu’à la fin de mes jours. Je te promet de le remettre à sa place s’il se montre déplacé envers toi. ‘’ Et c’est peu dire. Un mot de trop et tu quittes cette maison sans jamais plus y revenir. À ses mots tu lèves les yeux au ciel. Tu n’es pas certain que c’était la chose à faire, mais maintenant il est trop tard pour faire marche arrière. Ça te fait peur, tu n’as pas envie d’y aller, de te jeter dans la gueule du loup… mais avec Jade à tes côté, tu es le plus confiant des hommes. ‘’ C’est toi qui est belle chérie… j’étais trop perdu dans mon monde pour te le dire avant… j’suis débile… t’es époustouflante. ‘’ Une fois près de l’entrée, tu l’attires contre ton torse pour la serrer contre ton coeur, tes lèvres trouvant le sommet de son crâne histoire de te donner un peu de courage. ‘’ Tout ira bien bébé, j’vais t’protéger. ‘’ Tu dis ça comme un gamin qui tente de séduire sa petite amie… mais c’est ce que tu es, un débutant dans le domaine de l’amour. Vous entrez finalement et les regards se posent sur vous. Ta mère sourit à pleine dent, tes frères aussi. Ton père pour sa part, reste de marbre. En gentleman que tu es, tu tires la chaise de Jade pour qu’elle prenne place après quoi tu viens te poser à ses côtés. ‘’ C’est toi qui a peint le corps de ta petite amie Moses? ‘’ Demande ton père sur un ton plutôt glacial. ‘’ J’ai dessiné pas mal d’entre-eux. ‘’ Dis-tu simplement sans même le regarder avant d’avaler le contenu de ta coupe de champagne. ‘’ Si tu permets, on parle d’autre chose. ‘’ Reprends-tu aussi las qu’écoeuré. ‘’ Jade a obtenu un poste à Harvard. ‘’ Dis-tu pour vanter les mérites de ta tendre moitié sans omettre de prendre sa main dans la tienne. ‘’ C’est vraie ? ‘’ Demande ta mère à l’intention de ta belle et toi tu souris tout simplement. ‘’ Comment vous êtes-vous rencontré? ‘’ Dit-elle curieuse. Cette question est adressé à Jade cela va de soi, t’es une merde pour raconter ce genre de chose… du moins tu fournis pas suffisamment de détails pour assouvir la curiosité d’une femme telle que ta mère.

(Invité)

Tu es confiante au bras de ton beau. Jusqu’à l’arriver devant la famille où obvioulsy, tes tatouages ont tôt fait de susciter les commentaires de papa Andrews que ton homme fait disparaître d’une parole. Puis, il change de sujet pour parler de ton poste chez Harvard ce qui te fais sourire de toute tes dents. « Ah! On s’est rencontrez dans une galerie d’Art. » Tu caresses sa main de tes doigts, le regardant tendrement, « Je suis très gauche et je ne regardais pas où j’allais. J’ai percuté Moses et je lui ai renversé mon café dessus, mais il n’a jamais été en colère. Il m’a offert un nouveau café et ensuite, on s’est plus lâché. » Ton sourire vient cimenter tes propos, tu l’aimes à en crever et c’est voyant comme le nez au milieu du visage! « Ce fût instantané, on était destiné à l’autre. C’est peut-être fou, mais c’était évident que c’était lui. Et oui, monsieur Andrews, il a dessiné la plupart de mes tatouages, il est doué. » Tu n’savais plus quoi dire, tu préférais te taire pour le reste et serrer la main de Moses plus fort dans la tienne.

@b. moses andrews

Tu écoutes d’une oreille, préférant te concentrer sur ce qui se trouve dans ton assiette. Ta mère est captivée par cette histoire, sans doute plus que Jade elle-même. Elle doit s’imaginer la dynastie Andrews prendre son envole avec l’aîné de la famille au bras d’une aussi joli demoiselle. Elle voit d’ici la famille s'agrandir sous peu, tu le vois à l’expression sur son visage et ça te fait lever les yeux au ciel. ‘’ On est fait pour être ensemble c’est une évidence, mais on est encore loin du mariage mom. ‘’ T’empresses-tu de dire tout en pressant la main de la brunette. Tu n’aimes pas ce genre de conversation trop privée et débordante de détails sur ta vie intime, c’est pourquoi tu préfères dévier encore une fois ou plutôt suivre le chemin tracé par Jade. ‘’ Doué? ‘’ Monsieur Andrews reprend le contrôle de cette soirée en imposant son opinion fort douteux à tout le monde. Tu sais ce qu’il pense de ton art; il le déteste. Tu sens la pression monter un cran, t’a mâchoire se serrée. Tu es du même avis que lui à ce propos, t’es pas doué, mais l’entendre de la bouche de ton père est le pire des calvaire qu’on puisse t’imposer et hors de question que tu restes une minute de plus assis à cette table, sans quoi tu risques d’exploser. ‘’ Merci pour le repas, on sort. ‘’ Dis-tu sur un ton à glacer le sang. Il te faut peu de temps pour sortir de table, invitant Jade à en faire autant. Ta mère te regarde, désemparée, tes frères on la tête basse et jouent avec la nourriture restante dans leur assiette. ‘’ On va aller en ville.. ‘’ Dis-tu au creux de l’oreille de ta douce en te dirigeant vers l’entrée. ‘’ Ne nous attendez pas ce soir. ‘’ Lances-tu dans la foulée avant de faire claquer l’imposante porte en bois massif derrière toi. Le valet s’empresse de vous rejoindre, deux casques à la main. ‘’ Prend le bleu. ‘’ Dis-tu à ta compagne tout en déposant un baiser sur sa jour. ‘’ Elle dort depuis trop longtemps… ‘’ Ajoutes-tu lorsqu’un second valet fait vrombir le moteur de ta moto sport qu’il laisse devant toi. Tu chevauches l’engin, souriant derrière ton full face, main tendue vers ta princesse. ‘’ Votre carrosse madame. ‘’ Tu l’aides à embarquer, se placer à son aise après quoi tu reprends. ‘’ Pince moi les côtes lorsque tu voudras t’arrêter quelque part pour admirer le paysage. ‘’ Car oui tu as bien l’intention de l’emmener dans tes petits coins secrets et isolés du reste du monde, des endroits magiques qui font rêver lorsque la ville est baignée dans le jeu de lumière de la nuit. Et tu envoies le gaz au fond, démarrant au quart de tour jusqu’à ce que la résidence Andrews ne soit plus qu’un lointain souvenir.

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Le cœur qui t’fait mal devant l’éclatement de ce souper. Finalement, avec papa Andrews rien n’est facile. Alors que votre conversation tournait autour de votre rencontre à Moses et toi, tu avais échappée des paroles qui n’ont pas plut à monsieur. Ce qui à résulter que vous êtes maintenant sur le point de prendre la route sur une moto. « Oh, tu es redevenu mon prince badass ! » Tu souris et prend la main qu’il te tend pour chevaucher ce monstre -la moto hein!- « Message reçu cap’tain, tout d’abord apporte moi à l’endroit où tu te sens le mieux depuis toujours. » et vous disparaissez sur les routes sinueuses de cet Angleterre adorable. Les paysages sont à couper le souffle, l’adrénaline que la vitesse te procure est indescriptible. Ton pilote en est un excellant et tu ne peux que tu sentir en confiance avec lui. Tu l’enlaces plus fort près de ton corps, tu souris à pleine dent, tu es bien. Tes pensés valsent sur les dernières semaines, au point que tu te trouve chanceuse de l’avoir encore. De l’avoir retrouver, toi qui pensait qu’il t’avait oublié. Ta douleur avait complètement disparu, pour laisser place à un infini bonheur. Ton infini bonheur, lui. C’était malsain de vivre au rythme d’un autre être humain, mais tu avais trouvé ton âme sœur, tu ne voulais pas le laisser s’échapper. Tu avais fais l’erreur une fois -sans le vouloir- et tu avais amèrement regretté. Tu ne referais plus jamais cette bêtise. Tu l’aimes, tendrement, dans son entièreté, dans son mal-être, dans son état d’esprit marginal. Tu l’aimes dans son âme tourmentée, dans sa belle âme tu devrais dire. Tu le vois sur un piédestal depuis le jour 1, mais Dieu! Tu ne cesseras jamais de l’élever plus haut, c’est ça des gens qui s’aiment, s’aider à monter plus haut et non descendre plus bas.

@b. moses andrews

Tu files à toute allure dans la ville en pleine effervescence. Les lumières, les gens qui s’animent à la tombée de la nuit. Tu prends le temps qu’il faut pour en faire voir le plus possible à Jade qui doit s’extasier devant un tel tableau. Londres est magnifique et pour une fois, la température semble être clémente. Un ciel dégagé, une délicieuse brise pas trop froide, juste assez. Après avoir déambulé dans les rues de la ville, tu t’éloignes un peu pour te rapprocher du bord de l’eau. Le London Bridge, une des constructions les plus impressionnante de la ville, une de tes préférée d’ailleurs. C’est ton petit paradis à toi. Tu gares ta moto sous un arbre avant de descendre, attrapant ensuite ta princesse pour l’aider à descendre sans que sa robe ne soit abîmée. Lentement, ta main vient prendre la sienne et tu l’entraînes vers les rochers près du cours d’eau à cinq cent mètre à peine du pont en question. La vision envoûtante de la ville, les jeux de lumières, sans parler du ciel étoilé tout est mit en oeuvre pour vous faire passer une soirée mémorable. Tu l’invites à s’installer confortablement et tu t'éclipses quelques instants le temps d’une chasse au trésor. Plus jeune, tu avais enfouis une boîte sous un arbre, contenant des couvertures, un oreiller et quelques calepins à dessins. Tu venais souvent t’installer ici la nuit quand tes parents semblaient s’être endormi. Tu comptes les pas et t’agenouille finalement pour te mettre à creuser avec tes mains. Adieu la belle chemise blanche… au final c’est le dernier de tes soucis. Ton trésor en main, tu reviens vers ta douce, fin rictus au lèvre. ‘’ On a de quoi passer la nuit bébé. ‘’ Dis-tu en déposant la boîte magique au sol, avant de retirer ta chemise toute sale. Tu attrapes une couverture que tu viens déposer sur les épaules de ta belle et tu t’installes à ses côtés, déposant un baiser sur sa joue. ‘’ Y’a pas de meilleur endroit que celui-ci. ‘’ Dis-tu, regard perdu à l’horizon, ton bras jalousement ancré à sa taille que tu tires contre toi. ‘’ Désolé pour mes parents. ‘’ Finis-tu par dire, l’esprit ailleurs.

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Tu souris face à cet endroit qu’il te montre, cette partie de lui, de son passé. Il enveloppe tes épaules d’une couverture qu’il est allé chercher sous le sable et tu lui souris. « Ne t’excuses pas pour eux, ils disent ce qu’ils veulent, moi je sais qui je suis et qui tu es. Le reste m’importe peu tu sais! Et puis, je m’attendais à pire honnêtement. » dis-tu posant ta tête sur ses jambes. Tu le regarde, sa beauté immense torturé par son âme blessée. « Tu es magnifique mon cœur. » Et tu le pensait que trop bien, tu aimais tout de lui, même vos déchirures dans tout leur ensemble. Votre douleur commune a fait de vous, c’que vous êtes maintenant et peut-être était-ce la bonne chose? Peut-être pas. Seul le temps vous le dira. Tu caresses son bras du bout de tes doigts, les yeux perdus sur lui. « L'homme orgueilleux se dévore lui-même. L'orgueil est son miroir, son héraut, son historien, son panégyriste, et toute belle action qu'il vante lui-même, il en détruit et anéantit le mérite par sa propre louange. » Que tu chuchotes, le regard tourné vers le ciel. Shakespeare, cet homme si grand, si sage. Ces paroles que tu dictes à un orgueilleux amoureux comme tu l’es de cet homme-là. Tu espères qu’il comprendra, que peu importe la situation, l’orgueil n’a pas sa place. Tu joues sur sa peau, des notes invisibles, une musique sans mélodie, un texte sans paroles. Tu prends une grande inspiration, l’air emplit tes poumons, tu apportes sa main à tes lèvres et y dépose un baiser chaste, avec toute l’amour que tu portes en ton cœur.

Jade à ce don de te faire sentir spécial. Peu importe ce que tu lui fais endurer ou lui impose tant par ton indépendance que tes longs moment de silence perdu dans ton monde, elle reste là, souriante et joviale, aimante et généreuse. Tu ne la mérite pas c’est clair. Pas après lui avoir fait rencontrer ton père ce salaud de première. Si tu l’as emmené ici, c’est justement pour t’excuser de ce petit désagrément, pour être avec elle, mais surtout pour la rendre heureuse. Tu veux essayer d’être plus présent pour elle… délaisser ta solitude pour te marier à sa présence et essayer de la faire pénétrer entièrement dans ton univers en lambeaux. ‘’ Pas la peine d’être sympa avec eux, on est loin de chez moi. ‘’ Dis-tu simplement pour lui faire comprendre que si elle a quelque chose de plus ou moins méchant à dire à propos de ta famille, c’est pas toi qui va s’en offusquer. Elle s’alloge alors à tes côtés, sa tête venant trouver tes genoux, une de tes main venant se perdre dans son épaisse chevelure douce et soyeuse. Tu es bien juste comme ça, c’est tout c’qui faut pour te rendre heureux. À ses nouvelles paroles, tu lèves les yeux au ciel. T’es pas fan des compliments et t’a franchement du mal à croire que ce soit vrai. ‘’ Dit pas ça s’il te plaît. ‘’ Marmonnes-tu en affichant une petite mine fâchée. Elle reprend parole pour te ramener à la triste réalité et tu écoutes simplement. Tu es sans doute l’homme le plus orgueilleux sur la planète et tu sais parfaitement bien tout le tort que ça a pu de causer par le passé, mais t’es loin de vouloir te défaire de cette partie de ta personnalité. Tu resserre ta prise autour de sa taille tandis qu’elle joue une mélodie imaginaire sur ton bras auquelle tu trouves des paroles en suivant son tempo. La musique c’est ta vie… Jade est ta muse … il est tellement facile de se perdre dans ce merveilleux univers lorsqu’elle est près de toi. Et tu souris finalement lorsqu’elle dépose un baiser sur ta main, cette même main qui vient caresser sa joue rosies par la brise. Il te faut peu de temps pour venir t’allonger contre elle, pressant son corps contre le tien, main restante en appui dans ta paume tu la contemples amoureusement avant de te pencher vers son visage pour sceller ce moment par un baisr rempls d’envie et de promesse. ‘’ On peut dormir ici si tu le souhaites. ‘’ Tu souffles ces paroles au creux de son oreille avant de laisser tes lèvres venir se perdre dans la délicieuse odeur de parfum qui imprègne la peau délicate de son cou. ‘’ T’es parfaite… ‘’ Reprends-tu en laissant ta main vagabonde remontrer de long de ses cuisses, sous sa fameuse robe aux manches en dentelles… tu caresses doucement l’intérieur, vers son entrejambe si bien qu’elle doit certainement sentir ton petit doigt effleurer son bouton de plaisir dans ta manoeuvre.

(Invité)

Tu n’étais pas parfaite, loin de l’être même. Tu t’efforçais simplement de faire le bien autour de toi, bien sûre tu n’avais pas froid aux yeux et allais toujours où les autres n’allaient pas. Mais en matière d’amour, tu n’avais plus rien à perdre. Tu voulais rendre les autres heureux, les faires sourires, ne serait-ce que quelques secondes. Briller par ta présence et ainsi rendre les gens qui t’entourent plus vivant. Ce n’est pas étonnent que tu n’aies rien de méchant à dire sur la famille de Moses « Non bébé, je n’ai rien à dire de plus sur eux. Ils sont comme ils sont… » Tu n’vois que le bien chez les gens, certains te croient naïve, mais tu es une grande rêveuse. Tu souhaites tellement que les gens exploitent le bon en eux, qu’ils le découvrent et puisse le laisser jaillir pour montrer au monde entier leur force intérieur. Les caresses de Moses te sortent de ta tête, te faisant courber l’échine alors que son doigt frôle ton clitoris. Ses lèvres qui se perdent dans ton cou et t’arrache un immense frisson. Tu laisses échapper un petit gémissement, parce que toi les baisers dans le cou…ça a de l’effet! Tes textos avec Cass te reviennent subitement, il faut que tu tentes et de plus c’est lui qui a commencé. Raison de plus d’essayer, doucement. Ne pas le brusquer. Tu attrapes son cou pour le faire pivoter et tu scelles ses lèvres des tiennes. Mordillant doucement sa lèvre inférieure, venant faire valser vos langues entre elles. Vos baisers se transforment vite de manière animale, une envie vitale d’être l’une sur l’autre, vos bouches ne font qu’un. Ton corps entier est en alerte, ton souffle s’entrecoupe légèrement, tu veux lui laisser le contrôle et s’il ne le prend pas, au diable! Toi tu le prendras.

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