and then i met you (macy & shuchi)

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{ and then i met you }
crédit/ tumblr ✰ w/macy

Ushuaia était venue à la plage pour profiter du soleil et peut-être aller se baigner. Elle ne pensait pas rencontrer une personne aussi magnifique que Macy. Pourtant, c'était grâce à sa maladresse que c'était arrivé. Elle l'avait bousculé avec ses fesses et Macy semblait l'avoir apprécié. Shuci a été timide, au début, mais commençait tout doucement à se calmer et à devenir elle-même. La jeune femme ne savait pas comment flirter avec une femme, sachant qu'elle n'avait aucune expérience avec elles. Shuchi se disait que ça devait être comme avec les hommes, mais, en fin de compte, c'était différent. Ça plaisait à Ushuaia, alors elle en profitait. Cette Macy la fascinait, alors qu'elle ne la connaissait que depuis quelques minutes. C'était étrange, comme sensation. « J'espère bien le trouver bientôt. Peut-être qu'à la fin de la soirée, tu auras ton surnom. ». Shuchi sourit, passant une main dans ses cheveux. Oui, elle devait lui trouver quelque chose de bien qui allait lui plaire. Elle ne voulait pas du tout la décevoir. « Moi aussi, je suis heureuse que tu contribues à mon bonheur, aujourd'hui. » Est-ce que ça allait trop vite? Shuchi ne le savait pas, mais la conversation coulait de source et tout allait bien. Du moins, pour l'instant. Se connaissant, elle pourrait dire une bêtise et tout gâcher. Elle allait donc devoir faire très attention. « Oui, restons ici. J'adore la plage. » D'ailleurs, les gens semblaient déjà s'en aller tranquillement, afin de continuer leur soirée à d'autres endroits. La jeune femme se rassit sur sa serviette, regardant Macy dans les yeux. Ses yeux... elle pourrait s'y perdre, tellement qu'ils étaient beaux. « Qu'est-ce que je veux apprendre de toi? Hum... je vais commencer par la première question qui me vient à l'esprit. D'où viens-tu? »

Si tu savais à quel point, je suis heureuse que Dieu m'ait mise sur ton chemin, que tu ais été si maladroite, que mes plans de la soirée ait été chamboulée par l'ange que tu es. Vraiment on pourrait croire que tu es tombée du ciel tant ton visage respire la pureté. Vraiment impossible que tu sois humaine. J'ai croisé des milliers de filles et d'hommes dans ma vie mais toi t'es vraiment unique. Quand tu me dis que j'aurais peut être droit à mon surnom ce soir, j'ai les yeux qui brillent." Raison de plus pour rester avec toi ce soir. " De toute façon, jamais je n'aurais laissé passer cette chance que d'obtenir quelques heures de plus avec toi. Je ne sais pas si tu mesures la portée des mots que tu viens de prononcer mais crois moi qu'ils ne sont pas tombés dans les oreilles d'une sourde." J'espère que ce ne sera pas juste pour aujourd'hui. " Je crois que j'aurais bien du mal à me contenter d'une seule soirée avec toi. Je ne sais pas vraiment ce que je veux, mais ce dont je suis sûre c'est qu'il m'en faudra bien plus à l'avenir. Nous décidons donc à l'unanimité de rester sur cette plage de sable fin avec la mer pour horizon. Mais c'est la mer qui me tente, c'est toi. Je te dévore du regard avant de répondre à ta question." Je suis née et j'ai vécu à la Nouvelle Orléans. Je pense que ça s'entend assez bien que je viens du Sud. Je suis assez fière de ce sang chaud d'ailleurs. Mais sinon je viens de passer les deux dernières années au Botswana, c'était le rêve absolu. " Il me suffit de fermer les yeux pour y replonger." Et toi ? Est ce que ton prénom a un rapport avec tes origines ? " Sait-on jamais. Les parents ont des idées bizarres parfois.

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En ce moment, Macy était l'une des meilleures rencontres de sa vie et probablement la meilleure, mais Ushuaia ne le savait pas encore. La blondinette aimait la regarder. Ses yeux qui brillaient de mille feux, son sourire qui pouvait faire craquer n'importe qui, une peau qui rendait Shuchi presque jalouse et sa voix qu'elle voulait entendre encore et encore. Bref, Ushuaia ne le savait pas encore, mais Macy allait rester dans sa vie. Le destin pouvait bien faire les choses, par moment. « Oui, une raison de plus. » Ushuaia devait donc se dépêcher à trouver un beau surnom, mais, se connaissant, elle n'allait pas tarder à en trouver un. Elle pouvait avoir une imagination très débordante. Macy lui avoua qu'elle espérait que ça ne sera pas juste pour aujourd'hui, ce qui fit rougir davantage la blondinette. Un sourire trônait sur son visage. Un sourire qu'elle ne pouvait pas contrôler. « Je l'espère aussi. » Elle s'ouvrait de plus en plus à Macy et elle était plus à l'aise. Pour le flirt, c'était encore un peu difficile, mais elle faisait des efforts et ne voulait pas faire fuir Macy. Non, elle ne voulait rien gâcher avec elle. Elle lui demanda alors d'où elle venait. « Oh, la Nouvelle-Orléans! Ça semble génial, comme ville. Je n'y suis jamais allée. Botswana c'est en Afrique, non? » Ushuaia espérait ne pas s'être trompée. Elle ne voulait surtout pas paraître ridicule devant Macy. « Je viens de Quito, dans l'Équateur. Mes parents ont cru que ce prénom allait me rendre unique, mais je pense qu'ils étaient sous l'influence d'une drogue ou un truc du genre. » Pour sa mère, elle ne le savait pas, mais, pour son père, ça ne serait pas du tout surprenant. « Maintenant que tu as quitté Botswana, est-ce que tu es retournée en Nouvelle-Orléans ou tu vis ailleurs? »

On est très bien là, non ? Franchement si je pouvais arrêter le temps je le ferai. Etonnant quand on sait que je croque la vie à pleine dents, que j'adore vivre de nouvelles expériences. Sauf que là tout ce dont j'ai envie c'est que la nuit perdure, qu'on reste là à discuter de tout et de rien, que je puisse continuer à contempler les formes de ton corps. Ta robe légère laisse percevoir tant de belles choses et je serais bien curieuse d'en découvrir plus mais te demander cela serait sans doute déplacer. Tu me sembles assez sur la réserve alors tant pis je vais prendre mon temps et attendre que tu veuilles bien te dévoiler un peu plus à moi." Oui il y a beaucoup de choses à découvrir à la Nouvelle Orléans. Le bayou. Mardi gras aussi. Mon époque de l'année préférée." Ma ville je l'aime de tout mon coeur et je ressens même un pincement au coeur de ne pas y être passée depuis plus de deux ans maintenant." Oui l'Afrique. C'est un tout autre monde. Ca te ramène à la dure réalité de la société mais c'est vraiment une expérience incroyable. " Depuis mon coeur balance entre l'Afrique et la Nouvelle Orléans. Deux lieux aux antipodes l'un de l'autre. Deux lieux qui t'ont vu grandir." L'Equateur, c'est exotique. Ca donne envie en tout cas. Je pense pas que ce soit ton prénom qui te rende unique mais en tout cas tu l'es. " J'ai jamais rencontré une autre fille comme toi si ça peut te rassurer. Une fille me donne autant envie." J'ai rejoins mes frères à Boston. Le dernier entre à Harvard en septembre. La fierté de la famille. Moi je suis une mauvaise élève. L'université c'est pas pour moi. Et toi ? Etudiante ? C'est pour ça que tu es là non ? " T'as l'air d'une fille sérieuse, une capable de se construire un avenir digne de ce nom.

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Ushuaia voulait que cette soirée dure éternellement et que le temps s'arrête, ne serait-ce que pour plusieurs heures. La jeune femme avait peur de quitter Macy et de ne plus la revoir. Oui, elle voulait la revoir, après ce soir et elle allait tout pour faire pour que ça arrive. Shuchi était donc installée sur sa serviette, admirant Macy de la tête aux pieds. Elle était encore en robe, puisqu'elle n'a pas eu le temps de l'enlever, ayant bousculé Macy. La jeune femme décida donc de l'enlever, se retrouvant en maillot de bain. Macy allait pouvoir plus regarder son corps, ce qui lui faisait forcément plaisir. Elle était de moins en moins timide, mais encore nerveuse. Flirter avec une femme n'était pas dans ses habitudes, mais ça lui plaisait bien. C'était nouveau. « J'aimerais bien y aller, un jour. » Ça devait être une ville absolument magnifique. Macy en parlait comme si c'était la plus belle ville au monde. « J'imagine. J'aimerais bien y aller pour voir les animaux en liberté. » Macy allait vite comprendre que Shuchi adorait les animaux. Les gens qui la connaissait n'était pas surpris de savoir qu'elle désirait devenir vétérinaire. « Oui, c'est bien, mais je ne compte pas y retourner. Oh, tu penses vraiment que je suis unique? Merci, en tout cas. Toi aussi, tu l'es. » Oui, il n'y avait pas d'autre fille qui lui faisait autant d'effet. Macy était différente et c'était positif. Lorsqu'elle appris que Macy était maintenant à Boston, Ushuaia sourit de toutes ses dents. « C'est vrai? Je suis également à Boston pour mes études, à Harvard. » Le monde était vraiment petit. « Il faut dire que l'université n'est pas faite pour tout le monde. Oui, je suis étudiante. Je suis en médecine vétérinaire et études de la femme. » Ses études la passionnait, mais avait peur d'effrayer Macy avec toutes ces informations. « Je désire devenir vétérinaire depuis que je suis petite. C'est mon plus grand rêve. » Elle espérait sincèrement le réaliser. « Et toi, quel est ton plus grand rêve? »

Me lancer sur le sujet de la Nouvelle Orléans, c'est mauvais, parce que je pourrais en parler des heures. J'ai des tas de souvenirs là bas. Pour la plupart heureux parce que dire que j'ai été malheureuse durant mon enfance, ce serait mentir. Soit j'ai pas accepté le manque d'attention de la part de mes parents mais j'avais Jaxon et Maël. Mes frères ça représente tout l'or du monde." Si tu veux y aller un jour, je me ferais un plaisir d'être ton guide. " Je te ferais une vraie visite de la ville pas une ultra touristique. Je t’emmènerai dans les vrais lieux. Est ce que je m'imagine un peu trop passer du temps avec toi à l'avenir ? Oui. Mais je m'en fou. Qui ne tente rien n'a rien. Et alors que je te parle de ma ville, tu décides de retirer la robe qui recouvrait ton corps. Impossible pour moi de ne pas loucher sur les courbes de ton corps. Tu n'aurais sans doute pas du faire ça, ça me donne des idées pas très catholiques. Je me concentre donc sur ta voix." Ah t'as pas peur de de te faire mordre les fesses pas un lion ? " Que je dis pour plaisanter." Bien sûr que si je le dis, c'est que je le pense. Je déteste les mensonges. " Puis si j'ai un truc à dire, je le dis. Enfin bon je ne vais pas dire tout ce qui me passe par la tête avec toi. Trop peur que tu prennes la fuite. J'ai visé juste en parlant d'Harvard et du fait que tu es une tête." T'as pas choisi les études les plus faciles. Mais vétérinaire c'est un beau métier. Je te souhaite de réussir. " Tu mérites que de belles choses, Naledi. Je ne te connais peut être pas depuis longtemps mais je suis certaine d'une chose. J'ai envie que tu sois heureuse. Alors que je caresse toujours ton corps du regard, tu me sors de ma rêverie en me posant une colle." Des rêves j'en ai pas vraiment. Je préfère vivre au jour le jour et profiter de ce qu'on veut bien me donner. " L'avenir c'est trop incertain, je me concentre sur le présent.

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Lorsque Macy lui a parlé de la Nouvelle-Orléans, Ushuaia a tout de suite su qu'elle aimait sa ville natale, ce qui était une bonne chose. La jeune femme aimait les gens passionnés, ceux qui aimaient parler d'un sujet pendant des heures et des heures. Ushuaia pourrait l'entendre parler à toutes les heures de la journée, de la soirée et de la nuit. Oui, cette voix qu'elle allait entendre dans ses rêves et ses pensées. Macy lui dit que, si elle voulait y aller, un jour, elle allait se faire un plaisir d'être son guide, ce qui enchanta Ushuaia. « Je retiens tes paroles. » Oui, elle s'imaginait déjà là-bas avec Macy et passer du bons temps en sa compagnie, comme en ce moment. Ushuaia avait déjà envie de revoir cette jeune femme qu'elle apprenait tout doucement à connaître. Elle dégageait quelque chose d'unique qui la faisait de plus en plus craquer. Pourquoi ne l'avait-elle pas rencontré auparavant? Par chance, le destin rattrapait son coup. Aux paroles de la jeune femme, Shuchi se mis à rire. « Non, je n'ai pas peur. Je peux être une femme très courageuse. » Elle se bomba le torse, riant encore. « Alors merci. Tu vas vraiment finir par me rendre aussi rouge qu'une tomate mûre. » Bon, elle était déjà assez rouge, mais elle pouvait bien le devenir encore plus, non? « Effectivement, mais c'était mon rêve, alors, même si c'est difficile, je compte bien ne pas abandonner. Merci, tu es vraiment adorable. » Elle avait presque envie de l'embrasser sur la joue, pour ce compliment, mais elle décida de ne rien faire et de se contrôler. Ushuaia pouvait voir le regard de Macy sur son corps, ce qui lui faisait forcément plaisir. Peut-être qu'elle lui plaisait. « C'est bien aussi! On ne sait jamais ce que l'avenir peut nous réserver, alors autant profiter de l'instant présent. » Oui, profitez du moment présent, sans se prendre la tête. « Si tu n'as pas de rêve, j'imagine que tu as des passions? »

Elles sont bien rares ces personnes que j'ai envie de mettre dans mon lit mais que je souhaite aussi découvrir. J'ai tendance à dissocier le sexe de l'amitié, afin de ne pas tout mélanger et surtout pour éviter de me retrouver dans des histoires rocambolesques. Je préfère la simplicité, bien pour ça que j'aurais tout donner pour rester en Afrique mais le destin en a décidé autrement. Mais si j'étais toujours là bas alors je n'aurais pas eu la chance de te rencontrer et je m'en serais bien mordu les doigts. Ton rire est si communicatif que moi même je ris en t'imaginant dans la savane." Je te crois. " Je donnerai vraiment tout pour voir comment tu te débrouillerais là bas. Je rêve un peu trop aujourd'hui." J'ai rien contre les tomates, bien au contraire. J'adore ça. " Les fruits et les légumes sont mes amis. Je suis pas végétarienne mais presque vu ma grande consommation de fruits. Sourire bienveillant que j'arbore en entendant ton optimiste." T'as raison. Il ne faut jamais baisser les bras et obtenir ce qu'on veut à tout prix. " D'ailleurs en parlant de souhait, c'est toi que j'aimerais bien avoir. Tu ne t'en rends peut être pas compte mais je vais mettre toutes les chances de mon côté pour te compter dans ma vie." Une passion oui. La peinture. C'est mon métier. Enfin j'essaye de gagner ma vie surtout. C'est pas facile tous les jours mais je m'en sors. " Je ne me prends pas la tête quoi. Je vis de ma passion, c'est pas donné à tout le monde." Et toi j'imagine que tu fais bien d'autres choses dans la vie que seulement étudier ? " que je te questionne avant de me mettre sur le ventre, posant mes coudes sur le sable et ma tête sur mes mains en te regardant de biais comme si j'étais subjuguée par ta beauté. Bon en fait c'est totalement le cas.

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La conversation entre Macy et Ushuaia était aussi fluide que de l'eau de roche. La jeune femme s'étonnait elle-même de ne pas bégayer en sa présence, tellement qu'elle la trouvait magnifique. Elle pensait que Macy était un véritable soleil. Ushuaia était éblouie par cette magnifique jeune femme qu'elle venait tout juste de rencontrer, mais qui allait devenir vite importante, dans sa vie. Ushuaia avait bien fait de venir sur la plage, au lieu de faire une sieste, étant fatiguée. Maintenant, elle ne l'était plus et comptait bien rester avec Macy aussi longtemps que celle-ci le voudrait. Espérant que ça dure longtemps. Ushuaia ne se préoccupait même plus des gens autour d'elle. Il n'y avait que Macy qui comptait, en ce moment. Leur conversation était parfaite pour une première rencontre. « Merci de me croire. Ça me touche énormément. » Ushuaia n'était pas le genre de personne à mentir, n'aimant pas les mensonges. Pour elle, c'était important de toujours dire la vérité. « Je ne comprends pas les gens qui n'aiment pas les tomates. C'est tellement bon. » Ushuaia sourit, se mordillant la lèvre. C'était un signe de nervosité, mais c'était une bonne chose. « Oui, exactement. Même si c'est difficile. Il faut toujours faire de son mieux et croire en nous-même. » Pour Ushuaia, ça l'a été long de croire en elle-même. Vivre dans la rue lui a fait comprendre qu'elle n'aurait peut-être jamais la vie qu'elle désirait tant avoir. Après avoir été adopté, elle a repris confiance en elle-même, malgré le long chemin que ça l'a pris pour y parvenir. « J'adore la peinture. Bon, je suis nulle, mais j'aimerais bien que tu me donnes des cours. » Oui, ça voulait également dire qu'elle voulait la revoir. « Évidemment. Je ne suis pas une intello. Bon, un peu oui, mais c'est notre secret. J'ai une passion pour les animaux, le chant et le violon. Par contre, ma voix n'est pas extraordinaire. » Sans la musique, Ushuaia deviendrait folle et ne serait plus elle-même.

Je n'ai aucun problème à parler aux inconnus bien au contraire, je suis même du genre à faire du rentre dedans, à ne pas tourner autour du pot. Si j'ai envie de quelque chose je le dis. Je rêve de milliers de choses avec toi mais étonnamment je préfère prendre mon temps. A vrai dire j'ai peur de te faire fuir en étant trop cash et puis il y aussi cette idée de te découvrir, de t'apprivoiser avant de tenter quoique ce soit de déplacé. Bon évidemment je ne me gêne pas pour passer au crible ton corps. En même temps c'est toi qui m'a offert cette vue en te dézappant. T'as l'air bien plus détendu. Je découvre même une autre facette de toi lorsque tu blagues sur les tomates. J'aime de plus en plus ce que je vois." La positive attitude, oui ! " Que j'insiste en faisant valser mes cheveux dans le vent. Je m'installe un peu plus confortablement sur mes avant bras. D'ailleurs t'as juste à baisser un peu les yeux si tu veux jeter un coup d'oeil à ma poitrine. Est ce que j'en ai fait exprès ? Bien sûr. Je sais pas si t'es intéressée par les femmes mais je finirai bien par le découvrir. Mon sourire s'allonge lorsque tu es demandeuse de découvrir mon art." Bien sûr que je peux t'apprendre deux-trois trucs. C'est quand tu veux. " Forcément je creuse un peu plus pour savoir ce qui te passionne dans la vie. Alors comme ça t'es toi aussi une artiste." Ah le violon. J'admire. Il parraît que c'est pas facile du tout. Mais je demande un concert privé pour voir ce que donne vraiment ta voix. Parce que je te crois pas. " T'es un ange alors je suis quasi sûr que tu as été doté d'une magnifique voix. Rien que quand tu parles je suis charmée. Si tu viens à chanter, je pense que je fondrais littéralement." Tu fais quoi exactement comme musique ? " Bon je ne te vois pas rappeuse mais les apparences sont parfois trompeuses.