Through the years everything has changed yet you remain - ALOES

Je la connaissais trop bien pour ne pas m’apercevoir que la question que je venais de lui poser la touchait, sa façon de baisser les yeux me fit serrer les lèvres. Je n’étais pas en colère non loin de là, j’étais simplement déçu de moi-même, j’aurais dû plus réfléchir avant de lui poser une question comme ça… Elle me répondit, les yeux toujours baissés, qu’elle dansait seule, je mentirais si je disais que je ne m’en réjouissais pas un peu, à vrai dire, plus que je n’oserais l’avouer. Notre duo avait été spécial, ce fut quelque chose d’unique, on avait été bien plus que de simple partenaire, et ce fut un période importante de ma vie. À présent, je ne dansais plus vraiment, je donnais des coups de main par-ci par-là à des gens qui avaient besoin d’un partenaire de remplacement ou d’une pratique de dernière minute, mais je ne dansais plus vraiment pour moi-même, peut-être qu’avec la bonne partenaire je pourrais recommencer, mais à vrai dire j’avais des doutes quant à retrouver quelqu’un m’allant autant que Marloes. « C’est dommage que tu aies arrêté.. » Je baissai les yeux à mon tour, «Ouais, j’imagine, mais j’ai pas arrêté totalement, je dépanne des gens qui ont besoin par-ci par-là» Puis Marlo me gratifia d’un de ses magnifiques sourire, me disant qu’elle était contente de me retrouver. « Moi aussi je suis content de te revoir, ça fait si longtemps, je suis désolé de pas t’avoir appelé.» Dis-je en demi-souriant, l’air désolé.

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Je ne sais pas si c’était la nostalgie ou vraiment l’envie de reprendre notre relation, mais de l’avoir face à moi, j’avais envie de revivre nos instants à nous, de se remettre à danser. J’levais les yeux vers lui le regardant à moitié, je n’osais pas le regardais dans les yeux, ça me gênait ! «Ouais, j’imagine, mais je n’ai pas arrêté totalement, je dépanne des gens qui ont besoin par-ci par-là» ça me rassurait en fait, c’était un danseur génial, il n’avait pas le droit d’arrêter totalement et même si il ne faisait que du « dépannage » il dansait toujours. « C’est déjà mieux que ne plus en faire du tout alors. De toute façon, notre duo est inégalable ! » dis-je en riant, il fallait bien détendre l'atmosphère qui était tout de même assez tendu. « Moi aussi je suis content de te revoir, ça fait si longtemps, je suis désolé de pas t’avoir appelé.» je ne savais pas si je pouvais me permettre de le prendre dans mes bras mais l’envie était là. « T’en fais pas, je ne t’en ai pas donné moi non plus, on est autant coupable l’un que l’autre. » dis-je en riant.

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C’est vrai que notre duo avait été magique, on avait tout de suite cliqué nous deux, le temps d’adaptation avait été très court comme si on lisait les mouvements de l’autre, ça avait été une expérience assez étrange, mais oh combien agréable. Point de vu technique j’avais beaucoup de chose à travailler, mais Marloes avait raison, au niveau de la complicité nous trônions au sommet des duos. Je ris donc avec elle avant d’acquiescer. « Ouais t’as raison, on était les Bonnie and Clyde de la danse, enfin sans tout les braquages et la fin tragique…» À la seconde même où je fermai ma bouche je réalisai la comparaison douteuse que je venais de faire, sérieux quel con j’étais… Vous voyez, elle avait réussi à détendre l’atmosphère avec son compliment sur notre duo et bien moi avec ma blague douteuse j’étais bon pour deux tickets en ligne direct pour malaise-ville… Cependant Marloes me connaissait bien, j’espérais qu’elle ne fasse pas attention à ce commentaire et qu’elle continue la conversation comme si de rien était, encore mieux peut-être allait-ce passé comme dans du beurre, je réfléchissais peut-être trop au fond. Puis elle s’excusa à son tour de ne pas avoir donné de nouvelle, disant que c’était un peu de notre faute à tout les deux si on s’était perdu de vu, elle n’avait pas tout à fait tord, mais bon rien ne sert de ressasser le passé, regardons plutôt ce que l’avenir nous réserve. « C’est certain, mais je crois qu’on peut oublier ça maintenant. On est tout les deux ici, pourquoi pas se concentrer sur l’avenir plutôt que sur ce qu’on a fait ou pas. » Dis-je en souriant et sans le remarquer, pendant que je lui parlais je déposai une main sur la sienne. Dès que je me suis aperçu de mon geste je voulu lâcher sa main, mais en même temps, je ne voulais pas lui faire croire que ce n’était pas agréable de retrouver un semblant de proximité…

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Alex m’accompagnait dans mon rire avant de reprendre son sérieux « Ouais t’as raison, on était les Bonnie and Clyde de la danse, enfin sans tous les braquages et la fin tragique…» j’eût un instant de bug, je le regardais, je baissais les yeux, puis relevais la tête, « ça aurait pu être amusant de faire des braquages » dis-je en riant, j’voulais pas gâcher nos retrouvailles, nous avions tellement perdu de temps. Je connaissais Alex depuis longtemps, j’savais bien qu’il n’avait pas voulu me blesser alors j’avais fait comme si de rien n’était et à la vue de son visage à moitié décomposé je savais que c’était ce qu’il attendait de moi. « C’est certain, mais je crois qu’on peut oublier ça maintenant. On est tous les deux ici, pourquoi ne pas se concentrer sur l’avenir plutôt que sur ce qu’on a fait ou pas. » il souriait, il avait raison j’acquiesçais au même moment où je sentais sa main se poser sur la mienne, j’savais pas comment réagir, j’avais pas envie de retirer ma main, ça me faisait du bien de le retrouver, de retrouver cette proximité que nous avions qui m’avait tant manquée. J’relevais la tête, gardant ma main sous la sienne « Tu as raison, rattrapons le temps perdu plutôt que de le perdre d’avantage » dis-je esquissant un large sourire sur mes lèvres.

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J’avoue que l’idée des braquages aurait pu être tentante, on a parfois besoin de repousser les limites, de faire dans l’excès et j'avoue qu'il m’arrivait parfois de m’imaginer n’avoir rien à foutre de la loi et de ce que pense les gens. Je me fais parfois des scénarios comme dans les films pour passer le temps, et si on enlève tout le mal que les criminels font, la sensation de liberté que procure leur mode de vie doit être assez agréable, enfin jusqu’à ce qu’on finisse en taule. « Si tu veux je connais une banque tout près.» Dis-je en riant, puis je regardai nos mains. Elle ne semblait pas vouloir que j’ôte ma main, non elle semblait même apprécier ce geste, je l’écoutais parler en souriant, un peu bêtement à vrai dire, mais ça ne me dérangeait pas vraiment d’avoir cet air. J’étais simplement bien, cette conversation avec une, une amie, une amante, partenaire de longue date me faisait du bien. Elle ramenait un peu d’ordre dans ma vie, me remettant les idées en place et me faisant focaliser sur pourquoi j’étais vraiment ici. Je suis venu à Harvard dans l’espoir de vivre une vie qui était mienne, loin des attentes de mes parents et des tâches qui incombe mon statut, mais bizarrement on dirait que j’étais ici pour boire, m’éclater et baiser, non c’était beaucoup plus profond et de voir Marloes m’aidait à le réaliser. Elle était si belle, je n’arrive pas à croire que j’ai pu la laisser filer, parfois je peux agir en vrai demeuré… «Donc question de rattraper le temps, tu fais quoi dans deux minutes ?» J’avais une petite idée en tête qui allait mélanger l’utile et l’agréable.

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J’avais souvent rêvé en voyant des vieux films américains où le couple se la jouait à la Bonnie and Clyde, cette montée d’adrénaline qui devait nous envahir, cette sensation de liberté, tout ça m’donnait terriblement envie. Mais me connaissant je savais pertinemment que je n’étais pas assez courageuse pour ça, je relevais la tête vers lui l’observant, il avait été ma force pendant tout ce temps que nous avions passé ensemble et cette force m’avait manqué, maintenant qu’il était là je savais qu’il pourrait m’aider à nouveau. « Si tu veux je connais une banque tout près.» il riait, je riais avec lui, « T’as les flingues, les cagoules ? Sinon j’ai des collants on peut se les mettre sur la tête » ça m’faisait tellement du bien de le retrouver, de rire à nouveau. J’imaginais quelqu’un passer par là et nous voir, niais comme des poulpes à se regarder parler, esquissant des sourires, riant en cœur, se tenant presque la main. J’avais toujours espéré le revoir un jour, même si ce n’était qu’une seule fois, je voulais savoir ce qu’il était devenu, il avait eu une place tellement importante dans ma vie que je n’aurais jamais tellement pu l’oublier, même si je n’y pensais plus quelques fois, d’autres fois les souvenirs me revenaient en mémoire au grand galop. «Donc question de rattraper le temps, tu fais quoi dans deux minutes ?» je regardais l’heure à mon téléphone, je n’avais rien de prévu dans l’heure à venir alors je relevais la tête avec mon éternel sourire « Ben... rien, à part si t’as quelques chose à me proposer » dis-je accompagnant mes paroles d’un clin d’œil.

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C’était étrange comment l’atmosphère autours de nous c’était allégé, plus aucune trace du malaise était palpable, non, à présent on aurait dit qu’une douce odeur de rose flottait dans l’air tellement la conversation prenait des allures de comédie romantique. Nous étions là dans le salon à vivre l’un de ses moments où tout semblait s’être figé, le temps, les gens, le monde, afin d’admirer notre relation renaitre tel un phénix s’élevant de ses cendres dans un grand souffle de flamme. Ce que j’adorais chez Marloes c’est comment elle entrait dans mes délires et les améliorait en ajoutant sa petite touche personnelle. C’était cool, de cette façon je n’avais pas l’impression d’être trop étrange ou trop à coté de la plaque, elle m’encourageait un peu dans mes lubies et c’était bien comme sensation. « C’est pas un problème les flingues, il doit bien y avoir deux trois mecs chelous qui trainent dans le coin.» Ajoutais-je en riant aussi pendant qu’elle sortait son téléphone pour regarder l’heure. Lorsque je lui demandai si elle avait quelque chose de prévu dans les minutes qui venait elle se contenta de me gratifier d’un de ses magnifiques sourire et d’un jolie clin d’œil en me disant qu’elle n’avait rien de prévu et qu’elle était enclin à faire quelque chose si je lui proposais. À ce moment, si j’avais eu une barbe j’aurais sans doute ris dedans à gorge déployé, elle ne s’avait pas dans quoi elle s’embarquait la petite. « Et bien je me disais…» Je pris une pause afin de faire monter le suspense, j’imaginais bien que la jolie blonde n’avait aucune idée d’où je voulais en venir, puis je souris à pleine bouche. «Je me disais qu’on pourrait monter dans ma chambre et…» Encore une autre pose, elle allait me détesté pour ce que je m’apprêtais à dire «Et on pourrait vider mes valises et commencé à m’installer ?» Finis-je par dire en accompagnant mes paroles d’un clin d’œil à mon tour.

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Je retrouvais cette complicité que nous avions eu lorsque nous dansions ensemble et cela me procurait tellement de joie, je ne voulais pas le perdre à nouveau ! J’avais toujours suivi Alex dans ses moindres délires même les plus farfelus, la relation que nous avions eue faisait en sorte que je le connaisse assez bien pour pouvoir rire des conneries les plus étranges, les plus incompréhensibles aux yeux de certaines personnes qui ne nous connaissaient pas. « C’est pas un problème les flingues, il doit bien y avoir deux trois mecs chelous qui trainent dans le coin. » j’acquiesçait en riant « Ces mecs-là me font peur, j’te laisserait y aller, enfin si ça te gênes pas. » dis-je en tirant la langue gentiment. Alex m’avait proposé de faire quelque chose d’autre que rester là, à son visage j’m’attendais à une connerie de sa part, à croire que je le connaissais beaucoup trop bien. « Et bien je me disais … » j’le regardais avec mes yeux interrogateurs, me demandant qu’elle idée farfelus il pourrait bien avoir dans la tête. Puis il reprit « Je me disais qu’on pourrait monter dans ma chambre et … » j’écarquillais les yeux attendant la suite de sa phrase, je savais qu’une connerie se cacher derrière ça, mais quoi je n’en avais pas la moindre idée. Après un petit temps il reprit enfin « Et on pourrait vider mes valises et commencer à m’installer ? » J’attrapais un coussin et lui lançais en dessus en riant « Mais t’es idiot, j’ai commencé à croire que tu perdais la tête ! J’ai eu peur ! » J’explosais littéralement de rire avant de reprendre mon sérieux « J’suis partante, mais tu m’réserve pas des trucs bizarres quand on sera dans ta chambre hein ? Tu promets sinon je ne t’aide pas ! »

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C’était parfait, elle avait mordu à mon attrape, enfin rien de bien méchant n’avait été fait, je l’avais seulement induite à penser que je voulais peut-être plus d’elle qu’une banale amitié, seulement ce n’était pas tout à fait ce que je voulais… À vrai dire, maintenant que je la retrouve, maintenant que je lui parle, qu’on délire tout les deux, maintenant j’aurais envi que l’on se soit jamais quitté. Je ne savais même plus pourquoi nos routes s’étaient séparé, ou plutôt je n’avais pas envie de me rappeler pourquoi nous deux ça n’avait pas marché. Cependant je ne pouvais pas jouer le tout pour le tout, imaginez qu’elle prenne peur et qu’elle veuille prendre ses distances, non et puis je ne suis même pas sûr de ce qui se passe dans ma tête et dans mon cœur, si ça se trouve ce n’est qu’un moment de nostalgie qui submerge mon être de souvenir, de souvenir de nous deux, de notre duo, de notre couple. Puis elle s’est mise à rire, de son rire magnifique, avant de me mettre en garde de ne rien tenter d’étrange une fois là haut, sinon elle ne venait pas. J’avais envi de lui dire qu’elle devait mieux me connaitre et que je n’étais pas de ce genre, par contre je préférai uniquement lui répondre. « T’inquiète, et puis j’aimerais bien que ma chambre soit prête avant la nuit, sinon je devrai me trouver un autre lit pour crécher cette nuit.» Dis-je en lui faisant un clin d’œil, non pas parce que j’avais l’intention de m’inviter à dormir dans le sien, mais bien pour lui rappeler que bien que je sois le même qu’avant, une certainement partie de mon innocence avait disparu avec le temps, surtout depuis que je suis pote avec William. Puis une fois que Marloes fut rassuré nous montèrent dans ma chambre. Je déposai les sacs sur mon lit avant d’en sortir une mini-chaine stéréo. « Donc durant que je sers mes vêtements tu t’occupe de mettre de la bonne musique ?» Je savais qu’elle avait des bons goûts et je lui faisais totalement confiance à ce sujet. Puis comme je lui avais dis je commençai à vider mon sac de vêtement et à les ranger dans les tiroirs correspondant. « Sinon coté romance, ça va, y’a pas trop de con qui tente de se glisser dans ton lit en te chantant la pomme ? Parce que bon, si tu veux je passe leur glisser quelque conseils.» Riais-je sans réellement avoir quelque chose derrière la tête.

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Alex et moi c’était une histoire de longue date, nous nous étions quittés il y a bien longtemps et entre temps nous avions bien grandit. Je tiens une théorie comme quoi les vieux couples qui se sont séparés et qui ont évolués chacun de leur côté vivent une relation plus saine après leur retrouvailles. Il était clair que nous avions changés, muris, grandis, nous n’étions plus ceux que nous avions été. Je savais pas où cela nous mènerait, je ne savais pas si c’était simplement la nostalgie ou une véritable envie de retrouver cette complicité que nous avions perdus. Tout ce que je savais c’est que le retrouver mes faisait un bien fou. « T’inquiète, et puis j’aimerais bien que ma chambre soit prête avant la nuit, sinon je devrais me trouver un autre lit pour crécher cette nuit. » dit-il accompagnant ses paroles d’un clin d’œil, je soupirais en riant « Alors toi… allons préparer ta chambre va. » dis-je en me levant. Je remarquais bien qu’il avait changé, qu’il était beaucoup moins « sage » dira-t-on et c’était assez comique à vrai dire. Pourtant cette maturité qu’il avait prise me plaisait assez, il avait perdu un peu de son innocence c’est vrai mais nous n’allions pas rester de sage enfants toute notre vie, je savais que pour ma part c’était exactement pareil. Nous entrions dans sa chambre « Donc durant que je sers mes vêtements tu t’occupes de mettre de la bonne musique ? » je me dirigeais vers la stéréo « Ok j’m’en charge » je regardais les CDs qu’il avait assise en tailleur sur le lit qui n’était pas encore fait. J’y trouvais un CD que je ne connaissais pas, je savais qu’il avait des bons goûts alors à moins de tomber sur une de ses erreurs de jeunesse je lui faisais confiance sur les musiques qu’il avait. Je mettais le CD dans la chaine stéréo et lançais la musique, j’avais envie de me lever et de danser mais c’était trop bizarre de danser en sa compagnie, j’aurais trop eu l’impression de revivre le temps passé. Assise sur le lit j’me balançais de droite à gauche au rythme de la musique pendant qu’il rangeait ses vêtements. « Sinon côté romance, ça va, y’a pas trop de con qui tentent de se glisser dans ton lit en te chantant la pomme ? Parce que bon, si tu veux je passe leur glisser quelques conseils. » je soufflais vers le haut dégageant la mèche sur mon visage qui s’était détaché de mon chignon pendant que je me balançais sur le lit. J’savais pas par où commencer, par le fait que je n’avais qu’une vraie relation après lui ou bien que la seule fois que j’avais couché depuis que j’étais célibataire c’était avec son meilleur pote William et qu'avant ça, ça faisait a peu près dix mois que je n’avais rien fait. Ma vie sentimentale était tout simplement lamentable « Oula.. Tu sais, moi niveau romance c’est assez lamentable … t’auras pas à donner beaucoup de conseils tu sais » dis-je en riant « et toi alors dis-moi ? Comment ça se passe avec les filles ? »

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