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❝Qué calor❞
ANTONIO & CLAUDIAJe n’avais pas de mots pour décrire ce qu’il venait de ce passer entre Claudia et moi, c’était clairement intense et je ne me lassais pas de ça. Après être venu en elle, cette dernière obtient un ultime orgasme digne de ce nom et très vite je comprends que ce fameux septième ciel, je viens de l’y emmener et je peux être fier de moi alors qu’elle semble à bout de force, ce qui n’est pas rien car c’est rare de voir une brésilienne sur les rotules. Elle reste en moi et l’on s’embrasse fougueusement, baiser étant totalement à l’image de la fusion entre nos deux corps et je prolongeais ce dernier, liant ma langue à la sienne avant qu’elle ne me remercie. J’en ai des frissons alors que je me mords la lèvre tout en la regardant avec énormément d’intensité et d’envie toujours. Je la laisse faire ce qu’elle veut de mon corps alors que je sens ses lèvres découvrir ma mâchoire et mon cou alors qu’elle se retire totalement de moi, ressentant tout de suite un manque, comme si ce n’était pas normal. A vrai dire je m’étais habitué à être en elle et forcément ça me donnait une sensation étrange à présent. Lorsqu’elle m’avoue que ce que je lui ai fait vivre était exceptionnel, je la regarde avec encore plus de fougue et de malice alors que l’on s’embrasse vivement de nouveau, laissant mes mains parcourir sans la moindre gêne son corps « Tu es une vraie déesse » Je lui mords la lèvre inférieure vivement avant de tirer dessus « On remet ça quand tu veux, tu as mon numéro » Si elle me répondait que ce soir elle revoulait une dose de plaisir, j’étais disponible et je serais présent. En tout cas je me redresse, l’embarquant avec moi alors que le soleil se couche petit à petit « Un petit de minuit avant l’heure ça te tente ? »© LOYALS.
❝Qué calor❞
ANTONIO & CLAUDIAOn était encore nus sur le sable et relativement humide dû à la mer mais aussi à notre transpiration car il faut dire que l’on avait pas fait semblant, notre ébat s’était voulu extrêmement intense et passionné, tout ce que j’aimais et honnêtement j’en redemandais déjà même si bien entendu je reste lucide et préfère attendre de reprendre un peu mon souffle pour repartir de plus belle. En tout cas alors qu’elle me remercie, je souris largement tout en me mordant la lèvre inférieure avant de la regarder fougueusement, ne manquant pas de l’embrasser immédiatement, liant notamment ma langue à la sienne. J’avais donné beaucoup de moi et ça s’était ressenti, à présent elle semblait être comme dépendante et j’aimais cette idée d’avance alors qu’elle est toujours sur mon membre en ce moment même. Sans plus tarder elle se retire tout en recouvrant mon corps d’attention que j’accepte volontiers avant de lui mordre la lèvre inférieure pour tirer dessus, lui témoignant mon envie d’elle. « Je retiens, tiens toi prête » Je compte bien lui faire la surprise de venir chez elle afin de la faire crier de joie une fois encore, n’en déplaise à ses voisins de chambre à l’hôtel mais aussi ses voisins à Boston car je ne vais pas uniquement m’occuper d’elle ici au Portugal. D’ailleurs je lui propose d’aller faire un tour totalement nu dans l’eau alors que le soleil se couche et elle accepte ce qui n’est pas pour me déplaire tandis que l’on s’embrasse de nouveau alors que je la porte tout en la tenant relativement proche de moi. Ses commentaires ne me laissent pas insensible et je souris malicieusement à cette dernière tout en me mordant la lèvre alors que je plonge mon regard dans le sien pour la provoquer. « Et tu en prends souvent ? » Je lui pose une question l’air de rien pour savoir si elle a beaucoup de coup de cœur si l’on peut dire ça ainsi alors que l’on rentre dans l’eau qui est bien plus froide que précédemment, bien que ça ne soit que temporaire. Je rapproche son corps du mien, mes mains se posant sur ses fesses de nouveau que je saisis fermement avant de l’embrasser bestialement tout en laissant mon bassin se rapprocher de lui-même comme si il était magnétisé par le sien et notamment son intimité humide que je frotte de nouveau. « Je crois qu’il va être temps de passer à table vu l’heure » Je souris malicieusement à cette dernière murmurant à son oreille d’une voix salace « J’ai une banane et deux litchis qui n’attendent que d’être pris en bouche de nouveau » Toujours ce petit clin d'oeil culinaire étant propre à nous.© LOYALS.
❝Qué calor❞
ANTONIO & CLAUDIAC’était notre première fois ensemble pourtant c’était comme si cela faisait des années que l’on se connaissait et que l’on passait du temps ensemble de la sorte et je dois bien avouer que c’était bizarre bien qu’agréable comme sensation. Je laisse pour le moment ma bestialité de côté pour plus tard, répondant avec fougue et passion à ses baisers alors qu’elle me fait comprendre qu’elle sera toujours disponible pour moi quitte à repousser un rendez vous juste pour que je m’occupe personnellement d’elle. J’ai déjà des envies qui reprennent le dessus mais je me calme car je ne veux pas lui donner tous tout de suite. Je me renseigne sur ce qu’elle fait habituellement avec ses conquêtes et je suis ravi d’apprendre qu’avec moi c’est comme qui dirait exceptionnel. Je lui souris malicieusement tout en me mordant la lèvre inférieure vivement, la regardant dans le même temps avec fougue et intensité. Dans l’eau très vite on se rapproche automatiquement comme si on en avait besoin et j’en profite pour saisir fermement ses fesses ce qui semble lui faire un bien fou « T’en fais pas pour ça, ce sera même mieux. À vrai dire on y est bien dedans » Je la regarde malicieusement tout en caressant son anus avec énormément de facilité et de fougue pour la provoquer d’autant plus car oui je compte bien la prendre par ce trou plus spécifiquement cette fois. Dans le même temps je rapproche mon intimité de la sienne qui se trouve être totalement humide et j’en profite pour la frotter malicieusement tout en glissant au creux de son oreille une petite provocation supplémentaire. Sa réponse me plait car elle résiste mais je n’ai pas dit mon dernier mot « Je ne sais pas si tu as faim, mais tu es gourmande » Je savais de quoi je parlais pour avoir subi ses caresses subtiles et une gourmande mange sans faim et c’est son cas de toute évidence. Je sens sa main contre mes boules et je serre la mâchoire tout en la laissant faire alors que je m’attarde encore plus sur son anus tandis que de l’autre main je commence à caresser sa poitrine. « Tu ne trouveras pas meilleurs ailleurs » Je lui fais un clin d’œil avant de l’embrasser de nouveau avec énormément d’intensité et de fougue tout en frottant de plus en plus mon intimité contre la sienne qui se met à mouiller un peu plus et me vaut un large sourire alors que notre soirée risque d’être tout aussi mouvementée© LOYALS.