(Roygo) I need an attention

Tu le regardes et tu baisses la tête, tu as compris, pas la peine de dire quoi que ce soit en fait. Tu as compris qu’il ne pouvait pas faire ça face à son fils, qui est trop adorable en passant. Mais tu le laissas le faire, tu avais redouté ce moment, ce moment destructeur ou tu te sentirais faible face à l’abandon, tu soupires faiblement. Tu viens à te lever, après avoir entendu les paroles de Royce pour venir directement quitter le canapé Ok je m’en vais Parce que tu ne pouvais pas aller contre sa volonté. Et voir ce petit bout de chou encore avec son deux au niveau des doigts, tu souris comme un idiot. Tu t’avances vers lui, tu lui fais le signe du pouce pour finalement commencer à t’habiller et tu ajoutes Ravi de t’avoir rencontrer Oscar et tu lui tends ta main, il va surement la serrer ou pas mais tu lui frottes doucement le crâne avant de sourire T’es sage hein, pas de bêtises t’étais presque triste de voir qu’il avait la même bouille que Royce, triste aussi de découvrir qu’il avait sensibilité à sa façon et tu quittes la chambre sans le regarder, tu connaissais ses cas, ton père t’avait déjà laissé à l’hôpital et tu laissas la porte ouverte quand même. Tu n’avais aucune intention de dire quoi que ce soit à personne en fait, t’avait mal au crâne, tu étais aussi en manque actuellement et tu regardas dans ton poche pour essayer de chercher un joint ou ton téléphone pour rentrer chez toi.. Tu allais partir comme un voleur parce que tu avais horreur des adieux..

(Invité)

i need an attention

feat. Hugo

Je fais peut-être l'enculé mais il peut comprendre non ? Ce n'est qu'un enfant... ok heureusement qu'il connait rien à l'homosexualité tout ça, peut-être qu'il se dit juste que c'est un copain à papa qui est juste venu faire dodo. Mais bon, il était à moitié à poil dans mon lit et moi aussi d'ailleurs. Alors non, c'est trop pour moi et ça me brise le coeur de faire ça mais j'ai pas le choix. Je suis perdu, totalement perdu face à ce que je dois faire et ne pas faire. Hugo se lève, accepte bizarrement mais de toute façon il n'a pas le choix. il va près d'Oscar, se montre amical avec lui et ça me fait sourire, tristement... Oscar sourit et éclate de rire quand il lui demande de ne pas faire de bêtises. Pfiou, si seulement. C'est un vrai cancre ce gars. Je déglutis en voyant Hugo se rendre dans ma chambre et je finis par le rejoindre en refermant la porte. Oscar est trop petit pour l'ouvrir, mais assez malin pour écouter aux portes. Je vois Hugo de dos qui s'habille et je viens coller mon torse contre lui en enroulant mes bras autour de son ventre. « Je suis désolé... tu peux comprendre j'espère ? » Je pose mon menton contre son épaule et je profite de cette étreinte parce qu'il va me manquer quand même. « On se voit plus tard ok ? » s'il te plait, ne me dis pas que tout ça est fini. Je peux pas. Peut-être que je fais exprès de me montrer tactile pour l'attendrir, ouais. Mais aussi parce que j'ai besoin de son contact à ce moment précis.

T’aimais bien le gamin toi, mais c’est comme ça, t’aimes tous les gamins en fait et il a choisi. Tu aurais pu partir comme ça, faire exprès d’oublier ton pantalon pour être obligé de le revoir et finalement ça serait cruel. Tu arrives dans la chambre, tu entends la porte fermée avant de soupirer, tu pensais que tu l’avais fermé mais tu sens sa présence et tu as du sursaut par la surprise, tu humectes tes lèvres, tes mains caressent ses bras lentement, tu t’en veux, tu t’en veux parce que si ça se trouve, vous auriez pu être chez toi, tous les deux et tout cela ne serait pas passé. Et finalement tu hoches la tête lentement. Comprendre oui, tu comprends, mais accepter, tu ne sais pas si tu pourras le faire. Tu viens tourner la tête vers lui une seconde pour finalement tes lèvres sur sa joue, bien trop proche de ses lèvres, horreur putain, t’en as tellement envie comme un baiser d’adieu que tu ne peux pas le faire, on ne sait jamais si il rentre le petit ? Ou sil pleure ? Tu ne sais même pas si tu pourras t’enlever de lui. Mais voilà qu’il veut te revoir, tu réfléchis, oui parce que c’est compliqué en fait et tu soupires doucement Quand ? Parce que t’es déjà impatient de la chose, tu viens prendre ta veste pour te tourner face à lui et enfiler la veste que tu avais, ta main caresse son corps doucement, son torse principalement Tu m’appelles ? C’est juste horrible et tu fais profil bas pour une fois, tu restes silencieux, tu viens juste lui voler un baiser comme pour un souvenir et tu le regardes Merci Parce que tu ne l’avais pas remercié pour ce qu’il avait fait hier oui, horrible honte en passant

(Invité)

i need an attention

feat. Hugo

Ouf amen, il pète pas de scandale. Je voulais juste éviter ça. Je suis content qu'il ne repousse pas mon approche, ça marche bien dis donc. Je le laisse se rhabiller, prendre ses affaires et j'hausse les épaules quand il me demande quand exactement est-ce qu'on va se revoir. « Très vite, promis. » je peux donner une réponse comme ça, je suis imprévisible comme homme. Ses mains frôlent mon torse et j'en frissonne. Putain, c'est fou l'effet qu'il me fait. « Ouais. » je l’appellerai, ou en tout cas, je donnerai signe de vie mais oui, je veux te revoir, j'en ai besoin, c'est comme si t'étais ma drogue. T'as ton opium, et moi je t'ai toi. il embrasse timidement mes lèvres et s'apprête à partir. Euh, c'est pas un baiser ça. Je le rattrape, je le plaque contre la porte, technique qu'il m'a apprise pour ne pas que quelqu'un puisse l'ouvrir et nous surprendre, et je l'embrasse passionnément, comme si je lui donnais tout mon souffle, toute mon énergie et je peux pas m'arrêter, je peux pas...

Et tu ne fais rien, tu ne fais pas l’enfant, tu ne boudes pas (bon si un peu beaucoup), tu ne fais pas la gueule, mais tu comprends sauf que t’as pas envie de ça. T’as juste l’impression qu’il t’abandonne en fait, tu te sens trop mal, surtout qu’actuellement, t’as mal au ventre et ton sang est chaud à cause de ton manque de drogue. Alors tu ne t’éternise pas, tu t’en vas, tu commences à marcher pour quitter la pièce, tu vas le faire mais il te bloque rapidement le passage. La porte était pourtant fermée, et heureusement parce que tu es contre celle-ci et Royce contre toi, très bien ça tu acceptes. Il t’embrasse comme un dingue, ok, ça t’acceptes, tu lui réponds même de la même façon en fait, sauf que tu peux pas t’arrêter, tu peux pas t’empêcher de le faire, comme si c’était devenu vital aussi. Tu caresses son torse, t’en as besoin, t’as toujours été hyper tactile sauf quand t’es en chimio mais là c’est différent, t’as besoin de ça actuellement, parce que tu te jettes à corps perdu dans un truc impossible et que tu ne peux accepter ce qu’il te propose. Et quand tu manques de souffle, même impossible soit-il, tu es obligé de le faire, tes lèvres se détachent des siennes, à contre cœur Tu passes quand tu veux chez moi ok ? Au moins finir ça tu le taquines, comme si il était obligé de venir pour pouvoir terminer ce que vous aviez commencé et tu as ce petit sourire angel sur ton visage blanc Prends soin du petit bonhomme ou je viendrais te casser les pieds Bah oui les enfants ont toujours raisons sorry, et tu déposes ta main sur la poignée, tu n’avais pas envie de partir mais il te l’avait demandé, donc tu te devais de le faire..

#Traite

(Invité)

i need an attention

feat. Hugo

Cet au revoir me déchire mais bon, pas le choix. Y'aura toujours des imprévus dans ma vie de toute façon. Comme Hugo tient, quel imprévu, il débarque dans ma vie en mode yolo et s'y accroche en plus. C'est à dire que, je peux pas le jarter, j'en suis incapable. Mais je peux l'empêcher de prendre trop de places en mettant des limites. Oscar était la limite et maintenant, je dois le virer de chez moi. Mais gentiment, en lui roulant la pelle de sa vie, assoiffé d'envie. Baiser partagé, fort heureusement. « Ok. » je le raccompagne au moins jusqu'à la porte. Oscar était devant les dessins animés, la télécommande en main. il lui dit au revoir et je laisse partir Hugo. Mon dieu, mais qu'est-ce qu'il se passe au juste ?

Tu regardes alors Royce, tu préfères de loin t’en aller tout de suite plutôt que de faire d’autre connerie parce qu’on ne sait jamais. Tu t’éloignes mais il vient quand même te raccompagner jusqu’à la porte. Et ta main effleure la sienne lentement. Tu apprécies ce contact, tu te rends compte que tu apprécies aussi sa présence, grandement même. Tu pinces tes lèvres une seconde, et tu les humectes ensuite, jusqu’à ce que la porte se referme derrière toi, tu soupires. Ton téléphone en main finalement tu envoies un message à ta famille. Tu avais besoin de crêpes, d’eux, de rhum aussi et d’un putain de doliprane pour ta tête. Le joint quand à lui, tu allais le fumée rapidement sur la route.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)