Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(Et moi ? ) Le tigre est en toi - Page 2
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(Et moi ? ) Le tigre est en toi

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T'es énervé contre elle, tu vas la défoncer si elle continue et c'est bien ce qu'elle fait, non mais tu rêves, elle te fait ce caca nerveux alors qu'elle t'a abandonné ? C'est une blague tu espères mais non, elle fait vraiment une scène, quelle princesse sérieusement. Tu soupires fortement, en plus elle essaye d'acheter le propriétaire, gros lol de la vie mais bon, tu soupires fortement pour cette pensée avant de la déposer et tu lui indiques méchamment avec une pointe de gentilesse la voiture, dont elle rentre et elle se tait. Tu es silencieux maintenant parce que ton chauffeur sait que tu es énervé et il sait aussi qu'un italien énervé qui ouvre la bouche c'est mauvais. Alors quand tu ouvres la bouche pour expliquer pourquoi tu étais énervé, encore plus pourquoi tu la haissais, mais voilà qu'elle essaye de se défendre. Un putain message c'est trop beau dans ta vie de princesse ? C'est ça ? Tu peux pas envoyer un putain de messages, j'ai attendu ça toute la journée ! sauf que tu lui montres ton téléphone que tu lances sur cette foutue vitre. Ouais t'es énervé et pour le sang chaud que tu es, c'est super mauvais ça, alors que tu serres les dents, elle t'a jamais vu en colère, jamais, du moins pas dans ta colère la plus noire et elle aurait peur, tu le sais. Alors tu te calmes, tu soupires pour regarder dehors, alors que la pluie commence à s'éclater avec vous, tu soupires silencieusement, tu en profites pour humecter tes lèvres. Et voilà qu'elle a comprit, tu ne la regardes pas, tu ne l'observes pas, rien, tu regardes la vitre. Oui parce que ce matin, tu as juste hurler sur Alberto, tu as tout balancé et encore, il a du rangé, parce que tu étais trop énervé pour faire quoi que ce soit. Et donc, ton visage est fermé et tu fixes dehors le paysage en silence, parce qu'il faut que tu te calmes un peu avant d'ouvrir la bouche, juste ouvrir pas parler en fait, sinon tu vas te montrer méchant avec elle et c'était pas ce que tu voulais avec elle.
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T'es une espagnole au sang chaud, vous, les gens du sud de l'Europe, vous êtes connus pour ça. Vous vous énervez, vous montez vite dans les tours. Des passionnés. C'est comme ça. Alors tu fais une scène dans la boite alors qu'il te porte, tu tentes de te détâcher de lui, on dirait une furie sérieusement. Quand tes pieds touchent enfin de sol, tu tente de te contenir pour pas avoir l'air d'une hystérique mais il est claire que t'es furieuse. Quand tu rentre dans la voiture, tu te mets de ton côté, renfermé sur toi même. Le chauffeur ne tente même pas une blague ou autre, il se contente de commencer à conduire et quand il se lance dans les reproches, t'es juste allucinée : il va dans les clubs de strip et c'est toi la fautive parce que t'as été sympa et que tu l'as laissé dormir ? C'est le monde à l'envers. Quand tu réponds, tes yeux sont des éclaires alors que lui est froid comme la glace ou un ouragan. Ses paroles ne se font pas attendre, il s'énerve à côté de lui, te montre son téléphone sans message de ta part, il le balance dans la voiture, sauvagement, contre la vitre qui vous sépare du chauffeur, t'as un sursaut, t'attendant pas à ça, mais c'est pas un truc comme ça qui va te calmer, pas toi enfaite. J'ai oublié mon téléphone chez toi ce matin ! tu hurles ces paroles dans la voiture, furieuse. Et tu connais pas son numéro par coeur. Ou pas encore, à voir et dans tes fréquentations, aucuns ne le connait, du moins, pas à ta connaissance. Mais tu continue de cogité et je crois que c'est là que tu comprends, il a cru que tu reviendrai pas. Il a cru que tu étais partie, pour toujours. Tu lui demandes et il fixe le vide, il tente probablement de redescendre la pression, mais c'est sans compter sur toi, l'emmerdeuse, la chieuse professionnel. Bien sûr que t'as cru que je reviendrai pas... Noah regarde moi. tu tire sur son bras pour qu'il te regarde ou pour qu'au moins t'es l'impression qu'il t'écoute Tu crois franchement que je te ferai ça ? Et tu crois pas qu'au lieu d'aller dans un endroit pareil t'aurais pas pu venir me crier dessus au bar ? C'est ça qui va se passer à chaque fois que je te déçois ? Tu vas aller là bas ? C'est ça ta putain de solution ? Déçue. En vrai c'est ça, t'es déçus qu'il ai cru que tu lui ferai ça. Tu sais trop bien ce que l'abandon fait pour le faire vivre à quelqu'un. T'as perdu ton père, t'as été livré à toi même à cause de ta mère, t'as perdue Adam. Il sait pas tout mais au moins pour A. alors comment il a pu penser ça de toi ?
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Tu te fais violence de pas gueuler derrière elle, mais faut que tu te calmes, tu vas lui faire peur et c'est déjà fait, parce qu'elle vient de sursauter, c'est ce qui te calme. Alors tu serres les dents, tu humectes tes lèvres T'as qu'à l'apprendre par coeur, comme j'ai appris le tien ! Emmerdeuse putain, et encore ce n'est pas tout, tu restes ton poing que tu mets au niveau de tes lèvres pour éviter de péter un câble, pour éviter de lui hurler. Mais finalement tu te rends comptes que ça part, c'est trop tard, tout est sortit, t'es énervé, et elle, elle cogite, elle réfléchit elle t'envoie tes théories, elle te laisse tomber dans ta merde, dans ton silence, putain t'aime pas le silence. Quand elle te dit de la regarder, tu ne le fais pas, tu ne veux pas la regarder, tu ne veux pas qu'elle voit le froid du Nord dans tes yeux, tu ne veux pas qu'elle te voit aussi énervé mais elle te tire le bras, et c'est trop tard. Tes iris bleus glaces se déposent sur elle, tu la fixes, serres encore les dents, faut que tu te calmes, mais elle parle, elle déballe, tu humectes finalement tes lèvres Tais toi c'est tout ce que je te demande Parce que tu as besoind de te calmer avant d'arriver, parce que tu as besoin d'éviter de trembler pour parler, parce que sinon tu vas dire des mots que tu regrettes. Et la voiture s'arrête, la porte de son côté s'ouvre avec le parapluie du chauffeur au dessus de la tête d'Emilia et toi, tu sors de ton côté, t'es juste énervé, tu refermes la porte de la voiture d'un coup, sans rien dire avant d'avancer, mains dans les poches, devant, jusqu'à ce qu'Alberto ouvre la porte Commence pas toi ! L'italien sort de ta bouche, il a compris que tu étais énervé parce qu'il va s'occuper d'Emilia, il a d'ailleurs prévu le peignoir. Il est si gentil et attentionné contrairement à toi, surtout en ce moment. Il enlève la veste avec respect de Lia pour lui passer le peignoir autour d'elle, et l'avance jusqu'à l'ascenseur. Parce que dans ton immeuble, c'est plus drôle d'avoir plusieurs ascenseurs. Et quand toi tu arrives en haut, tu marches jusqu'à la terasse pour finalement sortir une de tes cigarettes et fumer, parce que tu en as plus que besoin actuellement, vraiment plus que besoin.
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Le ton monte, il monte de plus en plus, comme la tension entre vous. T'es furieuse, de ses actes, de ses paroles, t'es furieuse qu'il ait pas ça, qu'il soit aller là bas au lieu de venir te voir. Tu lui en veux, de t'avoir planter, d'avoir fait ça, d'avoir jouer au con. Certes, t'as tes tords, tu veux bien l'entendre, l'admettre, mais c'est pas comme ci toi t'étais allée au milieu des mecs faire n'importe quoi. T'es juste allée travailler. Lui, il est allé dans un club de strip. Et ça, oui, ça, ça te fait mal, ça te mets un coup dans ta fiertée alors dans cette voiture, les mots froids et durs fusent. Les cries ensuite quand tu hurles que tu ne connais pas son numéro par coeur, avec toute ta rage. T'as le coeur qui bat trop vite, tes tempes qui cognent, t'as le démon, comme lui enfaite. On est pas tous Perfect Noah Ferrari. Tu cris, encore une fois, parce que c'est comme ça que toi tu te calmes. Tu vas te flinguer la voix si tu continue. Et quand tu reprends un peu ton souffle, tu sembles comprendre d'un coup, pourquoi. Pourquoi il est énervé contre toi, pourquoi il t'en veut. C'est la douche froide. Il a cru que tu l'avais abandonné, que tu reviendrai pas, que tu étais partie. Un truc anodin pour toi, un départ pour mieux revenir, à été pour lui une forme d'abandon. Tu lui demandes de te confirmer tes dires en te regardant et c'est son regard de glace qui se pose sur toi, un regard à en glacer le sang. Mais ça t'arrête pas, tu parles, tu débites, tu poses des questions toujours aussi furieuse contre lui, contre ses actes. Il te demande de te taire et tu le lâches. Tu enfonces pas le clou, parce qu'enfaite, il vient juste de tout confirmer. En ne le faisant pas. Tu détournes le regard de lui, tu fixes le vide. Tu tente de te calmer, de reprendre tes esprits. Et quand la voiture s'arrête, Alberto est devant ta portière avec un parapluie pour te couvrir alors que Noah se trempe des os. Tu suis le chauffeur docilement. Alberto récupère la veste et te donne un peignoire que tu enfiles, tu le remercie d'un léger sourire mais Noah ne t'adresse toujours pas un mot. Il est monté dans un autre assenseur et une fois en haut, il va dehors, sur sa terrasse fumer. Toi tu le vois de loin. T'as merdé, il a merdé. Vous avez merdé. Et t'as ce sentiment qu'il te pardonnera pas. Tu détournes le regard, en vrai t'as envie de pleurer tellement t'es énervée. Les larmes coulent seules, alors que tu retournes dans sa chambre. Tu piques une chemise dans sa chambre, que t'enfile pour te servir de robe vu que t'as pas d'affaire à toi ici et retrouve ton téléphone par terre dans un coin de la pièce. Tu le ramasse, range le peignoire dans un coin et retourne vers le salon pour ensuite aller à l'encadrure de la porte qui mène à la terrasse Cette fois ci, je te préviens : je rentre chez moi. qu'il retourne voir ses putes ou faire ce qu'il fait dans ces cas là. Toi tu peux pas. Tu peux pas être là, face à lui, fâchée et lui tout autant, tu peux pas. Tu vas juste finir par péter un câble, par tout casser, par dire des trucs que tu veux pas. Vous connaissant tous les deux, c'est possible. Tu te tournes vers Alberto par la suite, lui demandant si il veut bien t'appeler un taxis, parce que comble de tout, ton téléphone est déchargé. Tout ça à cause d'un malentendu de base. Vous vous déchirez comme des cons, pour rien.
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T'es juste énervé parce que tu ne supportes pas d'avoir tord, et tu ne supporterai pas de la perdre une première fois. Et surtout pas plus tard. Tu sais que Alberto va prendre soin d'elle comme de sa fille mais tu te rends compte qu'elle va aussi souffrir de cette colère parce que tu ne supportes pas de l'avoir aussi énervée et aussi mal. Alors tu tires sur ta cigarette et tu ne peux même pas la finir tellement tu es trop énervé. Tu décides de jeter le mégot, tu soupires fortement. Tu serres tes poings, tu prends même sur toi pour éviter de tout envoyer valser dehors, mais tu es calme, faut que tu te calmes, pourquoi est-ce que tu arrives pas à te calmer ? Pourquoi tu arrives pas à prendre sur toi, pour essayer d'être moins énervé. Tu as l'impression que rien n'y fait. Et finalement tu entends sa voix, tu humectes tes lèvres, ta tête se tourne vers elle, tu es comme radoucci, si calme finalement, comme si sa voix t'avait ramené rapidement à la terre ferme, tu la vois, elle se retourne, tu l'observes mais finalement t'es en train de la perdre une seconde fois. Tu soupires une seconde, tu réfléchis encore, bien trop et tu entends le mot taxi, tu t'approches toujours de façon discète et simple Il va te ramener, tu prendras pas de taxi ou de bus ta voix est si calme, si simplement. Et finalement tu vois qu'elle porte une de tes chemises, tu observes la chose puis tu te tournes les yeux vers Alberto. Oui il a remarqué que tu étais bien plus calme que quand tu es arrivé, parce que tu es comme ça, sauf qu'au moment où Alberto décide d'ouvrir la porte pour qu'elle s'échappe de toi, tu fais un pas pour lui prendre la main et la mettre contre toi. Frappe moi je suis un idiot Honnêtement, t'es si proche d'elle, tes mains ont assuré la chose, tu la mises contre toi, tu ne veux pas perdre une seconde fois, tu ne veux pas la voir passer la porte sans toi, non jamais, plus jamais, parce que tu as l'impression d'avoir besoin d'elle là maintenant tout de suite, comme un besoin constant ou un besoin ultime. Tu n'en sais rien, tu ne sais même pas ce qu'elle t'a fait en fait, et tu entends lentement la porte se fermer, tu es face à elle, ton front collé au sien, ta main qui caresse sa joue, tes mains qui le font finalement parce que tu as besoin de sa présence et d'elle petit à petit à devenir accro..
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Tu lui en veux. D'être allé la bas. De pas avoir tenter de discuter une seconde. Tu lui en veux d'avoir jouer les connards et d'être allé dans un lieu pareil. Probablement parce que doucement tu tombe. Sous son charme. Entre ses griffes. Il te fait rire. Il te rend bien. Vous êtes bien ensemble et il fou tout en l'air en allant la bas. Alors tu lui fais une scène sur scène en sortant aussi et dans la voiture tu hurles carrément tu extériorise tout. T'es cris rompent le silence. Ils t'épuisent. Alors tu finis par te tair quand il te le demande. Parce que si tu cris plus vous allez vriller l'un comme l'autre. Tu te la fermes tu regardes le vide et finalement le chauffeur vient s'occuper de toi. Il te couvre de la plus. Alberto te donne de quoi te tenir au chaud. T'essaye de fairz bonne figure de prendre sur toi encore un peu. Mais ton énervement laisse place à la peur et à la tristesse et ce sont t'es larmes qui s'échappent seules quand t'es isolée dans le dressing. Tu enfilzs une de ses chemises attrapé au pif dans son armoire et tu prends le temps de respirer un peu avant de décider de partir. Parce que tu peux rien faire d autres si ? Il veut pas te parler. Il t'en veut au point d'aller voir des putes danser. Mais t'as retenu la lecon. Cette fois ci tu previens. Tu le regardes alors qu'il prend sur lui aussi ton italien. Et ça t'arrache le coeur de te dire que c'est finis. Terminé. Fin. On ferme le livre. Baisse le rideau. Tu regardes Alberto pour lui demander de t'appeler un taxis. Noah revient pas loin de toi en reprenant que tu pars avec son al. Il prefere. Probablement a cause de la tenue. T'as pas la force de te battre encore un peu. Alors tu dis rien. T'attends que Alberto s'exécute. Il ouvre la porte et t'es prête à partir. Incapable de le regarder parce que dans le fond ca te blessé trop de le laisser. Tu t'apprete a faire un pas mais tu sens sa main attraper la tienne. Ton coeur se serre. Et il te reprends vers lui. T'es contre lui même et t'entends ses paroles. La porte se referme alors que sa main caresse ta joue avec douceur. C'est sa manière à lui de s'excuser et tu le comprends. Son front contre le sien au début tub fuis son regard mais tu finis par le regarder dans les yeux. Plus d'animosité de ton côté plus de glace du sien. Tu comprends juste que t'as foutrement besoin de lui dans ta vie. Encore un peu plus. Ou bien pour toujours. Sans lui je crois que tu finiras par te sentir perdu. T'es lèvres se rapprochent un peu plus des siennes et tu viens l'embrasser. Ça te fait du bien. T'en as a besoin pour t'assurer qu'il est bien la. Qu'il t'a pas laissé. Tu l'embrasses comme ci tu l'avais pas vu pendant des mois. Ou bien comme ci c'était la dernière fois. Tes mains se posent sur sa nuque, t'as besoin de le toucher. De le savoir près de toi. Tu vas lui rendre la vie impossible et il est clair qu'il va jouer avec t'es nerfs. Ce type est un idiot. A une différence pres maintenant : c'est ton idiot a toi.
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T'es face à elle, elle va te quitter, elle va se barrer comme l'a fait Olivia, comme l'a fait Anastasia et maintenant elle. Tu vas pas le supporter, non, tu risques juste de faire une scène, encore une scène, et tu seras encore insupportable pendant des semaines. Mais voilà. Tu la vois ne pas se retourner, commencer à partir mais aussi à te quitter et tu peux pas laisser passer ça. Tu lui prends sa main, tu viens la mettre contre toi, tu la regardes, tu la fixe. Tu es un idiot, tu le sais très bien, tu déposes ton front contre le sien, tu ne supportes pas de la voir ne pas te regarder, parce que d'habitude, tout le monde te regarde toi, et seulement toi, tu humectes tes lèvres légèrement jusqu'à tu sentes ses lèvres. Oui ses lèvres pour un baiser si appréciable que tu perds pied en fait, tu sens ses mains et tes mains glissent à ses hanches, tu ne peux pas t'empêcher de l'embrasser, plus et encore plus. C'est trop te demander te lâcher ses lèvres, la lâcher tout court. Mais t'es obligé, tu as toujours les yeux fermés, tu colles de nouveau vos front lentement, tu restes silencieux une seconde puis deux, mais les mots ne sortent pas, ceux du pardon, tes doigts viennent caresser ses lèvres lentement, tu viens lever les yeux vers elle, tu la regardes dans les yeux Tu restes, dis moi que tu restes.. Peur de l'abandon et de l'oubli, Hades le sait et toi aussi mais pas elle, pas celle qui commence à se faire une place ici dans ta vie, même Alberto c'est écarté et il est partit, il sait combien elle est importante à tes yeux, personne n'a le droit à autant d'attention, tu caresses de nouveau sa joue et voilà que tu craques. Tu la serres contre toi, tu fermes les yeux une seconde, tu as besoin d'elle d'une façon différente que les autres, tu as besoin d'elle tout court.
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Tu peux pas rester face à sa haine envers toi. Parce que c'est ce que tu as vu dans ses yeux, une haine tellement intense. Il a cru que tu reviendrai pas, alors il s'est énervé, il a fait de la merde et toi aussi par simple envie de vengeance. Vous avez quel âge sérieusement ? Maintenant c'est comme ci tu l'avais déjà perdue. T'as l'impression qu'il est si proche et si loin à la fois. T'as mal, mal à l'idée de le perdre. T'en as le coeur en miette. Et tu veux juste pas t'effondrer devant lui. Alors tu le préviens juste que tu pars et t'as plus la force de le regarder plus, aussi mal, aussi pas bien enfaite. T'as pas la force d'affronter un nouveau round enfaite. Alors tu le laisses même décider de comment tu vas rentrer alors que le taxis ou le métro te vont très bien. T'es prête à partir et tu le sens, il va pas te retenir. Du moins c'est l'impression qu'il te donne. Alors qu'il est pas loin, à te regarder. La porte s'ouvre et tu t'apprête à emboiter le pas de Alberto. Mais ton corps est retenu, sa main attrape la tienne, il t'attire avec lui, avec habileté et sans animosité. Tu sais pas trop, au début, si vous allez débuter un nouveau combat de cri, mais dans le fond, tu sens que non. A ses paroles, tu comprends qu'il s'en veut. Tu fixe le vide, encore un peu. Tu veux pas le voir mal, à cause de lui et de toi. A cause de vous. Tu veux le voir sourire, parce que son sourire efface tout le reste. Ta colère s'évapore. En un instant elle n'est plus que poussière. Elle disparait complètement. Tes mains glissent finalement vers sa nuque, front contre front, tes yeux reviennent se poser sur les siens et tes lèvres sont trop attirés par les tiennes pour que tu résistes un peu plus. Tu l'embrasses et tu le sens qu'il te rend ton baiser. Il t'embrasse aussi, comme ci vous vous étiez quitté pendant trop longtemps. Tu sens ses mains emprisonner tes hanches. T'as besoin de ça. Pour t'assurer que tout n'est pas qu'un écran de fumée. Pour t'assurer qu'il reste. Tu peux pas lâcher ses lèvres, tu peux pas le lâcher lui. Vous en êtes contraint, de lâchez vos lèvres pour respirer rien qu'un peu et tu le regardes alors qu'il a les yeux fermés. Tu le laisses reprendre ses esprits alors que tu reprends les tiens. Il finit par relevé les yeux vers toi, sans parler au début et finalement, il te le demande, de rester, il veut être certains que tu reste encore. Ses doigts caressent tes lèvres avec douceur alors qu'une de tes mains caresse sa joue avec douceur. Vous êtes tous les deux, vous êtes seuls et tu sens comme il a peur de te perdre. Il caresse ta joue à son tour, avec tendresse avant de te serrer contre lui. Je reste. Je vais nulle part. C'est promis. que tu lui murmure comme un secret entre vous alors que tes bras s'enroulent autour de lui. Serres moi fort. que tu lui demandes, alors que tes yeux se ferment en douceur. T'as ce besoin de le sentir contre toi, encore et encore après avoir cru le perdre définitivement. C'est comme ça. Enfaite, t'as besoin de lui, c'est aussi simple que ça.
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Et ton regard se pose sur elle, juste sur elle, et finalement, tu souris faiblement. Elle est là avec toi, juste toi, bien sur qu'elle soit à un centimètre de toi, tu t'en fous, elle est là avec toi et personne d'autre. Tu viens lentement la serrer dans tes bras et finalement tu ne bouges pas, parce que tu te rends compte que c'est dingue à quel point tu ne peux pas te passer d'elle, comme si sa présence était une chose presque importante à tes yeux, tu caresses lentement sa nuque et finalement tu la relâches, tu humectes tes lèvres instants. Tu es un homme et pourtant tu n'arrives pas à te retenir d'avoir sans doute ce faible sourire de tristesse sur ton visage. Tu l'avais imaginé ce jour où elle partirait, tu l'avais déjà imaginé des dizaines de fois mais pas assez pour réellement le penser réel et tu as failli tout gâcher encore. Alors tu déballes. Je touche personne là-bas, j'y vais juste pour la musique et le whisky et c'est tout, j'ai jamais touché une seule de ses femmes Lia.. forme d'excuses qu'elle va devoir accepter parce que tu t'excuses jamais toi t'es dingue ou quoi ? T'es pas faible comme toutes ses merdes non mais oh. Alors tu ajoutes Et j'ai cru que tu étais parti .. Et j'ai pété un plomb et tu entends Alberto ajouter ce petit un énorme plomb monsieur tu aurais pu le tuer, sauf que tu lui lances simplement un regard noir, enfoiré, mais bon. Tu caresses sa joue doucement, lentement, tu continues parce que tu t'exprimes rarement sur ce que tu ressens Et quand je t'ai vu, ou reconnu, j'ai cru que tu dansais là.. Pour arrondir tes fins de mois alors tu aurais pu me demander de l'aide et aussi parce que j'ai cru que tu le faisais pour .. Me faire chier .. ou me rendre jaloux mais ça sort pas oups. Tu la regardes dans les yeux en souriant doucement, tu étais qu'un idiot, voilà parce que tu discutes pas du tout en fait, tu ne parles jamais avec personne sur ça et finalement tu déposes ta tête au niveau de son épaule, tu restes silencieux, tu as envie de te faire pardonner et tu fais tout pour que ça que tu es calme..
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La tempête semble s'être calmé quand finalement il te touche enfin, pour te retenir de partir. Il te demande de rester et tu restes. Parce que t'es un peu trop mordu. Parce que t'es un peu trop accro. Tu devrais pas. Tu le sais. Mais ca c'est fait tout naturellement. Alors après l'énervement et la fureur, arrive le soulagement de l'avoir à tes côtés. Tu l'embrasse, le coeur qui bat trop fort, trop vite, foutu mélodie du bonheur. Quand elle commence, tu peux plus t'en passer. Il te demande encore une fois de rester et te serre dans ses bras, quand tu lui promets que tu ne partiras pas. Parce que t'as pas envie de partir, t'as envie de rester là. T'as envie d'être près de lui. T'as besoin d'être près de lui. Foutu Ferrari. Il fou ton coeur en vrac. Alors tu lui demandes de te serrer fort dans ses bras, pour t'assurer qu'il est là, qu'il n'est pas parti, lui aussi. Pour t'assurer qu'il reste, quoi qu'il arrive, qu'il n'est pas qu'un mirage. Tu écoutes son coeur battre, les yeux fermés. T'es trop bien dans ses bras pour y renoncer comme ça, pour un coup de tête. T'es espagnole, t'as le sang chaud, et t'es animé de la passion, mais tu es aussi tenace quand tu tiens à quelque chose. Ses caresses sur ta nuque te font du bien. Il finit par te relâcher, doucement et tu relèves le regard, admirant son presque sourire que t'adore finalement. Il commence à parler et tu l'écoutes. Tu te retiens de tout commentaire sur la meuf qui le chauffait, tu veux pas savoir si c'est toujours le cas et tu sens qu'il a pas finit, alors tu le regarde, tu plonges dans l'océan de ses yeux et t'es attentive. T'essaye de comprendre son point de vue et tu peux entendre ce qu'il a imaginé. Il a cru que t'étais partie. Alberto se permet même une légère remarque, mais tu relève pas, t'es captivée par lui. Quand Noah est là, avec toi, il arrive à avoir toute ton attention. Il caresse ta joue avec douceur et t'as ta main posée sur la sienne. Tu te mords légèrement la lèvre quand il parle de faire chier, parce que clairement c'était ton but. Tu regarde le sol, parce que tu sais que t'aurais pas dû. Quand Alberto m'a dit où tu étais ... J'ai ... péter un gros câble ? Vrillée complètement ? Péter une durite ? Un truc du genre ouais ... On peut dire ça comme ça. J'ai cru avoir été une parmis tant d'autres ... une parmi toutes celle qui gravitent autour de Noah, parce que quoi que t'en dise, au bal tu les as vu ces meufs qui le regardait. T'es pas folle. Mais tu te sens tellement conne que t'arrives pas à le regarder Je voulais que tu me vois ... Et te faire chier ... J'ai pas réfléchi ... t'as agis sous le coup de l'impulsivité, sous le coup de la colère, sous le démon de la trahison. Si toi tu es un idiot, alors moi je suis complètement imbécile.. parce que t'as réagis comme une gamine de 5 ans. T'aurais pu entrer et faire une scène mais non, tu voulais sur le coup qu'il te voit et qu'il en voit d'autres te regarder, pour lui montrer que t'avais pas besoin de lui. Mais la vérité est toute autre, t'as un putain de besoin de lui. Tu relèves les yeux vers lui, l'eben de tes yeux dans le ciel des siens Ne m'en veux pas, s'il te plait ... Ne me quitte pas. Parce qu'en ce moment, t'es l'étincelle qui rend ma vie belle. Parce que je me sens bien avec toi. Parce que t'es important pour moi. Voila ce que tu penses et c'est tes yeux qui le disent. Tu attrapes sa main libre et la serre, comme pour lui demander de pas te faire partir après ces révélations.
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