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Broken inside ▲ Kim&Cloé

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Elle me fout les boules, c'te gonzesse. Elle me fout tout en l'air et elle a le culot de me demander de lui faire à bouffer. J'ai envie d'la frapper avec mes petits poings tatoués, mais j'ai pas envie de lui faire mal. J'ai tellement envie de l'envoyer péter fort, que j'ris comme une demeurée. « Tu m'quittes sans un mot, tu reviens, tu m'sautes et j'te fais à bouffer. Si on était dans une série, tu serais un mec moustachu, et moi j'aurai la coupe à la Audrey Hepburn. Tu m'fais pitié avec ton ventre qui gargouille. » dis-je alors, légèrement gavée par la stupidité de ma gentillesse. J'commence à lui préparer son plat quand je l'entends se victimiser. Non mais je rêve ou quoi ? Ca va être de ma faute maintenant ? J'essaie de ne pas exploser une nouvelle fois, mais j'avoue que c'est compliqué. « Tu t'fous de ma gueule là, rassure moi. Sérieux Kim, t'es en train de te poser en victime alors qu'avec le mal que tu m'as fait j'suis quand même là à te faire à bouffer. J'ai besoin de savoir, et t'as pas l'droit de me faire passer pour la méchante parce que j'ai besoin de me poser des questions seule. Tant que tu seras muette, j'pourrais pas te faire à nouveau confiance et m'abandonner encore une fois à t'aimer. Encore une fois, j'avais envie de m'approcher d'elle pour la rassurer, mais c'était à elle de faire ça, pour une fois. J'continuais de préparer tout ce qui allait servir pour faire le plat de lasagnes, ne prenant pas la peine de répondre à ce qu'elle me disait durant un instant. Je fuyais son regard comme je pouvais, la bouche entre-ouverte, hésitante sur ce que je voulais dire ou ne pas dire. Je secouais la tête un instant avant de soupirer. « Je sais que t'en penses pas un mot, m'la fait pas, Kim... J'te connais par coeur, mieux que n'importe qui sur cette terre. T'as peur de te prendre un mur et de faire ça pour rien. Mais dis toi que tous les efforts que tu feras seront utiles, j'te le promet. » lui dis-je alors, en mettant la sauce sur le feu. Je me tournais face à elle en la regardant, en attendant une réaction de sa part.
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Je doutais de mon retour ici à cause de sa réaction et je me faisais engueuler. J'avais besoin de vider mon sac pour le coup. « Cloé, je sais très bien que ça va pas s'arranger du jour au lendemain, mais n'oublie pas que je suis revenue pour toi » Je m'en prenais plein la gueule parce que soit disant je me posais en victime, alors que pas du tout, j'avais juste des doutes. « De où je me pose en victime ? T'as craqué toi, ma parole. Je te fais pitié carrément ? Je te force pas à me faire à manger. D'ailleurs si ça te fait chier autant que ça, te force pas. Je peux le faire moi. Ca aura juste pas le même goût. » un rire silencieux se dessinait sur ma tronche malgré l'énervement. Elle me disait qu'elle ne pourrait pas me faire confiance tant que je ne lui aurai pas expliqué les raisons de mon départ, mais je savais très bien que mes explication sur le sujet ne valent rien dans cette situation, alors à quoi bon en fournir ? Elle ne comprendrait pas. Elle ne comprend pas, d'ailleurs, vu qu'elle s'énerve en disant que j'avais pas le droit de la faire passer pour la méchante de l'histoire. « J'te fais pas passer pour la méchante, putain. Je te dis juste ce que je ressens. C'est pas facile de m'exprimer sur le sujet et j'ai pas envie de le faire maintenant. » Je voulais juste profiter de sa présence, de la voir et de passer un bon moment à ses côtés, mais ça a vite tourné au désastre. On se crie dessus, on s'agresse, et pourtant on s'aime, je le sais. Ca me rend dingue. En me disant qu'elle me connaissait mieux que n'importe qui, je souriais rapidement. Elle n'avait peut-être pas tort, au fond. Et je ne pensais pas qu'elle allait me dire que tous les efforts que j'allais fournir pour la récupérer seraient utiles. « Qu'est-ce qui me garantie que je ne vais pas faire ça pour rien, hein ? Qui me dit que tu vas pas te trouver une meuf et que j'aurai fait tout ça pour du vent ? » lui demandais-je alors, avant de m'en approcher et de planter mon regard dans le sien. « J'veux pas passer plus de temps loin de toi, Cloé. » ajoutais-je simplement, en venant attraper l'une de ses mains.
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Elle a du pouvoir sur moi, peut-être même trop, pour tout avouer. J'voulais pas céder encore et encore, passer pour la fille faible, qui récupère son ex du jour au lendemain, alors qu'elle n'a pas donné signe de vie pendant trois putains de longues années. J'ai pas la vertu des femmes de marins, j'ai pas non plus la connerie d'une Kardashian. J'suis là, face à elle, énervée comme un taureau, alors qu'elle me dit ses petites disquettes à deux balles, comme quoi elle est revenue rien que pour moi, qu'elle se fait pas passer pour une victime et tout le bordel que j'ai limite envie d'abréger le calvaire de cette discussion stérile. Bientôt elle va me dire qu'elle avait pas le choix de partir parce qu'elle a vu une licorne dans un de ses rêves et qu'elle lui a dit de faire le tour du monde sans rien dire à sa meuf, alors qu'en fait c'était juste un kiff qu'elle s'est tapé en solo, pour rencontrer d'autres meufs. « Mais oui, c'est ça. T'es revenue rien que pour moi. Dis plutôt que tu t'es souvenue de moi il y a quelques jours, du genre "Oh merde, j'avais une femme du côté de Cambridge, faut que j'retourne voir si elle est toujours en vie.", mais ça marche pas comme ça, ma belle. J'suis pas le genre de meuf que tu récupères comme ça, en claquant des doigts, c'est trop facile de t'imaginer ça. Alors non, ça va pas être facile de me récupérer, ni de te faire pardonner. Estime toi heureuse d'avoir déjà pu me sauter. » dis-je alors, sur un ton désinvolte. Quand elle se met à rire en disant que si c'est elle qui fait les lasagnes à ma place ça n'aura pas le même goût, je souris parce que c'est vrai que ça risque d'être assez différent. J'm'en tiens au plan de départ, à savoir lui faire à bouffer puis j'me casse de chez elle. Elle dit qu'elle n'a pas envie de se lancer sur ce sujet, sans prendre la peine de comprendre que pour moi, c'est limite vital, d'avoir cette discussion. Mais bon, qu'il en soit ainsi. « Tant qu'on en parlera pas, toi et moi on pourra rien faire. J'préfère que tu te fasse pas des films, parce que je m'en suis assez fait toute seule. Sers moi un verre d'alcool, s'te plait. J'ai besoin de ça pour avaler. » Elle voulait connaitre mes garanties pour qu'elle ne fasse pas ça pour rien. Elle était sérieuse, là ? J'riais légèrement à sa question. « On vient de coucher ensemble, tu crois vraiment que c'était juste en souvenir du bon vieux temps ? J'ai jamais voulu personne d'autre autant que toi, Kim. Faut vraiment que j'me justifie sur les sentiments que j'ai pour toi ? Si tu veux vraiment pas passer plus de temps loin de moi, tu sais ce que t'as à faire. Quand tu seras prête à en parler, j'serai là. » dis-je alors, en montant le plat de lasagne en même temps, pour fuir son regard insistant. « J'finis ton plat et j'm'en vais. » dis-je doucement, la gorge serrée.
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J'avais la haine après elle. Elle était là, à me pourrir. Elle me croyait pas quand je lui disais que j'étais revenue pour elle. Je m'en prenais plein la gueule. Elle est sérieuse, elle croit de la merde comme ça ? « Putain, mais faut que tu te fasses soigner ma pauvre. T'es malade dans ta tête. T'es sérieuse tu penses ça ? J'ai l'impression que tu comprends rien en fait ! Tu crois que je te prends pour une pute ou quoi ? C'est pas le cas, Cloé ! J'ai passé trois ans à ne penser qu'à toi ! » Je lui disais la vérité, et pourtant elle ne me croyait pas. Ca me rendait folle de voir comment elle me considérait si peu sur le moment. Elle se fait des films sortis de je ne sais pas où. Je ne voulais juste rien lui dire pour le moment, car je ne trouvais pas les mots pour m'expliquer. Elle me demande un verre d'alcool pour mieux avaler mon silence, et le pire c'est que c'est la seule chose que je peux lui offrir aujourd'hui. Alors je sors la bouteille de vodka pour lui servir son verre. « Désolée de ne rien vouloir te dire aujourd'hui. J'trouve pas les mots pour m'expliquer, c'est tout. Je n'arrive pas à m'expliquer. Mais tu le sauras bien assez tôt. » dis-je alors, simplement, comme seule raison à mon silence. Je sens qu'elle me déteste, et ses mots me donnent une légère lueur d'espoir. Elle disait qu'elle n'avait jamais voulu quelqu'un plus que moi, et que quand je serai prête à parler, elle m'écoutera. Puis elle me dit qu'elle allait finir de cuisiner avant de partir. Je soupirais longuement, partagée par l'envie de tout lui dire, et la peur de mal lui dire. « Je ne pourrais pas t'empêcher de partir si c'est vraiment ce que tu veux. Je peux juste avoir ton numéro, pour quand je voudrais te parler de tout ça ? demandais-je, honteuse.
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Je l'aime à la haine, je n'ai pas d'autres mots pour décrire ce que j'ressens pour elle. Pourtant, il devrait y avoir un tas d'adjectifs. Mais non, les seuls mots que j'parviens à lier se sont l'amour et la haine. J'la déteste de me laisser dans l'incompréhension comme ça, alors qu'elle et la seule à avoir une explication plausible à son départ. Moi, je n'ai que les scénarios que j'me suis montés ces trois dernières années et que j'continue à bâtir face elle. Elle dit que j'suis folle, que j'devrais me faire soigner. Elle a peut-être raison, mais elle peut pas imaginer la réalité d'ma vie alors qu'on en a pas parlé. Elle sait pas ce que j'me suis imaginé, ce que j'peux encore imaginer alors qu'elle est face à moi. « Tu crois vraiment que j'suis cinglée, Kim ? T'as déjà pensé à ce que j'pouvais ressentir, au lieu de jouer les égoïstes comme tu fais ? Tu m'as même pas posé la question une seule fois. Tu penses juste à tes justifications secrètes, sans même imaginer une seule seconde le calvaire que c'est pour moi. » répondis-je comme unique justification à ma réaction, peut-être disproportionnée. Mais je n'ai pas fait semblant de l'aimer ou non. Je ne la prends pas pour une pute, comme elle dit, mais pour une simple égoïste qu'elle se montre. J'suis exaspérée par son comportement, malgré tout l'amour que j'lui porte. Elle m'explique qu'elle n'arrive pas à s'expliquer sur son départ, ce qui a le don de me rendre dingue dans mon fort intérieur, mais j'fais la meuf compréhensive en façade. J'la regarde, de haut en bas, prenant soin de mémoriser chaque partie de son être, avant de soupirer. Qu'est-ce que j'pouvais bien dire au fait qu'elle s'excuse de ne pas réussir à s'expliquer ? « Okay, j'te laisse un peu de temps pour t'expliquer. Mais j'vais pas t'attendre encore un an. Trois années sont bien suffisantes comme ça. » J'étais blasée, presque forcée de dire ces mots. J'étais contrariée, parce que j'savais que ces explications pouvaient arriver dans quelques heures comme dans quelques mois, et j'avoue que le fait qu'elle me retienne pas m'effrayait un peu plus. Dans un élan héroïque, j'répondais « C'est pas ce que j'veux, Kim. C'est ce que tu me pousses à faire. Et ouais, j'vais te le donner, donne moi de quoi te le noter... » J'étais triste qu'elle ne me retienne pas, parce que j'avais pas envie de l'abandonner, malgré le mal qu'elle avait provoqué en moi. Elle me tendait son téléphone, dans lequel j'enregistrais mon numéro, au douloureux nom de Cloé.
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Je ne l'avais jamais vue comme ça. Elle me balançait des tas de choses à la gueule, comme quoi j'étais égoïste et que je ne pensais pas à ce qu'elle avait vécu. Je me suis beaucoup posé la question, avant de revenir, et pourtant, je suis là, à me demander comment lui avouer toutes ces choses. Je baisse les yeux, parce qu'elle n'a pas forcément tort. Je suis un peu égoïste de ne pas réussir à lui dire ce que j'ai en moi, avec tout le mal que je lui ai fait en mon absence. « Alors dis moi tout ce que t'as ressenti, tout ce que tu as traversé, combien tu m'as détestée… » demandais-je honteusement, sans oser affronter son regard. Elle aurait raison de me détester, j'imagine. On se fait bien plus de mal en une discussion qu'en trois ans où on était ensemble, et trois ans où nous ne l'étions plus. Elle me dit qu'elle me laisse du temps pour lui fournir mes explications, mais qu'elle m'attendrait pas un an de plus. J'hochais simplement la tête, ne trouvant rien à dire pendant un instant. « Quelques jours suffiront, ne t'inquiète pas.. » Puis elle m'ouvrait son cœur, en disant que partir n'était pas quelque chose qu'elle voulait, mais qu'elle se sentait forcée de faire. Je lui tendais mon téléphone pour qu'elle enregistre son numéro, et quand je le récupérais, je voyais qu'à son nom était écrit un simple Cloé. « Si tu veux bien rester je serais la plus heureuse, tu sais… » dis-je simplement. J'avais pas envie de la voir partir, c'était trop douloureux à imaginer.
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Je ne m'attendais pas à ce qu'elle me demande de lui dire toutes les choses que j'avais pu ressentir pendant trois ans. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle me dise de tout lui dire. J'restais bouche bée un instant, comme si ça allait me laisser le temps de réfléchir comment tout mettre en ordre. « J'ai jamais su te détester, j'ai jamais cessé de t'aimer, une seule seconde. Même quand j'étais avec d'autres, dans mon esprit il n'y avait que toi. J'ai cru que j'allais mourir quand j'ai compris que t'allais pas revenir. J'ai voulu m'foutre en l'air, j'ai sombré dans la drogue, l'alcool. Tout ce que tu voulais m'éviter toutes ces années, j'suis tombée dedans, et j'y suis encore.Si j'avais su où tu étais, j'aurai traversé la terre entière à la nage ou à pieds s'il le fallait. Mais j'savais rien. J'en ai trop dit. » terminais-je par dire, avant de fuir son regard. J'pouvais pas affronter sa pitié, si jamais elle en ressentait. C'était horrible de me mettre à nue comme ça. J'trouvais bien plus facile le fait de retirer mes fringues. Elle me disait ensuite que quelques jours suffiront pour qu'elle parvienne à me dire ces choses qu'elle me cache. J'hochais la tête, en guise d'accord pour ce procédé, sans dire un mot de plus. Elle voulait que je reste, mais j'pouvais pas. Je secouais la tête, avant de vérifier la cuisson du plat dans le four. « J'peux pas, Kim... Désolée... » dis-je en éteignant son four, avant de me diriger vers la porte. « A bientôt, peut-être. » Ma gorge était serrée quand j'ouvrais la porte de son appartement, et en la fermant derrière moi, je m'effondrais.
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Je l'écoutais parler, me dire qu'elle n'avait jamais su me détester et jamais cessé de m'aimer, que dans toutes ces histoires elle ne pensait qu'à moi. Même si ça me faisait chier qu'elle parle de ses relations passées, je ne lâchais pas une seconde mon attention envers elle. Elle m'avouait qu'elle avait voulu se foutre en l'air, et ça me brisait le cœur. Elle a sombré dans tout ce que j'ai toujours tenté de l'empêcher de faire. Elle a sombré dans ce que je ne voulais pas qu'elle voit de moi . C'était de ma faute, j'ai failli à mon devoir en l'abandonnant. Elle disait aussi que si elle avait su où j'étais, elle aurait tout essayé pour me rejoindre. Je voyais qu'elle tentait de fuir mon regard, et ça mettait un chaos pas possible dans ma tête. J'avais envie de la serrer fort dans mes bras, mais j'avais peur d'être rejetée. Alors je gardais la tête basse, encore plus honteuse que la fois d'avant. « J'suis désolée, Cloé… J'voudrais tellement pouvoir t'aider à te sortir de là… J'aurai jamais dû te laisser, j'le regrette tellement, maintenant. » Je savais qu'elle allait me dire que c'était trop tard, qu'on ne pouvait pas revenir en arrière. Pourtant, je le pensais réellement, et ça depuis mon départ. Elle me disait qu'elle ne pouvait pas rester et qu'elle était désolée. Les larmes aux yeux, j'hochais la tête. Je peux bien comprendre qu'elle ne se sente pas prête à rester avec moi, même si ça me fait du mal. Mais le pire, c'était de la voir quitter mon appartement. « A bientôt, Cloé… Je t'aime. » murmurais-je finalement, quand elle refermait la porte derrière elle. Je me sentais vide.
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Cette mise à nue m'a complètement achevée, et je sentais cette pitié dans son regard, ce qui me foutait hors de moi. J'veux pas de sa pitié, j'veux pas de ses excuses à deux balles ou j'sais pas quoi. J'veux rien de tout ça, j'aurai juste aimé qu'elle soit là, qu'elle ne m'abandonne pas. Seulement, j'peux rien faire pour revenir en arrière. « Les regrets ne changent rien, Kim. J'suis dépendante à toutes les merdes que tu touchais avant, sauf l'héro, à cause de tout ça. J'm'en sortirais, un jour. » dis-je d'un ton froid, alors que j'avais envie de me consoler dans ses bras. Il fallait que j'sois forte. Avant de quitter son appartement, je l'entendais murmurer qu'elle m'aimait, mais je ne répondais pas. Ca m'arrachait le coeur, mais je ne devais pas céder devant elle. Une fois dans le couloir du bâtiment, en larmes, je murmurais que moi aussi je l'aimais, avant de quitter les lieux pour retourner à la Mather House, où je m'enfermais toute la journée.
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