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Broken inside ▲ Kim&Cloé

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Putain, à quoi elle joue ? Elle sait pas que, si on se retrouve seules, j'vais pas pouvoir lui résister ? Que je vais forcément vouloir être près d'elle, ne pas la lâcher et que j'vais pouvoir tout lui pardonner ? Ca me fait peur, finalement. Mais je sais que, si elle ne veut pas rester dans un lieu public, c'est parce qu'elle veut être vraiment honnête avec moi, et que sans sa barrière de sécurité, elle va se bloquer et se murer dans le silence. Elle n'avait pas besoin de m'amadouer à coup d'alcool, il n'est que neuf heures du matin. « J'commence à picoler qu'à partir de midi, j'ai des principes des fois. » dis-je en riant légèrement. Je réfléchissais un instant, regardant autour de moi, le temps que mon coeur et mon esprit se mettent d'accord. C'était mal barré, l'un voulait garder de la distance avec elle, et l'autre avait juste envie d'être contre elle. Mais quand je la regarde, tout devient plus clair. J'ai envie de la suivre, pour avoir mes explications, pour pouvoir m'abandonner dans ses bras, laisser enfin à mon coeur un peu de répit. « J'te suis. J'te connais et je sais que tu me diras rien si tu te sens pas sécurisée. Et j'ai perdu assez de temps sans toi pour en rajouter. » A vrai dire, il fallait que je lui dise aussi ce que j'avais fait en son absence. Les filles d'un soir, Echo, ma dépression, mes tatouages qu'elle ne voit pas sous mes fringues, les nombreuses nuits sans sommeil, les cicatrices invisibles. Et ces photos que j'ai gardées, dans une petite boîte inconnue de tous, cachée sous mon lit et que je sors quand je pense trop à elle, depuis trois ans. Ces moments de complicité, de folie, d'amour, que je croyais perdus à jamais, comme elle. J'attrapais sa main, par envie d'être à nouveau liée à elle. « Tu m'emmènes ? »
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Elle me faisait comprendre que je n'avais pas réussi à l'amadouer avec la vodka, mais j'ai du réussir avec mes yeux de chaton vu qu'elle acceptait de me suivre jusqu'à mon appartement. J'avais ce lieu de vie depuis 2 jours et à l'intérieur j'avais un seul carton à déballer, avec quelques affaires importantes comme certains papiers, puis quelques fringues, mais rien de plus. Après trois ans à vivre sans domicile fixe, sans machine à laver selon le pays où j'étais et juste avec un gros sac sur le dos, il fallait que je me remette dans le bain. D'ailleurs j'avais bien pris soin de prendre un appartement avec une grande baignoire d'angle où je pourrai facilement rentrer accompagnée dans celle ci. Elle me disait aussi qu'elle avait assez perdu de temps sans moi et qu'elle ne voulait plus que ça dure « Tu me connais mieux que personne, j'ai l'impression que tu te souviens de tout. Mais avec ce que je t'ai fait je suppose que tu n'es pas restée sage tout ce temps.. Je me demande bien ce qu'il s'est passé dans ta vie pendant ces trois années. Vu la quantité de choses qu'on a à se raconter, je pense qu'on va manger ensemble ce midi, si tu veux bien. » J'avais envie de passer un maximum de temps avec elle et ça faisait 3 ans que je n'avais pas été au restaurant. Et même si elle acceptait de m’accompagner, ça serait comme un fast-food entre amies, juste histoire que je mange un vrai super repas, comme ceux qu'on mangeait ensemble à l'époque. Elle prenait ma main et me demandait de l'emmener. C'est avec plaisir que je serrais sa main dans la mienne en lui disant « Je te lâcherai plus jamais. » J’accélérais le pas pour arriver plus vite à l'appartement. On passait dans une petite rue et une envie me passait par la tête. Je la plaquais alors contre le mur, toujours avec sa main dans la mienne et mon autre main venait se poser dans son cou. Je venais lui déposer un petit smack sur ses lèvres avant de dire « J'en avais envie, désolée mais tu m'as trop manquée. » Le bisou que je venais de lui faire était spontané, je n'ai pas réfléchi plus d'une seconde avant de le faire. On avait l'habitude de faire ce genre de choses n'importe où, n'importe quand. C'était même devenu un jeu entre nous pour surprendre l'autre au moment où elle s'y attendait le moins, et là, même moi je ne m'y attendais pas. Je la regardais, collée contre ce mur et ses yeux me faisaient fondre. Je bloquais quelques secondes, perdue dans son regard.
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Quand je la regarde, je deviens dingue. Elle est tellement belle, tellement elle, avec une telle prestance dans son genre, et ses lèvres, pulpeuses à souhait, même camouflées sous une petite couche vermillon. Je réapprends les contours de son visage, la forme de son corps avec mes yeux. Tous mes sens sont en éveil, et je sens presque le rouge me monter au teint. Mon dieu que je l'aime, cette petite conne. Elle m'avait convaincue de venir chez elle pour discuter, mais plus ça avançait, moins j'avais envie de parler et plus j'voulais me blottir contre sa peau et sentir son coeur battre. Mais il fallait qu'elle me dise qu'elle savait que je n'avais pas attendu tout ce temps après elle pour me mettre mal à l'aise. Je soupirais un instant, tirant sur ma clope. « Bien sûr que j'me souviens de tout. De ton plat préféré, de la musique qui te transporte ailleurs, de tes points forts...» dis-je avant de poser mes mains sur ses hanches et de les serrer un peu. « De tes points faibles, aussi...» murmurais-je au creux de son oreille, que je venais mordiller légèrement, avant de me reculer. J'essayais de fuir un temps la discussion sur ce que j'avais bien pu faire en son absence, parce que je n'avais pas envie de vraiment savoir ce qu'elle avait bien pu faire pendant ce temps non plus. Mais c'était reculer pour mieux sauter, j'en étais consciente. Il fallait que je l'avoue. « C'est vrai, j'ai eu quelques aventures, dira-t'on. Rien qui ne soit réellement sérieux, en tout cas. J'pouvais pas m'engager. Si tu veux, j'peux te préparer mes lasagnes. » Je savais qu'elle en raffolait, à l'époque. Peut-être que maintenant qu'elle a fait un tour du monde, elle va plus trop les kiffer, mais c'est le geste qui compte, on va dire. J'accepte d'aller chez elle, de manger avec elle et en plus j'lui propose de lui faire à bouffer. Je suis un peu maso, il faut croire. Quand elle me disait qu'elle ne me lâcherait plus jamais, je sentais mon coeur s'emballer, tant j'espérais que ce soit vrai. Je la suivais jusqu'à cette ruelle où elle me plaquait contre le mur, à ma grande surprise. Ca me rappelait un tas de souvenirs, de toutes les fois où on avait su se surprendre. On était des adolescentes un peu dingues, complètement amoureuses l'une de l'autre, qui n'en avaient rien à foutre des gens et des répercussions que ça pouvait engendrer. Adossée à ce mur, je la regardais droit dans les yeux, et je sentais en moi un élan de fougue que je ne me connaissais pas. Je brûlais d'envie pour elle. Je me consumais d'amour. « On y va ? » lui demandais-je, d'une voix rauque, serrée par ce désir fougueux de l'embrasser comme jamais. Ne cède pas, Cloé, me disait ma raison.
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J'étais follement amoureuse. Elle me disait qu'elle se souvenait de tout, de mon plat préféré jusqu’à la musique que je kiffe. J'étais heureuse qu'elle soit avec moi. Elle posait ses mains sur mes hanches pour me mordiller doucement l'oreille en me disant qu'elle connaissait aussi mes points faibles. « Oh putain » J'étais choquée de ce que je venais de dire tellement c'était naturel et j'étais étonnée qu'elle se souvienne de ce détail, mais en même temps aux anges. Un frisson énorme venait sur tout mon corps et une envie de la dévorer tout de suite maintenant contre le mur de cette rue me traversait l'esprit, mais bon je vais rester sage au moins jusqu'à mon appartement « Ca va pas de me faire une chose pareille.. » Je devais rouge tomate et j'avais envie d'elle comme jamais. Un léger rire venait casser ce moment de gêne. J'étais heureuse qu'elle me propose de me préparer ses lasagnes. Je raffolais complètement de sa cuisine, et ce plat là c'était juste aussi puissant que notre amour. Mais j'étais moins contente d'apprendre qu'elle avait eu quelques histoires en mon absence, même si je n'étais pas si étonnée que ça, finalement. Cloé est une fille magnifique, et je défie tous ceux qui oseront dire le contraire. Puis, je n'étais pas blanche comme neige, non plus. « Ta plus longue histoire, c'était combien de temps ? Et je serai ravie de manger tes lasagnes... » J'étais un peu triste sur le moment, mais le plus important, désormais, c'était elle et moi. Je voulais la retrouver, comme avant. Repartir de là où on s'était arrêtées. Et dans cette ruelle, la tension était à son maximum. Je sentais dans son regard cette envie qu'elle avait de m'aimer, peut-être autant qu'elle me haïssait. Sa voix serrée la trahissait. « On y va... » répondis-je alors, attrapant à nouveau sa main dans la mienne pour aller en direction de mon petit appartement. Arrivées devant la porte du bâtiment, je me mettais devant Cloé, avec un léger sourire. « Y'a pas grand chose, tu sais. Juste le strict nécessaire, et un carton de fringues posé par terre. » dis-je en ouvrant la porte, pour la faire entrer dans l'appartement. Je ne lâchais pas sa main pour autant.
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Je connais tout de cette fille. Tous ses points faibles, ses souffrances, les sujets à éviter, ses craintes. Et pourtant, je ne m'attendais pas à une telle réaction de sa part, aussi naturelle et qui sortait du fond de son coeur. Je regardais ses bras, constatant l'effet que ça lui avait procuré. Visiblement, c'était un frisson énorme, et personne durant ces trois années ne lui avait fait ce genre de choses. Au moins, je gardais un brin d'exclusivité sur son corps. Elle était rouge pivoine en me disant que j'étais dingue de lui faire un truc pareil, ce qui m'amusait vraiment. Un rire sortait d'entre mes lèvres en la voyant dans un tel état, un rire visiblement communicatif étant donné qu'elle riait elle aussi. J'avais été honnête avec elle, lui disant de but en blanc qu'en trois ans, j'avais vécu quelques histoires, plus ou moins sérieuses mais sans plus. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle me demande combien de temps avait durée ma plus longue relation depuis son départ. Je réfléchissais un instant, faisant le compte de tout ça, et je me rendais compte que ma plus longue relation était avec Echo. « Presque quatre mois. C'est moi qui suis partie, et depuis elle veut plus me voir. » répondis-je simplement sur le sujet. Je ne voulais pas m'étaler là-dessus. Je venais jeter le mégot de ma cigarette à mes pieds pour l'écraser, avant de baisser les yeux. « Et toi, j'suis persuadée que t'as pas passé ces trois ans comme une bonne soeur... T'as eu combien de relations, sans mentir ? » En posant cette question, je sentais mes doigts se crisper dans sa main. J'avais peur de la réalité, de me dire qu'en plus de m'avoir laissée là comme une merde, elle s'est éclatée dans les bras de filles de toutes les origines possibles, qu'elle leur a dit des tas de belles choses qui avant, n'étaient réservées qu'à moi. C'est à cet instant précis que je me demandais qu'est-ce qu'on était, réellement. Des exs, des meufs dans une relation compliquée, ou si on avait été infidèle l'une et l'autre. C'était compliqué de discerner ce qu'était cette relation. Et dans cette ruelle, je faisais du mieux que je pouvais pour lui résister. Je la regardais, avec ce feu ardent dans le regard, un mélange de haine et d'amour, de désir et de dégoût, et les lèvres entre-ouvertes, le souffle saccadé. Elle se reculait pour prendre ma main, et je me sentais respirer à nouveau. On marchait silencieusement jusqu'à chez elle, où elle m'annonçait que son appart' était équipé du strict minimum, ce qui m'amusait. Sans un mot, je la suivais pour constater qu'en effet, il n'y avait pas grand chose. « C'est... pas très rempli ? » dis-je en riant, avant de l'attirer vers moi pour l'embrasser comme je le désirais depuis la ruelle. T'es foutue, Cloé, répétait inlassablement ma raison.
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On se dirigeait vers mon appartement et après un petit moment de réflexion, elle me répondait que sa plus longue relation pendant mon absence était de 4 mois. De là, je lui lançais un regard assez jaloux car ma plus longue relation a durée 3 mois et j'étais à la fois contente de savoir que du coup elle pourrait pas m'en mettre pleine la tronche à cause de ça. Je savais bien qu'elle allait me poser des questions sur ce que j'avais fait pendant mon voyage, combien de copines j'avais eu et combien de temps ça avait duré. Ca n'a pas loupé, une fois qu'elle m'avait dit que son ex ne voulait plus lui parler, ce qui m'arrange énormément, elle me demandait combien de relations j'avais eu « Ca dépend si tu parles d'un soir ou de "vraie relation". Dans tout les cas, ma plus longue relation a été plus courte que la tienne. » lui lançais-je en pleine tête, un peu jalouse. « Je te dirais tout ce que tu veux savoir, Cloé. Mais on a perdu beaucoup de temps à cause de moi, et tout ça fait parti du passé maintenant, et toi tu es mon avenir.» Je venais de dire qu'elle était mon avenir, enfin je l’espère car seul le temps nous le dira. On rentrait dans l'appartement et elle me rappelait que c'était bien vide chez moi avant de m'attraper pour m'embrasser. Je ne m'y attendais pas du tout, mais qu'est-ce que c'était agréable ! Je ne rompais pas ce baiser, bien au contraire. Je l'entrainais plus vers le canapé pour pouvoir nous mettre à l'aise. Je posais ma main sur sa nuque et rendais ce baiser bien plus passionné, avant de l'arrêter doucement. « Tu m'as manqué, putain. Qu'est-ce que je t'aime. » lui dis-je alors, en l'embrassant à nouveau.
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Quand je lui annonçais que j'avais eu une relation de quatre mois, je voyais sa jalousie qui transperçait son regard azur. Je me sentais honteuse à l'idée de me dire que, peut-être finalement elle n'avait rien fait de son côté, que j'étais la salope de l'histoire. Mais ma culpabilité se dissipait assez vite, quand elle me disait qu'elle avait eu une relation qui avait durée moins que la mienne, mais qui a tout de même existée. Mes mâchoires se serraient malgré tout, sentant bien que c'était un reproche de sa part. « Combien de temps, où, est-ce que t'étais attachée à cette p...fille ? » demandais-je, dans un élan de jalousie assez puissant. Ca me foutait les boules qu'elle se soit amusée alors qu'elle m'a abandonnée. Mais elle savait manier l'art de l’ascenseur émotionnel avec brio, quand elle me disait ses beaux discours, comme quoi j'étais son avenir. C'est assez cynique, comme situation. Être à la fois le passé et l'avenir d'une personne est un paradoxe rare, et pourtant bien réel dans cette situation. Je baissais les yeux, sincèrement touchée par ce qu'elle disait. « J'espère l'être, et que tu ne te sauveras pas encore une fois. J'avais la mort dans l'âme en disant ces mots. Je m'étais trop souvent bercée d'illusions qui au final n'ont rien à voir avec la réalité. En l'embrassant, toutes mes pensées s'envolaient, j'étais bien, heureuse, comblée. Je me sentais désirée, aimée, importante à ses yeux. Plus rien n'avait d'importance en dehors de nous deux, de nos retrouvailles. Elle cessait un instant de m'embrasser pour me dire que je lui avais manqué et qu'elle m'aimait. « Moi aussi je t'aime, mon amour... » ai-je à peine eu le temps de dire avant qu'elle ne m'embrasse à nouveau. Mes mains se baladaient sur ses bras nus, remontant dans sa nuque, se laissant tomber sur ses hanches , pour venir se glisser sous son haut, pour sentir sa peau sous mes doigts.
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Je venais de lui dire que j'avais eu une relation plus courte que la sienne et j'ai remarqué directement une réaction de sa part. Elle me demandait combien de temps ça avait duré dans quel pays c'était arrivé et si j'étais attachée à cette fille. « Je vais être franche avec toi. Ça a duré 3 mois et je n'arrivais pas a m’attacher à elle. A chaque fois que je fermais les yeux, c'est toi que je voyais, donc j'ai préféré tout stopper avant qu'elle ne s'attache à moi. Le lieu on s'en fout, c'était imprononçable de toute façon. Cette fille est complétement sortie de ma vie. Et toi, pourquoi t'es restée quatre mois avec ta pute ? » J'étais jalouse, j'avais peur qu'elle m'oublie aussi vite que j'étais partie mais je ne pouvais pas lui demander de m'attendre. Elle m'envoyait un pic en me disant qu'elle espérait que cette fois ci je ne me sauve pas encore une fois. « Je ne partirai plus mon ange, je te jure que je vais rester près de toi » J'étais blessée quand je voyais à quel point elle avait peur que je parte à nouveau et que je lui fasse du mal. Je m'attendais pas à une réponse quand je lui ai dit qu'elle m'avait manquée et que je l'aimais, et pourtant quand elle m'a répondu "moi aussi je t'aime mon amour" je me retrouvais sur le cul. J'avais l'impression de ne jamais être partie. Elle était face à moi, en train de me dire qu'elle m'aimait et que j'étais son amour. Putain, je ne mérite même pas une fille comme elle, me dis-je dans ma tête. Je venais l'embrasser à nouveau et je sentais ses mains se balader sur mon corps jusqu’à ce qu'elle les glisse sous mon t-shirt. Je reprenais le contrôle de la situation en l'allongeant sur le canapé, mon corps au dessus du sien. Je glissais ma main sous ses vêtements pour caresser sa poitrine qui m'avait horriblement manquée et je venais encore plus près pour l'embrasser langoureusement dans le cou. [color=Crimson] « Tu me rend dingue. Je suis folle de toi, chérie. » lui murmurai-je doucement a l'oreille, avec de l'amour plein la tête.
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Je crevais de jalousie, d'envie, de haine, d'amour, de dégoût et tout un tas d'autres émotions divergentes. C'est assez horrible, en fait, parce que je ne sais pas quelle partie de mes émotions contrôle, ni celle que je dois écouter. Quand elle répondait à ma question, ça restait assez vague. Aucun prénom, juste une durée, pas de lieu, un simple oubli de sa vie. Puis elle gerbait sa haine quant à ma relation avec Echo, la traitant de pute. Je ne la vois pas comme telle, personnellement, mais au pire, elle fait ce qu'elle veut. « Elle s'appelle Echo, elle est sur le campus. Ca va faire un an qu'on s'est séparées, et si j'étais avec elle, c'était parce qu'on s'amusait bien. On est dans la même confrérie, mais on s'calcule pas. C'est tout ce que t'as à savoir. » répondis-je simplement à sa question, presque gavée de devoir me justifier d'avoir essayé de combler son abandon. Elle disait qu'elle ne m'abandonnerait plus, mais je ne préfère pas m'emballer. Je connais les discours dans le genre, maintenant. Toutes ces fois où elle me disait que j'étais toute sa vie, qu'elle ne comptait pas m'abandonner, jamais. Pourtant, elle l'avait lâchement fait. Je détournais le regard, sans un mot, avant de murmurer seulement « Si tu l'dis... » Au fond de moi, seul l'espoir que ce soit vrai restait éveillé. Puis les choses prenaient une tournure plutôt inattendue. Du moins, ce n'était pas la raison pour laquelle j'étais là. On se retrouvait, se redécouvrait. Plus rien n'avait d'importance, finalement. Elle et moi, nos corps qui s'aimantaient. Je voulais qu'on s'aime avec passion. Je ne disais rien, laissant mes sens à l'abandon, pour une étreinte charnelle.
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Cloé me racontait rapidement son histoire avec cette meuf qui s'appelle Echo. Et franchement, ça me fout grave les boules. Mais le pire, c'est quand elle termine par son foutu "c'est tout ce que tu as à savoir". Alors là, elle m'a remontée comme une pendule. Elle est sérieuse ? Elle a essayé de m'oublier dans les bras de sa pétasse et c'est tout ce que j'ai à savoir ? Je suis sur le point d'exploser. « Comment ça c'est tout ce que j'ai à savoir ? Tu te fous de ma gueule là, j'espère. Tu vas me dire que t'as passé 4 mois avec elle et que t'en avais rien à foutre ? Et c'est quoi ton truc là, de "on s'amusait bien ? Tu me mets la haine, Cloé ! » Plus je parlais, plus mon ton montait. J'avais limite envie de la foutre dehors. Elle osait me dire un truc pareil, non mais allo, je suis tombée où, là ? Je respirais longuement pour essayer de me détendre. Je l'entendais murmurer à ma remarque, comme quoi je n'allais plus l'abandonner. Je soupirais. J'étais sincère avec elle, et je n'avais jamais voulu la faire souffrir. Mais je me rends compte que c'est tout ce que j'ai réussi à faire ces trois dernières années. « Oui, je te le dis... » répondis-je alors, avant que les choses ne dérapent. C'était une sensation de bien-être total, énorme. J'étais comblée de la retrouver, et de me retrouver étendue à ses côtés, après ce moment de communion parfaite entre deux êtres qui se désirent et qui s'aiment. Allongée près d'elle, je disais seulement un mot. « Wahou. »
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