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Leviel ♡ i want you close

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i want you close // Leviel ♡   ※※※ Il le prenait clairement de travers, il n’y avait sûrement pas de raison, il n’en savait trop rien, dans tous les cas c’était comme ça et il se renfermait tout simplement. C’était un gamin dans le fond, mais il était un autre avec elle, il n’avait jamais autant respecté une femme avant elle, même avec sa sœur ça n’avait pas été comme ça parce qu’il avait été plus jeune et plus con. Là, il agissait sans se prendre la tête, c’était presque naturel avec la jeune blonde et dans le fond ça lui faisait juste du bien. Ael pourrait reprendre son comportement de connard qui se fou des autres, ce mec sans cœur qu’il assumait être, totalement. Il baisait tout ce qui bouger, tout le monde était au courant et pourtant, il avait une femme plus que magnifique devant ses yeux et il ne faisait rien. Ses yeux avaient été restés planter dans les siens dès qu’il s’était reculé après l’avoir embrassé. Franchement, il ne comprenait rien et il détestait encore plus le fait que la blonde foutait un peu – voir beaucoup trop même le bordel dans sa tête. Le jeune brun finissait par prendre ses affaires avant de finir sous une douche, il devait le faire parce qu’il travaillait ensuite, parce qu’il ne pouvait pas rater une soirée de boulot surtout pour ce genre de connerie. Ses mains glissaient sur son visage doucement avant de soupirer doucement et d’être surpris en sentant les mains de la blonde et surtout son corps contre le sien. Qu’est-ce qui se passait dans sa tête sérieusement ? Mais il la laissait faire, sans rien dire, juste en profitant parce que pour le coup, il aimait bien sentir ses mains sur sa peau comme ça, sentir son corps contre le sien puis surtout que ça venait d’elle donc il n’avait clairement pas besoin de se sentir coupable ou de se dire qu’il l’avait forcé à faire quelque chose qu’elle ne voulait pas. Ael finissait par prendre une des mains de la jeune mather pour la prendre avec la sienne et l’amener à ses lèvres pour déposer ses lèvres tendrement dessus après l’avoir écouté. Putain il était beaucoup trop tendre là non ? « Qu’est-ce que tu veux savoir ? » Il était en train de lui donner cinq minutes là alors qu’elle en profite le plus possible parce qu’ensuite, il deviendrait le mec qui n’ouvrait pas ses pensées aux autres, le mec qui était bien trop mystérieux pour qu’on arrive à réellement savoir ce qu’il pouvait penser et même si c’était un peu délicat dans ce genre de position qu’importe. C’était plus facile sans être en face d’elle en fait. « T’as envie que ce soit grave ou pas ? C’est surtout ça la question. » Est-ce qu’elle avait envie de s’attacher à lui malgré tout ? Elle était là, la question parce qu’il lui avait dit, peut-être qu’elle pourrait foutre en l’air toutes ses croyances.
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Ses lèvres qui déposent un nouveau baiser sur ta main. Tu es si bien, comme ça, juste comme ça. Contre lui, la chaleur de son corps qui se dégage autour du tien. Comme un baume apaisant pour ton âme délicate. Tu aimerais rester comme ça, tout le temps, sans bouger, juste vous deux, sans personne d’autre pour vous faire chier. Vos deux corps l’un contre l’autre et votre chaleur pour vous maintenant en vie. C’est peut-être un peu extrême, ouais. Mais t’en as rien à foutre, tu es juste bien, un sentiment de sécurité si rare en toi depuis trop longtemps. qu’est-ce que tu veux savoir ? Il est réellement en train de faire ça ? De t’offrir des réponses à des questions ? Un rire nerveux sort d’entre tes lèvres, un court souffle chaud qui s’estompe sur la peau de son omoplate. Sérieusement ? Profite de cette putain d’occasion. Tu te sers un peu plus entre tes bras, ton torse féminin qui s’écrase dans son dos, toujours un peu plus. Qu’est-ce que tu veux exactement ? Je veux dire avec moi. On va se tourner autour et s’envoyer des messages ambiguë sans suites ou aller plus loin ? Tu ne veux pas te poser et de marier dans trois semaines puis accoucher dans neuf mois. Mais tu crois en l’amour, il le sait, tu lui as dit. Tu crois à cette chose où beaucoup ne voit que de conneries, « l’âme sœur ». Tu es persuadée que sur Terre quelqu’un est fait pour te supporter, te rassurer. Tu as besoin de vivre avec quelqu’un, d’avoir un second, un pilier. Tu as toujours pensé que ce serait la seule personne présente pour toi en cas de problèmes. Les amis ne seront pas là, eux. C’est même pour ça, que t’en as quasiment pas. Ta question st simple, qu’est ce qu’il veut lui. Tu dois, tu veux savoir. Tu relâches ton emprise de son torse avant de le contourner et finir devant lui, ton dos qui se pose à nouveau contre le mur, face à lui. Tes iris bleutés qui plongent dans ses billes ébènes. T’as envie que ce soit grave ou pas ? C’est surtout ça la question. Tu n’es pas tactile, tu n’aimes pas qu’on te touche. Tu n’aimes pas spécialement le contact avec les gens, mais lui. Lui tu as envie de caresser sa peau sans arrêt. Tes mains qui se glissent cette fois sur son visage, jouent avec la racine de ses cheveux. C’est grave si tu sais que je tombe vite amoureuse et tu me laisses en plan. Je sais que t’es pas comme ça. Tes doigts qui se baladent dans ses cheveux mouillés. De toute façon c’est déjà trop tard. Tu baisses les yeux vers le sol. Tu avoues quoi là ? D’être simplement déjà bien trop attachée.
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i want you close // Leviel ♡   ※※※ Se retrouver dans ce genre de situation ce n’était pas dans son habitude, c’était un connard qui repoussait les autres, pas un connard qui était aussi tendre, mais c’était juste le bordel dans sa tête avec elle. Pourquoi fallait-il qu’aujourd’hui tout change ? Qu’elle le change sans réellement le savoir ? Le truc c’est que tout aurait été plus simple sans ses messages, sans cette ambiguïté qui avait pointé le début de son nez quand ils s’étaient parlés et encore plus maintenant que son corps nu était totalement contre le sien. Il lui laissait cinq minutes, il lui offrait ses réponses pour un court laps de temps, mais qu’elle n’en demande pas plus parce qu’il ne pourrait pas. Il redeviendrait celui qu’il était, la peur de l’amour et l’abandon reprenant le dessus sur sa tête, sur sa raison en quelque sorte. C’était sa façon à lui de se protéger et apparemment, il devait le faire avec elle qui foutait un bordel dans son esprit. « Je ne veux pas te perdre. » C’était pas encore la réponse qu’elle voulait, il le savait, mais au moins elle savait déjà ça. « Ca peut aller plus loin. » Elle peut foutre en l’air toutes ses théories comme quoi, il ne tomberait jamais amoureux, comme quoi tout cela il n’en voulait pas dans sa vie à cause de l’histoire de ses parents. Sauf que c’était clairement différent avec elle, est-ce qu’il pensait que c’était la bonne personne ? Jamais, il ne penserait un truc pareil, mais clairement elle comptait plus que certaines personnes dans sa vie, ce qui faisait d’elle quelqu’un de spécial dans sa vie, une personne qu’il ne pouvait pas perdre parce que ça ferait en sorte qu’il revive l’abandon de son père. La raison principale c’était ça, c’était pour ça qu’il ne s’ouvrait pas autant que ça à la blonde et qu’il continuait de jouer au mec mystérieux, c’était uniquement parce qu’il avait peur qu’elle finisse par disparaître de sa vie comme ceux qui ont toujours comptés, qu’il finisse seul encore une fois avec ce trop-plein d’affection qu’il n’avait jamais voulu. Ses yeux se plantèrent dans ceux de Levi qui se retrouvait devant lui, c’était juste une torture pour lui, mais il n’arrêtait pas de regarder son visage, ses yeux avant de sourire en coin tout en haussant les épaules. « Alors c’est pas grave. » Ouais parce que pour une fois, il n’allait pas fuir, il l’aurait depuis bien longtemps sinon ? Mais là, il était toujours devant elle, parlant ouvertement de ce qu’il se passait entre vous, de ce qui pourrait se passer par la suite. Sa main finissait par se poser sur son menton pour qu’elle relève le visage et il approcha une fois de plus le sien pour sceller une nouvelle fois les deux bouches ensembles. Sa main sur une des joues caressant la peau doucement. « Tu vas foutre toutes mes théories en l’air, tu sais ? » Et elle savait de quoi il parlait, de tomber amoureux et de tout le reste, il ne savait pas si ça serait le cas avec elle, mais elle prenait déjà beaucoup trop de place dans sa vie, c’était déjà trop compliqué pour lui.
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Je ne veux pas te perdre. Ses mots qui résonnent dans ta tête, faisant trembler tout ce qui pouvait encore tenir debout après ce bordel monstre qu’il a foutu là-dedans. Tu ne peux pas t’empêcher de sourire, bêtement, de baisser les yeux et de sentir tes joues commencer à te bruler inconsciemment par la couleur rouge pâle qu’elle commence à prendre. C’est Ael qui te dit ça, celui qui t’impressionne par son mystère, son éternel mur qu’il construit autour de sa prestance de dingue. Il t’a toujours plus ou moins intimidé, mais tu savais, tu voulais lui tenir tête et c’est comme ça que ces petits jeux, du chat et de la souris. Sauf que vous étiez tous les deux les chats, avant tout ça. T’as naturellement pris le rôle de la souris, maintenant, mais bizarrement, ça ne te gènes pas plus que ça. Ca peut aller plus loin. Il te le dit, sans vraiment le dire. Vous pouvez aller plus loin peut-être avancer sans juste vous regarder et être gênés. Tu as eu droit à ses cinq minutes où Thompson se dévoile, toujours le minimum transcrit dans son code de conduite, mais suffisamment pour donner brillance à tes pupilles bleutées. Tu avais peur de sa réponse, de ce qu’il était capable de te dire pour protéger son jardin secret. Tu es trop fragile pour te heurter trop souvent à un mur, le fait qu’il se dévoile de seulement deux phrases qui en disent beaucoup, c’est déjà tout ce qu’il te fallait. Tu gardes cet espoir, celui que tu auras toujours pour les causes perdues. Il considère en être une après tout. Tu ne lui réponds pas, il se contentera d’un sourire, celui qui arrive jusqu’à tes oreilles. Alors c’est pas grave. Tu ne veux pas le brusquer, pourquoi faire. Il e fait confiance, son passé qu’il t’a raconté, la raison pour laquelle il se montre comme ça depuis tant de temps. Toi aussi, tu as peur, tu n’as pas connu des parents où l’amour se termine mal. Au contraire, tu as ce modèle d’un amour triomphant malgré toutes les barrières et les embûches. Mais tu as aussi ce passé, un ex qui s’est barré. Toi aussi t’as été abandonnée, d’une certaine façon, à la con. Cet ex qui revient, foutre son bordel là où tu avais décidé de tout ranger. Il dépose à nouveau un baiser sur tes lèvres que tu intensifies, à ton tour. Tu rends son baiser, ta bouche contre la sienne plus entreprenante, passionnée. tu vas foutre toutes mes théories en l’air, tu sais ? Tu rigoles, une nouvelle fois, lui donnant une petite tape sur l’épaule. Va falloir t’habituer, tu sais ? Tu ne comptes pas t’arrêter là, quelques baisers dans une douche, des paroles tendres qui laissent planer le suspense de la suite, votre futur. Mais tu as cette confiance, presque trop naïve. Tu as confiance en lui, dans ce qu’il dit, tu le crois, tu y crois. Tu le sais, c’est lui que tu veux comme pilier dans ta vie. Celui que t’appelleras quand tu auras le cadavre d’un connard qui aura fait souffrir ta sœur sur les bras, douce ironie. Ou celui vers qui tu iras pour raconter ta journée, simplement. Un bruit de porte de vestiaires qui se fait entendre dans la salle d’à côté. Tu te rapproches un peu de lui, surveillant si personne n’arrive, derrière vous. Il faudrait vraiment qu’on se tire de là quand même non ? La porte se referme, plus aucun bruit, quelqu’un est parti, c’est votre moment de vous barrer d’ici. Tu poses un baiser sur sa joue avant de rejoindre les vestiaires, de rapidement te sécher et t’habiller. Ton sac dans tes mains, tes cheveux encore un peu humides, tu attends qu’il finisse de tout ranger, sans le quitter des yeux, prenant bien soin d’insister sur son corps totalement parfait. Un regard innocent qui se pose sur ses fesses pendant qu’il a le dos tourné, tu ne perds quand même pas le nord. Est ce que j’pourrais dormir chez toi ce soir ? Enfin.. j’veux dire que j’ai pas envie de rentrer chez moi toute seule. J’peux dormir dans ton lit et le canapé nan ? Un léger ricanement dans le brin de ta voix. Sinon j’irais chez Zora. Tu insistes, tu ne veux vraiment pas aller chez toi, ce soir, ni même les autres soirs. Tu as peur, trop peur de revoir Amyas, qu’est ce qu’il pourrait bien te faire, hin ? T’en sais rien. Mais crois pas que j’veux être trop rapide hin ! Tu viens quand même de lui demander de dormir chez lui, comme ça, direct, c’est suspect, avoues.

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i want you close // Leviel ♡   ※※※ S’ouvrir, parler de ce qu’il se passait dans sa tête ce n’était pas son truc, il préférait tout cacher derrière ses murs, cette carapace qu’il avait construit autour de lui au fur et à mesure. Mais là, il finissait par le faire, par dire deux petites phrases plus que révélatrice de ce qu’il se passait dans son esprit, de ce qu’il y avait dans son cerveau. Ael montrait clairement qu’elle commençait à prendre doucement, mais sûrement une grande place dans sa vie, qu’il y avait un vrai attachement derrière ses messages, derrière ses âneries qu’il pouvait sortir. C’était autre chose, c’était plus que ça, mais c’était compliqué pour lui de le montrer, d’agir autrement comme tout le monde, comme elle. Il ne pouvait pas, il avait toujours ce passé, ces événements qui restaient coincés dans son esprit et le fait qu’il ne pouvait pas aimer quelqu’un, il n’était pas encore prêt. Alors ouais ça pouvait évoluer, ça peut changer et être plus que ça, ça allait être plus que ça, il ne savait pas pourquoi, mais il le pensait, mais hors de question de le dire, de s’ouvrir autant. Le brun ne comprenait pas parce qu’il s’agissait de la sœur de sa première et unique copine, elle était la sœur de Zora donc il ne pouvait – enfin s’il pouvait parce qu’il restait ce mec qui s’autorisait tout et n’importe quoi – mais c’était un peu dingue dans le fond, non ? Sa bouche retrouvait celle de la blonde comme pour mettre fin à cette discussion, juste pour conclure la chose de la meilleure façon possible et elle répondait – ce qui était loin de lui déplaire. Il finit par se reculer pour reprendre la parole, elle allait tout foutre en l’air du moins toute sa vie, tout ce qu’il croyait acquis et dont il ne pouvait pas s’échapper sauf qu’en ce moment tout était différent. « Ouais, mais ne va pas trop vite non plus si tu veux pas que je me braque. » Un nouveau petit rire, mais il était un peu sérieux dans le fond. Il ne pouvait pas tout lui donner tout de suite, il avait besoin de temps de comprendre et d’accepter ce qu’il se passait. Il n’était pas comme elle, il ne croyait pas à ce point que l’amour pouvait être une belle chose, mais il pouvait l’apprendre, il pourrait toujours apprendre avec elle. Le jeune homme avait confiance en elle, il savait qu’elle resterait là tout en comprenant que les choses ne seraient pas simples avec lui, mais qu’il faisait un effort pour elle, un gros effort parce qu’il refusait de la perdre. « Je crois que c’est une bonne idée. » Le mather lissait un petit rire sortir de sa bouche, ils étaient nus donc ouais clairement c’était pas non plus l’idéal même si lui ça ne le gênait pas. Il avait l’habitude et il avait confiance en lui, très clairement il savait qu’il était un bel homme. Sa tête bougeait de gauche à droite en la laissant partir, il finissait par prendre sa douche avant d’y sortir pour se rhabiller assez rapidement. Thompson fronça les sourcils doucement en entendant la question ou la proposition de la blonde sans savoir quoi en penser, c’était juste étrange qu’elle insiste à ce point alors que tout à l’heure elle avait parlée de rentrer chez elle. C’était à ne rien comprendre. « Avoue que tu voulais qu’on passe notre première nuit ensemble. » Il haussa les sourcils avant de se rapprocher d’elle pour entourer ses épaules de son bras et la coller contre son torse doucement. « Mais ouais, tu peux dormir chez moi. Pourquoi tu ne veux pas dormir chez toi ? » C’était étrange et il le savait parfaitement, il voulait juste connaître la raison.
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Ouais, mais ne va pas trop vite non plus si tu veux pas que je me braque. C’est vrai, tu te crispes un peu à cette réponse, tu sais que ça va être compliqué. Tu es toujours trop impatiente, trop rapide. Tu veux que tout aille vite, que tout soit acquis, à toi, tu veux vivre ton putain de grand amour dont tu rêves secrètement depuis toujours. Mais tu ne veux pas, tu ne veux pas le perdre, prendre ce risque de tout gâcher avec lui, tu veux un début, une relation, jamais de fin. Tu es ce papillon fleur bleue, légèrement tatoué et complètement contrasté, mais tu es si naïve, tu virevoltes dans tes émotions à la con. Celles qui te font valser. Tu poses ta main sur sa joue pour lui répondre sans un mot, tu ne veux pas dire une connerie, parce que pour ça, t’es quand même pas mal douée. Tu prends sur toi, tu vas devoir t’y habituer, toi aussi. Tu vas devoirs t’habituer à vivre comme tu l’as fait quelques temps, ne pas être trop jalouse, alors que tu l’es tellement, ne pas t’énerver sur la première fille qui va un peu trop le regarder ou ne pas vouloir tuer absolument tout le monde quand il va décider de passer une soirée avec ses potes. Tu es extrême, tout ce qui est à toi, est à toi, pour toujours, sans aucune condition. Tu sais que c’est un problème, tu fais peur aux autres cœurs. Tu décides quand même de sortir de la douche, vous retournez vous habiller. Tu finis avant lui, te reposant contre le mur, ton sac entre les doigts, les yeux vers ce qui semble t’appartenir, maintenant, enfin, pas encore, peut-être un jour officiellement, si tu ne le brusques pas trop, ouais. Un peu comme avec cette question, trop insistante, dormir chez lui, tu parles même de son lit. Tu sais bien que tu en as sûrement trop dit. Avoue que tu voulais qu’on passe notre première nuit ensemble. Il se rapproche de toi, ses bras qui viennent encore épouser ton corps, laissant un frisson sur le dessus de ta peau. Tu vas jamais t’y faire, sûrement. De l’effet, il t’en fait tellement. C’est vrai que, ouais, tu lui avais clairement dit que tu ne voulais pas coucher sans avoir des sentiments, que tu as besoin d’amour pour ce genre de chose. Il te faut les frissons quand des mains parcourent ton corps, caressent tes cheveux, il te faut vouloir regarder cette personne entre tes jambes avec ce regard si brillant, avec tellement de passions. Tu veux de la tendresse, des mots doux susurrés dans le cou. Tu ne veux de ces coucheries comme il aime se donner, toutes ses soirées. Tu ne veux même pas y penser. Non tu sais que je veux que ce soit génial, avec tu sais.. Pleins d’amour ? Tu ricanes en continuant de le regarder dans les yeux, tes pupilles brillantes dans les siennes. Mais ouais, tu peux dormir chez moi. Pourquoi tu ne veux pas dormir chez toi ? Lq question qui fâche, le sourire de ton visage qui s’efface. Tu baisses finalement la tête pour fuir, regarder ailleurs. J’ai des problèmes. Quelqu’un rentre à nouveau dans les vestiaires, jetant un regard absolument ignorant vers vous deux. Tes doigts se glissent dans la main d’Ael, pour te diriger vers la sortie de la salle de sport. Une fois sortie dehors, ta main reste dans celle du mather, inconsciemment, est-ce qu’il va l’enlever ? Peut-être que t’as juste fait exprès d’oublier, finalement. On t’a dit de pas brusquer, tu fais chier. Écoutes je t’avais déjà parlé d’Amyas non ? C’est mon ex, ça fait trois ans qu’on est plus ensemble. Tu marches, à ses côtés, marquant un temps d’arrêt, avant de finalement reprendre dans un long soupir. Je crois qu’il est venu ici pour.. M’espionner ? Ça sonne bizarrement comme ça. J’ai peur de revenir chez moi, je sais pas ce qu’il pourrait faire. Tu as perdu tout ton sourire et tes yeux brillants, tes mots sont angoissés, angoissants.
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i want you close // Leviel ♡   ※※※ Le jeune homme ne savait pas du tout ce que tout cela pouvait donner, il avait besoin de temps pour s’y faire, juste pour ne pas faire trop n’importe quoi non plus parce qu’il se doutait bien que la jeune femme attendait qu’il se calme, que sa vie ne soit pas aussi bordélique que ça. Peut-être qu’elle attendait qu’il soit sérieux ? Qu’il arrête de coucher n’importe où avec n’importe qui ? Sûrement. Il ne savait pas trop et c’est besoin qu’il ne voulait pas qu’elle aille trop vite avec lui, qu’elle attende qu’il se fasse à l’idée et il lui donnerait tout ça. Parce que le jeune mather avait été sérieux dans ses paroles, il pouvait très clairement et très sérieusement se passer quelque chose entre eux, ce n’était pas dans ses habitudes, mais pourquoi pas après tout ? Il se sentait bien avec elle, c’était différent de toutes les autres et elle était clairement différente des autres. Le brun ne voulait juste pas trop y croire, il ne voulait pas finir seul encore une fois, il ne pourrait pas supporter un nouvel abandon, mais très clairement il était trop fier pour l’avouer à la blonde alors que dans le fond, ça ne pouvait que les aider dans la situation, mais non. Une fois prêt, il finit par retourner vers elle, entourant ses épaules de son bras pour la coller contre lui sortant une connerie, une nouvelle fois, mais ils en avaient parlé, il savait qu’elle ne lui sauterait pas dessus, pas comme ça, pas tout de suite. Elle avait besoin plus que des mots, plus que des gestes qui montraient qu’il pouvait y avoir quelque chose de plus entre eux. « Mais il y a déjà beaucoup d’amour. » Il haussa les sourcils avant de rire doucement, sa bouche se déposait sur sa tempe doucement avant de reprendre son sérieux, il avait très bien compris tout ça et jamais, jamais il ferait en sorte de la forcer. « Mais je sais, je te forcerais jamais à rien. » Le français préférait lui redire au cas où, mais elle devait le savoir, non ? Il lui avait déjà dit, il ne forçait personne à passer la nuit avec lui, c’était pas son genre même s’il restait un connard, il couchait avec des personnes qui avaient envie de lui, c’est tout. Ses sourcils se froncèrent en entendant ce genre de chose, il n’avait pas le temps d’ouvrir la bouche pour poser une question que sa main était dans celle de la blonde et qu’elle était en train de le tirer vers l’extérieur, il se laissait faire sans rien dire. En fait, il se posait juste des questions sur les problèmes que pouvaient avoir la jeune femme, ça l’inquiétait quand même un peu voire beaucoup même. Ael retenait les questions qu’il pourrait lui poser sur le champ juste pour avoir des réponses, mais la blonde prenait la parole sans qu’il fasse quoi que ce soit. Il l’écoutait avant de s’arrêter, il fit en sorte qu’elle se tourne et qu’elle se rapproche de lui. Sa main relevait sa tête pour planter ses yeux dans les siens. « On passe chez toi prendre des affaires et tu resteras chez moi tant que t’es sûre de rien. » C’était pas une question, même pas une proposition, il imposait juste les choses à la jeune femme. Honnêtement, il se poserait bien trop de question s’il devait la laisser rentrer chez elle ou même aller ailleurs, c’était plus sûr de l’avoir chez lui, avec lui, non ?
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Les problèmes te suivent, ils te collent le cul, ils ne te lâcheront jamais, évidemment. Quand tu penses t’être enfin débarrassée de cette grosse poussière difficile à retirer de ta vie, la voilà qui revient beaucoup plus grosse, c’est malin. Elle a tout dévasté dans ce que t’avais rangé depuis le début de l’année. Il est revenu. Il n’aurait jamais dû. Il a cette manière de te faire peur, de t’angoisser. Tu revois ce qui semblait être sa silhouette en fac de chez toi, il s’est barré quand il a vu que tu regardais, c’est tellement glauque. Ça n’arrive qu’à toi, ce genre de conneries, ces problèmes que t’empiles et que tu t’arrives pas à te débarrasser, ce qui fait que t’es toujours vu comme cette victime par ta sœur, par ta famille de pourris. Par tous ceux qui t’entourent. Mais qu’est-ce t’as fait pour mériter d’être un aimant à emmerdes toi ? Rien. Tu vis, tu subis. Tu te confies à lui, sa main dans la tienne, tu lui reparles d’Amyas, prononce ce nom qui t’écorche presque la gorge. Il finit par s’arrêter de marchant, te faisant tourner vers lui, ses doigts qui se glissent sous ton menton pour relever ton visage tristement penché vers le bas, vers ton désarroi. On passe chez toi prendre des affaires et tu resteras chez moi tant que t’es sûre de rien. Tu ricanes, c’est nerveux. J’pense pas être sûre avant un moment. Mais.. Merci. C’est à la fois ironique, à la fois vrai. Comment tu peux savoir après tout ? Est-ce que c’était lui ? Est-ce qu’il traînait véritablement par là ? Pour quoi foutre ? Quand est-ce que tu seras vraiment sûre ? Tu relèves un sourcil, prête à sortie la connerie d’entre tes lèvres. Maintenant tu sais que je ne voulais absolument pas faire notre première nuit ensemble, hein ! Tu le taquines autant ça te taquine toi aussi. C’est une chose trop délicate pour toi, pour la Levi si dure, si solide. Vous continuez finalement d’avance vers chez toi, maintenant. Ton sache en bandoulière sur une de tes épaules, il frotte contre ta cuisse quand tu avances ta jambe, à chaque pas. Tu sais, j’ai jamais eu personne d’autre depuis lui, depuis trois ans. Tu insistes sur le « personne » parce que tu parles autant de relation stable que de seulement coucher. Il ne va sûrement pas comprendre, ça doit être tellement improbable, pour lui. Du haut de son palmarès de coucheries élevé et le tien, avec seulement un pauvre gars.

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i want you close // Leviel ♡   ※※※ Peut-être que ce n’était pas la meilleure idée du siècle de lui proposer un truc pareil, mais pour une fois il était incapable de faire autrement, pour une fois il s’inquiéterait beaucoup trop pour la vie d’une autre bien que la sienne n’était pas si importante que ça, mais quand même. La vie serait tellement ennuyante sans lui, il se lançait des fleurs comme toujours, il était incapable de faire autrement et il le faisait seulement dans sa tête sinon la blonde finirait par le descendre, lui faire comprendre qu’en fait, il n’était pas grand-chose. Bref il ne regrettait pas, absolument pas, il avait besoin de la savoir en sécurité, il finirait par débarquer chez elle et franchement, ça serait juste pas son genre donc forcément elle allait se moquer de lui. Alors hop, une bonne chose de faite, il se taperait pas trop la honte puis ça l’arrangeait bien, il allait sûrement beaucoup trop aimer l’avoir chez lui enfin chez Ambre parce que ce n’était pas tellement chez lui, mais il expliquerait tout ça à la brune, elle comprendrait forcément. Dans tous les cas, il imposerait la jeune femme sans aucune honte et aucune gêne. « Alors tu resteras un moment, ça me dérange pas. » Est-ce que c’était un moyen de la surveiller ? Est-ce que lui avait besoin de le faire en fait ? Sûrement pas, quoi que cette histoire de shooting avec un inconnu fût loin de lui plaire dans le fond, surtout avec les photos qu’elle avait pu lui donner, il pouvait se montrer jaloux – il l’était totalement en fait – il ne montrait rien encore et toujours, mais c’était trop facile de se montrer jaloux tout de suite, sans savoir ce qu’il se passait entre eux. Il y avait eu des débuts de réponse, mais ce n’était que des mots. Il fallait que le temps passe, il fallait que les choses avancent avant qu’il ne laisse le moindre sentiment se montrer ou alors il deviendrait juste bien trop fou et péterait forcément les plombs. « Tu casses tout mes rêves, tu sais que t’es horrible ? » Il fit une moue boudeuse ne pouvant pas faire autrement sachant que ce n’était qu’une blague, il savait déjà que ce n’était pas pour ça qu’elle lui avait proposé un truc pareil, c’était pas son genre à elle de faire ça, elle était clairement pas comme les autres. Elle ne se donnait pas comme ça, pas aussi simplement, elle voulait plus qu’une coucherie, elle voulait une genre de connexion entre les deux personnes choses que lui ne connaissait absolument pas. « Je comprendrais jamais comme tu as pu faire… Je place peut-être trop d’importance au sexe dans ma vie. » Ael haussa simplement les épaules, il ne mentait, il était lui-même et elle le prenait comme ça de toute manière, non ? Elle savait comment il était après tout. « J’ai jamais eu de relation stable, je veux autre que ta sœur. C’était ma seule et unique copine. » Il laissait un petit rire sortir de sa bouche, peut-être que c’était pas un truc qu’elle voulait savoir surtout que c’était sa sœur quoi, c’était étrange.
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( @c. ael thompson   )
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Je comprendrais jamais comme tu as pu faire… je place peut-être trop d’importance au sexe dans ma vie. A l’opposé de vos façons de voir les choses. Il n’a pour l’instant vécu qu’avec l’idée du sexe dans sa vie, sans attache hormis celui qu’il exerce sur ces meufs qui espèrent peut-être beaucoup plus que ce qu’il daigne imaginer. Il vie comme ça, sans repères, sans même s’offrir la possibilité d’ouvrir sa vie à quelqu’un, balancé entre ses envies viscérales. Celles qu’il assouvit quasiment tous les soirs dans les bras de ces inconnus au bon cul. Il y a toi, ton espoir de fleur bleue, tes pensées papillons. Ton corps qui porte la quasi-innocence depuis près de trois ans, celle que tu ne donneras pas à n’importe qui. Tu as besoin de ce feeling, la passion, celle qui dévore, qui ronge. Frissons le long de ta peau contre celle d’un autre. Tu ne peux pas te dévoiler aux yeux de bras cassé que t’as jamais vu avant une soirée. Vous êtes contraire, vos sens inversés. J’sais pas, pour moi c’est super intime, c’est se montrer un peu trop fragile face à quelqu’un et je ne pourrais pas montrer ce que je suis vraiment devant n’importe qui. Vous continuez d’avancer, à travers rues, direction de chez toi. Ton regard se jette partout, trop attentif à ce qui t’entoure, les regards fuyants qui louchent sur les tatouages de tes bras nus, les yeux qui fixent le macadam sans même lever la tête pour confirmer leur direction. Tu ne fais que regarder, si tu le vois, quelque part par-là, Amyas. Tu n’es pas seule, c’est déjà bien, c’est déjà beaucoup. J’ai jamais eu de relation stable, je veux autre que ta sœur. C’était ma seule et unique copine. Tu fouilles ton sac en attendant d’entendre un bout de ferraille entre tes doigts. Faut croire qu’elle et moi on a les mêmes goûts niveau mec. Tu lâches un rire, toi aussi, sortant tes clés de ton sac en même temps. Même si j’ai jamais compris ce que vous pouvez bien foutre ensemble. Ils sont différents, peut-être trop, ou pas assez. T’arriverais même pas expliquer, c’est seulement maintenant que tu l’as vois avec son coréen, qu’est ce qu’il peut bien y avoir en commun avec Ael ? Finalement vous n’aimez rien en commun avec Zora. Elle paraît être la plus sage de vous deux, la plus studieuse, ouais peut être. De vous deux c’est toi qui est resté au même endroit sans fuir je ne sais où, c’est toi qui a toujours sur ce que tu voulais. Tu finis par passer la clé dans la serrure pour ouvrir cette maison, l’univers Levi, les fringues entassés dans n’importe quel coin des quatre murs. Toutes mes premières fois étaient avec Amyas, et d’ailleurs y’a jamais eu personne d’autre alors on va dire que j’dois pas avoir la super expérience que tu dois avoir. Vous rentrez chez toi, l’odeur de pizza qui plane encore, dans l’air. Tu files dans la chambre, pour récupérer quelques fringues en boule dans un sac, quelques sous-vêtements de rechange. Tu finis par revenir vers lui, ton sac au bout des mains Je prends ma voiture. C’est pas négociable, tes clés sont déjà dans ta main. C’est hors de question que ce fils de pute essaye de faire quoi que ce soit dessus. Tu lâches un petit sourire presque méprisant, directement adressant à ton ex, si charmant. Celui qui t’a donné cette passion pour les voitures, après tout. Tu poses un baiser sur la joue du mather. Promis j’serais sage chez toi, t’façons j’serais jamais là, j’irais squatter le garage de Jaxon pour bricoler la voiture.
(Invité)

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