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i want you close // Leviel ♡ ※※※ Séance de sport, c'était toujours autant étonnant pour lui de faire un truc pareil, mais peut-être qu'il en avait bien besoin en ce moment, surtout en ce moment en fait. Il n'avait pas eu de message depuis une semaine de la blonde qui avait été plus qu'étrange avec lui la dernière fois, il ne savait clairement pas ce qu'il se passait dans la tête de la jeune mather et il n'avait pas envie de le savoir. Lui, le brun avait repris sa petite vie comme si de rien était, passant ses soirées dans différentes soirées, buvant, se droguant avant de finir avec une quelconque personne dans sa chambre. Mais il ne comprenait pas pourquoi, la journée il ne pouvait pas s'empêcher de retomber sur les photos de Levi. Bordel, c'était juste prise de tête tout ça, c'était un truc qu'il détestait au plus au point alors il ne montrait rien, il n'en parlait à peu de personne. La seule personne au courant c'était Jax parce que pour une fois dans sa vie, il avait eu besoin de se livrer en quelque sorte. Il avait passé plusieurs heures dans la salle de sport, à courir, à s'entraîner le plus possible pour se vider la tête et aussi pour faire descendre le frustration, qu'est-ce qu'il se passait dans son corps pour agir comme ça, hein ? Pour une fois, le jeune français aurait préféré ne pas être un connard qui pensait qu'avec son membre du bas, ça aurait été plus simple pour lui, non ? Ouais, il n'aurait pas besoin de se poser tout un tas de questions comme actuellement, il finit par prendre sa bouteille d'eau pour la boire assez rapidement, trop rapidement, mais c'était l'heure de partir. Ce soir, il devait bosser et hors de question qu'il y arrive dans un sale état. Ben ouais, il devait clairement être à son avantage s'il voulait tirer son coup ce soir, peut-être qu'il changerait un peu et qu'il allait ramener un mec dans sa chambre. Pourquoi pas après tout hein ? Il était libre de faire ce qu'il avait envie, il reprenait sa serviette avant d'aller vers les vestiaires, il n'avait clairement pas de temps à perdre et là, il en perdait bêtement en étant à ce point dans ses pensées. Ael se posait beaucoup trop de questions, c'était pas dans ses habitudes, il voulait presque oublier cette discussion pour redevenir ce connard qu'il était normalement, qu'il assumait être.
@levi fawkes underwood
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Tu l’as toujours eu ce besoin, incomblé. Tu dois te défouler, briser tes chaînes de haines, sortir ta frustration, toute ta rage trop facilement stocker avant d’exploser. Tes pensées sont bourrées au C4, près à éclater et te briser, toi, ce qui t’entoure en mille morceaux. Tu dois sortir cet explosif sous pression, par le sport, défouloir, éternel. Tu n’es plus à l’aise, tu as cette boule, au fond de ton âme, de ton corps. Elle te gêne, véritable cancer qui pousse en toi depuis quelques jours, une semaine. Tu ne lui as pas parlé, depuis trop longtemps maintenant. Tout s’est arrêté après ces messages envoyés, peut-être un peu bourrés. Tu n’aurais peut-être pas dû ? Te confier, lui parler. Il s’est en même temps, tant dévoiler aussi. Son passé qu’il t’a déballé, il aurait pu fermer sa gueule, ne rien dire, te laisser dans tes questions à la con. Il a suivi, il s’est dévêtu d’un bout de sa carapace de mystère, à toi. Pourquoi toi ? Pourquoi pas une autre personne avec qui il est proche, pourquoi te le dire, si simplement, c’est tellement important. Tu frappes, gauche, droite dans ce sac suspendu. Des poings serrés dans le tissu de béton. Tout est tendu, tes muscles, ton âme. Serrée, comme jamais. Tu dois relâcher et évacuer. Tu l’aimes bien, Ael. Tu le considères beaucoup trop, il prend de plus en plus de place dans ta vie bien trop vide. Tes yeux se tournent dans le reste de la salle. Ils bloquent, tu arrêtes de bouger. Il est là, à quelques pas de toi, ALERTE GENERALE. Tu retires rapidement le scratch de tes gants, ceux qui finissent par terre sans prendre peine les ranger. Ta serviette et ta bouteille d’eau. Tu veux partir, t’éloigner, ne pas avoir à le confronter. Tu t’avances vers les vestiaires, les yeux vers le bas, fuis, tu veux te barrer. Tu rentres rapidement dans les vestiaires, mais ta course s’arrête nette. Tu te heurtes à un torse, son torse. Tes yeux se relèvent vers les siens, la biche entrouverte. Hé merde. Tu te recules d’un pas, comme si tu ne le connaissais pas. Salut. Tu le regardes bêtement, t’as l’air con, putain. Tes doigts qui trifouillent ta serviette, nerveuse. Ha c’est vrai que les vestiaires sont mixtes. Ça sonne comme une défaite, comme si t’avais raté ta fuite, c’est vrai. Putain pourquoi j’suis gênée d’te voir merde, c’est con. Tu soupires regardant partout sauf lui. Tes joues tournent sur du rose, mais ta transpiration peut prêter à confusion.
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i want you close // Leviel ♡ ※※※ Il était crevé totalement après une telle séance de sport. Mais ca faisait du bien, au moins il prenait un peu soin de lui, c’était pas plus mal, non ? Ouais, il pensait clairement à lui pour le coup, mais ca ne changeait pas, c’était lui avant les autres. Sauf avec certaines personnes. C’était incompréhensible, ça n'avait pas de sens, mais il faisait avec. Il ne cherchait plus à comprendre ce qu’il se passait dans sa tête, il en avait marre depuis une semaine. Ael avait l’impression d’être devenue une meuf qui réfléchissait beaucoup trop sauf qu’aujourd’hui il avait décidé de s'en foutre, de mettre des conneries au placard et de se concentrer sur sa vie actuelle, se concentrer sur sa routine. Surtout à ce qu’il allait faire ce soir, son boulot tout en draguant au passage pour finir avec quelqu'un dans son lit par la suite. Il pensait toujours à ca en prenant sa serviette pour essuyer son visage, sa transpiration bien présente, il était resté beaucoup trop de temps dans cette salle de sport – grande première. C’était tellement moche de noyer sa frustration comme ca, il devait trouver une bonne femme à se faire toute une nuit pour que ca lui passe ou oublier des photos. Il ne savait pas, il ne savait plus parce qu’il n'avait jamais été dans ce genre de situation. Les meufs il les utilisaient pour ses besoins, il se cassait comme un connard ou foutait simplement la meuf dehors sans aucune gêne. Bref, il était vraiment ailleurs qu’il ne faisait pas attention à la personne qui venait de lui rentrer dedans il baissait les yeux pour la voir, elle. Putain mais c’était une blague, non ? C’était un peu – voir beaucoup même gênant sauf qu'hors de question de montrer quoi que ce soit, il passa sa langue sur ses lèvres pour bouger la tête de haut en bas, vraiment c’était juste trio bizarre même pour lui, il avait été bien heureux de ne pas la croiser, c’était beaucoup plus simple. « comment tu peux oublier ça ? Tu peux mater sans qu'on te traite de voyeur, c’est pas mal. » c’était sûrement pas la chose à dire, à lui dire à elle surtout, mais il agissait comme il avait toujours été. Il agissait comme si leur dernière discussion n'avait pas eu d'impact dans sa tête, sur sa vie en quelque sorte. « c’est vrai, il y a aucune raison pour que tu le sois, si ? » C’était trop facile de faire l’indifférent quand il aurait bien envie de faire autre chose, mais il la respectait sûrement un peu trop pour un être le mec qu’il était avec les autres. C’était Levi, ce n’était pas n’importe qui dans sa vie.
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Tout est bizarre. Toi surtout, toi. Tout commence à ce nombre indomptable de questions qui tambourinent dans ton crâne de fausse blonde. Tout est toujours trop compliqué avec toi, tu te poses trop questions, souvent, de tout et rien. Des conneries qui te paraissent essentielles, tu veux savoir, tu veux chercher, tu n’aimes pas l’ignorance. Tu ne supportes pas de ne pas savoir ce que pense l’autre n fac de toi. Tu veux seulement décrypter. T’as c putain de problème avec le contact humain, c’est trop difficile d’avancer sans être sûre d’être soutenue, si tu flanches, quelqu’un te rattrape, il te relève. Il y a ta sœur, malgré toutes les conneries que t’as pu lui faire. Mais globalement, personne, personne ne peut comprendre ce qui se passe dans ta tête, ils ont bien essayé, pourtant. Mais tu caches trop bien ton jeu, tout est dissimilé pourtant bien trop présent, trop ancré. Tu n’arrives seulement pas à le contrôler avec ces personnes celles qui te font tourner la tête, programme machine à laver 90° pendant beaucoup trop longtemps. Il y a eu Amyas, cet enfoiré de merde. Il faisait tourner ton monde, battre ton cœur, te faire vivre comme tu n’avais jamais vécu avant. T’as aimé, ton premier amour, c’est fini, tu as mis des années à t’en remettre, trois ans, ouais. Dur de cicatriser, d’y repenser. Il y a Ael. Improbabilité totale, ouais. Qu’est-ce qui devrait te rapprocher de lui ? Rien. Putain c’est l’ex de ta sœur, elle va te tuer, te détester, juste pour le fait de penser beaucoup trop souvent à lui. Juste pour l’idée que tu t’endormes en pensant à lui. Pour le fait que tu es obligé d’aller te défouler à la salle pour brûler toutes les calories que tu engloutis dans ton canapé, résultat de trop de réflexion sur le sens de ta vie, de ton cœur. Le punching-ball en guise d’unique confident, prenant dans la gueule toute ta frustration. Tu t’arrêtes de frapper quand tu vois celui qui te donne raison de venir ici. Celui que tu ne veux pas croiser, juste pas regarder. Tu veux vite partir, tu ne vois même pas le temps de prendre ta serviette et poser tes gants qu’il est lui aussi rentré dans les vestiaires, ton échappatoire ultime. Et il faut que ce soit contre lui que tu fonces tête baissée quand tu voulais te barrer. Putain de coïncidence, tes blagues sont franchement drôles. Comment tu peux oublier ça ? tu peux mater sans qu'on te traite de voyeur, c’est pas mal. Tu soupires ne voulant pas relever ce qu’il vient de dire, quelques semaines en arrière tu aurais probablement rigolé en insistant sur le les beaux culs de la salle et surtout le tien, mais tu ne dis rien, tu le regardes quelques secondes avant de le contourner pour atteindre ton sac juste derrière lui. C’est vrai, il y a aucune raison pour que tu le sois, si ? Il joue avec toi, comme il l’a toujours fait, comme il le fait toujours. C’est ce qui te faisait rire, vous vous foutiez de la gueule du monde, le bon duo mais tu n’as pas envie, pas cette fois. Tu ne veux pas jour avec lui, c’est plus un jeu pour toi c’est beaucoup plus que ça. Tu marmonnes entre tes lèvres, tu es concentré sur la fermeture de ton sac que tu n’arrives pas à fermer dans ta précipitation. Peut-être parce que c’est plus pareil. Ta bouteille de shampoing qui tombe par terre, tu souffles, ça t’agace, t’es agitée. Peut-être parce que ça me soule. Tu continues de barbouiller de manière presque inaudible. Tu te penches au sol pour ramasser ton shampoing, finalement pour te relever face à lui, cette fois en parlant de manière beaucoup trop clair. Peut-être parce que ça fait une semaine que tu ne me parles pas après tout ça. Ça, en question, il sait de quoi tu parles, il le sait très bien. Tu jettes un œil sur ta bouteille entre tes doigts. J’vais pas prendre ma douche ici finalement. Je ne voudrais pas en faire bander plus d’un. T’es pas énervée, tu es seulement, pressée de partir. Tu veux pas l’affronter, il va encore tout nier et te laisser dans tes pensées de merde.
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i want you close // Leviel ♡ ※※※ Le jeune brun avait l’esprit embrouillé, totalement retourner et c’était loin de lui plaire ce genre de chose. Il était plutôt un mec qui ne se prenait pas la tête, quelqu'un qui vivait au jour le jour repoussant toutes les personnes qui voulaient rentrer dans sa vie, qui essayaient de prendre une place un peu trop grande sans sa vie. Sauf elle. Il aurait pu l'envoyer chier, ne rien lui dire que son passé il aurait pu, mais il ne l’avait pas fais. Il s’était ouvert à elle, il lui avait ouvert une porte de son passé, une porte qui lui expliquer pourquoi il était comme ca, pourquoi il était ce connard qu'elle connaissait si bien. La peur de l’amour et de l’abandon encore une fois. Il avait eu l’exemple de son père et finir comme ça ? Il se le refusait et peut-être qu’il passait à côté de quelque de chose de grandiose, de quelqu’un qui pourrait le rendre heureux mais il était heureux là comme ça. Peut-être un brin plus heureux avec cette blonde. Le jeune homme grogna dans sa serviette, pourquoi il avait pensé ça ? Ils étaient tellement différents, ils vivaient un peu de la même manière, mais avec tellement de différence. Puis Ael avait fait souffrir sa sœur alors ouais ca paraissait juste dingue, elle s’était foutue de lui en parlant de s’attacher facilement. Le brun tombait sur elle enfin plutôt l’inverse, elle finissait par lui rentrer dedans. On disait que le destin faisait bien les choses et peut-être pas pour le moment. Sauf que c’était mentir de dire qu’il n’était pas un minimum heureux de la voir, qu’elle soit devant, mais refusant de montrer ça il agissait comme il l’avait toujours fais. Pas elle. Elle avait juste l'air mal à l'aise en sa présence puis hors de question qu’elle parte maintenant. Il n’en avait juste pas envie. Alors il faisait en sorte de la bloquer sans réellement faire – continuant à jouer le mec qui se rappelait de rien, comme si rien n’avait changé entre eux. « pourquoi c’est aux hommes d’envoyer le premier message ? Si tu voulais me parler je t’aurais répondu. » Ouais c’était véridique ça, il l’aurait fait, mais il n’avait rien eu alors il avait fait avec. Prenant la bouteille qu’elle avait entre les doigts avant de croiser les bras devant son torse. « Il suffit d'une photo pour faire bander un mec. » C’était une révélation ? Sûrement. Enfin ca en été une très clairement, mais elle devait s'en douter non ? « Va te doucher je ferais en sorte que personne ne rentre. » Même lui alors que la tentation serait forte, c’était juste horrible dans le fond. Il fit un simple signe de tête pour lui dire d’y aller, elle pouvait lui faire confiance, non ?
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Pourquoi c’est aux hommes d’envoyer le premier message ? si tu voulais me parler, je t’aurais répondu. Ouais, c’est vrai, c’est pas la question. Putain, tu as grandi dans une famille de gay, t’es issus d’une mère porteuse, tu peux au moins avouer que c’est pas une question de « tradition » d’homme à faire le premier pas, t’as rien de traditionnelle chez toi. Ouais, t’aurais pu, lui envoyer un message, demander si ça va, s’il veut boire une bière avec toi pour ouais, parler de votre super passé à tous les deux, c’est lui qui aurait gagné bien sûr, à ce jeu-là. Puis pourquoi pas aussi parler du fait que t’attaches trop vite et qu’il t’a demandé de pas le faire avec lui. Ça aurait été trop cool, grosse rigolade. C’est pas votre délire, ça l’a jamais été, vous deux ensembles, autant que séparément. Tu ne sais pas parler de ce que tu ressens toi, tu n’arrives pas à communiquer ce genre de chose sans rougir, pleurer ou juste te sentir gênée. Tu te voyais pas lui demander si ça va, comme si de rien était, les dés ont été jetés, c’est définitif, rien ne sera jamais plus pareil. J’pouvais pas putain, c’était trop gênant. On s’est dit.. tout ça ? Ca sonne comme une question, une question de est-ce que lui ça le gêne aussi ? Sûrement que non, après tout. Ou alors il el cache bien, comme toujours. Tu es persuadée qu’il n’est pas que ce connard qu’il prétend être, et maintenant tu sais aussi qu’il y a une raison à tout ça. Son père, ses parents. L’amour immense qu’il y avait entre eux, ces morts tragiques et ce gamin au milieu. Tu savais qu’il y avait une raison, tu le sais maintenant. Tu te tournes finalement sur cette bouteille de shampoing et cette douche que tu devais prendre ici. Cette douche que tu ne peux pas prendre chez toi, tu pourrais, tu ne veux pas Tu as cette peur au ventre, une boule quand tu rentres chez toi. Tu repenses à cette silhouette familière que tu penses avoir aperçue près de chez toi. Amyas, qui rôde autour de toi ? Tu es effrayée parce qu’il pourrait te faire, te dire. Tu as sûrement dû parler d’Amyas à Ael un jour, quelques bières dans le nez, ton ex ce malade mental. Il suffit d'une photo pour faire bander un mec. Tu lâches un petit rire nerveux en fixant ta bouteille contre son torse. Les photos. Celles que tu lui as envoyé qu’avec du recul, tu ne sais même pas pourquoi. Pourquoi lui avoir dévoilé ton corps, comme ça ? De simples photos prises avec ta sœur en grande partie, votre petit amusement à toutes les deux. Ta peau dénudée, si fragile qui devait restée cachée. Ouais j’ai cru comprendre. Ton regard parcourt son torse et descend si rapidement sur le bas de celui-ci. Calme-toi. Tu serais pas la première pour qui il bande à la vue qu’un simple cul. C’est rien de flatteur, ais tu peux pas t’empêcher d’être satisfaite, au fond. Tu lui fais de l’effet, c’est pas sans t’en faire à toi aussi. Tu reviens à tes esprits quand il reprend la parole. Va te doucher je ferais en sorte que personne ne rentre. Tu prends un instant pour réfléchir, balayant les vestiaires du regard, personne d’autre que vous, après tout. Merde. Bon ok. Tu finis par retirer ton t-shirt et ton leggings e façons à te retrouver en sous-vêtements, ta brassière de sport, un shorty qui moule bien assez tes fesses. Tu reprends aussi le shampooing de ses mains avec le gel douche sorti de ton sac. Tes tatouages qui perlent de sueurs à découvert. Tu t’avances, toi et ton corps qui pue vers la salle de douche. Te tire pas avec mes fringues en douce. Tu rentres dans la douche, nettoyer ton corps, libéré de ses toxines. Quelques minutes après, tu coupes l’eau, un regard autour de toi. Merde.. Thompson ? Tu dépasses ta tête de l’angle des vestiaires, le reste de ton corps nu caché par le mur. Tu peux me donner la serviette s’teuplait ? Tes cheveux qui goûtent sur le sol des vestiaires. Puis mes fringues aussi enfaîte. Tu lâches un sourire presque provocateur. Fais gaffe c’est pas simples photos là. Non, c’est toi, bien présente, à poil et ta peau qui sent particulièrement bon la noix de coco.
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i want you close // Leviel ♡ ※※※ « J'pouvais pas le faire non plus. » Parce qu’il s’était bien trop dévoilé, parce qu’il avait parlé de son père et de son passé. Parce qu'il avait une vie hors du commun et il refusait qu’on puisse avoir pitié de lui. Puis voir Levi, c’était juste dingue dans le fond. Il ne pouvait pas, par e que tout était différent, ils avaient été peut-être trop loin avec des messages. Il n’en savait rien en fait, c’était juste la première fois qu’il se retrouvait dans ce genre de situation et il savait parfaitement que pour la blonde ce n’était pas commun. Ael ne savait pas alors il préférerait se cacher sous son air de mec mystérieux, celui que rien ne touche dans cette vie, celui qui baise tout ce qui peut lui plaire et lui faire de l’effet. Il assumait totalement cette vie là, il ne changerait pour rien au monde, il était très bien comme ça. Il finissait simplement par hausser les épaules, ouais elle avait pu le comprendre par ce qu’il lui avait dit que ca lui faisait de l’effet ce genre de photo et il y avait de quoi. Elle était loin d’être horrible, des tatouages la rendait bien plus différentes des autres. Elle avait un truc c’était indéniable et il ne pourrait jamais dis l'inverse. Puis elle recommençait à dévoiler son corps devant ses yeux, il serra la mâchoire doucement essayant de rester de marbre, essayant de rien montrer devant elle. Pourquoi avait-il proposé un truc pareil hein ? Il était pas idiot à ce point normalement mais là on parlait de cette meuf qui foutait un bordel dans sa tête sans qu’il ne le souhaite. « j’ai plus dix ans fawkes. » Ses yeux se levèrent au ciel, c’était enfantin de faire ca bien qu’avant il aurait été capable de le faire parce que c’était un peu leur truc de faire sauf que rien n’était comme avant là, il y avait de la gêne des deux côtés même s'il montrait rien. Sa main finissait sur son visage avant de prendre une poignée de ses cheveux pour tirer dessus doucement. La tentation était vraiment trop grande, mais putain ça montrait encore plus qu’il respectait la blonde, qu’il n'avait pas envie d'agir avec elle comme il pouvait le faire avec les autres. Elle était juste différente. Mais il ne voulait pas lui faire du mal clairement c’était tout ce qu’il voulait hésité. Il se tourna pour tomber sur sa tête, putain c’était clairement malaisant même pour lui, surtout pour lui en fait. « Fawkes je savais pas que tu étais une assistée. » Prenant ce qu’elle lui avait demandé, il alla vers elle avant de sourire en coin. Elle voulait vraiment faire ça avec lui ? Une fois à sa hauteur, il finit par approcher son visage du sien comme s'il allait lui dire quelque chose, mais à la place il posa sa bouche contre la sienne tout en faisant en sorte qu’elle recule pour que son dos rencontre le mur. Il finit par s’éloigner après quelques secondes. « ne fais pas la maligne, c’est toi qui le regrettera. » des yeux plantaient dans les siens, il finit par se reculer avant de passer son haut au dessus de sa tête après tout lui aussi devait prendre une douche avant de rentrer chez lui pour se changer.
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Fawkes je ne savais pas que tu étais une assistée. T’as oublié ta serviette dans ton sac, ton sac à côté d’Ael, ton corps complètement dénudé et trempé. Tu veux juste ta serviette, pour t’essuyer, t’habiller et rentrer... chez Zora. Ta serviette dont tu es persuadée de ne jamais voir sa couleur en lui demandant à lui. Tu lui lances une grimace, cachée derrière ton mur, tu ne veux pas qu’il te voit, comme si tu lui en avais pas déjà trop dévoilé avec ces photos stupides. Il se rapproche de toi, son sourire narquois qui se trace sur ses lèvres divinement appétissantes quand elles arrivent à ta hauteur. Putain. A quoi il joue exactement ? Il se rapproche, beaucoup trop. Tu l’as sent, cette connerie, celle qu’il mijote tout seul comme un grand dans sa tête, là où tu n’arrives pas à percer les mystères. Il dépose ses lèvres contre les tiennes, un frisson qui parcourt la totalité de ton corps quand son torse se retrouve contre le tiens, contre ta peau mouillée. Tu te laisses faire, vulgaire poupée dans toute sa fragilité. Tes prunelles qui parcourent le long de son corps, trop près, beaucoup trop près du tiens. Ne fais pas la maligne, c’est toi qui le regrettera. Qu’est ce qu’il veut dire par là C’est une sorte de menace sexuelle à peine dissimulée ? T’en sais rien, ton cerveau est bugué, tes yeux toujours plantés sur sa peau à son tour dénudée. Tu ne réagis pas, comme si tu n’avais pas de contact masculin à ce stade d’ambiguïté depuis une éternité. Mais, finalement, c’est vrai. Tu n’as pas ressenti ce genre d’émotions depuis bien longtemps, cette sensibilité qui fait valser ton âme. Tes mains ne le touchent toujours pas, quasiment collées si ce n’est pas ancré dans le mur derrière toi. Pourquoi tu fais ça ? Je veux dire, tu devrais pas faire ça. Tu baisses tes yeux vers ton corps, à poil, t’es complètement à poil dans une douche des vestiaires hommes de la salle de sport et Ael est contre toi. Tu dissimules ton anatomie avec tes pauvres petites mains qui ne cachent absolument rien. Putain. Tu jures beaucoup trop. Je t’ai dis que je m’attachais vite et toi tu m’as dit de pas le faire là, tu m’embrasses et tu me plaques contre un mur quand j’suis à poil ? Tu soupires, toujours dans cette position de faiblesse, à tenter de te cacher. Tu fixes un point ailleurs, trop de questions. Elles s’entassent dans ta tête. Est-ce qu’il joue avec toi ? Peut-être, t’en sais rien. Tu voulais vérifier que c’était bien mon corps sur les photos ? Ta tête se pose contre le mur. J’comprends rien. C’est véridique, la, t’es perdue.
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i want you close // Leviel ♡ ※※※ Pourquoi avait-il laissé ses lèvres finir contre les siennes ? Bonne question, il n’en savait rien du tout, il en avait juste eu envie et voilà. Il ne réfléchissait pas tellement à ses actes, pas actuellement, pas quand il était dans ce genre de situation. Il n’avait jamais été dans cette situation c’est ça le pire dans tout ça. Le brun ne savait juste pas quoi faire, mais il respectait la jeune femme beaucoup pour laisser ses yeux glissaient que sa peau ou même pire que ses mains se posent sur elle. Il se retenait laissant juste ses lèvres contre les siennes avant de se reculer pour avoir de la distance, pour ne pas faire n'importe quoi parce que clairement il ne voulait pas la perdre. « Parce que j’en avais envie. » Pourquoi mentir après tout ? Il aurait et avait envie de plus, mais il essayait de comprendre pourquoi la blonde avait besoin de plus, il acceptait tout simplement. Sauf qu'elle finissait par poser trop de questions encore et toujours, c’était juste dans les gènes des femmes en fait. Il n'avait pas fait ca pour foutre le bordel dans sa tête ou un truc dans le genre c’était idiot, totalement mais c’était lui, il était comme ça tour en étant un tant soit peu respectueux face à ce qu’elle avait pu lui dire. « T’es sérieuse ? Pas une seule fois je t’ai regardé autre que dans les yeux ! Alors que je pourrais le faire si c’était la seule chose que je voulais. » Il secoua simplement la tête avant de se reculer un peu plus et carrément sortir de l'endroit où elle était. Clairement, elle ne comprenait pas que c’était différent des autres ? « oublie, c’était rien. » si c’était ce qu'elle voulait entendre, voila. Il pourrait sûrement s’ouvrir à elle lui dire qu’elle foutait aussi le bordel dans sa tête mais non, il prenait simplement ce qu’il avait besoin pour prendre une douche sans faire attention a la jeune femme, peut-être que c’était mieux après tout. Enfin c’était surtout enfantin, mais pour le coup il en avait marre qu'elle pense qu’il simplement coucher avec elle qu il ne respectait pas un tant soi peu ses valeurs à elle. Il faisait définitivement beaucoup d’efforts pour rien.
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Parce que j’en avais envie. Ses lèvres sur les tiennes, comme si tu en avais encore le gout sur les tiennes, c’était pourtant si bref et inattendu. Il te suffit de peu, si peu pour te retrouver dans tous tes états. C’est tellement simple avec toi de faire tourner ton cœur. De le bercer dans tous les sens. Tu es si sensible et naïve. Très peu de personnes sont au courant de cette facette de ta personnalité. Même ta famille est complètement à des années-lumière de la personne que tu peux être réellement. Il n’y a sûrement qu’Amyas qui a percé la bulle dans laquelle se trouve cette femme si fragile et il n’y a que lui que tu as laissé rentrer dans ton cœur. Il y a tellement de place pourtant là-dedans. C’est immensément vide, tu as ce besoin de combler, mais tu n’y laisses personne y rentrer, c’est paradoxal. C’est compliqué, c’est toi. T’es sérieuse ? Pas une seule fois je t’ai regardé autre que dans les yeux ! alors que je pourrais le faire si c’était la seule chose que je voulais. Il se défait de toi, son emprise qui n’en était pas tout à fait une sur toi. Il l’a mal pris, il n’a surtout rien compris. Tu ne voulais pas dire ça, il ne veut rien comprendre, il ne cherche pas à comprendre. Un déchirement dans ton cœur quand il s’éloigne de toi, son visage qui a perdu toute sa luminosité. IL a raison, il n’a rien regardé d’autres, il n’a rien cherché à faire d’autre avec toi, alors que merde. Tu étais à poil sous ses yeux de gars volage, de gars qui arrive à dire qu’il a une meuf « objet » dans sa vie. oublie, c’était rien. Tu es toujours contre ton mur, totalement démunie, totalement perdue, les questions qui se passent dans ta tête, sans réponses et tu comprends très bien que tu n’auras certainement pas les réponses que tu voulais. Il t’ignore, ses prunelles ébène qui ne se posent plus sur toi. Tu te sens effacée, comme une merde. Ça te fais mal, ça te fais chier. Il se dirige vers une douche, à son tour, tes yeux se détournent de lui quand tu l’aperçois lui aussi totalement nu. Tu es gênée, c’est complètement con, t’as vingt-trois ans, t’es mal à l’aise à la vue d’un mec à poil, mais c’est autres choses, c’est plus loin que ça. C’est Ael et son assurance qui envahit la salle. Celle qui se heurte à ton étonnante timidité qui contraste à ton caractère de merde à l’extérieur. Tu t’approches de lui finalement, il est d dos par rapport à toi. Tes doigts féminins qui se baladent le long de son torse quand ton corps vient se coller à son dos, cette fois-ci. Ta joue elle se pose sur son omoplate où l’eau ruisselle. Tu parles doucement et c’est quand même vachement déconcertant, toi qui parles souvent fort, pour marquer ta présence, faire croire que t’as un putain de charisme alors que tu parles si gentiment contre sa peau et que t’as aucun charisme finalement. Tu peux comprendre que je sais pas comment me positionner. Je sais pas ce que tu penses, peut-être que je serais pas. Tes mains caressent sa peau mouillée et ton souffle se colle à son épaule. Je sais que t’es pas comme ça avec moi et j’te fais confiance. Mais je sais pas ce que je dois faire et penser.. Je vais m’attacher Ael. Si c’est pas déjà le cas, c’est comme une alerte, pour le prévenir ?? Et j’sais pas si c’est grave ou pas. Putain, vous êtes à poil, l’un contre l’autre dans une douche commune de salle de sport. Ayez un peu de pudeur.
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