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Emergency ♪ Andrew

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Poppy poussa un soupir, roulant des yeux. Elle se trouvait dans une situation inconfortable dans tous les sens du terme, et cela semblait faire marrer Andrew. Je ne me fais pas du tout de films, tu es la mauvaise foi incarnée ! Tu mets notre histoire au passé alors que je ne souviens pas que tu aies cherché à te battre pour éviter qu'elle se termine.  Mais moi au moins, je l'ai bien compris, tu sembles ressentir beaucoup de choses mais ça n'aboutit à rien du tout au final, donc oui, je me détache expliqua-t-elle en dégageant une main pour se frotter les yeux qui commençaient à piquer. La blonde volcanique refusait de céder à son jeu, c'était ridicule. Il refusait de son côté de la laisser s'éloigner et tenter de faire sa vie, et l'américaine ne comprenait pas. Oh que si j'ai des raisons ! Tu te fous de ma gueule ? Tu ne veux juste pas me laisser essayer de vivre, d'aimer. Moi rester en mode peut-être ça ne m'intéresse pas ! secoua-t-elle la tête de droite à gauche, excédée. Cela n'amusait réellement que lui, au bout du compte. La preuve en fut avec son baiser, furtif mais bien réel, qui lui fit froncer les sourcils alors qu'il caressait ses lèvres du bout des doigts. Arrête. Arrête de jouer bordel de merde ! Tu ne vois pas que ça n'amuse que toi ?? Tu peux me dire ce que ça t'apporte alors que tu ne veux rien entre nous ? Lâche-moi, dégage et laisse-moi partir !!
@Andrew T. Koch
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Marrer est un grand mot, mais le jeune homme avait repris les reines de la discussion et surtout il avait réussi à calmer la belle blonde et ce n'était pas une mince affaire. « Pour ça je ne peux que te donner raison Poppy, mais tu ne découvres rien, j'ai toujours été de mauvaise foi ce n'est pas nouveau pour toi non ? Notre histoire au passé parce que malheureusement nous en couple c'est du passé et attention ne va pas me faire dire ce que je n'ai pas dis, je ne parle pas de futur où d’absence de futur. » Il ne jouait plus qu'à moitié le baiser posé sur les lèvres de la jeune femme n'était que là pour la calmer, pour qu'elle comprenne à quel point elle comptait pour lui, que le couple qu'il a formé avec elle était important et surement qu'il ne souffrira jamais d'une seule comparaison de sa part. «  Arrête de dire que je te prive de vivre sinon je vais m'en aller et tu verras qu'on ne peut pas vivre l'un sans l'autre... » Le baiser il en avait envie, elle le prenait mal tant pis, il pouvait lui proposer un deal, si elle l'acceptait tout irait mieux. « J'avais envie de se baiser, toi qui voulait ton Andrew qui prend ce qu'il veut le voilà. » Marquant une pause il enchaine «  J'ai quelque chose à te proposer, tu te tien calme, je dors sur le fauteuil et quand tu vas mieux je te laisse partir. »
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@Poppy A. Walton
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Andrew ne parlait pas de futur ou d'absence de futur mais c'était tout comme. Leur couple, c'était du passé, point barre, le message était suffisamment passé dans l'esprit de Poppy pour ne pas avoir besoin d'en rajouter encore et encore. Tu ne peux pas changer de disque ? Arrête de remuer le couteau dans la plaie et laisse-moi donc admettre que toi, tu vas vivre tranquilou ta vie ailleurs, avec une autre, et qu'il faut que je fasse de même bordel de putain de chiottes ! s'emporta-t-elle à nouveau mais à sa décharge, plus l'héritier Koch prenait la parole, plus elle avait envie de lui arracher les yeux, de l'étriper et de l'écarteler, tout ça en même temps s'il vous plaît. Chez les Walton, on ne fait jamais les choses à moitié et la volcanique blonde ne faisait aucunement exception. C'est nouveau ça, que tu ne peux pas vivre sans moi ! Tu y arrives très bien pourtant nota-t-elle en haussant les épaules, évitant soigneusement son regard bien que la donne ne soit pas évidente alors qu'il l'écrasait toujours de tout son poids musclé. Sauf que je ne comprends pas ce que tu veux, la voilà l'affaire. Mais c'est pas grave ! Nouveau haussement d'épaules alors que le deal était enfin posé. Il valait mieux qu'il dorme sur le fauteuil et évite de continuer à l'écraser, très clairement. Ce fut sans doute ce qui l'incita à accepter d'ailleurs. Deal. Sauf que Poppy attendit patiemment que ce dernier s'endorme - ou fasse mine de s'endormir - pour se lever du lit le plus silencieusement du monde, prendre ses chaussures à talons et quitter la chambre. Le pire, c'est qu'elle ne fuyait pas même pas, mais avait envie de s'en griller une avec tout ça, parce que ses nerfs à elle étaient toujours à vif.
@Andrew T. Koch
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Leur couple c'était du passé, c'est un fait, à l'heure actuelle rien ne laissait présager que ce pourrait être du futur, il en a envie, elle en a surement envie, mais voilà ce n'est ni le moment, ni l'endroit d'en parler, puis de toute manière vu comment elle est énervée, elle ne lui donnera jamais raison. «  Oui Poppy je veux te voir heureuse, te voir avec un autre homme me sera très difficile, je ne t'en cache pas. Mais si nous deux ce n'est pas possible pour des raisons qui te sont propres, je ne veux pas que tu sois seule. » Bon ok, elle faisait peut-être allusion à cette relation pré-naissante qu'il avait avec Willa, pour le moment elle n'était qu'une amie avec qui il couchait, mais tout évoluait tellement vite, il avait aussi des sentiments pour elle. Lui qui se voulait dur, devenait un cœur d'artichaut, tout tendre, tout onctueux et là il se foutait dans la merde à cause de ça. « Tu peux tout dire, surtout dire n'importe quoi, mais pas ça. Tu es mon équilibre, je ne peux pas vivre sans toi, c'est et ça sera toujours le cas, ne remet pas tout en cause Poppy s'il te plait. » elle était le seul et unique sujet pour lequel il pouvait être faible, pour lequel il pouvait verser une larme et il sentait que cela pouvait ne pas tarder, elle remettait tout en cause et c'est difficile pour lui.
Quand la jeune femme lui lança le deal il savait qu'il y avait anguille sous roche, mais pas grave il serra la main de la jeune femme, déposant un baiser sur la joue puis sur le front, il se posa sur le fauteuil. Le confort était spartiate, voir même absent, mais voilà la nuit était déjà entamé. Dire qu'il aurait pu dormir dans le lit de la jeune femme s'il avait fermé sa gueule, mais bon. Il somnolait quand un bruit le réveilla, plus de Poppy dans le lit, il y avait encore ses affaires, il allait donc se glisser dans ses draps et l'attendre...
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@Poppy A. Walton
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Poppy manqua de s'étouffer face aux propos d'Andrew. Pour des raisons qui ME sont propres ? Arrête ton char Ben-Hur, tu t'es trouvé quelqu'un en premier alors ne viens pas me faire chier avec tes petites piques ridicules... tu as fais ton choix le premier, maintenant oui, je m'ouvre au monde, je rencontre et j'espère bien trouver quelqu'un qui voudra de moi, de mon corps, de tout ce que j'ai à offrir ! appuya-t-elle bien la fin de sa phrase histoire que le message passe une bonne fois pour toute : l'américaine avait voulu leur redonner une chance, pas lui, fin de l'histoire. Inutile d'épiloguer davantage sur des "si" ridicules alors que de son côté il batifolait sans vergogne. Lorsqu'il arrêterait de prendre Poppy pour une conne, sans doute redeviendrait-elle tendre et fun comme elle l'avait toujours été mais en attendant, ce n'était pas gagné. Tu me forces à tout remettre en cause Andrew. Et je ne dis pas du tout n'importe quoi, je finis juste par constater que je t'avais un peu trop mis sur un piédestal maintenant la chute est vertigineuse, tu es un mec, tu réfléchis avec ce qui se trouve dans ton fute et voilà... je ne crois pas que ce soit moi ton équilibre. Arrête de te mentir là dessus Drew, tu te rendras service... reprit-elle de façon plus apaisée, avant d'accepter son deal... en apparence. L'actrice avait la bougeotte et se montrait incapable de rester à un même endroit - surtout à côté de lui d'ailleurs - plus de cinq minutes d'à filée. Aussi en profita-t-elle pour sortir de la chambre et prendre l'air, ne revenant qu'une bonne demi-heure plus tard, constatant qu'au passage, il en avait profité pour se glisser sous ses draps. Qu'est-ce que tu fiches ? C'est mon lit je te rappelle ! Puis côté privilège, il y avait renoncé merde !
@Andrew T. Koch
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Il comprenait mieux tout, voilà pourquoi elle avait totalement changée de façon de faire, de façon d'être, la raison était simple et portait un prénom Willa, « On y vient, on tournait autour du pot et maintenant on y est, tu me reproches quoi exactement ? J'ai trouvé quelqu'un, tu sais quoi j'en suis le premier au courant. Je me disais tien Poppy est bizarre, mais tout s'explique mieux, raconte moi tout ce que tu sais, que je sois au moins au courant. » Il n'était en couple avec personne et n'avait pas besoin de mentir à Poppy pour lui faire plaisir, mais si elle ne supportait plus qu'il papillonne à droite ou à gauche il pouvait comprendre mais de là à lui prendre la tête pour rien c'était autre chose. « Alors je réfléchis peut-être avec ce que j'ai dans le pantalon Poppy, je ne peux pas le nier, mais la seule chose que je ne peux pas te laisser dire c'est que tu n'es pas mon équilibre, sans toi ma vie n'est pas la même. Je te demande juste de ne pas remettre en cause ça, s'il te plait » dans ses yeux de la sincérité, il y en avait toujours, mais là elle pouvait même voir qu'ils se mettaient à briller, les larmes n'étaient pas loin, pour lui les mots qu'elle sortait lui faisaient comme des coups de couteaux.
C'est a moitié réveillé car à l'attendre il s'était endormit qu'il fut surpris par la belle blonde dans son lit, elle puait le tabac à plein nez. Andrew en avait marre, monsieur grognon faisait trente kilos de plus qu'elle, elle allait comprendre ce que c'était de le froisser. La choppant par le bras encore une fois violemment, la deuxième fois de sa vie avec Poppy, la deuxième fois aujourd'hui. Il la mit sur le lit, se couchant à coté d'elle. Loin d'un coup qui dort dans les bras, elle était dans les bras du jeune homme, mais pas de son plein gré « Il est trois heures du matin, dans quatre heures tu pourra certainement partir. Comme je ne peux pas te faire confiance, ça va être simple je vais te tenir, comme une enfant »
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@Poppy A. Walton
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Mais je ne te reproche rien, je constate ! roula-t-elle des yeux, exaspérée de devoir se justifier sur ce qui tombait sous le sens. Elle a essayé une robe pour te plaire et m'a dit que tu ne l'avais même pas invitée au bal ! Tu m'as invitée moi à la place, alors qu'elle te plaît, tu lui plaît, je n'ai pas ma place là dedans et je ne veux pas en avoir une. Jouer les bouche-trous, tu sais très bien que j'ai horreur de ça ! J'aurais juste préféré que tu aies les couilles de me le dire en face plutôt que de l'apprendre de quelqu'un d'autre, et de me ridiculiser à espérer quelque chose qui n'arrivera jamais ! Tu ne joues pas franc jeu et c'est détestable, maintenant tu sais ce que j'en pense ! Content ? vociféra-t-elle sans aucune douceur, car non seulement elle détestait qu'il joue avec les sentiments d'une jeune femme qui paraissait top, mais avec les siens en prime. C'était un peu toutes les deux qu'elle défendait ce soir. Bah tu malmènes vachement ton "équilibre" en agissant comme le dernier des cons et des égoïstes... jamais je ne t'aurais fait une chose pareille, jamais ! T'as tout cassé, point barre. Sans doute qu'il s'agissait là de la raison ultime pour laquelle Poppy refusait de dormir, afin de ne surtout pas cauchemarder et se retrouver faible face à Andrew. Sauf qu'à son retour de petite balade, ce fut avec la plus grande violence qu'il l'allongea à nouveau sur le lit, la serrant si fort qu'elle ne pouvait pas se dégager. C'est toi qui agis comme un gamin ! Depuis quand tu veux contrôler tous mes faits et gestes ? Tu t'es retiré toi-même ce droit il me semble... pionce tant que tu veux va, toi il n'y a rien qui pourrait t'en empêcher !
@Andrew T. Koch
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« Tu constates de la merde Poppy » agacé, attristé, il commençait à perdre pied et ne voulait pas la perdre elle « Ah, mais elle parle, elle se confie, mais c'est une grande fille la Walton. Pourquoi aurais-je donc invité ma meilleure amie, qui est aussi mon ex, qui est aussi accessoirement la seule femme que j'ai aimé, qui est aussi une fille avec qui je me verrais avoir des enfants à un bal de promotion ? Le vilain Andrew, parce qu'il en avait envie peut-être ? Parce qu'il se disait que ça pourrait relancer leur histoire non ? Non pas du tout, uniquement parce qu'il en aime une autre, avec qui il pouvait aller au bal, mais il préférait boucher un trou qui n'existe pas avec sa blonde... » odieux ? Oui il sait l'être, elle connait tous ses cotés, mêmes les plus mauvais et elle fait face au pire qui existe, celui d'un Andrew qui est un peu bancale, qui perd pied et qui sent qu'il perd sa Poppy... « Si tu le dis, je suis odieux, je suis méchant, bah demain quand tu sortiras tu n'auras qu'à faire une croix sur moi, tu en as l'air capable, alors fait le pour nous... »

Poppy dans ses bras, même sans son accord lui faisait du bien, il sentait ses cheveux, il agissait comme le dernier des connards, mais pas grave elle devait rester là, à l’hôpital, quitte à ce qu'elle le haïsse ensuite. « Je t'ai fais une promesse, veiller sur toi, dans ta maladie et tout ce qui est rendez-vous médical, je suis là, je reste là. Pour ce qui est de dormir, rien ne m'en empêche si ça peut te faire plaisir, pense ça. » bon elle avait raison, même avec des soucis il dormait comme un bébé, ce n'est pas de sa faute.
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@Poppy A. Walton
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Les mots d'Andrew étaient à leur tour tels des poignards, autant de dagues aiguisées lancées sur le cœur de Poppy qui essayait tant bien que mal de rester la tête hors de l'eau alors qu'il l'enfonçait de cette manière. Ce fut plus fort qu'elle, la gifle partit toute seule avant qu'elle ne le pousse, folle, folle de rage, folle de désir, folle d'amour, folle de tout. Et il faut que je te pousse dans tes derniers retranchements pour que tu me dises tout ça, hein ? T'es un connard Koch ! Tu me repousses, tu ne veux pas de moi, tu joues et maintenant tu te verrais avoir une vie avec moi, une famille ? T'es... Trop de cruauté d'un coup qui poussa l'américaine à cacher son visage entre ses mains. Jamais elle ne pleurait, jamais elle ne se lâchait à ce point, mais là c'était bien trop pour qu'elle ne puisse le supporter. C'est toi qui n'es pas capable de te battre pour nous. Tu me sors des choses cruelles, tu me fais du mal mais tu n'en feras sûrement rien... déglutit-elle, la mâchoire serrée, essuyant ses larmes d'un geste plus doux. La demoiselle essayait de se calmer, autant qu'elle le pouvait, si toutefois une telle chose était possible. Mais après sa balade, se trouver dans ses bras restait une torture de toutes les secondes. Tu n'as pas besoin de me prendre en pitié. Quand je ne serais plus là, tu auras moins de soucis alors dors.
@Andrew T. Koch
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Quand Andrew se confiait il lui faisait du mal, quand il ne se confiait pas il lui faisait du mal , il était dans une sorte d'impasse ou elle lui tombait dessus à chaque fois, alors bon il souffrait, souffrait en silence et il laissait passer l'orage, après la pluie vient forcement le beau temps, même si dans certains pays il ne fait pas beau très longtemps. «  Je ne te repousse pas, je ne joues pas avec toi. Tu me repousses, tu me jettes pour des raisons pourrie que tu as entendu pendant un essayage de robe. Oui j'ai sympathisé avec la petite Willa, oui je l'aime bien, oui j'ai couché avec elle. Mais Poppy combien il y a de filles que j'aime bien dans le campus, combien il y a de fille que j'ai sauté. Tu ne m'as jamais tapé de scandale. Et ne me fais pas la fille qui m'attends depuis toujours, t'es mère. Tu as refais ta vie avant moi, j'ai hurlé ? Non pas du tout, j'ai attendu que ça se tasse, pour qu'on se mette ensemble si ça ne marchait pas. On parle de Poppy la bouche trou où la cinquième roue du carrosse ? Tu échange un peu les rôles non? voilà une larme qui coulait sur la joue du jeune homme, il ne pleurait jamais, il n'hurlait jamais, encore une fois sauf avec elle...

« Il n'y a pas de pitié Walton, surement de l'amour, uniquement ça, mais faut croire que pendant l'accident tu 'as prit un coup dans le cœur, pour devenir aussi odieuse que tu l'es. » dit-il en la serrant contre lui, elle prenait ça sous la contrainte, lui était bien avec elle dans ses bras.
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@Poppy A. Walton
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