Confessions très intimes (AROME)

Après cette incroyable partie de jambes en l'air, ta nouvelle amante te proposait d'aller prendre une douche, ce que tu acceptais sans hésitation, tu voulais sentir son corps tout contre le tien sous l'eau qui ruissellerait sur vos deux corps réunis. Du coup, tu l'avais embrassé avant de te lever puis tu la portais comme une princesse jusqu'à la salle de bain. Tu lui proposais de lui trouver un t-shirt mais sa réponse te fit vraiment plaisir, même si elle se ravisait presque aussitôt parce qu'elle ne voulait pas t'empêcher de trouver le sommeil. « Cela ne me dérange pas... Je veux bien que tu dormes nue avec moi ce soir » dis-tu en rougissant légèrement avant que tu ne la poses au sol et que vous ne vous retrouviez sous la douche. « Tu veux bien rester alors ? » demandas-tu alors que tu commençais à lui caresser doucement le dos tout en le lavant tranquillement. Ce n'était pas la première fois que tu prenais une douche avec une fille mais par contre, cette fois c'était vachement excitant. Quoique... Tu te demandais ce qu'elle allait ressentir en découvrant les vilaines cicatrices que tu avais dans le dos. Non tu ne voulais surtout pas parler de choses tristes ce soir ! Tu te sentais trop bien actuellement.

Côme a envie que je dorme avec lui ce soir et pourquoi pas nue. Le voir rougir me fait rougir à mon tour, puis je ris doucement en hochant la tête. Ouais, j'ai pas envie d'être seule ce soir... Parce que là, il a réussi à me changer les idées complètement, j'pas envie de gâcher tout ça en retournant péter tranquille chez moi. Puis il est tard quand même. Je me retourne pour lui laisser accès à mon dos et ne me retourne pas tant qu'il n'a pas terminé de me laver et rincer. Je souris à Côme et attend qu'il se retourne à son tour pour l'imiter... Mais voilà que j'ai une vue sur ses muscles et surtout, des cicatrices dont je n'avais jamais entendu parler avant, ni vue. J'hésite à lui en parler... mais mon instinct me dit qu'il vaut mieux ne pas lancer cette conversation, parce qu'il y a quand même beaucoup de cicatrices, ça ne peut pas être une petite blessure mineure. Je m'approche donc de son dos pour y déposer mes lèvres, j'embrasse doucement ses marques, au fur et à mesure que je rince le savon de sur lui.

Tu ne pouvais pas la laisser partir, même si tu n'arriverais sûrement pas à dormir. Il va s'en dire que voir la jeune femme nue à tes côtés, éveillerait complètement tes sens ainsi que ton désir qui n'était pas encore totalement rassasié en vérité. Mais tu te disais que c'était clairement le début d'une longue série de baises avec la femme qui t'intéressait le plus au monde. « D'accord, je suis content que tu restes avec moi » répondis-tu finalement avec un petit sourire, alors que tes joues étaient rouges. Par la suite, tu t'étais mis à lui laver le dos tranquillement, minutieusement et tu n'avais pas pu t'empêcher de donner un baiser sur son dos de part et d'autre, puis tu finis par le rincer. C'était désormais ton tour, mais tu te mis à déglutir légèrement parce que tu allais désormais lui dévoiler tes vilaines cicatrices... Les signes de ta longue maltraitance quand tu étais plus jeune... La jeune femme s'était mise à te laver le dos et elle t'embrassait les marques petit à petit jusqu'à ce que tu sois entièrement lavé. Tu te retournas vers elle, pour l'attirant contre toi alors que tu prenais le pommeau de douche pour vous arroser pendant le baiser que vous échangiez maintenant.

Il est content que je reste avec lui... et pour être bien honnête, j'étais contente de rester aussi. J'ai déjà oublié mes problèmes, je ne pense à rien d'autre qu'à lui et je sais que si j'devais retourner chez moi, je me remettrais à trop réfléchir. Côme me lave le dos, puis je lui lave le sien. Ses marques étaient difficiles à ignorer, mais je ne compte pas lui en parler... pas ce soir du moins. J'ai envie de rester dans notre petite bulle de bonheur, de satisfaction encore un petit temps. Néanmoins, je m'approche de lui pour embrasser ses cicatrices, souhaitant tout de même lui faire comprendre que ça ne me répugnait pas - admettons qu'il y songeait en silence. Après l'avoir complètement rincé, le jeune homme se retourne pour me voler un énième baiser. Pris de court, je prolonge langoureusement celui-ci en laissant tomber les bras le long de mon corps. L'eau nous arrose, la chaleur nous enivre et encore une fois, j'ai la tête lourde et je me laisse border par ce baiser étourdissant. Ma main se pose alors sur son torse et je le caresse sans précédent.