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Harlin ✱ Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin

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Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

Je regarde la jeune femme. Elle vient de me repousser en fait. Elle vient de le faire violement. Et je me rends compte que je suis perdu. Je ne m’attendais pas à ça. Encore moins à cette réaction. Je parlais d’amitié. Je parlais de ce lien qui nous unit. Pas de plus. Donc c’est ça. C’est le plus qui la gêne. Je pince mes lèvres. Je me retrouve face au mur vide. Tête baissée par mes mots. Et elle va sur son lit. Je tourne les yeux vers elle. Je soupire. Je la regarde. Je décide de m’accroupir. Je pince mes lèvres lentement. Je soupire doucement. Kenny .. Je ne joue pas avec toi. Ce n’était pas ce que je voulais dire… Juste que … Voilà… Je me sens ridicule. Elle a l’air dévasté. Et j’ai l’air d’un idiot. Je soupire doucement. Je me redresse lentement. Je me mets face à elle. Et je l’embrasse. Elle. Rien qu’elle. Comme si c’était la fin d’une nouvelle fois air. Je dépose ma main sur sa joue. Je l’embrasse encore et encore. J’ai l’impression de réaliser le baiser d’adieu. Je ne voulais pas te vexer. Je suis désolé… Murmures qui s’annoncent. Je me détache d’elle. Mais je reste au-dessus d’elle. Je vais me noyer dans cette spirale. Je vais finir par me brûler. Je vais finir aux enfers à cause d’elle. Mais j’aime tellement ça. C’est si impossible voir fou. Mais je continue.

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Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @FRANKLIN Z. DE SPOELBERCH  

Franklin s’approche de moi, s’accroupissant tout près de moi alors que mon visage se retrouve entre mes mains. Je me sens hyper mal. Je sens que je suis en train de faire une crise, et je n’ai pas pris mes médicaments. Tout ce que je ressens à l’intérieur de moi s’amplifie et j’essaye au mieux de gérer, mais je n’en ai plus les forces. Mon visage se retrouve entre mes mains, il m’accusera encore de péter des câbles à longueur de journée quand il est près de moi. Je l’entends soupirer près de moi, ses mots. « Juste que quoi ? » demande-je la voix brisée. Son voilà sonne comme si j’étais censée comprendre un traitre mot de ce qu’il me raconte. Je le sens bouger, je me redresse doucement aussi, il est assis près de moi, m’obligeant à me tourner vers lui. Ses lèvres viennent contre les miennes. Un baiser en guise de réponse. Pas tout à fait sur que cela me convienne, je suis bien trop résignée pour lutter. Je me laisse faire, avant de doucement recouvrir sa main posée sur mon lit, de la mienne. Sa main vient caresser sa joue et seulement à cet instant, je me mets à répondre à ce baiser, éperdue de lui. Ses mots viennent titiller mes larmes qui se mettent alors à couler le long de ma joue alors qu’il se détache de moi. Je suis fatiguée de cet amour impossible, mais hoche doucement la tête, séchant mes larmes silencieusement du dos de ma main. « C’est pas de ta faute, c’est moi … Je suis juste … enfin tu sais. » Oui il sait, Harper. Ca fait des années qu’il est là à te soutenir dans tes crises. Il sait crois-moi. Il ne sait juste pas que tu as arrêté ton traitement et que tu fais semblant de le prendre depuis des semaines. Il vient d’ailleurs m’embrasser à nouveau, mes mains viennent envelopper ses deux joues, je ferme les yeux. Ce baiser pourrait bien me faire oublier qu’il me rend malade.

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— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

Je me sens idiot de la situation. Elle a l’air tellement mal. Ce n’était pas ce que je voulais. Qu’elle soit ainsi. Et pourtant je l’ai provoqué. Je pince mes lèvres. Je la regarde. Et j’essaye d’articuler quelque chose. Idiot. Je n’arrive pas à prononcer ce que je veux dire. Je n’arrive pas à l’avoir pour moi. Je n’arrive pas à lui dire. Elle se bloque de nouveau. Et voilà que je lui relève la tête. Je l’embrasse. Je veux qu’elle comprenne. Mais je suis nul pour ça. Je caresse sa joue. Elle arrive à me répondre. Un vrai baiser. Je l’embrasse une nouvelle fois rapidement. Je dépose mes doigts sur ces joues. J’essuie ses larmes. Je caresse ses joues. Je sais. Et jamais je te détesterai pour ce que tu es. J’embrasse avec lentement son front. Je ne me vois pas l’embrasser une nouvelle fois. Je la regarde. Je souris doucement. Je passe mon doigt sur son nez. Je lui souris faiblement. Un peu petit plus. Je suis bien. J’en pince mes lèvres. Je la regarde. Tu veux que je dorme ici ce soir ? Je lui demande. Je pose la question. Je ne veux pas de problème. Juste savoir si elle a besoin de moi. Ou si elle veut de moi aussi. Je ne veux pas la forcer.

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— with @FRANKLIN Z. DE SPOELBERCH  

Ses lèvres encore et encore. Ses lèvres alors que je pleure. Ses lèvres alors que je me sens minable. Il me relève le menton, essuie ces larmes de désespoir, de crise, de ses doigts. Je le regarde droit dans les yeux. Il le voit, il le sent j’en suis certaine, la douleur qu’on s’inflige tous les deux. Mais il ne s’arrête pas là, il caresse mes joues alors que je suis triste. Il est là au final, plus rien ne devrait m’importer, et c’est le cas. D’ailleurs ses mots me réconfortent, il sont importants. Je m’approche de lui et viens me blottir dans ses bras tandis qu’il m’embrasse le font. Un sourire se dessine sur son visage alors que je me détache lentement de lui et il touche le bout de mon nez de son index. Je finis par sourire aussi, baissant les yeux. Je prends sa main. « Oui s’il te plait. » J’ai toujours envie de lui à vrai dire. Je ne devrais pas, mais c’est le cas. Je tire sa main lentement vers moi et l’embrasse de nouveau. Je le regarde alors presque timidement. « Et … » murmurais-je sans pouvoir continuer ma phrase jusqu’au bout. « Fais-moi tout oublier. Comme si il n’y avait que nous deux … rien qu’une fois … juste pour ce soir. » lui demande-je. Je ne veux plus pleurer, je veux simplement trouver le bonheur, dans ses bras, rien qu'une fois, à faire semblant qu'on est le Zéphyr et Harper dont nous rêvons tant.

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— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

Je sens sa détresse. Je sens son mal-être dans ses mots. Je viens embrasser son front lentement. Je viens caresser son dos également. Mais voilà. Elle me tire la main. Elle m’embrasse. Je ne peux pas m’empêcher d’y répondre. Ses lèvres sont divines. Ses lèvres sont parfaites. Je fonds. Je vais devenir faible. Elle me regarde. Elle est silencieuse. Elle a du mal à parler. Elle a du mal tout court. Je caresse sa joue. Très lentement. Comment tu veux que je fasse ça ? Dis le moi s’il te plait Kenny … Parce que je veux l’entendre. Je veux savoir comment faire pour la mettre à l’aise. Comment faire pour lui faire plaisir. Je veux savoir comment. Comment la rendre heureuse. Comment faire pour qu’elle dorme. Comment la rendre sereine. Je veux tout savoir. Je lui souris faiblement. Je lui embrasse les lèvres. Une première fois. Et je finis par caresser ses doigts. Ses doigts le long de son corps. Ceux qui m’ont tiré à elle. Ceux qui m’ont permis de l’avoir proche de moi. Je veux savoir. Je veux découvrir. Je veux l’avoir. Je profite mais pourtant j’ai mal. Mal qu’elle me repousse. Mal qu’elle essaye. Mal qu’elle veuille le faire.

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— with @FRANKLIN Z. DE SPOELBERCH  

Je l’embrasse encore et encore. Je veux juste oublier cette situation horrible et passer un moment paisible avec lui. Lui qui a toujours su comment faire lorsque j’avais une crise. M’apaiser, me réconforter. Par ses mots, ses étreintes, sa présence. Il caresse ma joue. Je prends sa main dans la mienne, l’entrelaçant alors que je le regarde droit dans les yeux. Il me pose cette question. J’ai envie de répondre par ‘Aime-moi ?’ J’ai envie de le lui dire mais les mots ne sortent pas alors que je les sens hurler au fond de moi. Au lieu de ça, je continue de le regarder. « Tu sais déjà tout ce qu’il faut faire …  » Il sait très exactement. Ca fait des années qu’il fait ça. Sauf que cette fois-ci, je le veux différemment. Ne serait-ce que pour cette nuit … « J’ai envie de toi … » murmure-je tout près de ses lèvres avant de m’y perdre dans un nouveau baiser tendre, doux et irrévocablement amoureux. Je caresse sa mâchoire puis sa nuque avant de m’approcher plus près encore de lui.

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— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

Le regard posé sur elle. Je me sens comme si faible. Elle a le don unique de m’avoir dans ses filets. Un plaisir ultime de découvrir que j’ai besoin d’elle. L’amour insensé de pouvoir l’avoir rien que pour moi. Je caresse son corps légèrement. Juste légèrement. Je ne veux qu’elle. Et elle me le dit aussi. Finalement. C’était une bonne idée de venir. De se prendre la tête pour pouvoir l’avoir toute la nuit. Je caresse ses lèvres. Elle m’embrasse. Ses mots. Ses paroles. Je fonds. Je deviens trop faible face à elle. Moi aussi …  Bien plus que je ne l’aurais imaginé. Beaucoup trop faible pour résister à ça. Je me baisse légèrement pour attraper ses jambes. Et finalement je laisse la nuit s’occuper de nuit. La pleine nuit nous observera alors. Le plaisir de l’avoir proche de moi. Le plaisir de la sentir sous moi. Mais contre moi ensuite. Je ne sais pas si c’était une bonne idée. Je ne sais pas. Et je ne veux pas savoir. Je sais juste qu’elle m’a rendu heureux cette nuit. Je sais juste qu’elle m’a rendu intacte cette nuit. Elle m’a rendu à elle. J’étais à elle. Sans doute trop à elle. Mais j’étais bien avec elle. Et quand tout sera terminé. Je me poserais. Je la prendrais dans mes bras. Et je serais là à son réveil. Je pourrais ainsi l’avoir pour moi jusqu’au matin. L’avoir contre toi. Mon bras autour de son corps. Ces derniers tournés la fenêtre. Et mes lèvres sur son épaule. J’aurais bien voulu rester. Mais les cours m’attendaient. Et je ne devais d’être en retard. Alors le mot serait visible sur ce téléphone. Un mot que celle elle pourra lire

Des mots qui m’auront brisé. Parce qu’elle était amoureuse de cet homme. Et parce que je n’étais rien face à lui.  

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— with @FRANKLIN Z. DE SPOELBERCH  

Triste. Cette nuit résonne déjà comme un souvenir. Nous sommes tous les deux là, comme deux amants en tant de guerre. Nous savons que nous en avons pour une nuit. Une nuit illégitime. Il repartira demain à l’aube, me laissant seule avec ma culpabilité, mes remords, ma tristesse. Parce qu’on ne peut pas aboutir à ce que nous souhaitons. Je tente de me résigner. Ce n’est pas si grave Harper de vivre dans le déni. De te déchirer le coeur parce que tu sais que lui, tu ne l’auras jamais pour toi. Il ne sera jamais vraiment à toi, mais à plusieurs femmes à la fois. Et il te fera du mal. Il te brisera le coeur en tellement de morceaux que tu ne pourras plus jamais le recoller. Tu le sens, c’est aussi viscéral que ton amour pour lui que tu continues de dissimuler avec un acharnement redoutable. Tu as peur de le perdre aussi. Etre avec lui c’est prendre le risque de voir un jour votre amitié partir en fumée. Et le perdre définitivement reviendrait à perdre une part de toi. Il t’as vue grandir, il t’as connue dans chaque étape de ta vie. Connue dans tous tes états. Alors on fait quoi maintenant ? On se résigne Harper ? On se résigne. Je l’embrasse avec une douceur infinie. Un baiser qui veut absolument tout dire. Un baiser qui lui expliquera ce que je ne peux dire à haute voix. Nous avons fait l’amour cette nuit là, tendrement, sensuellement avant que je ne finisse par m’endormir nue dans ses bras. Tout contre lui, jusqu’à l’aube. La lumière du soleil nous réveilla, je n’avais pas envie qu’il parte. Mes cours ne débutant que l’après-midi, je ne voulais pas qu’il me laisse seule à mes mauvais songes. Qu’il reste encore un peu, ne serait-ce que pour me sentir encore bien dans ses bras. J’ai la frustrante sensation de ne pas avoir assez profité de ses bras, laissez-le moi encore un peu. Mais il est parti. Mes draps de satin ont encore son odeurs, sa place est encore chaude de sa présence. Je prends mon téléphone et lis son message. Je ne sais pas dans quel sens je dois le comprendre. Je sais que j’ai merdé, qu’il faudra que je le dise à Alejandro, que je suis paumée. Je me laisse alors retomber sur mon lit. Le cerveau débordé de sombres chimères.

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HJ : Fin du rp j'imagine ? Harlin ✱ Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin - Page 3 3850463188 (horrible au passage ..)
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