Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHarlin ✱ Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin - Page 2
Le deal à ne pas rater :
Pokémon Évolutions Prismatiques : coffrets et dates de sortie de ...
Voir le deal


Harlin ✱ Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

Je la regarde. Je ne lui ai jamais dit ça. Encore moins que j’avais couché avec. Quoi que ça a dû sortir un jour. Mais quand ? Je ne sais plus. Mais qu’importe. Je la retrouve contre le mur. Je veux voir ses yeux. Je veux la voir dire ses mots. Le mensonge. La triche. Tous ses mots. Je sais les trouver chez une personne. Je connais chaque mimique. Chaque mouvement de peau. Je sais reconnaitre tout ça. Mais j’écoute. Je la fixe. Je l’observe. Je l’analyse. Je la traque. Elle s’échappe. Elle m’a posé trop de questions. Je suis perdu. Je dépose ma main sur ce mur. Je suis silencieux. Je soupire même. Et je me tourne vers elle. Ce n’est pas ce que je veux moi. Je ne veux pas marier avec elle. Avoir des enfants avec elle. Rien. Je te veux toi ! Toi et personne d’autre Harper bordel ! Tu m’entends ! Arrête de faire la sourde un peu ! J’ai toujours pris soin de toi. Pourquoi est-ce que j’arrêterai si on essaye ?! Je la regarde. Je déglutis légèrement. Je pince finalement mes lèvres. Bien sûr que je veux être avec elle. Bien sûr que je la veux elle. Mais là. C’est trop compliqué. Et elle fait tout pour que ce soit compliqué. Je passe ma main dans mes cheveux. J’en avais marre de me prendre la tête. J’en avais marre qu’elle me mette de côté.

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @FRANKLIN Z. DE SPOELBERCH  

« Parce que là c’est différent ! Tu es mon meilleur ami Zeph, et jamais je ne supporterais de te faire subir ça si tu étais avec moi. Tu ne te rends pas compte à quel point je suis … » Cassée ? Fêlée de l’intérieur ? Qui voudrait être avec une personne comme ça ? Je le regardais avec force et faiblesse. J’avais une envie folle d’être sienne. D’être la seule et l’unique pour lui. Mais trop peur de le perdre pour franchir le pas. Trop de complications. Dans mon fort intérieur, je ne pouvais m’empêcher d’imaginer qu’un jour, lorsque j’irai mieux, nous pourrions nous retrouver. S’il n’est pas avec une autre. Dans ce cas, je serais condamnée par ma propre faute. Mais il ne se rendait pas compte de ce qu’Alejandro allait endurer avec moi, lui que j’avais tant repoussé pour des raisons plus qu’évidentes. Il était arrivé à un moment où je comprenais enfin ce que je ressentais pour Zeph, et désormais c’était mon meilleur ami qui me demandait de le quitter pour lui. Je soupirais avant de continuer plus calmement. « Je sais ce que tu penses. Mais je n’ai pas la moindre envie d’infliger ça à qui que ce soit. C’est pour ça qu’Alejandro et moi ne sommes pas ensemble. Et … tu sais qu’à la seconde où toi et moi nous serons un couple, notre histoire prendra fin. » Je m’approchais de lui dangereusement, glissant ma main sur sa joue, le regardant droit dans les yeux. « Pour rien au monde je ne voudrais une telle chose … » J’avais envie de le lui dire. Ces mots, mais n’en trouvais pas la force. Il s’agissait de Zeph et j’étais encore trop apeurée par sa réaction. Je baissais les yeux.

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

Et je m’énerve. Je me prends la tête avec ma meilleure amie. Pour une histoire de cœur. De cul. De sentiments. Et d’émotions. Je rêve. Différent ? Très bien. Donc je suis incapable de satisfaire une femme telle que toi c’est ça ? Attends je te supporte tous les jours. Avec ta maladie. Tes crises. Tes besoins de dormir avec quelqu’un. Tes cauchemars. Et je ne peux pas gérer ça si nous sommes ensemble ?! C’est une grosse blague ! Je la regarde. Je commence à m’énerver réellement. Elle se fout de ma gueule. Sérieusement. Elle se fout ouvertement de ma gueule. Je fronce les sourcils. Elle parle. Elle me parle de l’autre. Je soupire. Je vais m’en occuper. Elle ne va rien comprendre. Je soupire. Mais je veux être égoiste. Pour une fois. Juste entre elle et moi. Juste moi. Juste elle. Je m’approche d’elle. Je viens de lui embrasser la joue lentement. Elle est si proche de moi. Elle est si belle. Elle est si intense. Je viens ajouter.  Je veux essayer. Juste toi et moi. En secret. Je m’en fiche. Juste toi et moi… Kenny. J’ai envie d’être à toi. J’ai envie que tu sois à moi. J’ai tellement envie de t’appartenir. Toi et seulement toi. J’ai tellement envie de toi chaque jour Kenny… Le chuchotement à chaque parole. Chaque mot. Chaque vérité. Je viens de lui avouer. Je n’ai jamais autant parler à une femme. Surtout sur ça. Je n’ai jamais compris l’utilité de parler à une femme comme ça. Je n’ai jamais compris pourquoi une femme était si compliqué. Je caresse sa joue. Mes lèvres sont si proches des siennes. Je n’ose pas. Je ne veux pas tout détruire. Tout cet échange. Mais j’en ai tellement envie. Je veux tellement le faire.

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @FRANKLIN Z. DE SPOELBERCH  

A l’écouter, je fronce les sourcils tant j’ai l’impression qu’il a à faire à une folle. Moi. Je me sens horriblement mal qu’en tant qu’ami déjà, il ait à subir tout ça de ma part. Mais ce bougre veut plus ! Comment peut-il vouloir d’une tarée comme moi ? Je suis si proche de lui, je le regarde droit dans les yeux alors qu’il énumère chaque chose qui fait de moi une personne si compliquée, et j’en ai les larmes aux yeux. Je ne peux plus les retenir, je fond en larmes en face de lui. Je déteste ça. Une nouvelle crise. Je mets mon visage entre mes mains alors que je sens son regard sur moi. Il doit tellement en avoir marre de moi, et je suis fatiguée de le repousser. Je ne tiendrai pas éternellement. Il s’approche de moi, je me recule frénétiquement avant de revenir finalement vers lui. Je ne sais plus trop ce que je fais, je me laisse juste embrasser sur la joue. Je soupire. C’est trop dur. « Je ne sais vraiment pas pourquoi tu fais tout ça c’est vrai, je suis juste … impossible Zephet tu le sais. » Non, je ne comprends pas. C’est probablement son côté protecteur qui fait surface, autrement je ne vois pas. Mais il reprend en chuchotant. Chacune de ses paroles résonne en moi comme un enchantement. Il est tout près de moi. Je ressens son souffle. Je veux ses lèvres et mon coeur bat à mille à l’heure. Je le regarde les yeux dans les yeux tandis que je prends cette main qui caresse ma joue dans la mienne. Je ferme les yeux le temps d’une seconde avant de les rouvrir. Je sens son souffle heurter le mien. Je m’approche lentement de ses lèvres sans pour autant les toucher. Je reste, quelques secondes comme ça, soupirant de plus en plus fort tant l’envie et le désir, la tension viennent se mêler à la situation. Je murmure tout bas. « J’en ai envie aussi … » Je baisse la garde, il me rend si faible.

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

J’aurais tellement aimé ça. Que tout se passe bien. Que tout finisse bien. Mais non. Impossible de ça. Je soupire. Je passe ma main dans mes cheveux. Je suis totalement perdu. Mais c’est trop tard. Elle est en face de moi. Face à moi. Face à ce que je suis. J’ai parlé. Elle a parlé. Elle est trop proche. Elle est bien trop proche de moi. Sa main sur ma mienne. Je sens mon cœur battre. J’accentue la chose. J’entremêle doucement mes doigts aux siens. Et elle s’approche. Je suis si faible face à elle. Je sens son souffle. Je sens mon cœur. Elle me fait faiblir. Elle me fait tellement tombé de tout. Et je lâche prise. Ses lèvres étaient beaucoup trop proches. Beaucoup trop belles. Je viens de les retrouver. J’ai retrouvé leur gout. J’ai retrouvé leur sauvagerie. Je peux mourir en paix. Je l’embrasse. Je caresse sa joue. Je me noie dans ses mouvements. Je prends même du plaisir à l’embrasser. Nous étions dans sa chambre. Et pourtant j’avais l’impression d’être seul. Totalement seul avec elle. Cassant les codes. Détruisant les limites. Je prends sur moi. Je prends sur mon envie. Je suis obligé de me détacher d’elle. Je manque de souffle. Je manque de temps. Mon front se colle au sien une seconde. Je sens l’excitation. Je sens le plaisir venir. Mais je murmure. Si proche de ses lèvres. Presque à cette feuille invisible qui nous sépare. Qui sépare ses lèvres des miennes. Soit mienne cette nuit. Parce qu’il était tard. Parce que je la voulais. Parce que j’avais envie. Parce que je voulais dormir avec elle. Je caresse ses lèvres avec mon pouce. Je les caresse lentement. Celle du bas lentement. Et pourtant si proche. Elle va me rendre dingue. Elle va finir par me tuer Harper. Quoi qu’elle fasse. Elle va me tuer.  

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @FRANKLIN Z. DE SPOELBERCH  

Nous sommes proches, main dans la main, je sens ses doigts se resserrer. Je peux sentir sa respiration se heurter à la mienne, et les battements de mon coeur s’agiter. Mes jambes se transforment en coton. Je ne peux pas, mais si j’en ai envie. Terriblement envie. Mais il franchit le pas, la ligne. Il m’embrasse. Je ferme les yeux, savourant le gout de ses lèvres. Je sens sa main caresser ma joue, je la prends de l’autre main et vient la resserrer contre mon visage. Je suis bien. Je me laisse totalement faire, et même, je participe au baiser, j’ajoute mon intensité, ma passion alors qu’il se détache soudainement de moi, venant coller son front au mien. Son détachement me laisse le souffle court, je respire plus fort que tout à l’heure, subjuguée par ce que nous venons de faire. La tension monte, je le sens. L’interdit. Je ne devrais pas, et pourtant à ses mots je le veux. J’en ai envie. J’ai envie de lui encore. Ses mots sont brulants, ses mots me donnent envie de lui. Son murmure, son odeur, sa peau, sa voix, je veux tout. Je viens au creux de son oreille. « Cette nuit je suis toute à toi. Fais de moi ce que tu veux. »

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

Et c’est reparti. C’est ce qu’il faut se dire non ? Mon envie pour elle. Mon désir pour elle. L’interdit. La ligne à ne plus franchir. C’est reparti. Nous allons le refaire. Nous allons le refaire. Nous allons le retenter. Et elle murmure. Dans mon oreille. Sous ce silence. Ça m’excite. Encore plus. Je sens qu’elle va encore m’avoir. Mais pas cette fois-ci. J’embrasse la jeune femme. Je l’embrasse comme tel. Je l’embrasse avec plaisir. Je l’embrasse avec envie. J’ai déjà envie de l’avoir. Contre moi. Sur moi. Mes mains glissent sur ses hanches. Je n’ai pourtant pas l’habitude de me jeter comme ça. Mais je me jette dans la gueule du loup. Face à cette petite biche. Tout ce qu’il y a de plus terribles. Et puis ses lèvres me donnent l’envie de continuer. Elle n’imagine pas quel effet elle peut me faire. Elle n’imagine pas quelle souffrance elle peut me faire. Elle n’imagine pas ce que je peux ressentir pour elle à cet instant. Parce qu’elle ne l’a jamais vu. Elle n’a jamais pu le voir. Elle était trop parfaite. Je n’étais que le nouveau riche. Le nouveau d’une nouvelle famille. M’imposer était compliqué. Et je l’ai fait. Zephyr qui gravit tous les échelons avec succès. C’est moi. Le seul nouveau riche être avec des riches des générations en générations. Je ne suis pas mécontent. Bien au contraire. Un baiser violent. Délicat. Fou. A en perdre la tête. A en détruire des vies. Et le mur la touche. Peut-être parce que j’en avais envie. Peut-être parce que je la désirais plus que tout. Le baiser se rompt. Je deviens dingue. Elle me rend dingue. Je ne vis ça qu’avec Rose. A elles deux. A toutes les deux. Elles sont ma faiblesse. Et je commence à comprendre pourquoi je suis attachée à elle. Je remonte mes mains jusqu’à sa joue. Je la caresse une nouvelle fois. Je l’embrasse plus timidement. Avec plus de douceur. Avec plus de volonté d’être doux.

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @FRANKLIN Z. DE SPOELBERCH  

Mes mots ont été le déclencheur. Je le sens bien. Je le veux et une partie de mon âme se déchire. Parce qu’Ale est entré dans ma vie. Je me déteste tout autant que je déteste mon meilleur ami. Je le déteste d’envie alors je cède. Faiblement. Fragilement sous ses doigts manipulateurs. Ses doigts qui descendent jusqu’à mes hanches pour venir s’approcher jusqu’à mes lèvres. Le gout diabolique de ses lèvres. Rends-moi mon péché, embrasse-moi encore, pensais-je alors que je me laissais faire, irrévocablement attirée par lui. Notre baiser s’amplifie avec la tension montante, ma main vient à son cou, mes doigts effleurant sa nuque alors que dehors, le tonnerre commence à gronder comme si le ciel détestait de nous voir céder à la tentation de la chair. Je suis si faible face à lui. Pourquoi me fait-il ça … Mais je l’embrasse encore. Fougueusement, passionnément, langoureusement alors que doucement, je sens mon dos se plaquer contre le mur. Je soupire de sursaut. Je le regarde droit dans les yeux, je suis perdue. Je ne comprends plus rien. Je sais juste que je ne veux pas qu’il s’arrête. Sans même que je le lui dise, il m’embrasse à nouveau. Tendrement, avec douceur. Je ferme les yeux. J’agrippe son t-shirt pour le ramener à moi. Plaquer son corps contre le mien. Mes mains glissent finalement par dessous le tissu dans l’espoir de ressentir la chaleur de sa peau. Mes doigts frôlent ses abdos, mon pouce caressant sa aine. « Je te déteste Zéphyr. » Lâche-je en murmurant à ses lèvres. C’est sorti tout seul. C’est ma façon à moi de le lui dire. De lui dire autre chose. Une chose qu’il ne saura probablement jamais.

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

Je sens son souffle. Je sens ce plaisir. Mon t-shirt se fait violence. Elle va finir par le déchirer. Je m’en fiche. J’aime ça. J’aime le désir qu’elle me procure. J’aime l’envie qu’elle fait augmenter. Je ne peux pas m’empêcher. Plaquer contre elle. Embrassades avec envie. Je caresse sa joue. Et voilà que mes lèvres sont proches des siennes. Et sa remarque est remarquée. Je divague mes lèvres. Son cou. Lentement de haut vers le bas. Lentement. Si lentement. Je sais que tu m’aimes Mes lèvres si proches de son oreille. L’envie de plus. L’envie de la tenter. Je deviens fou. Elle ne me déteste pas. Je le sais. Pertinemment. Je sens encore ses mains. Sur mon torse. Mais l’autre aussi. Elle me déteste ? Elle se fout de ma gueule ? Elle est en train de faire monter une pression. Cette pression qu’elle ne veut pas voir. Je viens embrasser son épaule. Petit à petit. Légèrement dénudé face à moi. Et je m’arrête. Faut pas que je le fasse. Je la regarde. Je suis si proche d’elle. Elle a commencé à me tenter. Elle a commencé à m’avoir. Il faut juste que je résiste. Mais je suis faible avec elle. Bien trop faible. Je la regarde. Je la vois. Elle a ma main sur mon torse. Et finalement. J’enlève ce tissu. Je me sens si faible. Elle me rend si faible. Elle me rend si accro à elle. Elle me rend si minable. Elle a réussi. Elle est l’une des rares. Elles ont réussi avec Rose. Elle arrive à me contrôler. Elle arrive à me faire penser à elle. Tous les jours. Tout le temps. Je crois sincèrement. Que je tombe pour elle. Je le crois. Je suis de plus en plus sur. Malheureusement…

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @FRANKLIN Z. DE SPOELBERCH  

Je me perds dans ses baisers. Je le veux entièrement, la foudre pourrait s’abattre sur nous que mon envie ne disparaitrait pas. Je l’avance encore plus près de moi, sentant son odeur, sa chaleur contre mon corps. Ses baisers sur mes lèvres, dans mon cou, sur mon épaule me dont perdre pieds. Mais il me murmure quelque chose à l’oreille. A ces mots, mon coeur bondit. Je réouvre les yeux, déposant ma main sur son torse pour me dégager doucement, afin de le regarder droit dans les yeux. Il sait que je l’aime ? Ma respiration n’est pas encore remise de mon désir pour lui que je réponds faiblement, si faiblement, presque suppliante. « Ne joue pas avec moi. » Je me dégoute. Il a l’air d’avoir si confiance, mais je ne le lui dirai pas. Je ne peux pas. Lui avouer c’est m’avouer vaincue de ce drame, et je ne peux m’y résoudre, encore moins s’il s’agit d’un amour à sens unique. Il ne s’en rend probablement pas compte, mes ses mots me brisent. Il sait que je l’aime, mais ne me le dit pas en retour. Il joue avec moi. Je l’observe avec un mélange de tristesse et de détresse. Je descends mes mains jusqu’aux siennes, baissant les yeux pour me dégager d’entre lui et le mur. Je me sens … mal. Je me sens comme s’il profitait de mes sentiments pour lui. Et pourtant, il a bien raison, je le suis. Irrévocablement. Je vais m'asseoir sur le lit, repliant mes jambes sur moi-même, le regard dans le vague. Je me sens idiote.

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)