Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHarlin ✱ Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
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Harlin ✱ Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin

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Si l'enfer avait un nom, il s’appellerait Harlin
— with @Harper Eleanor F. Kennedy  

Je suis fatigué de tout ça. Des disputes. Des délires. De tout ça. Finalement. Je suis passé voir mon père tout à l’heure. J’ai passé cinq heures à discuter avec lui. Discuter seulement. Il a vu les dégâts. Il a vu ce qu’il m’a fait. Et il m’a promis. Je suis naïf. Je le sais. Et même si c’est Franck qui me surveille maintenant. Je sais qu’il ne sera pas d’accord. Mais il allait falloir qu’il le soit. J’étais donc dans cette voiture. Silencieux. Le vingt heure trente allait sonner. Mais je n’étais pas en retard. Une fois la voiture garée. Je passas ma tête au niveau de la fenêtre. Vous pouvez y aller Franck. Je vous appellerai pour rentrer. Et c’est un ordre. Avoir sa soirée c’est cool. Mais je le connais. Il n’allait pas partir de si tôt non. Je passe ma main dans mes cheveux. J’en profite pour remettre ma veste correctement. Et je frappe. J’entends la voiture quittée la route. Je soupire. Une personne m’ouvre. Je ne sais pas qui c’est. Sans doute un nouveau domestique. Et j’avance. Je n’allais pas me présenter. Mais il m’arrête. La prochaine fois que tu me tournes. Je t’envoie par terre c’est clair ! Enfin c’est pas moi exactement. Même si je le frapperai. Et mon regard et noir et glacial. Il me lâche. Il a sans doute vu que je n’étais pas maquillé. Et donc que mes bleus ressortaient. Merci papa. Bref. Je prends sur moi. J’avance. J’enlève même ma veste. Puis je la découvre. Je la regarde. Je l’observe. Elle est tranquille. Délicate. J’avance vers elle. Sympa ton nouveau domestique. Il m’a touché juste pour que tu sois au courant. Dis-je sans pression. Mais je m’attends à un retournement de situation. Comme toujours.  

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Perdue était un bien moindre mot pour décrire ce que j’avais ressenti tout au long de ma journée. J’avais passé ma matinée à la bibliothèque afin d’y travailler, mes les sms de Zeph m’avaient empêchée de me concentrer pour le reste de la semaine … et probablement le reste du mois. J’appréhendais alors encore plus notre rendez-vous de ce soir. Je ne savais plus quoi ressentir, ni quoi penser. Abandonnant l’idée de travailler davantage aux alentours de dix-sept heures, j’appelais mon chauffeur qu’il me dépose chez moi. J’avais donné deux semaines congé à Henry, en réalité, mes récents agissements devenaient de plus en plus durs à cacher à la personne qui m’avait finalement élevée. Il m’avait cédée son petit neveu en qui il vouait une entière confiance, donc je lui faisais confiance. Zeph ne devait plus tarder, je regardais ma montre Piaget toutes les dix minutes. Vêtue d’une petite robe printanière, j’enfila le cardigan Chanel qu’Ana était venu me ramener la veille. J’entendis enfin sonner et je sursauta presque. Alors à mi chemin des escaliers qui menaient au hall d’entrée, j’apercevais Zeph qui grommelait après Victor. Il était encore recouvert de bleus. Je fronçais légèrement les sourcils, fatiguée qu’il ne soit justement pas assez fatigué de cette situation. « Il prend simplement son travail très au sérieux. » lançais-je au sujet de Victor. « Monte. » finissais-je simplement avant de remonter les escaliers et de me diriger jusque ma chambre dont je referma la porte une fois que mon meilleur ami fut rentré. J’étais encore en colère, mais aussi … je ne savais pas exactement. Je l’observa quelques secondes sans rien dire, marchant dans ma chambre, réfléchissant par où commencer. Peut-être était-ce surtout à lui de m’expliquer son comportement ? Après tout, je l’avais invité à venir ici pour s’expliquer au sujet de l’anniversaire. Les choses sérieuses viendraient ensuite. « A toi l’honneur. » lança-je les bras croisés, debout face à lui.

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Je m’attendais à un autre retournement de situation. Je m’attendais plus à un autre enf ait. Je ne savais pas trop pourquoi. Son ton était violent. Très violent. Et très froid. Génial. Tu vas l’avoir tous les jours celui-là ? Il est ou Henry ? Je connaissais Henry. Elle connaissait Franck. Je connaissais Henry. Elle connaissait l’autre. Enfin l’autre armoire à glace. Parce que sinon. Je n’ai que mon chauffeur privé. Je n’ai pas besoin d’autant de monde. Encore moins comme Zeus ou Harper. Les lois de la richesse. Je n’avais pas envie de vivre ainsi. Même si cela me plait. Et voilà qu’elle donne ses directives. Je la toise du regard. Elle a mis une robe. Une magnifique robe. J’en soupire. Je vais devoir supporter sa mauvaise humeur ? Ou juste elle fait la bonne patronne devant l’autre. L’autre qui me suit. Je me tourne pour le pousser légèrement Gamin reste en bas tu veux. C’est à moi qu’elle a demandé de monter ! Il s’écrase. Y’a plutôt intérêt. Je ne suis pas d’humeur. Encore moins à me prendre la tête avec un microbe. Je soupire même. Je prends sur moi. Et voilà que je me retrouve dans sa chambre. Face à elle. Non loin d’elle. Elle a refermé la porte. Je passe ma main dans mes cheveux. Je prends sur moi. J’humectes mes lèvres. Je soupire. Ce lancement de sujet. Le plus pourri au monde. Je ne la félicitais pas. Je regarde ailleurs qu’elle. Je ne sais pas quoi dire. Elle est pourtant face à moi. A un bon mètre de moi. Et je finis par enlever cette distance. Je détruis cette distance qu’il y a entre nous. Et j’y vais. Je n’étais pas habitué à faire ce genre de premier pas. Je n’avais aucune envie de le faire aussi. Ce n’était pas mon genre. Mais je l’embrasse. J’y dépose même ma main sur sa joue. J’avais envie de le faire. Je lui avais avouer de façon détourné la chose. Parce que j’avais envie de l’inviter elle au bal. Et personne d’autre. Puis le baiser se termine. Je reste proche d’elle. Non loin d’elle. Si proche d’elle. Je suis horrible. Je vais m’en pendre une. Ce n’est pas possible A toi maintenant dis-je. Triple con. Oui. Je pouvais le dire.

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« Henry est en congés pour deux semaines. Je lui ai offert des vacances à Bora Bora. » Dans un cinq étoiles. Depuis la mort de mes parents, il avait refusé un salaire pour m’élever. Et puis mes parents lui avait légué assez pour tout ce qu’il avait fait pour notre famille. Ce qui ne m’empêcherait certainement pas d’être généreuse avec lui. Zéphyr me fixe. Je fronce les sourcils avant de le sommer de monter. Je n’ai pas envie que Victor entende notre conversation et aille tout répéter à son oncle. J’essaye au mieux de mettre Henry à l’abris de mes histoires, même s’il est loin d’être idiot. Mon meilleur ami se montre condescendant avec le jeune employé, mais je ne relève pas, je le laisse me suivre simplement dans les couloirs qui mènent jusqu’à ma chambre. Une fois à l’intérieur, je ne sais plus ce que je dois dire. Trop de choses peut-être ? Je décide de lui laisser l’honneur de commencer. Il continue de m’observer, alors je fais de même plus sévèrement, les bras croisés. Mais il s’approche dangereusement de moi. Désarçonnée, je laisse mes bras retomber le long de mon corps alors que je sens ses lèvres se rapprocher des miennes. Un court instant, je ferme les yeux. Un court instant, je ne montre aucune résistance et me laisse complètement faire. Ses lèvres m’avaient manquées. Leur goût. Lui. Je participe même brièvement à ce baiser avant de le repousser violemment, le souffle court. Je fronce les sourcils. « A moi maintenant ? » Il se fout de ma gueule ? Ma main en un geste fort se retrouve sur son visage. Une gifle. Ma respiration s’emballe. Je le regarde quelques secondes, énervée avant de me lancer. « Tu te fous de moi ? On couche ensemble, tu décides de faire le mort ? » Je le pousse de mes mains une première fois, continuant « Puis tu balances tout à Zeus et à un inconnu que tu insultes carrément par ton geste ? » Je le pousse une seconde fois. « Ensuite ton père te frappe pour la seconde fois, tu te retrouves à l’hôpital et je suis la dernière au courant ? » Une troisième fois « Pour finalement venir ici et me donner un baiser en guise d’explication ??? » Je suis essoufflée. Je le regarde furieuse, désemparée et … passionnée.

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Elle t’envoie sur les roses. Remarque directe. Henry et vacances. Bizarre. Trop bizarre. Mais j’accepte. J’avance. Je vais dans cette chambre. Je prends les dents. Mais elle me recule. Elle me recule violemment. Sa main sur ma joue. La claque envoie un son. Je ne suis pas choqué. Je ne suis pas énervé. J’ai pris l’habitude au bout de deux fois. J’ai aussi sans doute tourner la tête. Et elle me pousse. C’est fini. Elle m’envoie sur les roses. Encore. Et je me cogne contre le mur. Ses mains sur mon torse. Je la regarde. Je soupire. J’humectes mes lèvres. Je pince mes lèvres. J’ai envie de le refaire. Je suis un sale gamin. Un gosse. Un homme qui ne sait pas ce qu’il veut. Et pourtant. Je donne de ma personne. Je donne tout pour ne pas le faire. Mes mains glissent sur les siennes. Celles qui sont sur mon torse. Le silence s’est abattu. J’ouvre la bouche. Aucun son ne sort. Et finalement. Je la tire vers moi. Je suis désolé. Je murmure. Mon corps proche du mien. Je suis intenable. Parce que je ne veux pas la perdre. Parce que j’ai compris ce que je voulais. Mais c’est trop tard. Elle est énervée. Elle va m’en mettre une autre. Je tente le tout pour le tout. Laisse-le pour moi. Enfin ce n’était pas la bonne phrase. Du moins pas celle que je voulais. Enfin maintenant. Sauf que je suis légèrement pris au piège entre elle et ce mur. Je vais me faire tuer. Je vais me faire détruire. Je vais me faire casser la gueule. Littéralement. Je ne suis pas bien. Je m’en tape. J’ai envie d’être ainsi. Et le gout de ses lèvres juste les miennes me manquent. J’y pense déjà.

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J’étais tellement en colère. Je lui en voulais au moins tout autant que je m’en voulais de cette situation. Si nous n’avions pas couché ensemble au spring break, j’aurais encore pu faire semblant des années encore. Mais tout était gâché. Et il s’était amusé à tout foutre en l’air à son anniversaire avec Alejandro et moi. Je le détestais. Je le poussais. Encore et encore, jusqu’à ce qu’il se cogne contre le mur. J’aurais pu lui faire mal, mais en cet instant, ça m’était égal, il me faisait bien plus mal encore. Il prend mes mains, posées sur son torse. Ca me déstabilise quelques peu. J’ai envie de ses lèvres, mais reste immobile, jusqu’à ce qu’il m’attire vers lui. Je n’ai pas le temps de réagir, mon corps se retrouve collé au sien. Je ne sais même plus pourquoi il s’excuse exactement. Je me retrouve bien trop proche de ses lèvres pour réfléchir.
Je fronce les sourcils, entendant sa phrase. « Le laisser pour toi ? Parce que toi tu la laisserais pour moi ? » demandais-je d’une voix brisée. Je la détestais tellement. De toutes mes entrailles. Rose. J’avais l’impression qu’elle me prenait une partie de moi alors que je ne la connaissait ni d’Adam ni d’Eve. Mais ce que je ressentais pour lui me poussait malgré moi à le pousser vers elle. « Je suis complètement détraquée, Zeph. Tu le sais. A la minute où on sera ensemble toi et moi, tu m’abandonneras. Et moi je ne pourrai plus. Vivre sans toi, je ne peux pas. » disais-je presque les larmes aux yeux. Je me montrais si forte, si glaciale devant les autres. Mais lui le savait. Il savait pertinemment à quel point j’étais fragile, fébrile. Surtout face à lui. En cet instant.

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Cette femme est violente. Je l’avais déjà vu au lit. Certes. Mais là. Elle me pousse. Jusqu’au mur. Et je la regarde. Dans les yeux. Chaque mot. Chaque lettre. Chaque mouvement. J’analyse tout. Et sa question. J’ai compris. Je pince mes lèvres. T’es jalouse ? Je ne réponds pas tout de suite. Je la regarde. Je la vois. Son regard change. Sa façon de se présenter change. Elle a sa carapace. Elle ne veut pas en parler. Mais moi si. Discussion. C’est ce qu’elle avait dit. T’es jalouse d’elle … Pourquoi ? Question qui s’enchaine. Et j’ajoute finalement. Tu n’as pas à être jalouse d’elle. Tu es beaucoup mieux qu’elle Harper … Parce que je suis honnête. J’ai toujours été honnête avec elle. Parce que je suis un homme d’honneur. Un homme de paroles. Et je suis quelqu’un qui est comme ça. Elle commence alors à parler. J’ai encore ses mains dans les miennes. Je ne suis pas comme ça. Mais j’échange sa place contre la sienne. Elle se retrouve contre le mur. J’ai mes deux mains. Sur ce mur. De chaque côté de sa tête. Je la regarde dans les yeux. Et je pince mes lèvres. Jamais je ne t’ai abandonné. Ni hier. Ni avant-hier. Ni aujourd’hui. Et surtout pas demain Harper. Je ne peux pas. Parce que tu fais partie de moi. Tu fais partit de ma vie. Que tu le veuilles ou non. Je décide de me reculer. Parce que j’étais trop près d’elle. Et parce que si nous continuons. Cela allait mal finir. Enfin ça finira mal quoi qu’il arrive. Je dois avoir quelques mètres qui nous séparent maintenant. Et je passe ma main sur ma nuque. Je soupire lentement. Je regarde le sol. Je vais assumer mes paroles. Mais peut-être pas aujourd’hui. Je la laisserais pour toi, si j’ai une chance de t’avoir. C’est à toi de voir maintenant … Parce que c’est vrai. Le jour où elle m’appellera. Je serais là. Peu importe quand. Je serais là pour elle. Cela a toujours été. Et cela le restera toujours.  

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Sa question. Je fronce les sourcils. « Tu m’as bien regardée ? » Jalouse d’elle ? Tellement. Mais uniquement à cause de lui, et rien d’autre. Elle, je ne l’envierai jamais. Malgré ma réponse négative, il l’a compris et insiste désormais. Il m’observe et je regrette que nous nous connaissions depuis si longtemps. Il perce à jour la moindre de mes expressions, décelant ainsi mes pensées. Je le déteste. « Pour rien du tout ! » répondis-je impertinente, les yeux dans les yeux. Mais la suite me fait perdre tous mes moyens. Il me trouve mieux qu’elle ? Mon coeur bondit. Je le regarde béate. Mes mains serrent alors les siennes, plus aucun mot ne sort de ma bouche. Finalement, en un geste, Zéphyr me plaque contre le mur, m’obligeant à lui faire face, ses mains des deux cotés de ma tête. Je le regarde droit dans les yeux, attentive. Ses mots. Il ne m’a jamais abandonnée c’est clair, mais j’ai tellement peur désormais. Tout est différent aujourd’hui, pour des raison plus qu’évidentes. Je murmure. « Tu fais partie de moi aussi, Zéphyr … » Mais ça ne lui suffit pas, il se recule, avant de me dire quelque chose qui me hantera pendant des mois entiers. Je l’observe. Longuement. Un long silence s’installe. Je suis perdue, mais réplique finalement doucement. « Ce n’est pas parce que je ne suis pas avec toi que … » Je soupire. Je lève les yeux vers lui. Mes yeux humides. C’est probablement la chose la plus difficile que je fais de ma vie. Je baisse d’ailleurs de nouveau les yeux, je ne peux pas le lui dire en face. « Tu seras probablement plus heureux avec elle qu’avec moi. » Je me déteste, je me hais, je me débecte.

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Je regarde la jeune femme. Face à moi. Harper. Elle a l’air en colère. Mais j’analyse tout. Je vois tout. Je sais qu’elle est jalouse. Ça se voit. Je soupire doucement. Elle pose cette question. J’hoche la tête. Mais elle sait la réponse. Elle la connait par cœur. Oui. Je ne fais que de la regarder. C’est ça le problème. Oui pire que ça. Je le vois dans son regard. Je le vois qu’elle est jalouse. Mais elle n’a pas à l’être. Si ? Elle est juste en face de moi. Proche de moi. J’ai promis de rester sage. Alors je vais le faire. Etre sage et me taire. Mais elle est impatiente. Je la regarde. Je pince mes lèvres. Ça se voit pour rien du tout. Je souris doucement. Je fais le con. Je m’en fiche. Je la mets contre le mur. Je la colle contre ce mur. Là où elle m’a collé quelques secondes avant. Je la fixe. Je la regarde dans les yeux. Les paroles. Saines. Directes. Autant sincères qu’aimante. Je pince mes lèvres. Je soupire. Elle fait partie de ma vie. Elle fait partie de moi. Elle est ancrée en moi. Parce qu’elle est plus que ma meilleure amie. Elle a toujours été plus. Même si je m’en rends compte qu’aujourd’hui. Mais elle décide ça. Elle décide de me briser par ses paroles. Elle ne me regarde pas. Pas dans les yeux non plus. Je décide de m’approcher. Je veux voir son regard. Je veux le voir. Surtout quand elle doit me repousser. C’est trop facile sinon. Redis le moi dans les yeux Harper … Parce que tu es en face d’elle. Face à elle. A quelques centimètres d’elle. Je veux qu’elle me le dise en face. Je veux qu’elle me regarde dans les yeux. Surtout quand elle prononce ces mots. Parce qu’elle n’y croit pas. Elle ne pense pas ses mots. Ce n’est pas possible.  

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Je fronçais les sourcils. Visiblement, il constatait ma jalousie maladive pour cette pauvre idiote et en plus il s’amusait à user de sarcasme. « J’en ai rien à faire de cette fille, tu baises qui tu veux ça m’est égal. » Tellement faux. Sur ces mots, il me plaqua contre le mur, je n’ai pas d’autres choix que de lui faire face. Que d’assumer les paroles que je lui ai dites. Je suis coincée. Lui affirmer que j’étais certaine qu’il serait plus heureux avec Rose qu’avec moi, j’en étais malheureusement bien certaine, même si je ne voulais pas que ce soit vrai. Mais il voulait que je le lui dise droit dans les yeux. Il s’approchait doucement de moi. Si près, si proche de moi, je me perdais dans son regard et je peinais à le redire. Je soupirais. « Tu attends que je te dise quoi ? Qu’avec moi tu seras heureux alors que tu sais pertinemment que ce sera des nuits à gérer mes crises d’angoisses, que tu ne sauras jamais si j’ai pris mon traitement, que parfois tu ne sauras même pas où je me trouve, que tu retrouveras espoir au moindre de mes sourires et le perdras définitivement le jour où je mettrai fin à ce calvaire ? » Je sentais les larmes monter. C’était trop. Je les retenais encore pourtant, je ne voulais pas montrer que ce que je disais m’affectais. « C’est clairement le bonheur, hein ? Et tu le sais ça. On fait toujours souffrir ceux qu’on aime le plus. Alors oui, je te regarde dans les yeux Zeph, et je te le dis, Rose a l’air gentille et sans histoires, elle est parfaite. Je serai présente à votre mariage, je serai la marraine de votre merveilleux bébé, c’est promis, on peut arrêter de parler d'elle maintenant ? » finissais-je énervée tentant avec difficulté de m'extirper de ce mur. J’étais maudite. Damnée. Je ne le méritais pas.

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