you make me feel ► Julian

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Julian & Elisa

Depuis que je suis adolescente je n’ai jamais eu beaucoup de facilité à cacher ce que je pouvais ressentir pour les gens. Que ce soit en amour ou bien en amitié, je me donnais toujours beaucoup et je ne savais pas où il fallait parfois que je m’arrête. Avec Julian, c’était la même chose. Je n’étais pas amoureuse de lui, mais je l’aimais vraiment bien et j’étais tout de même un peu attachée à lui. Le moment que nous passions était agréable et je ne voulais pas non plus que cela s’arrête. Je n’avais pas encore les papillons dans le ventre, je n’avais pas cette folle frénésie mais je savais que notre histoire pouvait vraiment bien avancer. Comme prendre carrément le chemin opposé mais je ne voulais pas me poser de questions, je ne voulais pas penser que çà pourrait être pire, je voulais simplement profiter de l’instant. Et j’espère vraiment que lui aussi. Il fallait quand même que j’essaie de ne pas trop lui montre qu’il me plaisait beaucoup et que j’avais toujours envie de l’embrasser. J’étais mature, mais j’avais toujours une fougue impatiente lorsqu’il s’agissait des hommes, bien que ce soit tout de même un peu contradictoire puisque cela faisait un an que j’étais sous son charme. Mais le fait qu’il soit professeur m’avait vraiment freinée au départ. Aujourd’hui, pas de regret, il fallait qu’on voit comment les choses allaient se dérouler. tu as toujours eu toutes tes chances, t’aurais pu me dire que je te plaisais il y a des mois, que j’aurais été là. je devrais me taire non ? Je t’aime bien, ce n’est pas une surprise, tu le sais, je ne veux pas aller trop vite, je ne veux pas non plus prendre mon temps. Je sais c’est très contradictoire mais voilà, je ne sais pas comment te le dire. je n’ai jamais vraiment été douée pour dire ce que je pense même si pourtant, lorsque je suis un peu sous le coup du stress, et bien, j’ai tendance à parler un petit peu trop. Je le laisse pour aller chercher un verre d’eau. Je ne connais pas sa cuisine, c’est la première fois que je viens ici, alors je cherche un peu un verre d’eau, et je me serre au robinet. Ca va, t’en fais pas. lui dis-je avec un petit sourire. Je me faufile dans ses bras, besoin d’un câlin. C’est juste… que, je t’aime bien et çà me fait peur… mais pas dans le sens négatif bien évidemment. oui et non.. lui dis-je avec un petit sourire quand je sors de son étreinte pour le regarder mais on peut goûter à ta bonne cuisine lui dis-je avec un petit sourire.  

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Julian & Elisa

Elisa me plaisait c’est vrai, depuis quelques temps enfin, je ne lui avais jamais dit ceci dit mais bon. Cela faisait quelques semaines et puis, il n’y avait rien à dire. Je n’étais même pas célibataire pour le coup. Loin de là. J’étais avec une femme qui avait fini dans un coma alors ce n’était pas comme si j’avais pu le lui dire. J’avais également eu quelques réticences que la jeune femme savait donc pas besoin de revenir dessus. « Oui mais je ne pouvais pas deviner pour toi. » C’est vrai, enfin, je n’aurai jamais pensé qu’elle puisse être attirée par moi. Par quelqu’un d’autre peut être mais par moi ? Non, du tout. Je l’écoutais me parler et me dire ce qu’elle avait sur le cœur. Ce qu’elle avait à me dire. « Oui je comprends, il faut aller à notre rythme tu sais. Cela ne sert pas de se presser. » D’accord, elle m’avait attendue pendant quelques temps mais quand même. Puis au final, c’était en se pressant que l’on ratait des choses et que certaines se passaient mal. D’ailleurs, j’avais déjà comme l’impression que quelque chose n’allait pas. Elle ne semblait pas vouloir me dire et c’était frustrant. Frustrant car je ne pouvais pas deviner, ni même l’aider ou quoique ce soit. Je souriais finalement en entendant ses mots. « Je t’aime bien aussi et.. pourquoi peur ? » Je lui demandias alors, curieux de savoir. Elle ne devait pas avoir peur, je veux dire, j’étais là maintenant et pour elle après tout. Je lui proposais que l’on aille dîner. « Dans ce cas, allons y installes toi. » Je lui disais alors que je prenais des assiettes et des couverts. Je vérifiais quand même que ce soit assez chaud avant de nous servir tous les deux. « Tu veux boire de l’eau, ou autre chose ? » Je ne connaissais pas encore ses goûts. « Bon appétit en tout cas. » Je lui disais alors.

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Julian & Elisa

Je souris lorsqu’il me dit qu’il n’aurait jamais pu deviner pour moi. En même temps, c’était tout de même délicat de lui dire que j’étais attirée par lui, il restait mon professeur. Je ne me voyais pas lui envoyer de grands signaux pour lui montrer qu’il me plaisait, mais çà aurait pu être une bonne idée aussi. Je ne savais pas si c’était réciproque et il avait tout de même mis le temps alors, j’aurais peut-être eu le droit à un bon gros râteau il fut un temps. Mais avec des si on pourrait refaire le monde. Je ne me voyais pas de faire de grands signes pour te dire que tu me plaisais. Pourtant, je pense que tu l’as bien compris le jour où tu m’as embrassé et que tu t’es rétracté. et je devais bien admettre que cela me faisait un petit peu peur. En même temps, c’était un très bel homme, il était charismatique et il pouvait sortir avec n’importe qui. J’avais envie de prendre mon temps avec lui et en même temps, j’avais tellement envie de l’embrasser, de le serrer fort dans mes bras, de pouvoir enfin le toucher, le caresser. oui, je le sais, je n’ai pas non plus envie de me presser mais… mais j’avais tellement envie de lui en même temps, c’est fou. Mais voilà, j’ai envie de prendre mon temps parce que je t’ai très attendu, du coup çà me fait un peu peur mais en même temps, je sais pas, tu me fais de l’effet voilà tout et heureusement qu’il me faisait un minimum d’effet quand même. Je lui explique que j’ai tout de même un peu peur, je sais que je n’aurais peut-être pas dû lui dire ça mais c’est trop tard pour faire marche arrière de toute manière. Peur parce que je me fiche de la différence d’âge, c’est pas le problème mais j’ai pas envie de me faire mal tu comprends ? je ne voulais pas le forcer à quoi que ce soit. Nous prenions finalement place pour manger, je n’avais pas très faim mais j’allais faire l’effort car j’adorais la nourriture et il fallait bien que je goûte à ce qu’il m’avait préparé de bon tout de même. de l’eau çà ira merci lui réponds-je en regardant le plat qu’il m’avait mis sous le nez. Çà sentait rudement bon en tout cas çà sent très bon, bon appétit à toi aussi lui dis-je tout en prenant ma fourchette pour goûter à son plat. Une fois terminé, je me lève de table et m’approche de lui, je m’installe alors sur ses genoux et le regarde dans les yeux. Une main passe alors dans ses cheveux C’était très bon, tu n’es pas si nul que ça en cuisine. lui dis-je en lui tirant la langue J’ai le droit à quoi pour le dessert ?  

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Julian & Elisa

Bon d’accord, la jeune femme marquait un point. Elle ne pouvait pas m’envoyer de signaux ou que sais-je. Puis bon, si c’était pour se faire repousser ou quoi.. Je ne l’aurais pas fait enfin, si, c’était ce que j’avais fais après l’avoir embrassé. Cela ne donnait donc pas envie. « Tu as raison et.. je sais que j’aurais pas dû le faire mais on oublie ? » Je lui demandais mais je ne suis pas sûr qu’elle veuille. Ou qu’elle oublie. Ceci dit, je n’avais pas trop envie d’y penser tout le temps. Autant voir les choses dans le présent, le futur peut être ? Je préférais me concentré sur le présent pour le moment. Je ne voulais pas accéléré les choseS. « Tu es adorable. » Je lui disais en l’embrassant et caressant sa joue. « Je suis là et il ne faut pas vivre dans la peur. Je veux dire.. ça ne sert pas. » Mais j’hochais la tête à ses mots et je comprenais bien ce qu’elle voulait dire. Je savais que l’âge n’était pas un soucis pour elle et heureusement. Cela aurait pu l’être pour d’autres personnes. « Je sais mais on va faire en sorte de ne pas se faire mal alors. » Même si on ne pouvait pas prévoir. Je lui servais alors de l’eau puis nous commencions ainsi à dîner. Heureusement pour moi ce n’était pas froid et cela se mangeait donc tant mieux. Je terminais mon assiette et je vis qu’elle avait terminé aussi. Tant mieux. « Ah oui ? Je marque un point alors. » Je lui souriais avant d’embrasser sa joue. J’étais content qu’elle ait aimé mais je n’allais pas pour autant passer ma vie en cuisine. J’avais d’autres passions et rien concernant la cuisine. Je me mordillais finalement la lèvre à sa question. « Et bien.. j’avais fais un gâteau au chocolat mais.. » Je ne finissais pas ma phrase pour venir l’embrasser dans le cou. « Je peux me proposer en dessert. » Je glissais mes mains dans son dos, la rapprochant alors de moi tout en continuant de l’embrasser.

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Julian & Elisa

gagné un peu de temps mais c’est oublié, je te disais ça pour te montrer que je n’aurais pas pu le faire autrement tu vois [/color] explique-je à l’homme charismatique que j’avais en face de moi. Il dégageait vraiment quelque chose et j’espérais vraiment que cela fonctionne entre nous deux. Seul l’avenir nous le dira de toute manière. hum… oui je sais lui dis-je avec un sourire. mais j’espère que je ne suis pas que adorable ajoute-je avant de lui tirer la langue. Je sens alors la chaleur de sa main contre ma joue et çà me fait du bien. Je sais qu’il est là et j’espère qu’il n’ira nulle part. je sais bien, mais c’est plus fort que moi. Mais avec le temps, çà ira mieux. C’est juste… que on pourrait penser que je n’ai rien vécu parce que j’ai 21 ans.. alors que j’ai déjà souffert en amour que ce soit amoureusement parlant ou bien familial d’ailleurs. J’ai un passé, j’ai vécu des choses malgré mon jeune âge. Tout le monde pense que je suis une fille jolie, immature, qui n’a rien vécu encore. J’aimerais bien les y voir. c’est toi qui me brisera le coeur, pas l’inverse lui dis-je en le regardant dans les yeux. essayons juste de vivre chaque moment comme si c’était le dernier et nous verrons bien ce que cela nous apporte que du positif je l’espérais de tout coeur en tout cas. Nous passons alors à table et son plat est délicieux. Mais je ne veux pas qu’on reste à table. Je me lève et m’asseoir sur ses cuisses. tu as déjà marqué quelques points lui dis-je alors qu’il m’embrasse la joue. Je ferme les yeux lorsqu’il m’embrasse dans le cou. J’aime quand il fait ça. J’aime bien l’idée que tu te proposes en dessert tu vois lui dis-je en prenant son visage dans mes mains et en l’embrassant alors sur les lèvres. et j’ai toujours de la place pour le dessert, sache le je passe ma main sur sa joue et fini par mettre les mains sur son tee shirt, à descendre pour le lui retirer j’aime ce que je vois. lui-dis à l'oreille

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Julian & Elisa

Il ne fallait pas avoir peur. Ou en tous les cas, vivre dans la peur. Cela ne servait strictement à rien. Sauf se faire du mal donc, est-ce que cela en valait la peine ? Je ne pense pas. A quoi bon. Je souriais à ses mots et je caressais alors sa joue. « Non tu n’es pas que adorable mais je ne vais pas tout te dire toute suite quand même. » Je lui disais avec un petit sourire. Non, je n’allais pas tout lui dire, ni ce que je ressentais. « Tu sais, chacun décide de vivre la vie qu’il veut. Tu es pas obligé d’être comme les autres et tu m’as l’air mature pour quelqu’un de ton âge alors que d’autres ne le seraient pas. » Mais il est vrai que les gens aimaient bien juger de toute façon. Ce qui était pas dommage. Je levais les yeux au ciel en l’entendant. « Je ne suis pas un connard. » Enfin, je n’avais pas l’impression de l’être quoi. « Mais oui vivons le moment présent. » C’était ce que je lui avais dit de toute façon. C’était moins prise de tête aussi. Je la vis s’asseoir sur mes genoux alors que je l’embrassais. « C’est la réponse que j’attendais. » Je lui disais en souriant avant de l’aider pour retirer mon t-shirt. « Attends. » Je lui lançais avant de la prendre dans mes bras. Non pas que la chaise était pas confortable mais il y avait mieux. Je l’embrassais et décidais de l’emmener dans ma chambre, en la déposant sur le lit. « Je crois qu’on sera mieux ici. » Je lui lançais en venant la rejoindre et en l’embrassant de nouveau. Je décidais de faire descendre la fermeture de sa robe pour lui retirer celle-ci. Bon sang, elle portait des sous-vêtements. « Tu es superbe.. » Je lui soufflais avant de venir embrasser son cou et descendre au dessus de sa poitrine. Je caressais ses hanches, ses jambes et par-dessus son bas.