Please, don't blame me, I'm crazy

De nouveau je l'embrassais, j'avais tellement envie d'elle, cette fille me rendait complètement dingue, on avaient beau s'engueuler comme des gamins pour un oui ou un non et aussi fortement que possible, on baisaient comme des dieux elle était de là mon meilleur coup, c'est avec elle où je prenais mon pied. Je la soulevais, ses jambes entourant ma taille et j'entrais en elle, c'était tellement bon, tout était si incroyable niveau cul avec elle, je bougeais mon bassin, je sentais ses cris, ses soupirs, mes coups de reins s'accéléraient, c'était si bon, si excitant que je la prenais contre le mur, sur la commode et pour finir dans le lit où l'extase fut parfaite, j'avais pris mon pied encore une fois de plus avec elle même avec ses putains d'engueulades. Je souriais m'étant retiré d'elle, allongé sur le lit, elle ne tardait pas à revenir sur moi à califourchon et je sentais encore une fois ses lèvres sur les miennes avant d'entendre un compliment qui me fit garder ce sourire, je touchais ses fesses Je dirais la même chose pour toi bébé... ce qui restait encore plus fou c'est que j'avais encore envie d'elle.

C'était fou cette relation que je partageais avec elle, une fois les pires disputes qui puisse exister et d'un autre côté les meilleurs parties de jambes en l'air qui puisse exister, c'était ça, un zeste d'engueulades, un soupçon de baise et ça donnait un mélange vraiment compliqué, complexe et bizarre, on venaient de baiser comme des dieux, j'avais pris mon pied avec elle comme jamais, elle était dingue, elle me rendait fou, dingue, je profitais de sa faiblesse face à moi mais j'aimais ça, pour rien au monde je voudrais que ça change. On étaient essoufflés, c'était logique après ce qui venait de nous arriver mais elle ne perdait pas de temps pour se mettre à califourchon sur moi et déposer divers baisers dans mon cou, j'avais encore envie d'elle, c'était incompréhensible mais bien vrai. Imagine toi qu'il y a une heure on se gueulaient dessus comme jamais bébé... je comprend toujours pas ce qui nous arrivent je la regardais, caressant ses fesses, mon dieu elle m'excitait même sans rien faire.

Je ne pouvais clairement pas me passer d'elle, autant on s'engueulaient comme pas possible, autant baiser avec elle était juste parfait. Elle était allongée sur moi, je sentais sa tête dans le creux de mon cou, sa main caresser mon torse, on venaient de coucher ensemble pour la énième fois, c'était toujours aussi bon mais je ne comprenais pas notre relation même après tout ce temps, je lui en faisais part, c'est vrai qu'il y a à peine une heure on étaient à se disputer dessus vraiment fortement et on venaient de se réconcilier avec une partie de jambes en l'air. Elle se redressait sur moi pour me dire qu'elle ne comprenait pas non plus et qu'il fallait mieux que ça reste comme ça, je souriais, relevant mon torse, mes mains tenaient sa taille, ses jambes de chaque côté de mon torse, je l'embrassais avant d'entrer une nouvelle fois en elle et d'apaiser ou du moins essayer d'apaiser cette pulsion que j'ai avec elle, cette envie constante de la baiser.

J'avais encore envie d'elle même après cette baise qui s’est terminée il y a quelques minutes, je me redressais pour entrer en elle de nouveau et entendre encore ses cris de plaisirs, j'aimais tant le faire avec elle, c'était si parfait, si excitant, on s'embrassaient, j'étais en elle, je bougeais mon bassin du mieux que je pouvais, elle le faisait également puis elle m'allongeait sur le lit pour continuer à bouger son bassin, je soupirais de plaisir. Puis après quelques temps à lui laisser la main, je reprenais les devant en intervertissant les rôle toujours en restant en elle, elle était allongée, j'étais allongé sur elle et les coups de reins défilaient, je criais même tellement l'orgasme était proche, j'accélérais les coups pour finalement lâcher ma semence en elle, j'arrêtais tout mouvement, je me reposais dans le creux de son cou, je respirais fort, je crois que niveau baise pour le moment c'était suffisant.

Encore en plein ébat, elle avait prit les devants pendant quelques minutes, le plaisir était vraiment bon, je prenais la relève pour atteindre l'apogée, mes coups de bassin étaient de plus en plus rapides, j'entendais ses cris, ses soupirs, ses gémissements, l'orgasme pour nous deux était vraiment proche et en effet quelques instants plus tard, un cri aigu de sa part, je sentais ses membres se contracter, elle avait atteint l'orgasme et il en fut de même pour moi. Je me retirais d'elle, essoufflé, souriant lorsqu'elle me disait que j'étais génial C'est bon de te l'entendre dire... toi aussi blondie... un baiser de plus sur ses lèvres et je m'allongeais à côté, les bras derrières la tête, reprenant mon souffle après tous ces ébats.