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La Ciotat est à nous (CAMISON)

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Ok. Moment gênant. Mon père débarque dans la cuisine, le corps ruisselant (de sueur ou d'eau, bonne question) et une serviette nouée autour de la taille, ce dernier me demandant ce que je fais ici. Louison, qui se présente à sa manière avant de tenter une approche plutôt humoristique. Papa Bonaparte regarde la main tendue par la jeune fille avant de soupirer. Mademoiselle. Sans pour autant lui serrer la main, Louison s'approche de moi pour m'embrasser et me dire qu'elle ferait mieux de sortir pour fumer une clope. En effet, vous devriez partir et même quitter ce domaine. Mon regard se pose sur mon père, pour une fois, j'ose lui tenir tête. Non, elle reste. Louison, tu restes. Que je lui dis, alors que je reprends de volée, m'adressant à mon paternel. J'imagine que maman... Le vieil homme tresaillit, une voix féminine se fait entendre. Ecoute, Camille... J'ai... Il a fauté, car la femme qui nous rejoint tout les trois dans la cuisine n'est pas ma mère. Loin de là même, une rousse même pas vingt ans, totalement nue. Me dis pas que... Le choc.
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Pour l’avoir aperçu à quelques reprises, Louison avait pu constater à quel point le père Bonaparte était imbuvable. Malgré son franc-parler proche du sien, il ne l’intimidait pas. Elle pouffa alors de rire quand il lui demanda de partir. Elle avait bien conscience qu’elle était dans sa propriété, elle saurait ainsi disparaître si cela venait à disjoncter. Camille lui demanda tout de même de rester et fit donc un premier affront à son géniteur. La française restait quant à elle spectatrice de cette scène totalement dingue. Tout à coup, une jeune femme de l’âge de Louison débarqua en arrière plan. Père Bonaparte n'était donc pas en train de forniquer avec sa femme. Louison grimaça et attrapa le bras de son petit-ami « Bébé, on devrait s’en aller, prendre une chambre d’hôtel pas loin de la plage » proposa-t-elle en masquant partiellement ses yeux pour ne pas regarder le corps nu de la rousse « Vous savez quoi Monsieur Bonaparte ? Ce serait plutôt à vous et à votre catin de se barrer d’ici. Je me demande ce que votre femme fera quand je lui dirais ce que j’ai vu avec son fils » s’imposa-t-elle en le fixant froidement. « Vous êtes dégoûtant, vous êtes tous les mêmes en fait » Cette situation avait carrément fait écho à sa propre histoire. S’en était trop. Elle soupira longuement et traversa le salon à sa gauche. Elle ouvrit une baie et sortit à l’extérieur pour prendre l’air, totalement blasée par la gent masculine. Elle ne pouvait même pas s’imaginer ce que devait ressentir son petit-ami.
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Je vis dans un cauchemard, pincez-moi, car je rêve. C'est Louison qui intervient, qui me sort de cette torpeur dans laquelle je me suis rapidement trouvé, elle m'attrape le bras en me proposant d'aller à la plage et de se prendre un hôtel. Je ne réagis pas, je n'arrive pas du tout à réagir en réalité et je ne sais pas quoi penser. Tel père, tel fils, me direz-vous. Louison s'en prend à mon père, lui disant qu'ils devraient partir et qu'elle imagine déjà la réaction de ma mère quand elle le lui dira. Je ne vous permets pas de me parler ainsi sur ce ton ! Qu'il s'exclame alors que ma petite amie s'en va, me laissant seul avec mon père et sa maîtresse. Maman est au courant ? De toute cette mascarade, la rousse ne demande rien et s’éclipse, me laissant seul avec mon père. Non, fils. Et, je t'en supplie, ne lui dis rien. Je toise mon père du regard, ne sachant que faire. [color:ff6e=h#96CA2D]Je vais à la mer, sois parti quand je reviendrai. Sans même un merci, avec une froideur déconcertante, je m'en vais rejoindre ma dulcinée et m'allume une cigarette bien rapidement. Désolé que tu aies eu à voir ça... Je... sais pas quoi dire, en fait. Toujours sur le cul.
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Louison était sacrément impulsive. Effectivement, elle n’aurait pas dû parler de cette manière au père Bonaparte, mais pour le coup, elle ne s’en voulait pas. Tournoyant sur la terrasse ensoleillée de la villa, Louison se ressassait son ancienne histoire et fut sortie de ses songes par le retour de son petit-ami « T’en fais pas, c’est surtout toi, comment tu te sens ? Tu étais un petit peu au courant que tes parents n’étaient peut être pas fidèles ? » demanda-t-elle en tripotant nerveusement ses lèvres. « J’suis tellement désolée, on serait resté à Paris, on aurait pas découvert tout ça… » La blonde fronça ses sourcils et s’approcha de l’ex-Mather pour l’enlacer dans ses bras et frotter son dos énergiquement « Je porte la poisse comme meuf, j’avais oublié de le mentionner » murmura-t-elle en souriant. Elle se décolla ensuite de son petit-ami et caressa sa joue de son pouce « On fait quoi du coup ? »
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Je suis déçu, trop déçu. En fait, je ne me suis pas attendu à ce que mon père fasse une telle chose et je comprends rapidement pourquoi je suis comme ça aussi. Bref, je rejoins rapidement Louison en dehors de la villa, m'excusant de la scène improbable qu'il vient d'avoir lieu. Clairement, j'aurais préféré qu'elle ne voit pas ce genre de situation et elle me demande surtout à moi comment je vais. Je... Non, en fait je pensais justement tout l'inverse. Ouais, je me suis dit que leur couple n'a jamais battu de l'aile et je me demande alors si maman est au courant, peut-être pas au vu de sa réaction. Je me laisse prendre dans ses bras, puis elle s'écarte me demandant ce que l'on fait. Je... On va à la plage ? Pour le moment, je veux juste me changer les idées et ne pas penser à ce moment, alors je prends la main de la blonde pour l'amener jusqu'au garage où est entreposé quelques voitures de collections et d'autres de sport. Laquelle on prend ? En espérant qu'elle choississe la plus chère, évidemment.
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Il était rare de voir Camille aussi déboussolé. Louison mit alors au placard ses ressentiments naissants et décida de ne se consacrer qu’à lui. L’objectif, lui faire oublier cette horreur à laquelle ils avaient été confrontés. « Allons à la plage mon chéri » Louison serra la main du brun et se laissa guider jusqu’au garage en priant pour ne pas recroiser l’papa Bonaparte. Elle arriva alors dans une pièce gigantesque où était entreposé de beaux gros joujou bien chers. « Bordel, elles sont tellement canon, j’veux la rouge là, qu’on nous remarque bien » dit-elle en pointant le bolide de son doigt. Émerveillée, elle se rapprocha de quelques caisses et finit par s’asseoir dans celle qu’elle avait choisi « J’pourrais la conduire sur le retour ? » demanda-t-elle en utilisant sa petite moue de chien battu pour attendrir son petit-ami. Louison était particulièrement dangereuse au volant, notamment à cause de la vitesse. Les aiguilles ou autres indications à ce sujet, elle les ignorait, tant qu’elle se sentait remplie d’adrénaline « Allez, fais vrombir le moteur de cette bête ! Que je vois ce qu’elle a sous le capot ! Bien que je préfère ce qu’il y a sous le tien... » La blondinette grimaça et tapota son menton en réfléchissant « C’était bizarre cette réflexion » dit-elle en laissant tout de même courir sa main sur l'entrejambe du français.
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Décidé à ne pas penser à ce que je viens de voir, je propose à Louison d'aller sur la plage et je l'emmène au garage où y dort une bonne dizaine de voitures. Celles de luxe, celle de course ou même une bonne jeep à l'ancienne qui fait un peu tâche à côté des autres véhicules. Louison choisit la toute nouvelle Aston Martin rouge, nous rentrons dans l'habitacle de celle-ci, moi derrière le volant. Je n'ai pas encore eu l'occasion de la conduire. Que si t'es sage. La bonne humeur de ma petite amie et ses allusions sexuelles me font bien vite oublier le petit déboire de tout à l'heure et je sens sa main entre mon entre-jambe. J'ai toujours rêvé d'une petite gâterie quand je conduis. Que je dis alors que je mets en route le moteur, appuyant sur la pédale pour faire vrombir le moteur. Un bon bruit spécial qui m'en donnes des papillons dans le ventre, puis je commence à prendre la route jusqu'à la plage qui ne se trouve pas très loin. T'as tout ce qui faut ? On va aller sur le yacht. Et au pire, on passera la nuit sur le bateau.
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 « T’es dingue ! On aurait un accident, tu finiras par fermer les yeux et on va foncer dans un platane. Je te connais ! » plaisanta-t-elle en tapant dans son pectoral « Hmm, on aurait dû prendre nos valises et squatter le bateau tout le week-end ! Il doit avoir la taille de la maison ! Attends, j’reviens bébé » Louison rouvrit la porte et courut dans les couloirs de la villa, attrapant leur sac de voyage en apercevant le père Bonaparte au téléphone, probablement avec sa femme. Louison lui tira la langue et traîna les bagages jusqu’au garage en râlant à cause du poids. Revenant enfin à la caisse, elle tapa sur le coffre « Ptin t’es pire qu’une meuf, ta valise pèse une tonne ! » s’exclama-t-elle en jetant vulgairement leurs affaires dans le coffre. Le refermant aussitôt, elle contourna le véhicule et se faufila de nouveau sur son siège « C’est parti, fonce, enlève la capote, y a plus de sensations comme ça » dit-elle en pouffant de rire, prête pour l’aventure. Camille prit alors la route et se dirigea vers le bord de mer. Louison était aux anges, elle allait mettre les pieds sur un yacht et baiser probablement sur l’eau, un truc qu’elle n’avait pas encore fait « Bah euh il y a à manger et tout là-dessus ? » demanda-t-elle en apercevant le port et tous les mats dressés vers le ciel. « Il est où le Titanic façon Bonaparte ? »
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Je lui tire la langue, mais elle n'a pas tort la blonde là. C'est sûr que je vais fermer les yeux par le plaisir que pourrait me procurer une telle gâterie puis Louison, elle s'y prend pas mal dans cette pratique là, il n'y a pas à dire. Bref, je finis par lui demander si elle a ce qu'il faut puisqu'on se rend sur le yacht des Bonaparte et vu qu'elle propose à ce qu'on passe le week-end dessus, Louison se dépêche de sortir de la voiture de luxe pour chercher nos bagages. Pendant son absence, je prends mon cellulaire pour discuter un petit peu avec Alice avant de lui dire que je compte bien profiter de mon week-end en France pour bien me ressourcer. Bref, Louison revient rapidement. T'inquiète, j'ai ramené ma baraque dedans ! Que je dis en plaisantant, avant d'actionner le bouton qui permet de dégager le toit de la voiture. On prend la route et nous arrivons rapidement sur le port où sont amarrés plusieurs bateaux. Ouais, il y a tout ce qui faut... Hum, il est un peu plus loin. Je continue à rouler jusqu'à arriver au bon bâteau, un yacht carrément magnifique et sûrement le plus grand du port de la Ciotat. C'qui est bien quand t'es pété de thunes, c'est que tu peux garer ta voiture dans le bateau. Ce que je fais avant d'éteindre le moteur du véhicule terrestre garé dans le garage du yacht. Viens, j'te fais visiter. Pas sûr que je prennes le commandes du bateau, même si j'ai mon permis pour le conduire, je préférerai profiter de ce petit week-end en amoureux.
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Louison n’en croyait pas ses yeux. Ce bateau était gigantesque, plus grand que celui de Rihanna quoi. Camille gara même la bagnole dessus, elle n’aurait pas à enjamber quoique ce soit, la classe. « Les affaires se portent vraiment bien à ce que je vois » commenta-t-elle en sortant du bolide pour suivre le brun à l’intérieur. Grimpant les marches d’un escalier, les deux amoureux se retrouvèrent dans la cabine recouverte de bois luxueux. C’était une vraie maison sur l’eau, il y avait tout ce qu’il fallait, tout brillait, tout était impeccable. Louison croisa ses mains entre ses jambes et prit soin de ne rien toucher au risque de péter quelque chose « C’est juste magnifique… J’ai l’impression de faire tâche là-dedans » blagua-t-elle à moitié en suivant Camille de près « J’sais même pas faire une marche arrière avec une Twingo, alors avec ce monstre… Je défoncerais tout le port quoi » dit-elle en éclatant de rire. La blondinette contemplait tout le mobilier avec ses grands yeux verts remplis d’admiration « Tu me montres la salle des commandes ? Et le yacht à son jacuzzi je suppose? C’est la moindre des choses je dis ! En fait, il doit carrément y avoir une piscine olympique j’parie » Louison voulait tout tester en même temps, cet endroit la rendait limite hystérique. Toute guillerette, elle s’approcha du français, enroula ses bras à sa nuque et déposa un baiser sur son nez « Merci bébé, j’suis aux anges là… Mais euh, j’aurais aussi été contente d'être dans un placard à balais avec toi hein »
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