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La Ciotat est à nous (CAMISON)

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Enfin, toute cette histoire est terminée et je suis libre comme l'air. Après cette soirée, l'enquête a rapidement avancé et nous a innocenté. Tout les étudiants mis à pied sont réintégrés au sein d'Harvard, et je peux enfin.... voyager. C'est sûrement ce qui m'a le plus manquer en réalité, j'adore voyager et rester cantonner à Boston et Cambridge a énormément joué sur mon moral. La première chose que je fais en entendant cette merveilleuse nouvelle, c'est de prévenir Louison et lui annoncer que ce week-end, nous partons pour la France. Je prépare absolument tout, affrétant un jet de la société qui nous amène jusqu'à notre pays natal. Evidemment, dans l'avion durant le trajet, nous discutons de tout et de rien, profitant du champagne et des petits fours, nous faisons même une petite escale dans les toilettes du jet pour réaliser un fantasme. Alors que nous arrivons dans la matinée de samedi, je mets enfin pied à terre. Putain, j'suis heureux. Une phrase venue du fond du coeur en redécouvrant ma patrie. Je prends la main de ma petite amie, entrelaçant mes doigts au siens alors que je me dirige jusque la voiture. Tu vas voir, le domaine est magnifique !


@Louison Chamberlain
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Louison n’avait éprouvé aucune tristesse à quitter le territoire américain pour rejoindre sa patrie. La France lui avait cruellement manqué, au point de perdre petit à petit goût en la vie. Il y avait toutefois d’autres explications à ses fluctuations d’humeur ces derniers jours, mais elle préférait ne plus s’étaler là-dessus. Le temps ferait sans doute les choses, comme panser ses blessures. Inconsciemment, Camille l’aidait d’ailleurs à se reconstruire, à croire en elle à sa place tout en la ramenant enfin dans son pays. La blondinette n’avait pas vu passer le trajet dans le jet, probablement parce qu’elle l’avait passé à boire, manger et copuler avec son petit-ami. Arrivée à destination, Louison s’étira longuement en ricanant. Elle était totalement d’accord avec Camille, elle était aussi heureuse, et en sécurité ici. Les doigts liés à ceux de Bonaparte, elle se dirigea vers la voiture qui les attendait pour les mener à une des résidences du jeune homme. « Le domaine ? Rien que ça… » répondit-elle en secouant sa tête. Hasard ou non, Louison avait vraiment le don de se rapprocher de mecs bourrés de tunes. « On aurait aussi pu prendre le bus tu sais  » plaisanta-t-elle en grimpant dans le véhicule la première. Installée à l’arrière, elle ne tarda pas à se coller au brun pour déposer sa tête sur son épaule « Eum, on sera seuls dans le domaine, ou il y aura des serviteurs ? » lui demanda-t-elle en se détachant de lui pour s’appuyer contre la portière. Elle ouvrit ensuite la fenêtre et laissa son bras pendre à l’extérieur, s’imprégnant de l’atmosphère du sud de la France « Tu sens cet air ? Rien à voir avec les États-Unis, ça pue tellement l’essence et l’huile de friture là-bas » blagua-t-elle à moitié pendant que la voiture démarrait enfin pour prendre le chemin de la Ciotat. « C’est quoi le planning bébé ? Farniente ? »   
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Juste de voir ce sourire affiché sur ma blonde, ça me rassure. J'ai eu cette impression ces derniers-jours que ça n'allait pas fort pour elle, pour nous deux aussi par extension. Qu'elle ne veuille pas d'une relation entre nous deux ou qu'elle préférait sa liberté, mais Louison, je n'ai pas envie de la laisser s'échapper. Pas après tout les efforts que je tente encore de faire pour ses beaux yeux, je tombe amoureux petit à petit et elle commence à le voir apparemment. Pas faux, mais c'est pas mal la limo aussi. Que je réponds en riant, parce que j'ai de l'argent et je veux en profiter. Puis, j'ai une petite réputation à tenir tout de même. Dans la voiture, je m'installe confortablement. Ouais, enfin juste une dizaine quoi. Certains ont un logement sur le domaine. Genre, le voiturier ou les femmes de ménages. Bref, la voiture commence à rouler, Louison ouvre la fenêtre. La bonne odeur ouais. Ouvrant à mon tour la fenêtre de mon côté et de sentir l'odeur de la France. Ouais, j'pensais à ça mais on peut visiter aussi... En plus, on est pas loin de tout ici. Je regarde ma petite amie, peut-être qu'elle voulait faire autre chose, visiter ou ce genre de trucs.
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Louison écarquilla ses yeux en apprenant le nombre de domestiques avec qui elle allait devoir cohabiter « Si t’as vingt piaules en tout, t’as genre euh… 20 x 20, 400 esclaves qui foutent rien toute l’année ? » répliqua-t-elle en tapant son front. La famille de la blondinette était à l’aise financièrement, mais pas à ce point. Pas au point des Bonaparte. Inspirant par la suite l’air frais de la Méditerranée, elle pivota sa bouille vers celle du français « Hmm… je ne sais pas si ce sera possible, mais j’aimerais aller en mer, et pourquoi pas s’arrêter à une calanque… Pour faire bronzette, à l’abri des regards et abrités du vent par les roches » Louison afficha un sourire timide et posa sa main sur le genou de son petit-ami « Tu dois bien avoir un ou deux bateaux dans le coin » le taquina-t-elle en fouillant dans son sac pour attraper une cigarette. Elle dénicha également son briquet et alluma sa clope qu'elle laissa griller à l'extérieur pendant que le paysage avançait à toute allure. « J’suis bien chéri, j’me sens mieux » avoua-t-elle avant de tirer une taffe. Oui, cela faisait plus d'un mois qu'elle n'avait plus senti une telle sérénité. Louison se sentait libre, plus forte et de nouveau pleine d'espoir.  
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Ils sont payés.... donc techniquement, c'est pas des esclaves. Je me mets à rire, sachant pertinemment qu'ils ne sont pas forcément très bien payés. Surtout pour ceux qui ont un logement sur le domaine, mais il ne faut pas rêver. Économie est maître dans la famille Bonaparte, sauf pour moi qui adore dépenser et jeter de l'argent par les fenêtres. Quoique, en y réfléchissant, ces domestiques mal payés ne travaillent pas tout les jours de l'année, alors ils sont plutôt bien lotis. J'ai un hélicoptère sur le domaine, et mon père a un yacht le Marina, on pourra s'y rendre si tu veux... Mais, elle n'a pas tort. Maintenant qu'on est là autant profiter plutôt que de rester à ne rien faire dans la villa. Je vois le conducteur grincer des dents quand ma petite amie s'allume une cigarette ce qui me fait sourire, décidant de m'en allumer une également. Ca me fait plaisir alors mon amour.. Je dépose un baiser sur sa joue, la route nous laissant découvrir un paysage magnifique. T'es déjà venue par ici ? La Ciotat, Marseille, tout ça.
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Louison commençait à s’y faire. En côtoyant Ezio, elle avait aussi touché à une vie confortable où tout tombait dans la bouche sans le moindre effort. Néanmoins, elle n’en était pas fan, elle préférait plutôt travailler personnellement pour pouvoir s’offrir des petits plaisirs au quotidien. Elle avait aussi le coeur sur la main et ce luxe lui donnait parfois le tournis. En effet, en pensant au tas de gens qui ne pouvait pas se payer un loyer dans un 10m2, Louison culpabilisait. Toutefois, elle n’allait pas refuser ce qu’on lui proposait pour autant, la vie était faite d’injustices. « J’veux bien faire un tour en mer oui… » La blonde alluma ensuite une clope et ouvrit à peine son coeur qui s’allégeait ici. Elle était loin de tout, sur un territoire qui prendrait plus soin d’elle qu’aux États-Unis. « Oui j’suis déjà venue plus jeune. On louait une baraque à Cassis l’été, c’était les plus jours de l’année pour moi. Pis, je crois qu’on se voyait de temps à autre, on squattait dans un camping j’crois » Louison esquissa un faible sourire en se remémorant son enfance et son adolescence entrecoupée de moments de paix « Normalement je prenais mes maillots de bain pour venir ici... Sauf qu’à cette époque de l'année, c’est mort pour piquer une tête hein » Louison termina sa clope lentement en rêvassant. Plusieurs longues minutes plus tard, après avoir emprunté une allée privatisée, elle aperçut au loin un domaine impressionnant entouré de verdure typique du Sud « C’est somptueux, j’adore ! Je pourrais facilement vivre toute ma vie là. Je trouve qu’il y a certains coins de la Californie qui ressemblent d'ailleurs à ici, donc si j’rentre pas en France en finissant mes études, je pense m’exiler sur la côte Ouest... »
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Ouais, il faut qu'on bouge au lieu de rester cloîtrer dans un même endroit. Le domaine a beau être immense, il faut savoir aussi profiter d'un peu de tout surtout quand on en a les moyens. Le yacht ne bouge pas si souvent que ça et j'ai le permis bateau, alors je promets à ma blonde qu'on pourra faire un petit tour en mer avec grand plaisir. Qu'elle découvre un peu l'endroit où je passais le plus souvent mes vacances, j'ai envie de lui faire découvrir des choses comme une crique qui donne des airs paradisiaques à cette douce France. Je demande si elle est déjà venu dans ce coin là, elle me dit qu'elle allait sur Cassis l'été qui n'est pas très loin d'ici. Mais oui, je m'en rappelle ! Putain, ça remonte... L'espace d'un instant, j'ai quelques souvenirs qui reviennent dans ma tête. Des bons souvenirs, évidemment. Si tu ne veux pas finir comme un mister freeze, ouais, vaut mieux éviter ! Que je dis en riant, il a beau faire un bon temps, il faut éviter d'aller dans l'eau qui ne doit pas avoir une bonne température pour se baigner là. Arrivant sur une allée qui mène au domaine des Bonaparte, Louison s'émerveille de la vue. Ouais, mais ça n'a pas le charme du Sud de la France. On arrive enfin au parking, je sors de la voiture et le chauffeur ouvre la porte du côté de Louison. Vous mettrez nos valises dans la chambre principale. Que je m'adresse au chauffeur, alors que je prends la main de Louison pour l'emmener à l'intérieur de la villa. J'ouvre la porte pour la laisser découvrir le hall d'entrée immense. Champagne ? Que je lui propose, tournant mon regard vers elle.
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Louison était bien au courant que la France restait la France. Ce charme particulier, ces petits villages typiques et leur ambiance étaient uniquement présents ici. Cependant, elle n’envisageait pas encore de revenir définitivement ici, surtout pas pour retrouver ses parents tyranniques. La Californie restait toujours un bon compromis. La voiture se gara ensuite sur la cour de l’entrée. Louison colla son nez à la fenêtre et fut surprise par le chauffeur de la berline qui vint lui ouvrir. La blonde lui tendit la main par réflexe, mais attrapa celle de Camille. Debout, sur ses mocassins offerts par sa tante quelques jours plus tôt, elle releva ses lunettes de soleil sur sa tête et suivit son petit-ami jusqu’à l’intérieur de la bâtisse. Le hall était impressionnant et coupa la parole à la pipelette en chef. « Aheum, bah voyons, fais péter le champagne ouais ! » s’exclama-t-elle en trébuchant sur une paire de pompes « Hey, tes domestiques font mal leur boulot » accusa-t-elle avant de suivre le brun dans cette piaule gigantesque. Camille  était sa boussole, si elle le perdait, pas sûre qu’elle puisse retrouver la sortie. Elle trottina alors jusqu’à lui et lui sauta dans le dos pour s’accrocher à son cou « Tu me fais la visite avant, ça va j’suis pas lourde ? » lui demanda-t-elle en se penchant vers l’avant pour embrasser sa joue « Merci bébé, c’est trop beau. Je n'oublie pas le tour en mer, tu m’apprendras à piloter l’bateau ? J’sais, on va sûrement faire naufrage, mais si on s’en sort, ça nous fera un souvenir mémorable »  
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Arrivés à destination, nous entrons dans le hall gigantesque et où nous avons l'impression d'être très petit. Même pour moi qui suis déjà venu ici, la grandeur du bâtiment me surprend encore et toujours. Reprenant plus rapidement mes esprits que la blonde, je lui demande alors si elle veut du champagne et sa réponse ne me surprend pas. Hm. Que je répond seulement en voyant la paire de chaussure au sol, c'est bizarre mais je m'en occupe pas plus que cela. J'invite ma petite amie à me suivre pour que l'on se rende dans la cuisine le plus rapidement possible et commencer à boire cette petite bouteille de Moët. Elle s'accroche à mon cou, je me mets à rire. Ouais, mais avant on boit ! Que je lui dis, putain, je suis un vrai alcoolique quand même. Promis. Alors qu'elle me parle de la balade en mer, je lui promets de la laisser piloter un petit peu le yacht de la famille. On arrive en cuisine, j'ouvre un placard sortant ainsi une bouteille de champagne et deux verre en flûte. Les posant sur le comptoir, je sers chacun des verres. Mademoiselle Chamberlain est servie. Que je lâche, alors que... mon père, serviette nouée autour de la taille, fait son apparition dans la cuisine. Lui comme moi sommes surpris. Camille, que fais-tu là ? Je le regarde longtemps. Euh, c'est toi, tu fais quoi ici ? Moment gênant, très gênant.
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Louison suivit Camille jusqu’en cuisine, se laissant servir comme une petite reine un nectar mondialement apprécié et réputé. Elle attrapa ensuite sa flûte, se tenant prête à la cogner à celle de son petit ami quand une voix masculine les interrompit. La française se retourna alors et aperçut Monsieur Bonaparte ruisselant, une serviette autour de sa taille et quelques griffures sur son torse. Elle détourna alors le regard et bu une longue gorgée en cachette. « Bonjour monsieur Bonaparte, Louison Chamberlain, la fille d’avocats parisiens vous savez » lui lança-t-elle ensuite en souriant malicieusement. Sans une once de gêne apparente, la blondinette contourna le comptoir et tendit sa main au paternel de Camille « Partie de tennis éprouvante ou coup de zizi ? » lui demanda-t-elle en fronçant ses sourcils. Elle éclata ensuite de rire pour détendre l’atmosphère et retrouva l’ex-Mather pour l’embrasser sur la bouche « Bon, tu veux que j’aille griller une clope dehors et que je vous laisse un peu ? Je sens que c’est bizarre là » chuchota-t-elle à l’oreille du brun tout en zieutant le père encore figé sur place.
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