SOLIMAN ✖ The jealousy is a real proof of love.

L'embrasser, encore et encore. C'était vraiment trop bon. Je me sentais bien à le sentir contre moi et aucunement une gêne quant au fait de l'embrasser alors qu'on pourrait nous trouver. Bien au contraire, si ça se savait, ça me convenait parfaitement. J'y allais peut-être fort mais honnêtement, c'était très agréable, et pourquoi pas continuer plusieurs minutes, dans le style dix minutes de plus contre ce mur ? J'aurais bien aimé si Soliman n'avait pas arrêté. « Ne sois pas trop gourmand tu vas finir par ne plus avoir faim d’autre chose que de mes lèvres ! » Je riais fort à ce moment, c'est vrai que j'adorais ça! Mais ce n'était pas vraiment un mal d'être accro à Soliman. Je n'aimais pas ce regard pour la bonne raison que si j'y répondais, ça serait pour en rajouter encore plus, pour l'embrasser et même pas lui montrer le restaurant universitaire, aller directement dans nos chambres. Mais je me retenais, le suivant alors qu'il sortait des bâtiments pour aller manger. Je l'attrapais par la main avant qu'il entre dans le restaurant pour l'embrasser avant de lui rendre le même regard qu'il m'avait fait tout à l'heure. J'entrais dans le restaurant alors qu'il y avait déjà pas mal de monde. Tant pis, on attendra. Je me posais dans la file jusqu'à ce que Soliman me rejoigne. Je me mettrais contre la rambarde. « On va mourir de faim avant même avoir pris un plateau! » dis-je en riant. C'était la joie de ce genre d'endroit. Mais ça ne me faisait pas peur. « Au pire, tu me laisses te manger en attendant ? » Je me mis à rire. J'aimerais bien le croquer, je me retenais moi qui était si vaillant tout à l'heure pour l'embrasser. Peut-être la peur que ça le dérange lui que j'affiche que je cherchais à le draguer. Je savais pas trop, bien que mon regard vers lui en disait long sur ce que j'avais envie.

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Jealousy could be a proof of love.

Je désirais plus que tout poursuivre sur ma lancée, ne pouvant faire le moindre mouvement contre le mur à embrasser cet homme qui, en plus d’avoir fait battre mon cœur pendant des années sous le signe de l’amitié était en train d’apprendre à le faire d’une manière nouvelle, je me mordillais la lèvre reprenant brièvement mon souffle pour mieux revenir à l’essentiel, ses douces lèvres, sa langue délicieuse à caresser de la mienne, je reculais après un temps déjà bien trop excité par tout ce que nous faisions pour avoir envie de poursuivre, s’il ne voulait pas que je le déshabille au milieu d’un des couloirs de l’université pour lui faire regretter ou non d’être venu dans le coin. Je souriais coquinement le laissant en plan pour rejoindre l’entrée du restaurant universitaire, il arrivait peu de temps après moi me volant un dernier baiser avant de rejoindre l’intérieur du restaurant, je souriais amusé attendant patiemment mon tour, j’aimais lorsque j’avais cours entre midi et deux, au moins je n’avais pas à attendre comme maintenant, je prenais mon mal en patience dévorant Liam du regard étant derrière lui il ne pouvait donc pas me voir logiquement. « On va mourir de faim avant même avoir pris un plateau! » Je riais, il n’avait pas tort dans ce qu’il disait. « Et encore, on sera morts avant d’avoir atteint le réel début de la file d’attente. » Nous étions bien plus éloignés de la ligne après tout, il y avait du peuple ce midi. « Au pire, tu me laisses te manger en attendant ? » Je riais appréciant énormément son petit regard plein de sous-entendus, je me mordillais la lèvre. « Il va falloir trimer pour pouvoir obtenir le plat principal… Moi ! » Je restais sérieux un temps pouffant de rire ensuite.

C'était horrible d'attendre pour manger. J'étais pas du genre à être patient, encore pire si je mourrais faim même si Soliman était là. Je regardais la file interminable, sachant que les tables étaient toutes blindés. Mais ça ne m'avait pas empêché de faire un peu d'humour avec une petite touche de séduction. Il faut dire que je ne perdais pas le nord pour chercher Soliman. « Il va falloir trimer pour pouvoir obtenir le plat principal… Moi ! » Et sa réponse ne m'en était plus que plus plaisante. C'est qu'il me donnait faim en plus, et je parlais pas de la faim au niveau de l'estomac mais plus bas. « Eh bein... si tu as envie d'un petit hot dog à la place de la cafet', tu as qu'à venir avec moi. » L'allusion était grave, je sais mais je m'en tapais car je parlais d'un vrai hot dog, s'il voulait l'autre façon, fallait qu'il le demande. Je le regardais en souriant, mais je n'osais pas bouger sauf pour passer devant lui et passer par dessus. J'en avais clairement marre d'attendre. Je me dépêchais de sortir du restaurant universitaire. Je m'asseyais sur une rambarde en allumant une clope, histoire de l'allumer et tirer quelques taf' avant qu'il sorte aussi du restaurant. Une fois qu'il était là, je passais mon bras autour de sa nuque. « Beau gosse, tu nous emmènes en ville ? Je te rembourse en te payant le vrai hot dog, et l'autre, on verra après. » Je lui tirais la langue. J'adorais ce sous-entendu...

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Je n’étais pas quelqu’un qui était très patient à la base mais lorsqu’il était question de nourriture je savais prendre de grandes inspirations en espérant que le temps passe soudainement très rapidement, avec Liam devant moi je ne pouvais que voir les minutes comme des petites secondes et je ne regardais plus du tout la file d’attente, plus elle serait longue et plus je pourrais en profiter pour être aux côtés du beau brun qui me faisait toujours un effet de dingue depuis qu’il s’était rendu compte qu’il n’aimait pas seulement les filles. Il est étrange de voir qu’il n’y avait eu besoin que d’une malheureuse altercation dans ma salle de bain pour le lui faire comprendre alors que nous avions été très proches l’un de l’autre depuis six ans sans qu’il n’éprouve rien de plus que de l’amitié. « Eh bein... si tu as envie d'un petit hot dog à la place de la cafet', tu as qu'à venir avec moi. » Je souriais amusé n’hésitant pas à répondre du tac au tac alors qu’une partie en moi se réveillait et était de plus en plus attentive aux propos du beau brun. « Si il est petit non merci… J’aime en avoir plein la bouche. » Bon d’accord j’étais peut-être un peu hard mais il me provoquait et j’avais le sentiment que mes propos étaient à son goût de toute manière. Il passait derrière moi et quittait la longue lignée de personnes, j’allais donc devoir m’asseoir sur un bon plat cuisiné, tant pis, je passais sous la petite barrière qui encadrait la rangée me retrouvant libre d’accélérer pour le rejoindre dehors. Il fumait tranquillement. Il m’entourait de son bras, je n’hésitais pas à en faire autant contre son dos. « Beau gosse, tu nous emmènes en ville ? Je te rembourse en te payant le vrai hot dog, et l'autre, on verra après. » Je riais descendant ma main jusqu’à ses fesses avec un air presque innocent. « Tu veux déguster le hot dog sur la route ? Pendant que je te conduis au resto ? » Moi d’humeur taquine ? Totalement.

La patience n'était pas du tout ce qui me caractérisait, surtout s'il fallait manger. Soliman avait sans doute remarqué ça. Mais j'adorais surtout son allusion coquine avec moi. « Si il est petit non merci… J’aime en avoir plein la bouche. » Je souriais, s'il parlait de ce dont je me doutais, il n'y avait pas besoin de m'en dire plus pour me donner encore plus envie de lui. Bien plus que je n'en avais déjà. Je l'attendais sagement dehors, espérant pouvoir calmer mes ardeurs sinon il risquerait de ne pas manger avant deux heures de l'après midi. Je le tenais contre moi une fois sorti, je sentis mon coeur bondir lorsqu'il posait sa main sur mes fesses. Je le regardais de tel façon qu'on pouvait sentir que j'avais envie de le dévorer. « Tu veux déguster le hot dog sur la route ? Pendant que je te conduis au resto ? » Il était horrible avec moi. J'étais séduis par Soliman, et donc faire ça avec lui, ça me tentait que trop. « hm, tu sais, tu risques d'avoir un accident si je le mange sur la route. Je suis du genre à déguster quand je mange...tu vois. » je souriais alors que nous marchions jusqu'à sa voiture. Là, Soliman m'avait carrément chauffé, mais je me retenais. Pas parce que j'avais faim, mais nous étions dans un lieu public et il risque de finir nu dans sa voiture avec moi qui lui fait l'amour. Une fois que nous étions à sa voiture, je le lâchais pas pour autant car j'attirais son visage vers le mien pour l'embrasser. Je ne me gênais pas de savoir s'il y avait quelqu'un qui nous connaissait, Soliman était à moi, enfin, je l'espérais qu'il le serait. Je murmurais alors. « Et arrêtes de me chauffer sinon je t'emmène dans la voiture et ça sera pas pour manger un hot dog... » je redéposais un baiser sur ses lèvres avant de quitter ses bras pour me mettre devant la porte du coté passager. Il me rendait fou ce mec. Honnêtement, j'étais complètement acro, j'étais faible, et même très faible avec lui. S'il me cherchait pour lui faire l'amour, il me trouverait. Si je cherchais à le séduire, c'était pour mieux lui appartenir. Mais pour l'instant, je devais me contenter d'attendre que ça marche. Le rendre acro à moi comme je le suis à lui.

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Si je n’aimais pas la patience je savais qu’il ne servait à rien de forcer les choses, il y aurait toujours une longue attente et on brasserait juste du vent pour rien au final. Notre attente n’était pas récompensée puisque Liam quittait le restaurant universitaire m’obligeant à en faire autant, je rejoignais l’extérieur venant me blottir contre lui en souriant amusé, il pouvait bien passer devant moi le pire homophobe du monde comme Andy par exemple et je n’aurais pas eu de scrupules à rouler une bonne grosse pelle à mon ami si l’envie y était, bien-sûr je ne ferais pas ça juste pour dire d’emmerder le mec en question mais parce que je le désirais plus qu’autre chose sur le moment. « hm, tu sais, tu risques d'avoir un accident si je le mange sur la route. Je suis du genre à déguster quand je mange...tu vois. » Je souriais amusé, l’idée qu’il puisse me procurer une fellation pendant le trajet réveillait le petit soldat qui était en repos dans mon caleçon, je me mordillais la lèvre plus que bouillant et prêt à m’occuper de son cas dans les prochaines secondes au milieu de cette grande place sur les cailloux à même le sol comme une bête. Je prenais une longue inspiration pour avoir l’air de ne pas être tout simplement en érection rien qu’en pensant à ce qu’il pourrait faire sur le trajet. « Tu sais… Je doute que tu sois aussi bon en dégustations que tu le dis mais soit, je ne voudrais pas te mettre un coup de volant ça serait… Méchant ! » Nous arrivions à la voiture, il m’embrassait et je ne me faisais pas attendre pour prolonger le baiser souriant satisfait par ce qu’il venait de faire. « Et arrêtes de me chauffer sinon je t'emmène dans la voiture et ça sera pas pour manger un hot dog... » Je riais montant à la place du conducteur, je sortais mes clés de ma poche enclenchant le moteur, j’attendais un instant tournant la tête vers lui pour répondre à ce qu’il m’avait dit quelques minutes plus tôt. « Oh tu ne me donnes pas envie de m’arrêter lorsque tu dis ça, bien au contraire. » Je le chauffais à blanc et j’en avais pleinement conscience.

Il me provoquait, il me rendait fou et le pire dans tout ça, c'est qu'il devait s'en amuser énormément de l'effet qu'il me faisait. Il était vraiment sadique. « Tu sais… Je doute que tu sois aussi bon en dégustations que tu le dis mais soit, je ne voudrais pas te mettre un coup de volant ça serait… Méchant ! » Je fis une moue boudeuse. Là aussi, il était méchant. Je lui avais demandé d'arrêter de me chauffer, j'étais tellement réceptif. La voiture s'allumait, on allait enfin aller manger, et surtout, je pouvais me calmer... ou pas ? « Oh tu ne me donnes pas envie de m’arrêter lorsque tu dis ça, bien au contraire. » Je le regardais à mon tour, et il en remettait une couche. J'avais envie de lui, c'était clair. Mais je n'allais pas tout le temps lui sauter dessus, même s'il cherchait en ce moment même que ce soit le cas. Fallait-il céder à cette avance ? Ou plutôt, proposition. « T'abuses... » Faiblesse quand tu nous tiens. Je posais ma main sur la clef de la voiture pour éteindre le moteur alors que de l'autre coté, j'approchais mon visage de Soliman pour l'embrasser. Ce n'était pas très pratique dans la voiture, mais tant pis. Je venais taquiner sa langue de la mienne, l'embrassant fougueusement. Je devais me contenter de ses lèvres, de un parce que j'avais faim, et de deux, parce que la voiture n'était pas un lieu approprié pour s'amuser. Je n'avais pas les moyens de payer l'amende pour atteinte à la pudeur si on se faisait prendre sur le fait. Je me sentais à présent détendu de l'embrasser, j'oubliais tout ce qui pouvait me tracasser, et même les bonnes choses car c'était pas mieux que d'être avec Soliman. C'était comme ci j'avais des petits pétillements dans la poitrine, c'était ça le bonheur, le plaisir d'apprécier un baiser. Je passais ma main entre ses cuisses, pressant afin de l'exciter et surtout, me venger de ce qu'il avait osé me faire. Puis je remontais ma main à sa nuque pour continuer le baiser. On était pas prêt de manger...

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Je ne sais pas ce qui me prenait mais je désirais plus qu’autre chose le jeune homme, poser mes lèvres contre son corps musclé et le sentir relâcher l’étendue de sa jouissance contre mes lèvres. Je n’étais pourtant pas en manque ou je ne sais quoi mais le désir était plus que naturel, l’un des instincts de l’Homme dirons-nous. Prêt à démarrer après l’avoir taquiné et chauffé au maximum je tournais un instant la tête en sa direction, il souriait. « T'abuses... » Je souriais amusé me préparant à répondre mais il me coupait dans ma lancée éteignant le contact pour venir se presser sur mes lèvres, je fermais les yeux prolongeant avec douceur n’hésitant pas à lui mordiller la langue. Je manquais de m’étouffer lorsqu’il venait mettre sa main sur ma cuisse, savait-il qu’il venait de provoquer en moi une envie immense de lui, le fait d’être dans un lieu public n’avait rien pour me déranger même si je n’étais pas un énorme exhibitionniste. Il me cherchait et je ne comptais pas perdre de cette manière, je saisissais sa main la glissant au niveau de mon entrejambe bien qu’elle soit protégée par mon jean, il n’aurait pas de mal à concevoir le fait que je sois excité, il suffisait d’appuyer à peine pour s’en rendre compte. « Est-ce que c’est là que tu voulais mettre ta main ? » J’étais parfait pour obtenir le rôle du diable dans une série télévisée et le voir perdre ses moyens me faisait rire.

L'embrasser encore et encore, jusqu'à oublier que je devais respirer. Bon, je respirais comme un animal qui venait de courir un marathon pendant que je l'embrassais mais ça me rendait qu'encore plus fougueux. Ma main sur sa jambe, je la passais lentement pour l'embêter, le chercher comme il l'avait fait pour moi. J'étais du genre donnant-donnant. Je l'avais senti réagir à ce contact, et je riais intérieurement lorsqu'il prenait ma main pour l'amener entre ses cuisses à l'endroit même de la possible jouissance que nous pourrions avoir. Soliman réussissait à me faire de l'effet, depuis tout à l'heure, je me sentais vraiment très chaud et ça bouillonnait à l'intérieur de mon jean par sa faute. « Est-ce que c’est là que tu voulais mettre ta main ? » me disait-il après ça. Je pressais un peu plus ma main sur son jean, la bougeant quelque peu pour le lui faire sentir. « ça aurait été trop gentil d'y aller directement... » Je souris alors que je l'embrassais à nouveau, caressant son jean pour chercher à l'exciter encore plus. Seulement, ce n'était pas comme ci je l'incitais à coucher avec moi car je ne cherchais qu'à me venger de sa sournoiserie qu'il avait à me chercher comme ça en sachant que je lui étais très faible. Parce qu'au final, je retirais ma main d'entre ses cuisses, j'arrêtais notre baiser. « Allez, en ville, el diablos... » Je ris alors que je quittais le siège passager pour m'asseoir à l'arrière. Je retirais ma veste pour la mettre sur mes genoux. « En attendant, faut que je me calme... » dis-je en souriant alors que je déboutonnais mon jean. Pour la peine, j'allais m'éclater solo !

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Je n’étais pas forcément content de mon comportement très primaire mais admettons-le, cette excitation que j’éprouvais à son égard me faisait un bien fou et mon jean était sur le point d’imploser sous la pression sanguine qui s’exerçait dans mes parties intimes, signe que j’étais plutôt de bonne humeur à cet instant, prenant sa main d’une manière volontairement sensuelle et démonstratrice je la reposais au niveau de cette partie de mon corps qu’il apprenait à connaitre et à dompter avec le temps, il souriait et faisait des petits mouvements pour bien me faire sentir qu’il avait sa main ici. « ça aurait été trop gentil d'y aller directement... » Je souriais amusé, il me volait un baiser auquel je ne répondais pas bien trop absorbé par sa main sur mon corps, il allait me rendre fou et le fait d’être dans cette voiture ne représentait pas un énorme défi pour moi. « Allez, en ville, el diablos... » Moi, frustré ? Totalement, je le regardais intensément me demandant s’il était vraiment sérieux, je me résignais finalement à enclencher le moteur. « Allons-y alors ! » Je tournais la tête prêt à démarrer lorsqu’il se glissait sur la banquette arrière, je le regardais d’un air interrogé ne comprenant pas trop de quoi il était question à cet instant. « En attendant, faut que je me calme... » Est-ce qu’il allait faire ce que je croyais ? Oh oui il allait vraiment le faire, je coupais le moteur me hissant au milieu des deux sièges pour le rejoindre. « Pas touches, c’est égoïste de prendre du bon temps tout seul ! » Je riais déboutonnant son jean en le dévorant du regard.

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