« Dois-je comprendre que tu seras du genre à planter tes ongles dans mon dos ? » Il rigola et fut agréablement surpris par sa volonté de lui faire plaisir. « Le blanc doit être terriblement sexy sur toi, j'imagine et ... ouais je ne vois pas une autre couleur, le rouge peut être. Non mais nous sommes des gens civilisés, on va manger un peu avant de se sauter dessus. A moins tu arrives en jupe et là .. c'est mort pour toi. »
« Je sui effectivement ce genre de filles, je suis passionnelle dirons nous. » Je voulais te plaire, c'est vrai que je n'avais pas été regarder comme tu l'avais fais depuis longtemps et ça m'avait plu. « Et bien il y a de forte chance que je mette une robe ou une jupe, parce que si je me souviens bien ça donne faim de faire ce genre de sport puis franchement, trois ans si je suis un animal à ce niveau là. » Je me mets à rire mais il est évident que j'ai déjà très envie de toi alors pourquoi je devrais attendre d'avantage.
« J'aime les filles passionnelles et passionnantes comme toi. » Ezio adorait les filles uniques en leur genre. « Tu sais quoi ?On ne va pas se prendre la tête, viens habillée comme tu veux et on avisera le moment venu. Je mettrais un somnifère dans la purée de mon fils pour pas qu'il se réveille en pleine nuit ... » dit-il en explosant de rire. Tout ceci était nouveau pour lui.
« Tu me trouves passionnante vraiment ? » Je ne me souvenais pas qu'on m'est déjà fait cette remarque, ça me faisait plaisir. J'avais cette sensation de te connaitre depuis un moment. « Je viendrais dans une tenue sexy quoi que je choisisse de mettre tu peux en être sûr. Même si je dois attendre le milieu de la nuit ce n'est pas grave, tu n'as pas à t'en faire pour ça. » Je riais tout de même parce que je me doutais que tu n'étais pas habitué à cette situation.
« Ben ouais, pourquoi ça t'étonne ? T'as toujours quelque chose à dire et c'est jamais débile, t'as ce petit grain de folie, tu ressembles pas à toutes ces filles sans personnalité quoi. » Il passa sa main dans ses cheveux en évoquant le sujet sensible de son fils. « Ca ne te gène pas qu'il soit là ? Après il fait ses nuits tu vois, si on arrive à être discret, ça devrait le faire. T'inquiète, on ne se verra pas toujours chez moi, c'est juste là, j'ai pas spécialement envie de le refiler à n'importe qui, il est déjà privé de tous ses repères .. »
« Oui je suis surprise, j'ai pas l'habitude d'entendre ça, ni même qu'on me regarde comme tu l'as fait. Je suis pas le genre de fille qu'on remarque pour tout te dire, je suis même l'inverse, la fille dans ses bouquins et qui aime le sport et qui à horreur du shopping. » Je n'étais vraiment pas une fille comme les autres, c'est vrai. Je souris tendrement quand je t'écoute parler de ton fils. « Non, ça me dérange absolument pas, je serais ravie de le voir, puis je te l'ai dit je te prends avec lui et ça veut dire même les contraintes. Tu agis déjà comme un bon père Ezio, vraiment tu fais bien de le garder, Boston sera nouveau pour lui, tu es son point d'encrage maintenant. »
« Tu sais, ce n'est pas parce que tu es discrète que tu n'es pas intéressante. Quoi ? T'aime pas le shopping ? C'est la grande passion de ma vie, avec mes cheveux. » Et le pire c'est que c'était vrai. « Oh .. ça me touche ce que tu me dis là Rose, j'vais essayer de faire de mon mieux, on verra bien. C'était plutôt bon de savoir que tu ne me rejettes pas à cause de ça .. »
« J'aime ça quand je sais ce que je veux et que je le prends, mais je déteste resté à chercher pendant des heures. » Je détestais cette perte de temps, je préférais encore faire des footings c'était mieux. « Je le pense sincèrement. Du moment qu'il a de l'amour le reste viendra tout seul tu n'as pas à t'en faire. Je serais idiote de te rejeter, alors que tu me plais, ton fils ne change rien à ça. »
« C'est rassurant dans un sens, c'est que je te plais vraiment .. ça m'a fait plaisir de discuter un peu avec toi ma biche. Je vais te laisser, je me lève super tôt demain pour toute la paperasse administrative .. on appelle demain soir ? » lui proposa-t-il en baillant de tout son être. Ezio avait juste hâte de rentrer à Boston avec son fils et de retrouver une vie normale.
« Bien sûr, tu n'as rien à craindre en ce qui concerne ton fils. D'accord, tu peux me rappeler demain soir avec plaisir. Ça m'a fait plaisir de t'entendre. » Je me mets sur le côté et je souris. « Bonne nuit, mon beau. Repose toi bien et embrasse ton fils pour moi. »