just the two of us - (jally)

Alors qu'elle s'approchait de toi pour s'installer contre lui, tu finissais par dire, sourire amusé aux lèvres. Je continue alors.. Tes doigts retrouvaient leurs chemins vers ses cheveux que tu caressais doucement. Il étaient tellement soyeux que ça en étaient agréable pour toi aussi. Le silence s'installait de nouveau, et tu finissais incapable de savoir ce que tu pourrais faire pour l'aider. A quoi tu penses ? Tu regrettais presque ta question, une fois posée. C'était curieux. Pour autant tu avais du mal à la laisser cogiter seule dans son coin.

(Invité)

Je m'installais contre lui et quand il me dit qu'il continuait dans ce cas je souriais et je secouais les épaules. "J'aime bien quand tu le fait." Je posais mon visage contre son buste et ma main contre son ventre que je caressais de mes doigts, j'aimais le fait de pouvoir rester contre lui sans avoir à parler, le fait qu'il m'oblige pas à le faire ou à sortir de cette pièce, j'avais besoin de calme et de lui pour le coup et simplement ça. "Au fait qu'on soit enfin seule.." Je lui dis ceci avant de me mordre la lèvre, sans oser le regarder, ces derniers temps on avait jamais eu ce moment là, on avait pas pu profiter et pour une fois qu'on était seul oui j'y pensais beaucoup.

(Invité)

Tu prenais note et par chance tu aimais le faire aussi. Tu étais attentionné comme mec, et elle le savait. Elle ignorait peut-être comment tu étais quand tu avais ce genre de relations avec une femme, mais elle savait certainement que tu étais le genre de mecs bienveillants, et affectueux. Il n'y avait qu'à voir avec ta fille! Curieux de savoir à quoi elle pensait, tu n'as pas su t'empêcher de rire quelques peu à sa réponse. Oui c'est vrai qu'il a fallu qu'on s'exile au Brésil, pour que ça arrive. As-tu amusé, entre Zoé, Zoé et sa varicelle, la visite d'Elyes enfin elle avait raison, c'était bien inédit. C'est peut-être ce dont on a besoin, même si je regrette que ce soit dans ces circonstances. Oui peut-être qu'être rien qu'à deux allait vous aider à savoir quoi faire ou non, à essayer ou non. Mais en même temps tu n'oubliais pas que les raisons de cette escapade n'était pas des plus idéales.

(Invité)

C'était la première fois depuis longtemps que je me sentais aussi bien, aujourd'hui je comprenais pourquoi j'étais amoureuse de lui depuis tellement longtemps, il était tout à fait le genre d'homme qui me fallait, attentionné, respectable, à l'écoute, tout ce que je n'avais jamais connu jusqu'ici. Je lâchais un rire aussi avant de lever le regard vers lui pour le regarder. "Je suis contente que tu sois là avec moi." Je ne voulais pas penser aux raisons qui nous amenait ici, je voulais juste penser à lui et moi et rien d'autre. "Je ne veux pas penser à ça, là je suis juste seule avec l'homme qui me plait dans une chambre d'hôtel loin de boston, loin de cambridge, loin de tout le monde." Il voulait me faire penser à autre chose en plus, je me redressais sur mon coude pour laisser ma main glisser contre son torse avant de m'approcher pour prendre possession de ses lèvres.

(Invité)

Tu ne t'attendais pas à une telle remarque de sa part mais il fallait le reconnaître, ça te soulageait pas mal. D'ailleurs tu lui as vite dit. Tu veux que je dise ? J’espérais te l'entendre dire à un moment ou à un autre, mais je pensais pas que ça arriverait sitôt. Tu avais insisté pour venir, et tu avais eu au fond de toi la crainte d'être de trop, même si tu ne l'avais nullement montré. Alors oui, ça te faisait plaisir de l'entendre, et plus encore quand on sait que vous étiez là depuis peu. Uhm, c'est vrai. Vous auriez beau vouloir voir quelqu'un, ce serait impossible dans l'immédiateté. Vous étiez tellement loin. Quoiqu'il en soit quand elle s'approchait de toi, tu ne te faisais pas prier. Tu ne te faisais plus prier du tout même. Tu saisissais l'occasion venue et accueillais son baiser en le prolongeant.

(Invité)

Je ne pouvais pas me permettre de perdre du temps, je ne voulais plus perdre de temps et je ne savais pas si Jamie et moi on voulait aller dans la même direction, si on avait les mêmes envies mais je ne serais pas avant d'essayer, si on était pas compatible on le verrait très rapidement de toute manière. Là tout de suite je voulais qu'on profite, on était enfin seul et je lui fis part d'être contente qu'il soit là. "Pourquoi je ne le dirais pas après tout, t'es la personne avec qui je me sens le mieux ces derniers temps." Je ne voyais personne d'autres que lui pour m'accompagner, une fois redresser sur mon coude j'étais venue l'embrasser et en voyant qu'il prolongeait je passais ma main sur sa joue pour le tirer un peu pour l'amener vers moi et prolonger son baiser, ma langue allait taquiner la sienne et ma main glissait dans ses cheveux.

(Invité)

Sally pourrait très bien dire que tu avais réponses à tout, et elle n'aurait peut-être pas tort. En attendant, à cet instant, c'était bien toi qui avait le sentiment qu'elle avait réponse à tout. Alors toi, qui avait eu le temps d'un instant la crainte de t'être imposé, tu finissais plutôt rassuré en l'entendant, et au fond tu étais même touché par ce qu'elle te confiait. Cela dit même si tu connaissais les enjeux de cette période de transition ou de non-transition avec Sally, tu avais comme pris le parti de te dire que ce n'était pas non plus la priorité de ce moment au Brésil. Mais quand Sally accentuait les choses, tu ne pouvais plus freiner quoique ce soit. Alors tu te laissais attirer passant légèrement au dessus d'elle, en l'invitant à libérer son coude et dès lors tu avais comme l'assurance que personne ne viendrait arrêter vos baisers tant sensuels que langoureux.

(Invité)

Je ne savais pas comment ce déroulerait notre séjour, je ne savais pas comment allait ce dérouler ce procès mais j'étais contente d'être ici avec Jamie, il avait été d'un grand soutient pour moi et je savais que personne d'autre aurait pu me sortir la tête hors de l'eau comme lui, je m'étais sentie trahie, détruite, abimée toute sorte d'autres sentiments et Jamie avait réussi à ne pas me laisser m'enterrer encore plus. Là j'étais bien avec lui et je voulais qu'on profite d'être seule puis avec Jamie dernièrement j'avais un peu de mal à me contenir, maintenant que je savais que nos sentiments étaient partagés, c'était bizarre parce que je lui avais demandé du temps mais je n'arrivais pas à me passer de lui. Ma main contre sa nuque je prolongeais ce baiser tant sensuel, laissant ma langue jouer avec la sienne mais très vite il me fit mâcher prise avec mon coude, je m'allongeait en le laissant passer au dessus de moi, mes mains glissaient contre son dos pour que je les passent sous son haut pour caresser sa peau nu et chaude

(Invité)

Peut-être qu'au fond vous n'aviez pas besoin de parler aujourd'hui. A la veille du procès tu comprenais qu'elle ne veuille pas parler de tout ça, et finalement parler de vous deux n'aiderait certainement pas pour autant. Alors peut-être que vous aviez simplement besoin de reprendre là où vous vous étiez arrêté la dernière fois avant la crise fiévreuse de Zoé, ou avant qu'Elyes ne débarque chez toi. Peut-être que la première étape c'était tout juste ça. Céder à cette tentation, à ce besoin de laisser vos corps s’attendrir, s'apprivoiser. Tes lèvres ne quittaient pas les siennes, ta langue la provoquait, et à ses caresses sous ton tee-shirt, tu te redressais doucement pour le retirer avant de reprendre ta place initiale. Prenant appui sur ton avant bras, tu l'embrassais à ses lèvres débordant très vite à sa mâchoire, puis à son cou.

(Invité)

On avait failli par deux fois craquer et à chaque fois on avait été stopper, peut être que cela n'avait pas été le bon moment mais aujourd'hui on était seule et je comptais bien en profiter, je voulais profiter de lui, profiter de cette proximité, de son corps. Mes mains caressaient sa peau nu alors que nos langues dansaient ensemble jusqu'à qu'il se redresse pour retirer son tee shirt, je me mordillais la lèvre en laissant mes mains venir lui caresser le long de son torse, c'était tellement agréable de le retrouver après autant d'année à l'avoir attendu. Je retrouvais très vite ses lèvres pour un baiser passionnée mais il débordait assez rapidement sur ma mâchoire et mon cou et moi je fermis les yeux en penchant la tête sur le côté, le désir montait en flèche.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)