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Tout va finir par rentrer dans le désordre (Denleigh)

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Moi j'étais clair et bien dans les baskets concernant Dina. Une ex petite amie. EX. Du passé. Plus de sentiments, excepté peut-être une certaine affection. Une envie de garder contact. Fidèle à moi même dans mon incapacité à couper les ponts complètement. Mais Ash avait pas oublié les paroles de l'italienne, qui, en miss provoc' s'était amusée à annoncer fièrement que la page n'était pas tourné pour elle. "On s'en fout de ce qu'elle veut, fais moi confiance Ash." Je serais pas ces mecs en couple qu'Ashleigh avait pu détourner de leurs copines à sa grande époque sulfureuse. J'étais pas comme ces types là. "La dernière chose que je veux c'est te faire souffrir.." Et pour avoir été trompé, je savais que c'était terrible et destructeur. Je ne lui infligerais pas ça. Disons que le jeu, ce qu'elle avait pris pour une trahison, pour moi ça avait purement bon enfant et dénué d'ambiguïté. Alors peut-être qu'il fallait tout revoir. De a à Z. Ce qu'on pouvait se permettre, ce qui était correct, ce qui était de trop... Et c'est en listant mes actions lors des dernières soirées que je commençais à définir la chose et à cibler ce qui déplaisait fortement à la blonde. Le jeu des tek pafs, clairement, à exclure. Pour Leyah, il avait été uniquement question de fléchettes, pour le coup, ça semblait autorisé. Je me permis même une note d'humour en suggèrant ma photo comme cible et Ash avoua y avoir pensé. "Je devrais peut-être pas rester ici..." Lançai-je alors en prenant un air faussement apeuré. Mais le sérieux revint vite quand j'évoquai une autre ex. Et que je comparais avec Maxime, gratifiant le garçon du statut de 'pire qu'un ex'. Objection immédiate de mon interlocutrice. J'allais répliquer à mon tour, remettre la sexe tape sur le tapis, mais elle enchaîna sans me laisser le temps de le faire... Et ces mots, ces paroles, ce que ça impliquait, ça me laissa quelques secondes sans voix. "Ash..." Qu'est-ce que je pouvais répondre à cela ? J'avais été un coeur d'artichaut. Je m'étais amouraché des tas de fois, bien souvent des mauvaises filles, du genre qui ne me correspondaient absolument pas... Ash avait raison sur ce point : elles avaient toutes compté à leur façon. Même la plus éphémère de mes liaisons avait laissé sa trace dans mon esprit. "Je vais pas m'excuser pour ça Ash. Je les ai aimées ces filles, ou du moins je m'y suis attaché, c'est vrai, je ne nie pas. Elles ont compté. Et je ne regrette rien. Parce qu'au final, c'est tout ces échecs et toutes ces déceptions qui m'ont permis de comprendre ce que je voulais vraiment. Ce qu'il me fallait vraiment." Je marquais une pause quelques instants avant de reprendre : "J'aurais pu le deviner tout de suite. En fait je l'ai pressenti. À la minute où je t'ai rencontrée, où tu m'as aidé pour mon défi de bizutage, je me suis dit qu'on pouvait devenir amis. Que j'avais besoin d'une amie comme toi. Mais en fait, j'avais juste besoin de toi tout court. " Ça il m'avait fallu un peu plus de temps pour le comprendre. Le listing de mes potentielles conneries continua, amusant plus qu'autre chose Ash et ouf... parce que je me sentais un peu comme un condamné sur le bûcher là, prêt à recevoir sa sentence. Qu'elle me brûle ?  Ou qu'on se brûle mutuellement serait plus juste vu la suite qui allait venir.  Pour l'heure, le verdict sonna : j'aurais du lui dire. Tout. Plus vite. Plus tôt.  Aussitôt. Ne pas attendre.  Parce que attendre faisait paraître coupable, surtout vu les tensions en ce moment. "Tu sais que pour Dina elle a fait son petit numéro quand on l'a vue, qu'ensuite y a eu l'engueulade à cause de mon nouveau boulot, et après, quand on a perdu Rhia, c'était pas le moment...." des excuses encore, peut être que c'est ce qu'elle allait se dire... Mais fallait quand même souligner le timing. Même si je finis par soupirer : "Mais t'as raison j'aurais du t'en parler avant... " Façon de reconnaître un peu mes tords, espérant un peu de clémence... Et c'est sur mes autres tords qu'elle insista. Reprenant mes mots, ma peur qu'elle ne me trouve pas à la hauteur, le fait qu'elle n'était plus celle qui merassurait comme avant. "Je sais pas ce qui se passe Ash. J'imagine qu'à force d'avoir peur que tu changes d'avis sur moi, sur nous, je me suis fermé un peu plus." Confiai-je en essayant d'auto analyser ces derniers mois d'éloignement progressif. "Tu m'as connu j'étais étudiant à Harvard, bon déjà un peu fauché, mais étudiant à Harvard quand même. Et là, je suis un ex taulard, toujours fauché, complètement paumé, qui ne sait pas ce qu'il va faire de sa vie." Je savais très bien que je ne serais pas chauffeur princier toute ma vie. Alors oui, son meilleur ami lui manquait, son petit ami lui manquait. Mais est-ce qu'ils étaient toujours là ?  Ce type avec qui elle avait voulu se mettre en coloc ? Ce mec avec qui elle avait accepté de se mettre en couple ?  Est-ce que c'était toujours moi ça ?  J'avais sûrement besoin de ses lèvres sur les miennes pour le savoir. Et elle était prévenue de mes intentions. Pas de mouvement de recul, pas de geste pour me repousser, alors ma bouche s'empara de la sienne, dans un discours muet mais bien plus parlant que tout ce que l'on s'était dit jusqu'à présent. Nos corps étaient visiblement plus doués que nous en communication. On reprit nos souffles. Petit flottement où elle aurait pu s'échapper, si il n'y avait pas eu ce meuble derrière elle, si mes lèvres n'étaient pas réparties capturer les siennes avec la même fièvre, la même urgence, la même envie dévorante que quelques secondes plus tôt. Les doigts se resserrèrent encore un peu sur ses hanches alors que les siens courraient sous mon T shirt contre ma peau, finissant par se saisir du tissu pour s'en défaire. Et le vêtement volant, elle lâcha au passage cet aveu, qui fit un instant s'évaporer mes craintes, mes doutes. La suite se floutait , il n'y avait plus que l'instant présent qui comptait alors qu'à mon tour je soufflai : "Et moi j'ai besoin de toi Ash..." Ma bouche contre la sienne la seconde suivante, mes doigts courraient à leur tour se saisir de son haut pour qu'il subisse le même sort que le mien, avant de glisser jusqu'au fermoir de son pantalon, s'activant pour ouvrir ce dernier...
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Denys n'insistait pas. Il continuait pas à creuser pour connaître le nom de la drogue que tu avais prit. Il s'inquiétait juste que tu n'aies pas replongé vu ce que tu avais fait sous entendre à Zach, à ce gars concernant Den' et un acte que tu avais fait bêtement qui était une grosse bêtise vu ce que tu avais apprit par la suite. Expliquant que tu ne regrettes pas ce geste, cette folie, t'es le genre qui regrette jamais ce que tu as fait. Ca a eut lieu pour une raison, juste que t'avais eut cette petite peine d'avoir fait ça, ce qui est assez significatif de ce que tu ressens pour lui, pour te faire avoir de la sorte. C'était à relativiser désormais, il n'a pas couché avec elle. Il l'a pas emballé avec la langue. Pas encore, c'était ça ta crainte. Mais la discussion, sur ta 'bêtise' tout comme sur tout le reste, c'était vite mit à l'eau quand vos lèvres s'unirent. Plus de blabla inutile. Vos corps étaient suffisant, pour exprimer ce que vos cœurs ne faisaient pas. Pour montrer ce que vos paroles n'arrivent pas à faire comprendre. De l'amour, beaucoup d'amour, c'était bien ce qui vous unit malgré les derniers mauvais moments, les désaccords, les disputes, les incompréhensions. Y avait peut être des zones d'ombres, de gris, voire de noire, mais y avait bel et bien de l'amour entre vous. Pas de faux semblant, pas de questions d'habitudes. C'est réel entre vous, c'est présent, cette attirance, cette affection. Ca finit donc comme ça pouvait que finir. Retrouvailles sur le comptoir de la cuisine, à vous donner à l'un et l'autre. Entre soupirs, gémissements, bruits très explicites de votre désir, excitation, c'est dans une merveilleuse harmonie que vous arrivez au bout de ce moment charnel. Un délice qui te ramène tout de même à la réalité : vous êtes chez Lucky. Elle peut arriver à tout moment, rester ici tout nu c'est pas le top. Et tu te sens perdue, entre lui dire de rester, mais lui dire de s'en aller. Tu veux pas qu'il pense qu'il va s'en sortir aussi bien. Qu'il croit que t'es encore acquise et qu'il peut se permettre d'agir de la sorte, te blesser, encore et encore. Alors tu lui fais comprendre en lui laissant le choix, ce qui dit déjà que t'es pas foutu de prendre la décision et qu'il gagne quelque part. Le grec qui te dit les yeux dans les yeux qu'il ne veut pas y aller, ni retourner au loft, encore moins sans toi, tu fonds... Je... Tu le repousses un peu pour qu'il se décale et que tu descendes du plan de travail. Viens... que tu dis en partant devant pour aller rejoindre ta chambre et qu'il te suive. Juste que t'es nue, totalement nue, et dos à lui... T'en oublie complètement la discussion précédente, t'en oublie même ce qui est dessiné sur le bas de tes reins, laissant la vision complète, à Denys, d'un D à l'encre noire...

hj : siffle:
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