Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityTout va finir par rentrer dans le désordre (Denleigh)
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Tout va finir par rentrer dans le désordre (Denleigh)

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Ça prenait des proportions qui me dépassaient... Ce nouvel an carnage, l'aveu de mon passé avec Dina et surtout la fixette de ma petite amie sur ce malheureux jeu auquel je m'étais prêté sans arrière pensée et à cause duquel elle me faisait passer pour un queutard infidèle et en rute, sautant sur tout ce qui bouge... C'était pas moi, comment elle pouvait penser ça de moi ? Et quand j'avais ensuite appris par Dina que Ash était inscrite sur un machin de rencontres, j'avais cru à une erreur. Ou une blague. Vu comment Dina avait été provoc avec Ashleigh au NA c'était possible non ? Mais ça m'avait trop tracassé, j'avais fini par m'y inscrire, sous une fausse identité en mode incognito, et j'avais pu constater que malheureusement mon ex disait vrai. J'étais resté interdit devant le profil de ma copine qui invitait cash à jouer sous la couette. Rageant un peu qu'elle puisse jouer les donneuses de leçon pour trois grains de sel sur le dos d'une main quand elle avait une invitation au vice en ligne publique ouverte à tous, je finis par me calmer. Y'avait forcément une explication. Ok on s'était engueulé, elle était furieuse contre moi, mais de là à se créer un compte pour sauter sur le premier venu ? Fallait tester. Si ça se trouve c'était un compte pour blaguer, pour faire marcher quelqu'un, pour aller espionner le mec d'une copine. Allez... essayant de me rassurer comme je pouvais, j'avais liker son profil et j'attendais... Elle m'avait contacté peu de temps après.  Et je m'étais rapidement rendu compte en lui parlant via mon fake compte que c'était un vieux profil, qu'elle n'était pas du tout là pour brancher, en même temps mon Zach biologiste boutonneux ne vendait pas du rêve. Mais voilà c'était encore et toujours sur notre engueulade, sur Dina, sur ce stupide jeu qu'elle faisait une fixette, se confiant ainsi à ce sujet et me renvoyant encore cette image pourrie qu'elle avait de moi... Forcément, j'avais continué de la faire parler, mais quand elle avait évoqué une connerie qu'elle aurait fait bêtement et récemment, je commençais à flipper. Elle avait fait quoi ? Demander son transfert pour une autre ville ? Décidé d'arrêter ses études ? Épousé quelqu'un sur un coup de tête ? Je connaissais assez Ashleigh pour savoir que rien n'était impossible avec elle. Elle était impulsive et imprévisible, alors je m'étais fait griller, en m'inquiètant un peu trop,  en l'appelant par son surnom par réflexe sans réfléchir... Ou comment aggraver mon cas et la fureur de ma petite amie. J'en avais marre, elle me manquait, on ne s'était pas revus depuis le 31, j'avais envie qu'on se voit, qu'on s'explique et à force d'insister elle finit par céder, m'invitant à la rejoindre chez Lucky, absente, partie bosser. Ni une ni deux, j'enfilais ma veste et je quittais le loft pour rejoindre l'appartement de miss Burberry. Devant la porte,  je toquais nerveusement, sans savoir à quoi m'attendre. Peut être qu'Ash aurait pitié de mon oeil au beurre noir hérité de mon job, dangereux métier de travailler pour un prince aux belles voitures... Elle oserait peut être pas m'accueillir avec une casserole à la main pour m'assomer comme ça ?

@Ashleigh H. Strauss
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2018 ne rimait pas avec bonne nouvelle année. T’avais même pas fini 2017 de bonne humeur. Et les jours qui avaient suivi, ils étaient pas mieux. Perdue, blessée, énervée, tu avais esquivé ton petit ami et tout ce qui se rapproche à lui. Donc ton logement, votre loft, votre chambre. Puis t’avais eut ce mail concernant un like sur ton compte tinder. Curieuse, intriguée, n’ayant rien d’autres à faire, tu avais voulu voir. Qui était ce Zach qui était venu se perdre sur ton profil ? Ne voyait il pas que le compte était pas actif depuis des mois ? Bizarrement, la discussion était fluide. Tu arrivais à lui parler, de ce qui va pas, ce que tu ressens. Chose rare en temps normaux. Paraît il que parler a un inconnu fait toujours du bien, et tu le constatais. Malgré les stop bien visibles que tu lui mets, il persistait, à te parler, à creuser. Toi tu continuais à te confier, jusqu’à que ce soit louche. Ton simple surnom laissait présager un mauvais truc. D’où soudainement tu appelles quelqu’un que tu connais pas, par son surnom ? Tu sentais le truc étrange. Un mauvais pressentiment. Cherchant à comprendre et lui ne souhaitant rien dire, il te suffisait de relire la discussion, lire le pseudo pour tout assimiler. Denys. C’était lui, se faisant passer pour ce Zach. Grillé, il ne pouvait que avouer, arrivant à la négociation de vous voir. Pas demain, aujourd’hui. Pas un lieu public, chez Lucky. Angoissée, stressée, tu appréhendais. Tu as peur, de le voir, de ne pas lui résister. D’être tenté, d’être faible. Il avait ce pouvoir sur toi et ce regard si perçant qu’il pouvait te faire chavirer comme rien. Alors quand la sonnerie retentit, ton coeur fit un bond dans ta poitrine. Légèrement tremblante, tu craignais cette discussion, ce qui allait en sortir. Mais faisant la forte, tu affichais un visage fermé, sure de toi. Entre, tu veux un truc à boire ? Pas une accolade, ni un baiser, ni un câlin. Rien. Tu le fuis comme la peste et tout prétexte bon pour prendre tes distances. D’ailleurs la porte fermée, te voilà déjà en train de t’éloigner de lui, de son corps, de son espace.
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J'attendais, là, devant la porte, nerveux, sans savoir à quel genre d'accueil m'attendre, espérant obtenir un peu d'indulgence grâce à mon oeil au beurre noir... Mais ce ne fut pas une Ash en furie et armée de casseroles qui m'accueillit. Peut-être même que j'aurais préféré ça  en fait. L'accueil glacial, le visage fermé, le ton distant. Elle m'invitait à entrer avec un détachement qui ne me disait rien de bon... "Hey..." la saluai-je tout penaud sentant directement le malaise s'installer. J'avais voulu cette rencontre, cette discussion. Est-ce que j'allais pas finalement regretter ? J'entrais machinalement dans l'appartement, sans la lâcher des yeux alors qu'elle s'empressait déjà de mettre la plus grande distance possible entre nous. "Je... Non merci. Je vais rien prendre..." Répondis-je à sa question en passant nerveusement ma main dans ma nuque. Ouais en fait c'était presque plus facile de papoter sous ma fausse identité. Je ne savais pas par où attaquer, par quoi commencer et bordel j'avais juste terriblement envie de la prendre dans mes bras. Je prenais encore plus conscience à cet instant de combien elle me manquait, combien toutes ces tensions entre nous me pesaient. Là je ne sentais plus que le silence pesant qui s'installait entre nous, le vide, l'espace qu'elle nous imposait, et cette façon de se saluer... On était devenu quoi là ? Ça allait être comme ça maintenant ?  "Ash..." Soufflai-je sur un ton désolé, peiné. " J'aurais pu venir te parler direct je sais. Je suis désolé pour tinder." Commençai-je alors pour montrer un peu patte blanche, essayer de désamorcer les tensions.
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Ouvrant la porte, tu avais le coeur serré, le ventre noué. Tu es le genre qui fonce dans le tas, qui veut mettre les points sur les i et qu’importe si ça plaira ou non. Il était pas question de retarder cette discussion, elle aurait lieu tôt ou tard, autant que ce soit le plus tôt, le plus vite et ne pas rester plus longtemps dans l’ignorance. Car oui, y avait des tas de choses flous dans ton esprit. Votre couple, en étiez vous encore un ? Votre relation, amicale comme amoureuse. Cette situation avec son ex... Bien trop de questions sans réponses. Mais ça restait dur. De le voir, le sentir, si proche et si loin. Tu sentais que ton corps brûlait à petit feu et que même ça ne serait pas aussi douloureux si c’était réel. Tu préférais donc l’éviter, le fuir, du regard, de tout. Instaurer une distance pour ne pas te faire avoir. Ne pas tomber dans le piège de belles paroles combinées à son regard de biche. Il savait que face à lui tu pouvais te montrer faible et tu lui avais confirmé en refusant de le voir dans un lieu ‘intime’ au départ. Il refuse donc de boire quoique ce soit, tandis que tu fuis déjà vers la cuisine. Quelques secondes à peine ici et tu te sens mal à l’aise. Tu sais même pas quoi lui dire, comment commencer à parler. C’est lui qui se lance donc, enclenchant le sujet de tinder, avec ce diminutif qui te fait fermer les yeux un court instant. Cette façon bien à lui de te le souffler, qui te fait du bien et du mal de l’entendre... Oui tu aurais pu venir m’en parler, ça t’aurais évité de lire des choses qu’il a dit, que tu sais désormais que ce n’est pas Zach qui le pense, mais bel et bien lui. Ça t’aurais évité de dire des choses, de te livrer sur tes sentiments, sur à quel point tu tiens à lui, tu l’aimes. Ce qui est dommage c’est qu’avec ce Zach au moins y avait de la communication, chose qui manquait grandement entre vous. En fait, dans toute cette histoire ce qui est le plus blessant c’est ça, c’est que t’a pas jugé bon de le dire à ta copine, mais ni à ta meilleure amie et avant d’être un couple, vous êtes des meilleurs amis. Tu ne voulais pas perdre ça quand tu avais accepté d’officialiser la chose. Toujours de dos à lui pour te rendre dans la cuisine, tu cherchais quelque chose mais tu ne savais meme pas quoi. Tu cherchais juste.
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Puis comme d'habitude, c'est avec mon armure habituelle de l'humour que j'essaie de lutter contre le malaise ambiant, après m'être excusé pour tinder, j'ajoutai donc : "Promis, si j'entends dire que t'es inscrite à un club échangiste, je t'en parlerais je me pointerais pas là bas déguisé avec un costume de biologiste..." C'était peut être trop tôt pour les vannes, mais c'était moi ça. Plus doué pour déconner que pour les discussions sérieuses. Et là avec la jeune femme qui me tournait le dos et ce froid polaire entre nous, j'étais dérouté. Et elle reprenait ensuite la parole, regrettant la communication qu'il y avait "ce Zach". "Je suis désolé. Disons que nos dernières discussions ne sont pas très bien finies, je préférais vérifier l'info plutôt que de te questionner, surtout que j'avais du mal à y croire." Ash sur tinder en mode chagasse ? Ça aurait été crédible l'an dernier mais maintenant ?  "Bref j'avais pas envie que tu te sentes accusée alors que c'était déjà tendu entre nous, donc j'ai mené l'enquête et j'avoue je me suis pris au jeu..." Peut-être que moi aussi, ça m'avait fait du bien de pouvoir discuter à nouveau avec elle, sans mesurer mes propos sans craindre de l'énerver, ou au contraire d'être trop démonstratif quant à mes sentiments et de la faire flipper. Et Ashleigh continuait de me tourner le dos... cherchant je ne sais quoi, une boisson, un verre, que je ne lui avais pas demandé. "Ash t'as une chute de rein parfaite mais je suis pas venu pour parler à ton dos..." Commentai-je en réduisant un peu l'espace entre nous, oubliant la consigne de rester loin durant quelques secondes, venant glisser ma main dans la sienne doucement en avouant : "Tu me manques... Dis moi ce qu'on est en train de faire là ? " Pourquoi elle avait accepté que je vienne ? Que l'on s'explique ?  Pour éviter mon regard ?  Pour fuir la discussion ?  Et la question dont je redoutais tant la réponse, je finis par la lâcher la gorge nouée : "est-ce qu'on est en train de se dire au revoir ? "

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Y a pas que pour tinder que je parle que tu répliques aussitôt. Tu vois bien qu'il essaye de faire de l'humour, de détendre l'atmosphère. T'es loin d'être friande de discussions sérieuses, comme lui, mais des fois y a pas le choix, comme là. Du coup, tu avoues qu'au moins avec le Zach y avait de la communication. Avec lui t'avais pu parler, librement, à cœur ouvert. Trop ouvert. Denys savait des choses désormais qui te rendait plus vulnérable. Il en savait bien trop à tes yeux, quand toi tu avais su des choses bien moins rassurantes. Y a toujours une excuse, c'est ça le problème. Toujours une 'bonne' raison pour ne pas dire les choses. Mais y a jamais de bons moments pour dire les choses, et attendre ça fait qu'empirer. Le mariage avec Louve par exemple. Ou cette fois avec son ex. Non y a pas de bons moments pour annoncer des trucs de la sorte, mais les laisser traîner c'est pire. Ca peut être irréparable après... Tu lui dit tout ça de dos, cherchant un truc à attraper, sans savoir quoi. T'avais pas soif. T'allais pas cuisiner maintenant. Ni même manger. Fallait juste tu aies une raison de ne pas lui faire face. De ne pas te laisser influencer par le bleu profond de ses yeux, ou sa fossette. Ni ses lèvres, ni rien. Et ça se voyait comme le nez au milieu du visage, ton malaise, ton envie de le fuir, de ne pas le sentir si proche. Ca lui déplaisait de parler à ton dos, ce que tu pouvais comprendre, mais il pouvait comprendre que t'étais blessée aussi non ? Peut être pas. Sa main attrapa la tienne, créant un életrochoc. Un long frisson parcourut ton bras, venant faire rater un battement à ton cœur. Voilà pourquoi tu voulais un lieu public ou une distance à instaurer. Pour cette sensation, cette façon dont ton cœur s'emballe malgré toi. Tes yeux se fermèrent à nouveau à la prononciation de son 'tu me manques'. Un bien fou et douloureux, encore. Te décidant à te tourner vers lui, tu avalais ta salive, comprenant pas sa question. Qu'est ce que vous faites ? Vous discutez non ? C'était pas à ça qu'il voulait en venir lui. Explicitant sa question, tu ratais un nouveau battement de ton cœur, mais différent du précédent. Inquiète, craintive, apeurée. Pas avant qu'on aura parlé... C'était pas un au revoir, pas pour l'instant, il restait juste à voir comment allait tourner cette discussion, qu'est ce qu'il allait dire, si ça allait te convaincre, te rassurer. J'ai besoin de savoir Denys. J'ai besoin de tout savoir, ce que tu ressens, pourr moi, pour elle, ce que tu penses de nous, qu'est ce que tu as envie, pourquoi t'as fait ça. Parce que... j'ai l'impression de m'accrocher et toi de t'éloigner... La gorge nouée, comme lui auparavant, tu prends sur toi pour être forte. Pour ne pas craquer. Et doucement, tu détaches ta main de la sienne. Contact trop difficile, surtout au vu de ce que tu lui demandes. T'as besoin de savoir si tu le perds, parce que ça fait beaucoup de reproches qu'il fait dernièrement. Qu'il croit que tu ne le trouve pas assez bien, assez à la hauteur, qu'il se rapproche d'une autre, qu'il ne se confie plus à toi, qu'il trouve que ça va de moins en moins bien entre vous. Alors quoi ? Qu'il parle, qu'il crache le morceau, tu peux plus rester comme ça.
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"Je sais bien..." soupirai-je. Bien sur qu'il n'y avait pas que ça. Déjà à Noël c'était tendu à cause de mon nouveau job, ensuite y'avait eu le nouvel an désastreux... Tinder c'était juste la goutte d'eau en quelque sorte. Et ma tentative pour détendre l'atmosphère se finit en échec cuisant... Y avait des conversations qu'on ne pouvait pas fuir. Alors me voilà, m'expliquant, avec Ash qui me tournait le dos et qui déclarait sévèrement mes excuses irrecevables. Peut-être qu'à force d'être sur la réserve, de me retenir de tout, de toujours craindre ses réactions, j'avais fini par faire trop de rétention d'informations. Le fait qu'elle me tourne toujours le dos finit par me peser. M'approchant pour me saisir de sa main doucement, ça, et l'aveu qu'elle me manquait suffirent finalement à lui faire faire volte face vers moi. Ses yeux. C'est ce qu'accrochèrent aussitôt les miens pour scruter sa réaction à mes questions, ce qu'on faisait, et plus précisément si cette entrevue devait être considérée comme un au revoir. Gorge nouée, craignant la réponse qu'elle me servirait et celle que je lirais dans ses yeux, les mots s'étaient quand même échappé de ma bouche. Parce que depuis que j'étais entré dans cet appartement, ça me bouffait. Et sa réponse, en fait, elle n'avait rien pour me rassurer. L'au revoir ou non dépendait donc de l'issue de cette discussion... Et je sentis la pression monter un peu plus soudain, mon coeur s'accélèrant un peu et une lueur de doute s'allumant dans mon regard. Et si je trouvais pas les bons mots ?  Et si je parvenais pas à la rassurer comme elle le voudrait ? Et si c'était trop tard ? Et si je la perdais ? Et si... instinctivement  mes doigts s'étaient doucement resserrés sur les siens quelques secondes.... Puis elle interrompit l'avalanche de questionnements qui inondaient d'un coup ma tête, reprenant la parole tout en détachant sa main de la mienne. Je me concentrais sur ses mots, faisant abstraction du vide étrange perçu au creux de ma paume. C'était peut être qu'un début. Peut être que j'allais devoir m'y faire. A ce vide. Allez... C'était pas le moment de penser à cela. "Ash, tu me demandes vraiment ce que je ressens pour toi ?" Et elle trouvait que je m'éloignais? C'était pas  le moment de flipper, de mettre des formes ou de la réserve. Elle voulait tout savoir. Elle voulait de la franchise ? Alors exit les barrières et la retenue. "Ashleigh Strauss, je suis complètement fou amoureux de toi. Y'a que toi pour moi. Tu me rends complètement dingue. Si je m'écoutais je t'écrirais 50 textos ou snap dans la journée, parce que je pense à toi tout le temps. Je me retiens. Je me retiens aussi de pas filer sur le campus à chaque pause déjeuner, ou encore de t'accompagner dans tes activités à la MH... parce que je sais comment tu es. Je ne veux pas t'étouffer. Alors non je m'éloigne pas. J'essaie juste que toi tu ne le fasses pas." Me justifiai-je avant de reprendre pour ces autres interrogations. "Et je ressens rien pour Dina à part une certaine affection et l'envie qu'on reste amis elle et moi car elle fait parti de mon passé. Elle sait que je t'aime comme un dingue. Elle sait que je n'ai que de l'amitié à offrir. Elle est bien au courant de tout cela et c'est pour ça que j'ai joué sans arrière pensée au shooter avec elle, comme si ça avait été Willow, Alex, ou une autre copine quelqu'elle soit." Si il fallait être honnête, s'il fallait tout dire alors continuons : "J'ai rencontré une fille en soirée, une étudiante cabot très sympa, et on a joué aux fléchettes ensemble" Ca aussi ça allait me valoir une lourde sentence? "Et j'ai fait un bisous à Louve au nouvel an pour avoir un verre... Et..." Et je cherchais mentalement encore ce que la jeune femme pourrait encore avoir à me reprocher avant de finalement conclure : "Et en fait, tout ça, ça compte pas. C'est toi qui comptes Ash. C'est avec toi que j'ai envie d'être. Je veux qu'on se retrouve. Je veux que tu me fasses confiance. Qu'on arrête de se prendre la tête. Je veux que t'arrêtes de te comparer aux autres parce que Y'a aucune des filles comme toi... J'ai pas envie de te perdre. J'ai envie qu'on reste ensemble. Qu'on se construise un bel avenir. Qu'on se fabrique plein de beaux souvenirs. Qu'on fasse tous les voyagesoirs dont on a parlé. Qu'on s'en planifie plein d'autres. Ça parmi tout plein d'autres projets..." Un pas de plus vers elle, mes mains se tendirent doucement vers son visage, le prenant en coupe, plantant mes yeux dans les siens, alors que je concluais mon speech ainsi : "Et par dessus tout, j'ai terriblement envie de t'embrasser..."
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C'était compliqué. Dur. Epuisant. L'affronter, ça te demandais bien plus de force que tu en avais. C'était peut être trop tôt ? T'aurais dû attendre le lendemain ? C'était trop tard de toute façon, désormais là, sous tes yeux, à quelques centimètres de toi. C'était maintenant ou jamais. Pas question de revenir sur ça plus tard, de ne rien lui demander. Tu voulais avoir le cœur net. L'esprit tranquille. Etre libéré de ces questions qui tournent sans cesse en rond dans ta tête. T'avais besoin d'une discussion, pas de te baser sur des 'on dits' sur des impressions. Alors tu annonçais la chose, un au revoir était envisageable, selon comment cette discussion allait tourner. Suffisamment convaincue, le trouvant assez sincère, tout dépendrait de lui, de ses mots, des réponses qu'il allait te fournir. Et tu le sentis, sa main se serrait à la tienne, tandis que tu en coupais le contact. Tu le voyais qu'il était pas à l'aise, que la situation ne lui plaisait pas également, mais c'était par sa faute que vous en étiez là. T'es pas toute blanche, t'as peut être merdé, maladroitement, à lui mettre la pression, à le faire se sentir pas bien pour toi, mais jamais dans un mauvais but. Tu ne l'avais pas poussé à déconné avec Louve, avec Dina, avec Hadès. Tu ne lui avais pas demandé de te cacher tout ça, de le garder pour le balancer à la dernière minute et te blesser, à chaque fois. C'étaient ses choix, qu'il doit assumer à présent. Tu écoutes son discours, ses premiers arguments qui dévoilent tout ce qu'il se retient de faire. Il agit différemment, car il te connaît, il sait tes réactions, ou pas toutes... J'ai supporté tes crises de jalousies quand je te promettais rien, quand je te pensais pas vraiment amoureux de moi. J'ai accepté tes messages h24 quand je partais en week end avec mes sœurs ou d'autres personnes, et je t'y répondais, pas par obligation, mais par envie. Je t'ai écrit plusieurs lettres pendant que tu étais en prison, que tu as reçu et d'autres que t'as trouvé. J'ai passé toutes mes nuits avec toi, dans ta chambre, bien avant qu'on soit ensemble. J'ai plus voulu coucher avec d'autres gars, juste toi, alors qu'on était pas ensemble. Je sais comment tu es. Je t'ai vu agir avec les autres avant même que tout ça dérape. Je sais que t'as pas confiance en toi, que t'as souffert, que t'es trop romantique et naïf. Que tu es jaloux, même possessif. Que tu dois déjà imaginer une maison avec des enfants et vieillir à deux. Je sais que t'es comme ça, et c'est ce qui a fait aussi que je suis là, que je suis avec toi, que je me suis attachée, que j'ai changé. C'est pour tout ça que je suis tombée, parce que c'est tout ce qui fait que tu es Denys Zacharias. Tu savais à quoi t'attendre, ça t'es pas tombée dessus d'un coup. Tu savais qu'il était aussi à fond dans une relation. Aussi sérieux. Tout ton opposé. Tu ne lui a jamais demandé à changer, à agir différemment. Tu n'as pas à changé qui tu es pour moi. Je ne veux pas te changer. C'est à lui d'apprendre à ne pas aller trop vite, et toi à accepter qu'il soit comme ça. C'est à chacun de faire attention à l'autre. Non tu ne te mettras pas à aimer les bouquets de fleurs rouges, les dîner aux chandelles pour la st valentin, les grosses bagues, les diamants et bien d'autres, mais quand même. Tu n'as jamais été saoulé de recevoir des messages de sa part, ni de manger avec lui entre tes cours. Ni d'aller le voir sur son lieu de travail. Ou qu'il vienne aux soirées mather. Au contraire. Il explique donc pour Dina et ton cœur se serre. Tu tentes de cacher ce que tu ressens, que ce prénom irise tes poils mais c'est plus fort que toi. Quoi comme affection ? Est ce que t'es sûr que tu ressens plus rien ? Est ce que si on se sépare pas tu vas pas craquer et retomber dans ses bras ? Est ce que tu ne vas pas le faire même si on se sépare pas ? T'as voulu la demander en mariage, ça veut dire beaucoup... Qu'il se voyait passer sa vie avec elle et c'est le genre de sentiments qu'on échappe pas si facilement non ? Le genre qui peut revenir vous hanter. Le genre qu'il peut regretter, vouloir rattraper le temps. Non t'étais pas confiante avec cette nana dans les parages. Puis il avoue avoir rencontré une autre fille avec qui il a joué... Avec elle aussi t'as fait ça ? Pas besoin d'un dessin, elle aussi tu l'as léché et elle t'a léché ? Comment ça t'a fait un bisous à Louve ? Non mais il plaisante ? Comme si ça n'avait pas suffit le coup avec Dina, il est allé embrasser une autre ex ? Il tient à mourir jeune ou comment ça se passe ? Bien que tu en as envie de tout ce qu'il énonce : de vous retrouver, ne plus se prendre la tête, ne pas le perdre, fabriquer pleins de souvenirs, faire vos voyages et bien d'autres, ça compte pour toi. Si ça compte, si tu embrasses d'autres filles, si tu en lèches d'autres ça compte. Si tu en veux d'autres que moi, ça compte aussi. Il est pas question que je continue pour ça... Autant être célibataire et qu'il fasse ce qu'il veut, tout comme toi. Devenir la cocue de service n'était pas dans ton programme. Ni te faire prendre pour une andouille. Tu pensais pas qu'il fallait des règles entre vous mais là, t'es bien consciente que peut être que oui. Là, ce que tu étais consciente, ce sont ses mains sur ton visage, ton regard plongeait dans le sien. Un pincement au cœur, des papillons dans le ventre, t'es figée. Incapable de lui répondre. Partager entre le démon qui te dit de lui dire 'embrasse moi' et l'ange, qui lui te conseille de le repousser. Toi aussi t'en a envie, car il t'a manqué, il te manque. Car tu l'aimes. Mais tout ceci est encore flou, encore incertain. Voilà pourquoi tu ne voulais pas d'un lieu 'intime' mais une distance imposée. Pour ce genre de moments, où ton cœur et ta raison se tiraille. Où le démon l'emporte, tes lèvres s'unissant aux siennes, pour un baiser fougueux. Un qui trahit ce besoin vital de lui que tu as, cette urgence de sentir ses lèvres aux tiennes. Et te disant que ça pourrait être un dernier baiser, un baiser d'adieu, alors autant saisir l'occasion.
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L'idée de la perdre, l'idée d'une fin, d'un possible au revoir, ça me brisait complètement. Et tout reposait sur notre discussion en cours... Pression ultime. J'allais devoir peser chacun de mes mots... ou pas. J'avais beaucoup trop pesé mes paroles, m'étais trop retenu de dire que je pensais... Peut-être que c'était tout le contraire qu'il fallait que je lâche. Plus de barrières. Plus de filtre. Tout dire. Puisque c'était ce qu'elle voulait tout savoir. Ma déclaration, l'assurance de ce que je ressentais pour elle, l'importance qu'elle avait pour moi, l'attachement que je craignais étouffant et effrayant pour elle, je le lui avouais là. Et elle répliquait que je devais arrêter de me freiner, d'essayer de changer, que si moi je connaissais son côté flippé et allergique au romantisme, elle, elle me connaissait tout aussi bien. Et que mon côté pot de colle je n'avais pas besoin de le cacher, qu'il fallait que je sois moi même. Et quand elle cita mes crises de jalousie passées, ou encore mes textos non stop, un petit sourire nostalgique en repensant à tout cela... Peut-être que je m'étais mis une pression inutile depuis qu'on était ensemble. Pour lui plaire davantage. Pour 'mieux' lui corresponde. Pensant bien faire mais ne réussissant au final qu'à nous éloigner... Et ça faisait du bien d'entendre qu'il fallait que j'arrête ça. Ce contrôle. Cette retenue. Essayer d'être ce petit ami détaché que je n'étais pas vraiment au fond de moi. Et quand il fut question de Dina, mes paroles durent être moins convaincantes car elles me valurent en retour de nouveaux questionnements inquiets d'Ashleigh. C'est le 'si on se sépare' qui me frappa. Noeud qui resserait au creux de mon ventre, lueur blessée dans les yeux. Je me repris, essayant d'effacer cette éventualité d'une rupture, essayant de retrouver un peu d'optimisme, et c'est ainsi que je lui servis une réponse à la Denys : "Ton compte tinder, c'est un vieux compte ? Bah Dina c'est pareil c'est une vieille ex." Trois ans. Ça remontait à trois ans... "Je l'aime bien. Elle est drôle, elle me fait rire, j'aime bien l'embêter mais ça ne dépassera pas ce stade, Y'a rien d'ambigu entre nous." Et quand Ash évoqua l'idée que j'avais eu de la demander en mariage à l'époque et que ça, ça voulait dire beaucoup, c'est toujours dans l'optique zéro filtre que je repris. "Toi, t'en serais bien à une dizaine de demandes en mariage si je m'écoutais..." Juste que j'avais mûri et que j'avais compris que les électrons libres comme Ashleigh Strauss, on ne les attrapait pas avec un anneau orné d'un diams. "Et t'inquiètes j'ai pas de bague dans la poche, ne flippe pas." Ajoutai-je, taquin, essayant de semer un peu d'humour dans cette conversation pesante. Mais ce n'était pas fini, et comme Ashleigh avait réclamé de tout savoir, j'essayais de faire un petit résumé en refaisant mes soirées mentalement histoire de trouver tout ce qu'elle pourrait trouver 'dérangeant' et me reprocher ensuite. Quand j'évoquai Leyah, c'était sur les tek pafs qu'elle me questionna. "Non on a joué aux fléchettes. Une partie où tu te places devant une cible dont tu essaies d'atteindre le centre. Un jeu très sympa. Tu devrais essayer. Je suis sûre qu'avec ma photo au milieu, là, tout de suite, maintenant tu serais très douée. " L'aveu suivant d'ailleurs aiderait sûrement à ce qu'elle me vise avec justesse. "Arrête, je lui ai fait un bisou de rien du tout à Louve, tu sais que je crise pas à chaque bisous que tu fais à Maxime pourtant c'est pire qu'un ex. " C'est un ex partenaire de sexe tape. Donc pire. Selon le classement denysien. On l'avait jamais eu cette discussion de ce qu'on avait le droit ou pas de faire. Qu'est-ce qu'on considérait comme déplacé ou de trop comme geste envers nos amis. Peut-être qu'on aurait dû en fait. Discuter de cela. Mettre toutà plat. Ça m'aurait évité des ennuis. "Puis je me suis fait passer pour le mec de Lucky aussi. Elle m'a demandé pour lui rendre service." Continuai-je à lister, aggravant peut-être mon cas. Mais là, au moins,  tout serait clair. "Et j'ai liké Lily sur tinder parce que ça m'a amusé qu'elle me like et ne me reconnaisse pas. Et je t'avoue que j'ai envie d'aller liker le profil de Marin parce que ça me ferait marrer qu'il pense avoir un ticket avec Zach Denver." Ouais en fait tout ça, ça comptait pas. Y'avait qu'Ash qui comptait. Mais la blonde ne l'entendait pas ainsi. "Ash... Je ne veux personne d'autre que toi. Je... Je suis et j'ai toujours été très démonstratif et très tactile avec mes amis, sans que ça soit forcément chargé d'arrière pensée" Roi des bisous, des calinous, des guilis qui se perdaient... "Je peux m'en tenir aux poignets de mains si tu veux... Ça ira bien avec mon costard du taf tu me diras." Denys en mode snobinard autain distant. Les potes risquaient de trouver ça bizarre... Et puis, elle avait assuré qu'elle ne voulait pas me changer. J'étais un peu perdu donc... Et puis la plongée de mes prunelles dans les siennes, moi, ça me poussait à un nouveau rapprochement. Impossible de rester de marbre. Impossible de rester distant. Malgré les tensions, malgré la pression de toute cette discussion. Un pas vers elle. Mes mains se saisissant de son visage et je la prévenais, concluant au passage le listing de mes envies qu'elle avait réclamé : je voulais par dessus tout l'embrasser. Mes yeux le lui criaient aussi. Qu'elle me repousse était une éventualité. Probablement qu'elle y songea, durant les quelques secondes au cours desquelles nos regards s'affrontèrent. Et finalement, la distance entre nos deux visages disparut. Nos lèvres se trouvèrent dans un baiser qui fut d'emblée chargé de passion, d'envie. Un baiser pour se taire. Un baiser plus parlant que les mots. Un baiser qui disait tout. La pression de mes lèvres sur les siennes = tu me manques. le balai enflammé de nos langues = j'ai besoin de toi. mes mains qui glissaient lentement de ses joues vers ses hanches pour s'y ancrer = ne me quitte pas. Ce baiser déraisonnable, deraisonné, ce baiser qui pourrait être le dernier et dont je voulais profiter jusqu'à ce que ce que le souffle me manque... Quelques secondes de répit pour reprendre de l'air et mes yeux cherchèrent dans les siens : est-ce qu'elle regrettait, voulait-il le que j'arrête, que je m'éloigne, que je parte ? Mais je dus me rendre à l'évidence, je n'étais capable que d'une seule chose : retourner à l'assaut de sa bouche. Et me pressant un peu plus contre elle, son dos venant butter doucement contre le meuble de cuisine derrière elle, je reprenais avec envie ses lèvres en otage...
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S'il confiait avoir freiné ses ardeurs pour ne pas t'éloigner, te perdre et se retrouver à nouveau célibataire, jeté par la fille qu'il aime, toi tu lui expliquais aussi ta façon de voir les choses. Tu ne veux pas d'un Denys bidon, formaté pour plaire à Ashleigh Strauss. Si t'étais tombée amoureuse de lui c'est pour ce qu'il est, ce grand romantique, ce mec niais et naïf a t'en faire t'arracher les cheveux. Pour son manque de confiance en lui et sa jalousie envers tous les hommes qui peuvent s'approcher de toi. Pour sa façon de te vouloir que pour lui. Pour cette façon dont il te regarde, dont il te connaît si bien que lui seul peut te réconforter, comme la fois où t'as apprit la mort d'Azraël. Pour sa patience, sa détermination, son optimisme ou son humour. T'es tombée amoureuse de lui pour ses défauts et ses qualités. Alors pourquoi devenir un autre ? Tu tentais de lui faire comprendre, de lui assurer qu'il n'avait pas a changé, ni pour toi, ni pour personne. Que tu l'aimes comme ça, comme il est. Mais le sujet Dina revint vite sur le tapis, tes craintes également. Tu ne pouvais pas faire comme si y avait rien eut, comme si ça ne t'avait pas touché, affecté. Et il avait beau bien éclaircir la chose en comparant ton vieux compte tinder à sa vieille relation avec elle, c'était pas comparable, pas assez rassurant. Il s'obstinait qu'il n'y avait rien entre eux mais t'avais du mal à y croire. Pas pour elle. Elle avait avoué clairement que c'était pas fini pour elle, entre eux. Et ça il ne pouvait pas fermer les yeux dessus, toi tu ne pouvais pas. Je connais ce genre de nana, j'ai été comme ça Denys, c'est excitant d'avoir un mec en couple, qu'il craque, qu'il faiblit à faire mal sa copine juste pour toi, pour une attirance, une tentation. Elle y prend son pieds, d'autant plus que t'es son ex et ça rajoutait clairement du piquant. Elle devait être jalouse, qu'il ne la veuille plus. Gabrielle c'était ça, elle revenait toujours quand elle voyait qu'elle perdait le contrôle sur lui. La Dina c'était la même, en pire presque. Puis il l'avait demandé en mariage, un point crucial, bien explicatif de l'amour qu'il avait ressenti et qu'il éprouvait peut être encore. Ce à quoi il avait les mots : toi t'aurais déjà eut dix demandes. Un petit sourire se dessina sur tes lèvres quand il assura ne rien avoir. Pas de boîte contenant une bague. Pas de genoux à mettre à terre. Ouf. Et il continuait les aveux, une rencontre avec une cabot, un jeu de fléchette avec elle. Pique de ta part concernant des potentiels tek paf qu'il aurait pu faire avec elle également. Moqueur, il explique le but du jeu, terminant par proposer que tu test avec sa photo. J'y ai pensé déjà. T'avais proposé l'idée à Lucky dès que tu avais apprit. Lui et la tête de Dina en ligne de mire. Ca n'avait pas eut lieu mais tu mettais ta main à couper que tu te serais trouvée un nouveau talent. Quant à Louve, à son bisous, tu compris que c'était pas un sur la bouche ? Il évoquait des potentiels bisous avec Max quoi. Mais la fin te fit te redresser. C'est pas pire qu'un ex ! Denys, ce que tu comprends pas, c'est que Maxime et tous les autres, ils ont pas compté. C'était juste sexuel. Y a jamais rien eut de plus. Pas d'attachement, encore moins de sentiments et encore moins moins j'ai été amoureuse d'eux. Ils étaient que des gars de passage, des amis. Toi, elles, elles ont toutes comptées. Tu les as toutes aimées. Bordel, tu les as aimé, pas qu'un peu. Elles ont toutes eut ton cœur, moi y en a aucun qui l'a eut, sauf... sauf... toi... Et putain ça faisait toute la différence à tes yeux. Il était le premier, l'unique, le seul. Y en avait eut des tas avant lui, oui, mais dont tu te souviens à peine les prénoms. Lui, tu savais que t'allais en baver pour l'oublier. Que ça n'arriverait sûrement jamais. Le grec avoue pour Lucky et tu souris, levant même les yeux au ciel en secouant la tête. Ca serait sûrement la seule fille que je t'autoriserais à embrasser. T'as une confiance aveugle en elle. Ta meilleure amie. Ton pilier. Ta sœur. Ton tout. La seule à qui tu confiais tout, absolument tout. Et tu ne peux t'empêcher de rire, malgré toi, quand il veut liker le profil de Marin. Lui là bas ? Décidément... Vraiment longtemps que tu ne lui avais pas parlé. Ca lui ressemble pas de traîner sur ce genre de sites. Il a changé... Il conclut par parler de comment il est. Tactile, taquin. Tu le sais, vous avez été pareil dès le premier soir et pourtant y a jamais rien eut entre vous, pas avant des mois. Tu ne l'as jamais jugé avoir des arrières pensées mais... C'est pas ça. T'es pas jalouse. Il peut faire des châtouilles, des câlins à des filles, des bisous. Les porter. Mais ses exs ? Il les a aimé et ça va pas, entre vous. T'as peut être perdu confiance en toi aussi, avec tout ce que t'as dû encaisser cette année... Alors t'aurais dû me le dire. Dès le lendemain, tu me dis, j'ai fait ça et ça mais c'était un jeu. Tu m'expliques, je suis blonde mais pas débile. J'ai pas quatre ans. Mais tu dis rien, tu caches, avec ton ex et je dois bien le prendre ? Ben non. Non tu peux pas bien le prendre. Ca va pas au mieux entre nous, tu peux pas me cacher des choses comme ça et t'attendre à ce que je m'en fiche, que je pète pas un cable. Sauf si je m'en fous, de toi, de nous. Mais c'est pas le cas, et savoir que tu regrettes peut être d'avoir insisté pour qu'on soit ensemble c'est pas rassurant. Que tu penses que je te dénigre, que je trouve pas assez bien, c'est blessant. Pourquoi tu me parles plus ? Avant tu me disais tout. J'étais celle qui te rassurait que t'es un gars bien, qu'elles te méritent pas. Et je le pense toujours. Et mon meilleur ami me manque. Mon petit ami me manque. Où était ce temps au spring break ? Cet été à être inséparables, à passer votre temps à faire l'amour, de partout, à vous allumer par messages, par snaps, plutôt que vous prendre la tête sans cesse ? Et il avoua ce qu'il voulait, une petite liste qui collait bien à la tienne, terminant par une envie de t'embrasser. Une affirmation qui sonne comme une demande. Une autorisation pour le faire, pour savoir si t'en a envie. Bien sûr que oui, t'en meurs d'envie mais tu hésites. S'il pose ses lèvres contre toi c'est peine perdue. C'est un piège, un trou dont tu n'en sortiras pas. C'est comme les sables mouvants, tu vas t'y enfoncer et plus tu vas vouloir t'en sortir, plus tu t'enfonceras. Impossible de résister. Tu le sais mais bêtement tu fonces. Tu l'embrasses, comme si ça sera la dernière fois. Ca se ressent, d'abord hésitante, puis brûlante. Ta main derrière sa nuque, vos langues qui s'emmêlent. Tu te donnes à lui. Tu te laisse aller, un peu trop. Quand vous vous séparez, pour respirer, t'es si chamboulée que tu ne réagis pas. Tu le regardes, perdue. Tes doigts touchent tes lèvres, comme si tu n'y crois pas. C'est pourtant réel, il te le rappel en revenant à la charge. Bloquée entre lui et le meuble de cuisine, t'es prise au piège, complètement. Tombée dans son filet. T'es sa prisonnière, encore une fois, et t'aimes ça... Tes mains glissent dans son dos, sous son haut, passant devant pour toucher son torse. Y sentir chaque abdos. Tu aimes son corps, tu aimes le toucher. T'es faible, totalement. Tes mains remontent sur son corps, entraînant son haut dans leur montée, pour le lui enlever. Et là un flashback te revient, le jour de ton retour de ton enlèvement. Il était venu te voir, ici, chez Lucky et vous aviez fini par coucher ensemble, dans la douche. C'est là que t'avais complètement prit conscience de tes sentiments pour lui. T'aurais pas cru que ça en serait à ce point... J'ai envie de toi... que tu libères entre deux baisers, réalisant pas que t'as parlé à voix haute.
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