NEVER LET ME GO + ADZIO

NEVER LET ME GO
— with adzio.

Mes colocataires m’avaient pourtant invités pour faire la fête ce soir sauf que j’en avais un peu marre de cette vie de débauche, alors je leur disais d’y aller sans moi. Refermant la porte derrière moi, je pose mon dos contre cette dernière, poussant un long soupir. La solitude m’allait plutôt bien, même que je m’en faisais pour Ezio. Lui qui avait l’habitude de m’envoyer des messages textes, le voilà qu’il restait muet… Peut-être n’avait-il pas apprécié quand je lui avais dit que je voulais être seule. Passant l’une de mes mains dans mes cheveux, je filais directement dans la douche afin de me changer les idées. Pendant un long moment, sous le jet d’eau, je ferme les yeux tentant par tous les moyens de chasser les images que j’avais du nouvel an sauf que je ne pouvais rien y faire. Je nous revoyais toujours, tous les deux, dans cette douche en passant un agréable moment… Prenant le temps de me savonner, je termine de me laver avant de sortir de la douche et enrouler une serviette autour de mon corps. La soirée s’annonçait calme, un truc qui ne m’était pas arrivé depuis un bon moment déjà et ça me faisait un bien intense. Sauf que j’entendis quelques cognements dans la porte, me faisant sursauter. Qui avait la brillante idée de venir à cet heure ? Sentant cette peur dans mes yeux, je me mordille la lèvre inférieure avant d’enfiler ma nuisette rapidement et marcher dans le couloir de l’appartement. Posant ma main contre la poignée de porte, je prenais une longue inspiration avant d’ouvrir et me retrouver face à face avec un Ezio… Malheureux. « Ez ? Mais qu’est-ce que tu fais ici ? » Je n’avais pas vraiment été une bonne amie en lui interdisant de me voir sauf que nous brisions les règles là.

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Il était tard, très tard. Ezio sortait de l'hôpital, le coeur en berne. Ce soir, il avait tout perdu, il ne restait qu'un corps, errant dans les rues sombres de Boston. Le regard vide, il était incapable de positiver ou de rester cohérent. Tout son monde s'écroulait autour de lui. Inconsciemment, il savait que ce n'était que le juste retour des choses. Dans le passé, il se comporta comme un vrai connard avec les femmes, l'heure de la vengeance était arrivée. Il le méritait après tout.

Sa clope se consumait au bout de ses doigts tandis qu'il continuait à marcher dans la pénombre. Le calme régnait en maître dans la ville. Ses pas le conduisaient chez Adria. Il avait besoin de lui en parler mais surtout, de ne pas se retrouver tout seul. Aucune pensée noir ne l'habitait, il n'était pas ce genre de mec. Non. Mais pour la première fois de sa vie, un vide immense l'avait envahis. Une fois devant l'immeuble de la blondinette, il termina sa clope puis lâcha le mégot sur le trottoir. Sans un bruit, il monta les escaliers et vint toquer à la porte. Un fin sourire se dessina sur ses lèvres lorsque la belle Adria lui ouvrit. Mais son regard ne trompait personne. « J'suis désolé de passer à l'improviste. » dit-il d'une petite voix. Ezio mit ses mains dans ses poches et haussa les épaules. « Je dérange ? T'es occupée peut-être ? » la questionna-t-il, en priant presque pour qu'elle ne le foute pas à la porte. Adria ne voulait plus trop le voir mais elle ne pouvait pas rester impassible face à sa détresse. L'italien voulait juste un peu de calme, de douceur, un peu de chaleur. « J'peux entrer ? » Son monde ne ressemblait plus à rien, il était perdu. Complètement perdu.

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NEVER LET ME GO
— with adzio.

Dès que j’ouvris la porte, je pouvais voir un homme perdu, une personne que je n’avais pas l’habitude de voir dans cet état et pourtant c’est ce qui se passait en ce moment. Tentant de garder une certaine distance avec le beau brun, je me mordillais la lèvre inférieure sans vraiment bouger… Disons que depuis cette fameuse nuit du Nouvel An, je ne voulais plus le revoir, c’était beaucoup mieux comme ça, surtout en sachant que j’avais gâché son futur mariage avec Louison. Certaines personnes comme Lucky m’avaient conseillé de le repousser cette nuit-là sauf que c’était plutôt le contraire qui arrivait. « Non, non… T’inquiète, tu ne me dérange pas. » Pour tout dire, j’aurais très bien pu lui dire que j’étais occupée ou que j’allais me coucher sauf que je ne voulais pas le laisser dans un piètre état, comme il l’était. Sa deuxième question me fit lever le regard vers le sien, ces questions engloutissaient carrément ma tête et heureusement, mes colocataires n’étaient pas présents. « Euh, ouais… » Me dégageant de l’entrée, je referme la porte derrière Ezio, sans trop savoir comment réagir avec mon ex. Notre relation était devenue carrément tendue, surtout pour moi puisque je détestais passer pour la briseuse de ménage. Marchant vers la cuisine sans créer d’histoire, je fis un signe de la main au bel italien pour qu’il puisse s’asseoir sur le canapé et je fis bouillir de l’eau pour boire un thé. Prenant deux tasses vides ainsi que ces poches de thé, je pose l’eau dans celles-ci ainsi que le thé avant de prendre les tasses et marcher en direction du salon où je dépose la sienne sur la table basse. M’asseyant à ses côtés, je tourne le regard vers Ezio. « Qu’est-ce qui se passe Ez… Pour que tu te pointes à cet heure c’est parce qu’il s’est passé quelque chose. » Ça ne lui ressemblait vraiment pas et je voulais avoir les idées claires pour une fois.

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Ezio faisait de la peine à voir. Ce soir, il n'était plus que l'ombre de lui-même et n'allait pas être de très bonne compagnie. Tout s'était écroulé, tout le petit monde qu'il avait construit ces derniers mois, venait d'éclater en mille morceaux. Debout devant Adria, il ne savait pas exactement ce qu'il venait chercher là. Une épaule sur laquelle pleurer ? Une amie ou une confidente ? Un petit moment pour se vider l'esprit ? Peu importe. Il était là et espérait bien rester un peu. Demandant à la jolie blonde s'il pouvait entrer, ses mots semblaient l'intriguer et même, l’inquiéter. Adria vint lui faire comprendre qu'il pouvait se mettre sur le canapé. Sans chercher à comprendre plus loin, il enleva son gros manteau et le posa sur le dossier, il fit de même avec son écharpe. Aucun son ne sortait de sa bouche, il n'arrivait pas à parler. Alors il laissa l'anglaise lui préparer une boisson chaude. Lorsqu'elle revint vers lui, il releva les yeux pour les poser dans les siens. Il ne peut rien lui cacher, Adria le connaissait par coeur, elle sentait et savait que quelque chose n'allait pas. Inspirant un grand coup, Ezio détourna son regard et s'humidifia les lèvres. « Louison s'est faite agressée hier soir et .. elle a perdue le bébé. » Inutile de passer par quatre chemins. Il voulait juste en parler à quelqu'un, avoir des conseils peut-être, être rassuré. Mais au lieu de partager sa détresse, il restait impassible, imperturbable.

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NEVER LET ME GO
— with adzio.

Laissant entrer Ezio à l’intérieur de l’appartement, je lui fis un signe de la main pour que ce dernier puisse s’asseoir sur le canapé. Si ça n’avait pas été du regard vide qu’il possédait en ce moment, j’ignore si je l’aurais laissé entrer. Préparant deux tasses de thé, je revenais auprès du bel italien afin de m’asseoir à ses côtés, posant celles-ci contre la table basse du salon. Le connaissant trop bien, je savais qu’il y avait quelque chose qui se passait avec lui et en tentant de le regarder, sa tête se tournait en une direction opposée à la mienne. Venant à me mordiller la lèvre inférieure, mon cœur battait la chamade quand il m’avouait la chose qui le rendait malheureux. Soudain, mon regard tombait vers le sol, ne sachant pas trop quoi lui dire. Peut-être que les choses se seraient passées autrement si nous n’avions pas couchés tous les deux au jour de l’an… C’était surtout pourquoi je ne voulais pas le revoir tant que les choses n’étaient pas réglées sauf que je ne l’ai pas aidé avec ces messages que nous nous envoyons tous les deux. « J’suis désolée. » J’avais l’impression que tout était de ma faute. Passant ma main dans mes cheveux, je ferme les yeux en l’espace de quelques secondes avant de me redresser sur mes jambes. « C’est de ma faute Ez, j’aurais dût te repousser au nouvel an… Tout ça ne se serait pas passé. » Je portais le blâme sur moi, alors que ça n’aidait en rien la situation. Ce n’était pas mon genre de briser un couple, surtout en sachant qu’ils allaient se mariés tous les deux dans un futur pas si lointain que ça.

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Elle a perdue le bébé. Son bébé. Ezio avait encore du mal à l'intégrer dans son cerveau, lui qui se faisait une joie d'être père. Le petit Maël Scorsese n'était plus. Cette nouvelle le bouleversait au plus haut point mais il restait un italien fier et macho, alors il ne pleurait pas. Non, il donnait presque l'impression de s'en foutre. Le destin était tragique mais qu'importe, la vie mettait sur son chemin des défis qu'il devait relever. Voilà ce qu'il essayait de se persuader dans sa tête. Alors qu'il venait de tout avouer à Adria, Ezio s'attendait à une autre réaction de sa part. La blondinette vint se lever et s'excusa. Elle semblait porter toute cette histoire, sur ses épaules. Surprit par ses mots, il inspira longuement. Le jeune homme n'était pas prêt à ce confronter à ce genre de discours, à cette rancune qui n'avait pas lieu d'être. « Dis pas n'importe quoi, tu n'as pas à être désolée, ce n'est pas de ta faute. » Mais Adira continuait à s'en vouloir et ne manquait pas de lui faire savoir. Ezio fronça les sourcils en la regardant, perplexe. Il se leva également et s'approcha d'elle pour venir la prendre dans ses bras. Elle semblait porter toute cette histoire, sur ses épaules. Surprit par ses mots, il inspira longuement. Le jeune homme n'était pas prêt à ce confronter à ce genre de discours, à cette rancune qui n'avait pas lieu d'être. « Je t'interdis de dire ça Adria, c'est compris ? C'est moi qui t'ai embrassé, c'est moi qui ait fait le premier pas vers toi donc si c'est bien la faute de quelqu'un, c'est de la mienne. Je ne veux pas que tu t'en veuilles comme ça. On est des adultes, on était tous les deux consentants ... si ça ne s'était pas fait à nouvel an, ça se serait fait plus tard. On ne va pas se leurrer, ce n'était qu'une question de temps avant que l'un de nous craque. » dit-il faiblement avant de déposer un chaste baiser sur son épaule.

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NEVER LET ME GO
— with adzio.

La nouvelle avait eu l’effet d’une bombe dans ma tête, surtout en sachant que nous avions couchés tous les deux pour le nouvel an et que son couple avait été une catastrophe par ma faute. J’ignore si ça avait été une bonne idée d’accepter l’invitation que m’avait fait Ezio sauf que c’était fait et nous ne pouvions pas retourner à l’arrière. Restant silencieuse un peu, je me lève sur mes jambes pour faire quelques pas et m’arrêter. C’était de ma faute, rien de moins sauf que je savais que le bel italien allait dire tout le contraire de la chose. « Si ça l’est, pour moi… » Soufflais-je en regardant le sol, lâchement. Ezio se décide à se redresser afin de s’approcher de moi et poser ses bras autour de mon corps. La seule chose que je fus capable était de glisser ma tête dans le creux de son épaule, fermant les yeux un instant. J’écoutais ce qu’il avait à me dire, restant contre lui et sans l’interrompre dans ses belles paroles. La relation que nous entretenions tous les deux devenait étrange, difficile à se décrire et disons que j’aimais mieux ne pas penser à ce qui pouvait arriver de pire dans toutes les circonstances. Ezio avait perdu son enfant, ce n’était pas rien et je ne sais pas ce qui allait se passer par la suite. Poussant un long soupir quand je sentais ses lèvres se posées contre mon épaule dénudée, je me mordille la lèvre inférieure. « D’accord… Je ne penserai plus à ça. » Il valait mieux, puisque ça ne faisait que me détruire de l’intérieur. « Est-ce que tu as été la voir ? » Je ne cacherai pas que j’étais un peu jalouse, je n’avais pas vraiment envie que cet incident puisse les rapprochés tous les deux sauf que je ne le lui montrais pas. Mes mains caressaient son torse afin de remonter jusqu'à son cou.

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Ezio n'avait pas la force ni l'envie de se lancer dans des explications. Il ne voulait pas chercher ses mots pour la rassurer. Non, pour une fois, il voulait que les rôles s'inversent un peu. Il voulait juste un peu de soutien de la part de la blondinette. Mais elle vint choisir ce moment pour se noyer dans les regrets et les remords. Arès tout, il avait mit Adria dans cette situation, à lui d'assumer maintenant. Les bras enroulés autour d'elle, il essayait tant bien que mal de la rassurer. Après avoir déposé un chaste baiser sur son épaule, Ezio se recula légèrement pour la regarder. Il lui afficha un mince sourire. « C'est normal d'y penser Minou, j'y pense aussi mais ce qui est fait, est fait et pour ma part ... je ne regrette pas ce qu'il s'est passé. » Même si ses actes avaient foutu un bordel phénoménale dans sa vie, il ne regrettait pas ce qu'il s'était passé. Un goût d'inachevé s'était immiscé entre eux depuis qu'il l'avait revu à Boston. A y réfléchir d'un peu plus près, Adria était revenue dans sa vie alors qu'il cherchait Louison, qu'elle l'avait fuit comme la peste. Ezio aurait dû se méfier à l'époque. La blondinette lui demanda ensuite s'il l'avait vu et, presque mécaniquement, il haussa un sourcil. « Oui je l'ai vu, elle ne voulait pas me voir, je n'ai pas pu imposer ma présence bien longtemps. Elle m'en veut alors qu'elle n'a pas fait mieux. » Ses yeux se plissèrent. « Ah mais ouais, t'es pas au courant toi .. Tu sais que le lendemain du jour de l'an, Louison s'est tapé son meilleur ami. Donc si cela peut te rassurer, c'est que notre couple n'était pas solide hein. » C'était vrai après tout. Ezio lâcha Adria et vint s'asseoir sur le canapé. Il posa ses coudes sur ses genoux et se frotta le visage à l'aide de ses mains. « Merci pour le thé, au fait. »

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NEVER LET ME GO
— with adzio.

Notre situation était assez précaire et je ne pouvais absolument pas laisser Ezio dans un tel état, surtout en sachant que Louison avait perdu leur bébé et que ça semblait vraiment compter pour lui. Le laissant embrasser mon épaule, je recule quelque peu afin de mieux l’observer droit dans les yeux, répondant à son mince sourire. S’il croyait que je regrettais toutes ces choses qui s’étaient produites à la soirée de Suzy, il se trompait carrément. « Je ne regrette absolument pas cette soirée mon cœur. » Ces surnoms me faisaient un sentiment bizarre sauf que j’en avais besoin, surtout en sachant que nous devenions plus près l’un de l’autre sans réellement penser aux conséquences que ça pouvait avoir dans le futur. Venant à lui demander s’il avait revu la jeune femme, je grimaçais quand il me disait qu’elle avait couché avec Camille qui était aussi mon colocataire. La seule chose que je voulais, c’est que le Mather ne soit pas au courant pour ce qui s’est passé avec Ezio sauf que j’étais tout de même prête à y faire face avec lui. « Alors, on a rien à nous reprocher alors. » Ce mince sourire s’agrandissait, afin de faire changer les idées au bel italien mais surtout pour me faire pousser un petit soupir de satisfaction à ces derniers dires. La seule chose que j’avais eu peur c’est qu’ils décident de se rapprocher sauf que c’était l’inverse qui se produisit. Le laissant marcher jusqu’au canapé où il me remerciait pour le thé, je fis les quelques pas qui nous séparaient avant de prendre place à ses côtés et le prendre dans mes bras. Il avait besoin de réconfort et c’était ce que j’allais lui donner, à cet instant. « Tout va bien aller mon cœur… J’suis là et je te laisserai jamais tomber. » Posant ma tête contre la sienne, je ferme les yeux en l’instant de quelques secondes.

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Les yeux clos, Ezio se laissait bercer par cette courte pause. Louison avait perdu le bébé. Elle s'était encore débrouillée pour se mettre dans une situation de merde et s'était mise, le petit et elle, en danger. C'était peut-être un mal pour un bien. Elle n'était surement pas prête à être mère, elle était visiblement trop jeune et trop inconsciente pour ça. Sauf qu'Ezio s'était déjà énormément attaché au bébé. A ce futur Ezionino comme il l'appelait depuis le début. Et puis, l'image de Louison et Camille lui traversa l'esprit. Après réflexion, il n'aurait pas pu élever son fils en pensant au fait qu'il ait vu sa mère s'extasier et jouir d'un autre homme. Non. La déception et la tristesse se transformait en colère. Appuyant fortement ses doigts sur ses yeux, il fut surpris de sentir Adria se coller à lui. Il enleva ses mains de son visage et, en se tournant vers elle, vint la prendre dans ses bras. Elle se montrait présente pour lui, elle était sans doute la seule à en être capable. Louison l'avait radié de sa vie, au même titre que leur bébé, plus rien n'existait aux yeux de la française. Ezio posa sa tête contre celle d'Adria. Il aurait voulu lui dire qu'il se sentait mal mais aucune phrase de ce genre ne sortait de sa bouche. Au lieu de ça, il posa sa main dans le dos de la blondinette, pour se rapprocher d'elle. « Tu sais ce dont j'ai envie, là, maintenant, tout de suite ? » Ezio redressa son visage pour la regarder avec un fin sourire sur le coin de ses lèvres. Du sexe ? Oui. Mais pas de suite. « J'veux que tu m'caresses le visage, tu sais, comme tu me faisais avant, tu te souviens ? » Oh ouais, c'était une trop bonne idée. Sans même attendre sa réponse, il se recula pour venir s'allonger sur le dos, posant sa tête sur ses cuisses. Il rigola légèrement avant de fermer les yeux. Ses mains se posèrent sur son torse, il voulait juste lâcher prise.

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